Le grand pardon

Deux femmes à Dublin

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La culture constantinoise avec ses parfums, ses couleurs, la diversité de sa population où juifs, chrétiens, musulmans et gitans se côtoyaient dans le partage d'une culture amicale, le mysticisme du malouf hérité de Raymond et l'enfance dans la citadelle des vertiges ont fait d'Enrico un être dont la vie sera consacrée à croire et propager les sentiments de la Paix et de l'Amitié.
Le souci de Raymond de réunir les meilleurs musiciens de Constantine n'était pas le seul secret de sa réussite. L'autre secret consistait dans la composition de ses orchestres réunissant musiciens juifs et musulmans. Cet esprit d'amitié et la prédisposition naturelle d'Enrico ont spontanément nourri son cœur de ces valeurs.

Cela fait maintenant 47 ans qu'il prône l'amour universel à travers ses chansons et ses actions et il n'a pas l'intention de s'arrêter en si bon chemin.

"Mes aspirations pacifiques dit-il, me poussent à aimer mon prochain et pas à le combattre. Dieu a confié à mon cœur un message de paix. Comme la manne de l'exode, il doit être distribué. J'en ai la possibilité et mon privilège est de voir aujourd'hui ma vie d'homme se confondre avec celle de l'humanité."

Symbole de paix, la chanson "Le grand pardon" reproduit le modèle enseigné par Raymond et parle de Paix et d'espoir entre les arabes et les juifs.

"Au temps antique, rappelle Enrico, Abraham eut deux enfants, Ismaël et Israël.
Ce dernier a créé Israël, l'autre l'Islam. Je voudrais être ambassadeur de la Paix et chanter un jour devant un public juif et arabe".

"… je crois à un monde meilleur où le bien triomphera, où la fraternité règnera."
("Enrico Macias, l'enfant de tous pays" – Martin Monestier)


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24.03.2016 19:39