Dans le cadre de sa grande tournée à l’occasion de ses 60 ans de carrière, Enrico Macias était ces derniers jours dans le sud de la France, sur les lieux de ses débuts, comme il aime à le rappeler.

D’Avignon à Toulon, en passant par Menton, accompagné de ses fidèles et excellents musiciens, il a semé la joie dans les cœurs et levé les salles pour une fête comme lui seul sait les orchestrer et qui restera gravée dans tous les cœurs pour longtemps.

Contre vents et marées, tel un roc inébranlable dans ses convictions, il continue de chanter sa nostalgie de la terre de son enfance, sa folle espérance en la paix entre tous les peuples, et n’a de cesse d’allumer les lumières de la fête dans les yeux de tous ceux qui passent à portée de son cœur.


Quelle joie de voir une très jeune femme se faufiler, des étoiles plein les yeux, au plus près de la scène pour filmer l’artiste qu’elle rêvait de voir sur scène, de l’entendre pousser un cri de joie aux premières notes d’une chanson qu’elle affectionne particulièrement. Un petit sourire amusé, mais de connivence aussi, on se revoit à son âge et c’est un bonheur à lui seul de la voir faire.  Quel que soit l’âge, Enrico Macias a ce pouvoir magique sur les cœurs.

« C’est un musicien qui sait faire en quelques chansons, l’unité des générations »

C’est le chanteur de la famille

En pleine forme, Enrico a soulevé l’enthousiasme de son public faisant souffler un petit vent annonciateur de l’évènement attendu de tous : les deux concerts de l’Olympia les 18 et 19 mai 2024.
Comme les sportifs préparent les JO, Enrico est en pleine préparation de son passage dans la mythique salle parisienne.
Le répertoire du tour de chant et les arrangements amorcent des contours nouveaux, présageant de deux jours de fête inoubliables. Mais nous ne vous en dirons pas davantage pour garder le suspens et laisser la surprise intacte. Si vous n’avez pas encore votre billet, nous ne pouvons que vous conseiller de vous dépêcher de réserver. Ce sera grandiose.

Avant ce grand rendez-vous, Enrico Macias remonte vers le nord : Clermont Ferrand, Anzin, Le Touquet.
Ne le manquez pas s’il passe près de chez vous

Tournée spéciale avec la participation de Zehava Ben
27.06 (jeudi) – Heichal HaTarbut, Tel Aviv. À 20 h 30
1.07 (lundi) – Centre des Congrès, Haïfa. À 20 h
2.7 (mardi) – Le Centre des arts de la scène, Beer Sheva. À 20 h

Prix des billets : de 199 à 399 NIS (selon l’endroit où vous vous asseyez)
Billets : À la billetterie « Lan » et par téléphone : *8778

Retrouvez le podcast de l’émission en cliquant sur l’image

C’est avec émotion que nous recevons Enrico Macias dans cet épisode. Le célébrissime chanteur de Constantine a, mieux que quiconque, chanté les joies et les peines des séfarades. Nous abordons avec lui des thématiques qui nous sont chères et qui sont centrales dans son œuvre depuis ses débuts.

La Vérité si je mens plus est le podcast consacré aux identités séfarades dans toutes leurs nuances et leur complexité, si possible sans clichés. Elisa Azogui-Burlac et Myriam Levain reçoivent des personnalités juives d’Afrique du Nord qui viennent leur parler de cet héritage si riche et si méconnu.

Une série à retrouver sur le site de RCJ et sur toutes les plateformes d’écoute Deezer, Spotify, Apple Podcast.

Musique

Bambino, Dalida

Oranges amères, Enrico Macias

Enrico Macias en concert, c’est une autre dimension.
C’est aller au-delà de sa musique, de ses chansons.
Enrico, sur scène, c’est d’abord une ambiance, une générosité, un amour palpable et réciproque entre lui et son public. Des chansons qui rassemblent et qui s’offrent comme un message d’espoir et de tolérance.
Durant 1h30, en live, accompagné de ses 7 musiciens, venez chanter ses refrains les plus connus et danser sur ses airs de fête indémodables, et en même temps si personnels
Production : Backstage Event

Pour connaitre les dates de concert, reportez vous à notre page CONCERTS

Article et photos de notre envoyée spéciale et amie Muriel Meimoun
Concert de Brunoy – Dimanche 17 mars 2024

Un bonheur à l’état pur, un homme heureux, un avant-goût du paradis…
Entre vous et moi, je ne savais pas quel titre donner à cet article tant l’émotion me submergeait à l’issu de ce concert.
Pour une fois, je ne vais pas vous parler de la qualité du concert ou des chansons. Cela ne ferait pas 50 ans et quelques 150 concerts que je m’y « colle » si je ne trouvais pas tout cela exceptionnel. Non, aujourd’hui, j’ai envie de vous parler de ce soleil dont on parle si souvent.
À maintes reprises, nous vous disons que si le soleil n’était pas au rendez-vous à l’extérieur, il l’était dans la salle. Souvent, à l’instar d’hier, il ne l’était pas dehors en arrivant mais on le retrouvait en sortant. À croire que même les cieux s’illuminent après un concert.


La voix d’Enrico, son bonheur sans cesse renouvelé de retrouver son public, sa reconnaissance que celui-ci réponde toujours présent après plus de 60 ans, en toutes circonstances, n’ont d’égal que le bonheur que nous avons, nous, à être là. Notre soleil qui est sur scène, distille ses rayons en chacun de nous et pendant 90 minutes, plus rien ne vient troubler notre joie de nous retrouver.
Puis chacun repart le pas allégé et enivré de ce soleil, même si dès que sonnent les premières notes de El Porompompero se mélangent l’allégresse et le tristesse de la fin du concert. Heureusement pour moi, j’en ai d’autres prévus dans mon agenda.


Alors d’où vient cette magie ? D’où vient cette communion entre un homme et son public ?
De sa sincérité, de son honnêteté, de sa simplicité. Mais cela ne suffit pas à expliquer tout cela. Non, un seul mot peut l’expliquer et ce mot c’est AMOUR. Amour d’un chanteur envers son public disparate, multigénérationnel et multiculturel. Et Amour du public envers un homme qui les accompagne dans leur vie, dans les bons comme dans les mauvais moments depuis 62 ans.
Alors, pour tout cela, je tiens à redire merci à tous ceux qui nous permettent de nous retrouver, que ce soit la production, les musiciens, les techniciens, le personnel de la salle.
Mais avant tout, merci à Enrico, d’être l’homme que vous êtes.