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C’est dans la très belle salle de « la Palestre » au Cannet que se déroulait enfin le concert promis par Enrico à ses fans, il y a un an déjà. Victime du mauvais temps qui avait obligé l’avion qui l’amenait de Paris à se dérouter sur Montpellier, il avait dû annuler son concert au dernier moment.

Et ils étaient tous là, fidèles. Un rendez vous avec Enrico, ça ne se manque pas, même si on doit s’y reprendre à deux fois.

Nous avons déjà souligné l’ambiance très particulière qui règne dans les salles du midi de la France. Et cette soirée au Cannet n’a pas dérogé …………

Tous âges confondus, hommes, femmes et enfants, tous sont là pour faire la fête, en famille, et danser aux accents de la voix chaude du chanteur de la famille.

Et dans ce domaine, Enrico excelle depuis longtemps et y prend même un plaisir qu’il ne dissimule pas.

Accompagné de ses musiciens, il a offert au public son dernier tour de chant et petits et grands se sont vite pris à l’ambiance, au grand dam des vigiles……….. Mais qu’ils se le disent une fois pour toutes, on n’empêche pas les fans d’Enrico de se lever et de danser ……….. Et c’est le maître lui même qui fait régner sa règle …………………….

De « Rien n’a changé » au « Mendiant de l’amour », en passant par « Quand les femmes dansent », « Aux talons de ses souliers », sans oublier un « berger vient de tomber », tous les grands succès d’Enrico ont été repris en cœur par la salle et dansés comme il se doit dans une fête orientale.

Merci Enrico pour tant de bonheur et de chaleur offerte. Et merci à son public qui est quand même exceptionnel. N’oublions pas non plus ses musiciens qui, par leur enthousiasme, leur générosité et leur virtuosité donnent toujours le meilleur d’eux mêmes avec simplicité et beaucoup de joie de vivre.

 

 

 

 

Ticket1281_0130 ans jour pour jour, Enrico Macias, le chantre franco-algérien de la paix revient en Haïti. Un show à New-York, deux autres à Port-au-Prince en avril, c’est le menu de sa mini-tournée orchestrée par L@L International Productions

Quand Enrico Macias est entré en Haïti, Rihanna n’était pas encore née. De l’aveu de Cora Sajous, gestionnaire de L&L International Productions, l’auteur de ¨Noël à Jérusalem¨ en a gardé un agréable souvenir. ¨Il se rappelle, dit-elle, que nos femmes sont belles et qu’on danse bien.¨ Toujours selon elle, le chanteur suit les nouvelles d’Haïti depuis lors. Départ de Baby Doc, embargo, dechoukaj, boat-people, tremblement de terre… rien ne lui échappe. Toujours il écrit une note à notre intention. La dernière en date, confie Cora, c’est à l’intention des victimes du lundi gras 2015. En décembre 2014, la créatrice de mode dit se rendre compte de la grandeur de la voix de Zingarella quand elle l’a rencontré à Paris avec une équipe de la TNH. ¨C’est un homme extrêmement chaleureux qui nous a reçus chez lui, qui fait des blagues sur ses interlocuteurs. Il m’a dit que je suis belle et que je lui rappelle ce beau soleil antillais qu’il a admiré chez nous il y a trois décennies¨, a déclaré Cora. Mais Enrico n’est pas qu’un homme joyeux. Aujourd’hui encore, d’après la manageuse, il ne se remet pas encore de la mort de Suzy, sa femme partie depuis six ans pour l’Orient éternel. Notre blondinette souligne que la tournée a été reportée deux fois déjà à cause du staff de l’artiste qui avait décommandé à la dernière minute. Cette fois, cela ne risque pas d’arriver, rassure-t-elle. Deux spectacles pour petits et grands Cora interpelle vivement la participation des jeunes à cette tournée. A son avis, un messager de paix comme Enrico fait encore du sens dans le monde puisqu’à ce jour, la paix est encore un idéal au regard de l’actualité. ¨Je veux que les jeunes comprennent qu’avant le hip-hop, dit-elle, notre pays était bercé par les belles chansons françaises notamment celles d’Enrico Macias qui chante la paix, l’amour avec élégance mais sans légèreté.¨ ¨En plus, ajoute-t-elle, les parents ont le devoir de faire découvrir de bonnes choses à leurs enfants.¨ Quelques chansons d’Enrico expliquées à Cora Fan depuis l’enfance du chanteur, Cora dit avoir profité de leur rencontre pour se faire interpréter ses préférées et se faire expliquer certaines. ¨Il m’a dédié « Mélissa », a-t-elle avoué. « Un berger est tombé », il l’a composé en l’honneur d’un dignitaire arabe tué un an après qu’il l’eut rencontré dans le cadre d’un concert pour la paix. Il lui a chanté ¨Les gens du Nord¨ que notre Tropicana national a adapté. Quid de la mini-tournée Enrico performera le dimanche de Pâques, soit le 5 avril, à Brooklyn College aux Etats-Unis. Le 10 dans une soirée de gala au Karibe Convention Center et le 11 au palais municipal de Delmas. Lionel Pierre, un chanteur romantique connu des soirées new-yorkaises, est invité à cette minitournée de l’interprète de ¨Mendiant de l’amour¨ 10 chansons d’Enrico Macias à citer pour prétendre le connaître Aime-moi, je taime Pour toutes ces raisons, je t’aime Mélissa Noël à Jérusalem Un berger est tombé Malheur à celui qui blesse un enfant Zingarella Les gens du Nord Enfants de tous pays Générosité

