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A peine le rideau rouge de l’Olympia refermé, Enrico Macias sautait dans le TGV direction Lyon, et plus exactement Bron. Il était cette année la vedette de la traditionnelle « Brioche des boulangers » offerte par les artisans boulangers de la ville.

L’évènement organisé sur trois jours aura permis à prêt de 2400 seniors brondillants (habitants de Bron) de passer une agréable et ensoleillée après midi.

Accompagné de ses fidèles musiciens, Kamel, Bruno, Zizi et Karim, Enrico a chauffé la salle de l’espace Albert Camus. pour le plus grand bonheur de tous.
D’enfants de tous pays, en passant par Les filles de mon pays et Paris, tu m’as pris dans tes bras, il a entrainé dans son sillage une assistance conquise qui n’a pas hésité à reprendre tous les refrains et à accompagner l’artiste en frappant dans leurs mains.
Et comme à l’accoutumé, Enrico a su installer cette proximité si particulière, cette impression d’être en famille, qui permettent à la fête d’être pleine et totale

Nul doute que tous ont été conquis par le sourire, la bonne humeur, la simplicité et la chaleur mais aussi le grand talent de  l’artiste et qu’ils se souviendront longtemps de ces instants magiques

Banneux24012016De notre envoyée spéciale Muriel M

Le chœur de 500 choristes battait à l’unisson ce dimanche 24 janvier dans l’église Notre-Dame de Banneux, sous la direction de leur chef Robert Jamaer, mais aussi ceux des 3000 spectateurs, et bien sûr celui d’Enrico, de nos amis musiciens et techniciens.

Un froid glacial régnait à l’extérieur mais, comme toujours, la chaleur était intense dans l’église sous les rayons du soleil de notre chanteur préféré.

Ce concert promettait d’être surprenant et il a tenu ses promesses.

Au cours d’une 1ère partie composée de

– Paris, tu m’as pris dans tes bras

– Adieu mon pays

– Le voyage

– Aux talons de ses souliers

– Les gens du nord

– Le violon de mon père

Enrico nous a charmé avec son répertoire sous l’œil vigilant de JC….. non, non, pas Jean-Claude, mais bien Jésus-Christ.

Puis les 500 choristes se sont joints à lui pour la génialissime chanson que nous avions eu le bonheur d’entendre en exclusivité à l’Olympia et dont le titre est on ne peut plus à propos :

« A la Grâce de Dieu ».

Ils ont ensuite interprété ensemble :

– l’incontournable « enfants de tous pays »

– la spirituelle : « Noël à Jérusalem »

– l’immortelle « malheur à celui qui blesse un enfant »

– la malheureusement toujours d’actualité : « un berger vient de tomber »

Puis 2 autres chansons plus inattendues mais qui ont tout aussi bien sonné :

– les filles de mon pays

– le mendiant de l’amour

Un rendez-vous très réussi qui inspirera peut-être sa maison de disques pour la prochaine cuvée.

En attendant, nous sommes impatients d’être le 19 février pour découvrir le nouveau CD « les clefs ».

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Cyril Hanouna reçoit Gad Elmaleh et toute l’équipe du film Pattaya pour un prime exceptionnel de 2 heures de pure folie ! Cyril et ses invités vous ont préparé des tonnes de surprises pour vous faire passer la meilleure des soirées : des numéros décalés, des jeux loufoques, des images inédites et des fous rires garantis !

Dans le Gros Show tous les invités vont faire le show !

Au programme : Gad Elmaleh et ses percussions, Franck Gastambide et son ours, Malik Bentalha en Michael Jackson, Sabrina Ouazani et son numéro aérien, et enfin Anouar Toubali et sa troupe de danseurs. Alors quel numéro vous surprendra le plus ?

Cyril Hanouna recevra son ami Enrico Macias et la chanteuse Tal 
 

« LE GROS SHOW » sur D8 le 11 février 2016

En savoir plus sur http://www.stephanelarue.com/Cyril-Hanouna-recevra-Gad-Elmaleh-pour-Le-gros-show-en-prime-sur-D8_a17050.html#dlThDgtBkjUs0hDb.99

DSC_8006Rendez vous était donné depuis 1 an, et c’est avec bonheur et délectation que tous ceux qui avaient répondu présents hier soir boulevard des Capucines ont pu savourer le nouveau millésime Macias 2016.

Le fâcheux accident de fin aout (triple fracture du bras à la suite d’une chute) qui avait inquiété tous les fans d’Enrico et quelque peu perturbé les projets du chanteur puisque la sortie de son nouvel album a du être repoussé, semble aujourd’hui oublié.

Et c’est un Enrico aminci et en superbe forme qui a, encore une fois, hier soir, enflammé la salle de l’Olympia.

Selon un scénario totalement revisité, c’est au rythme de la fête Constantinoise qu’Enrico a planté le décor et donné le la de la fête. Et c’est en musique et en chansons, que durant deux heures, il s’est retourné sur sa vie et son parcours pour rendre hommage à son pays l’Algérie, à sa ville Constantine, à son père et à son Maître tonton Raymond, à sa tendre et irremplaçable épouse Suzy et aussi à son public.
Public auquel il n’aspire à transmettre que sa joie de vivre, son optimisme indestructible, et son esprit de fête dans un esprit de fraternité jamais démenti.

Mais en composant son spectacle, il n’a pas hésité à y introduire aussi 5 chansons inédites de son nouvel album à paraître le 19 février, « les clefs », et nous pouvons dire d’ores et déjà, que certaines deviendront des standards Macias, notamment « Du soleil » et « A la grâce de Dieu ».
Et c’est une salle debout, du parterre aux balcons, qui a chanté et dansé avec lui dans une même communion sur ces nouveaux refrains.

Non, je n’ai pas oublié chante t’il en conclusion : ni ses racines, ni ses valeurs, ni les joies, ni les peines, mais c’est vers le futur qu’il continue de tendre tous ses efforts pour transmettre son message de Paix et de Fraternité entre toutes les communautés et prouver à travers ses spectacles que ce rêve est réalisable.

On ne saurait être complet sur ce spectacle sans noter la très belle performance, en première partie, de Frédéric Zeitoun qui nous a conté, en chansons, de manière très poétique et avec humour « l’histoire enchantée du petit juif à roulette ».  Merci Frédéric Zeitoun pour votre dynamisme et votre joie de vivre, une belle leçon de vie.

Et bien sur, merci Enrico pour ces moments enchanteurs dont nous ne nous lassons pas .
La cuvée 2016 ne nous a pas déçus et nous en garderont longtemps le souvenir dans nos mémoires car nous non plus, nous n’oublions pas tout ce que nous vous devons.