De notre envoyée spéciale Muriel Meimoun

Hier soir, c’était au tour des Petahtikviennes et des Petahtikviens de souhaiter à Enrico, avec fleurs et gâteau, un joyeux anniversaire.
Assurément, les Petahtikviennes étaient au rendez vous.
Les « Enrico mon amour » fusaient de tous les coins de la salle, nous faisant penser aux paroles du « chanteur de la famille » : « les femmes se font belles d’abord pour plaire à leurs maris, et si ce n’est pas vrai, c’est tout au moins ce que l’on dit ».
Hier, c’était pour Enrico que les femmes et les fans étaient là.
Et il leur a tout donné sur scène. Après un début chaotique bien qu’amusant et, croyez-moi, fort sympathique, dû à une panne technique, les habitants de « l’ouverture vers l’espoir » (Petah Tikva en hébreu), ont vu tous leurs espoirs s’accomplir durant ce concert. Enrico a repris tous ses standards, de « Chanter » à « El porompompero » en passant par, « Melisa », « Aux talons de ses souliers », « Adieu mon pays », « Oh guitare », « Juif espagnol », « Quand les femmes dansent », « Pour toutes ces raisons, je t’aime », « Paris tu m’as pris dans tes bras », « Al kol ele » en duo avec Orlika, « Zingarella », « Enfants de tous pays » avec Symon, « Les filles de mon pays », « Le violon de mon père », le Medley arabo-andalou, « Le mendiant de l’amour » et « L’Oriental »
Et ce sont plus de 1000 personnes en liesse qui ont repris en chœur, et par cœur, chacun de ses couplets. L’osmose était grande hier soir, et « le meilleur public du monde » a été comblé.
Gageons que le bonheur sera tout aussi fort, ce soir, au Ashkelon Sports Arena.