 

Article paru sur : http://lenouvelliste.com/lenouvelliste/article/142636/Enrico-Macias-pour-la-deuxieme-fois-en-Haiti

 

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La comédienne belge Alexandra Vandernoot fera partie du jury du neuvième festival international du film policier de Liège, qui se déroulera du 23 au 26 avril. Huit films font partie de la sélection officielle pour décrocher un «insigne de cristal».

Alexandra Vandernoot sera notamment accompagnée de la comédienne française Valérie Mairesse et du chanteur Enrico Macias. Les autres membres du jury sont la consultante française Hélène Exbrayat, la comédienne belge Stéphanie Crayencour, les comédiens français Philippe du Janerand, Ludovic Berthillot, Lydie Melki. Le jury aura à remettre quatre «insignes de cristal» (meilleur film, meilleur scénario, meilleur comédien et meilleure comédienne).

Huit films ont été retenus dans la sélection officielle: «The Wolf’s game» (Pays-Bas), «7 minutes» (États-Unis), «Betibu» (Argentine/Espagne), «De Behandeling» (Belgique), «Elephant Song» (Canada), «Jeziorak» (Pologne), «Los Angeles» (Allemagne) et «The mule» (États-Unis).

Comme chaque année, d’autres récompenses seront également remises en marge de la compétition officielle, dans les catégories documentaires et courts-métrages. Un jury de jeunes remettra également un prix.

Pour cette neuvième édition, un focus particulier sera fait sur le cinéma asiatique. Trois films japonais et coréens seront projetés lors d’une ciné-conférence.

Enfin, deux films seront projetés en avant-première pour la Belgique: «L’affaire SK1» de Frédéric Tellier, avec Nathalie Baye et Olivier Gourmet, ainsi que «La résistance de l’air» de Fred Grivois, avec Reda Kateb et Ludivine Sagnier.

Comme chaque année, les films seront projetés au cinéma Palace à Liège. C’est également là que se déroulera le gala de clôture le dimanche 26 avril à 19h00.

www.festivaliege.be

 

article paru : http://www.lavenir.net/cnt/dmf20150326_00623825

 

Capturepar Gérard Quentin

23 mars 2015

 

Il a fallu attendre un an pour l’applaudir au Cannet mais, le samedi 28 mars, ses fans inconditionnels pourront le retrouver à la Palestre où il interprètera, entre autres tubes, nombre des chansons de son dernier album au titre opportun : « Venez tous mes amis ! ».

Le Petit Niçois : 50 millions d’albums vendus et déjà cinquante deux ans de carrière à succès… cela doit rendre très fier ?

Enrico Macias :« Fier, oui, mais avec la modestie de dire que j’ai eu de la chance et un public formidable. »

L.P.N. : Votre dernier album « Venez tous mes amis ! » en a, effectivement, réunis pas mal…

E. M. : « Seize duos inédits. J’avais envie de partage ! Pas mal d’amis, en effet, tels Carla Bruni, Dani, Liane Foly, Valérie Lemercier, Natacha St-Pier, Dany Brillant, Cali, Gérard Darmon, Khaled ou Serge Lama. »

L.P.N. : Vous l’avez interprété en solo lors de vos concerts à l’Olympia. Ce music-hall est l’un de vos rendez-vous… incontournables ?

« C’est un rendez-vous que je donne régulièrement à mon public et en dehors de toute idée de promotion. On a d’ailleurs déjà prévu des dates en 2016, 2017 et 2018… J’espère être encore au monde (rire) ! »

L.P.N. : En 2018, vous fêterez vos 80 ans. Le temps qui passe semble avoir peu de prise sur vous…

« C’est en grande partie grâce à mon métier et surtout grâce à la musique, vivre sans être sur scène, je n’y suis jamais parvenu. Le 11 décembre dernier, jour de mes 76 bougies, ce sont les musiques arabo-andalouses et les chansons qui étaient les vraies vedettes de la fête. »

L.P.N. : Vous êtes en tout cas parvenu à traverser les années avec une magnifique aura de citoyen du monde…

« Quand vous évoquez toutes ces années passées et que je vois où j’en suis avec mes 52 ans de carrière, je me dis que c’est une grande chance d’être en vie car, malheureusement, j’ai perdu des êtres chers à des moments où je m’y attendais le moins.

Le fait d’être là, encore présent, et pas seulement dans la carrière mais dans ma propre vie pour mes enfants, mes petits-enfants et peut-être bientôt mes arrières petits-enfants, c’est magnifique ! La famille m’a toujours donné de l’énergie. Ma femme Suzie m’a beaucoup aidé et notre grande histoire comme son amour m’ont donné une énergie incroyable.

L.P.N. : Vous considérez-vous toujours comme un homme de la Méditerranée ?

« Plus que jamais. La côte d’Azur c’est un peu une deuxième maison par rapport à l’Algérie. Je suis arrivé à Marseille, comme tous les rapatriés d’Algérie et les Harkis. Après je suis allé à Nice parce que j’avais un oncle qui m’y a recueilli avec ma famille. Ensuite nous sommes rendus à Vichy et Paris. Puis je suis redescendu sur la côte et j’ai eu la chance d’acquérir une belle maison à ST-Tropez. Pour moi le sud de la France c’est un havre de paix… Mais n’oubliez pas que j’ai quand même écrit une chanson sur les gens du Nord !

L.P.N. : Votre maison de ST-Tropez, l’Accadia vous a valu beaucoup de soucis. Sont-ils réglés ?

« Elle est toujours sous hypothèque mais je considère qu’elle est sauvée. Il faut juste que je sois encore patient cela a été un imbroglio incroyable à cause d’une banque qui a fait faillite puis de malversations financières dont j’ai été victime. Aujourd’hui la justice a compris le déroulement des choses et ma bonne volonté mais, administrativement, tout n’est pas encore réglé. »

L.P.N. : Vous chanterez donc au Cannet le 28 Mars prochain. On a failli vous y applaudir il y a déjà presque 1 an, que s’était-il passé ?

« Moi qui dis toujours qu’il ne fait beau qu’au bord de la Méditerranée, je me suis retrouvé dans un avion qui, à cause des conditions météorologiques, n’a pas pu atterrir sur l’aéroport de Nice et a dû être détourné sur Montpellier. Bilan, j’ai annulé le concert à la dernière minute. Je suis bien revenu à Nice donner un concert gratuit en Juin, mais je me devais de revenir au Cannet. Ce sera donc fait ce 28 Mars. »

L.P.N. : Et un concert en Algérie ?

« J’ai tout essayé pour y parvenir il y a quelques années mais on m’en a empêché. On m’a dit qu’il y avait beaucoup trop de danger et de menaces à mon encontre, notamment à cause de mes prises de positions pacifistes. Tout était pourtant organisé pour le retour au pays avec sa femme et ses enfants du petit Ghrenassia. Cette déconvenue m’a affecté très longtemps. Elle demeurera l’un des plus grands regrets de ma vie. »

Photo : © ERIC FOUGÈRE/ALAMO

Article paru sur le « petit niçois » : http://www.lepetitnicois.fr/sortir-culture/article/enrico-macias-mon-succes-j-ai-eu-de-la-chance-et-un-public-formidable-1381.html

 

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=7QJZXGBqAfY[/youtube]

Nous vous parlions il y a quelques jours de la prestation d’Enrico Macias et de son petit fils Symon lors de la cérémonie d’ouverture du 18ème festival du film juif sépharade de New York
Voici ce moment d’exception en son et image

Un imense merci à Avi Ben Shlush