C’est en banlieue parisienne qu’Enrico Macias chantait ce week end pour deux concerts, dans deux lieux très différents, mais dans la même ambiance de fête et d’amour fraternel.

De conception moderne, inaugurée en 2013, offrant toutes les installations permettant de profiter d’un spectacle de qualité, la salle de l’Embarcadère à Aubervilliers était notre 1er rendez vous avec Enrico qui se produisait pour la première fois dans cette ville.
Mais nul doute que ni lui, ni le public présent n’oublieront cette soirée.
Parce que Maman chérie ……………… Quelle ambiance !!!!!!!!!!!
Les youyous si chers au cœur de l’artiste ont fusé dès les premières notes de l’intro musicale pour atteindre une déferlante de joie à l’apparition de la silhouette de l’artiste dans les projecteurs. Et du début à la fin du spectacle, l’ambiance n’a fait que monter crescendo.

« Et toi Aubervilliers je suis bien dans tes bras fut salué par un tonnerre d’applaudissements, de cris, de youyous ».

« On vous entend dans toutes les banlieues et même dans la capitale. » leur a dit Enrico, les yeux pleins de l’amour du public.

Cette soirée de folie s’est bien évidemment terminée par la partie arabo andalouse, qui, là plus qu’ailleurs encore, s’est déroulée dans une ambiance de délire.
Les murs de l’Embarcadère s’en souviendront longtemps.

Le lendemain après-midi, c’est à Enghien que nous avions rendez-vous avec l’oriental au regard fatal. Situé au bord du lac, Le théâtre du Casino offre un tout autre cadre avec une salle italienne aux fauteuils de velours rouge et balcons rehaussés d’or. C’est un charme d’antan même si la salle a été refaite en 2005.
Mais l’ambiance y a été tout aussi festive.

Enrico Macias, possède, entre autres talents, celui d’entrer instantanément en communication avec son public et de faire croire à chacun qu’il fait partie de la famille. Il suffit d’un mot ou d’un geste de sa part pour que la salle réagisse à l’unisson.



Et on peut dire que le public d’Enghien n’a pas boudé son plaisir, ni celui d’Enrico qui évidemment répond lui aussi instantanément à tant de preuves d’amour et de joie.

En veine de confidences, Enrico a rappelé qu’à son arrivée en France, avant même Paris, c’est à Argenteuil qu’il avait débarqué et qu’il était très souvent venu se promener à pied jusqu’à Enghien. D’ailleurs, a-t-il confié, c’est dans un hôtel d’Enghien que j’ai passé ma nuit de noce avec Suzy.

Tout à son bonheur de partager sa musique et la fête avec ce public merveilleux comme si il était avec sa bande de copains, il n’hésite pas à plaisanter dès qu’une occasion se présente.

« J’ai pris de l’âge dit il avec humour en s’asseyant pour prendre sa guitare … Mais ce n’est pas tout le spectacle, c’est juste pour jouer de la guitare »

Et de fait à 86 ans passés, nous pouvons témoigner qu’Enrico assure chacun de ses concerts debout, sans prompteur, et en live. C’est suffisamment remarquable pour le souligner. Porté par l’enthousiasme du public comme on surfe sur la vague, il a montré, ce week end, une forme resplendissante annonçant la montée en puissance avant le Dôme le 15 mars où il espère bien retrouver chacun de ses fans.

Ce sera sans nul doute l’apothéose de cette saison et un moment inoubliable. Ne le manquez pas.
Il reste encore quelques places. N’attendez pas pour réserver.

Sous le ciel bleu de Paris, ce week end nous a offert des moments inestimables de bonheur pur et simple et redonné à chacun une bouffée d’optimisme pour continuer notre route.

Il faut saluer deux publics vraiment exceptionnels qui ont fait une ovation à Enrico, lui aussi, dans une forme olympienne.

Nous ne manquerons pas, non plus, de remercier les techniciens et musiciens d’Enrico : Jean Pierre Boyer, Bruno Bongarçon, Philippe Hervouët, Patrick Goraguer, Lionel Teboul, Amar Mohali et Kamel Labbaci.

De gauche à droite :
Patrick Goraguer, Amar Mohali, Philippe Hervouët, Bruno Bongarçon, Enrico Macias, Jean Claude Ghrenassia, Kamel Labbaci, Lionel Teboul

Nous n’oublions pas Damien Nouagrede, producteur attentionné d’Enrico Macias.

Enrico nous attendons tous le rendez vous du 15 mars au Dôme avec beaucoup d’impatience.
Tous vos fans seront là arrivant des 4 coins du monde pour faire la fête avec vous.

D’ici là, il reste encore deux rendez vous à Perpignan et Plougastel.

Liste des chansons Chanter
Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
Oh guitare, guitare
La France de mon enfance
Medley : (Non je n’ai pas oublié, la femme de mon ami,
Solenzara, Paris tu m’as pris dans tes bras)
Les gens du nord
Juif espagnol
Quand on a un frère
Un berger vient de tomber
Une fille à marier
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
Billah Ya hammami
Bin el Barah ou el youm
Ya Rayah
Le mendiant de l’amour

  • De notre amie et envoyée spéciale Muriel Meimoun.
    Mille mercis pour ce témoignages et ces belles photos

Deauville en janvier… ce n’est pas l’idéal me direz-vous et tout était réuni pour vous donner raison. Le froid, le vent, la pluie….

Mais à Deauville il y a aussi les Planches. Ce lieu mythique que les pas des plus grands du monde ont foulé, est intemporel. Les noms des plus grands stars d’Hollywood, sur les barrières blanches délimitants les cabines, vous font voyager loin dans l’espace et dans le temps.

Mais nous c’est pour une autre star que nous étions là.
Notre star.

Avant de nous retrouver le 15/03 au Dôme de Paris pour le grand show, nous avons eu le bonheur de retrouver Enrico au Casino Barrière. Cette institution Deauvillaise construite en 1912 inspirée par le Grand Trianon du Château de Versailles puis restaurée en 1988 dans un style plus baroque, nous a accueilli avec beaucoup de chaleur pour un concert d’exception. Et je le tiens de la bouche même du directeur « s’il y avait eu une deuxième date, les billets se seraient arrachés » ainsi que « on s’est fait enguirlander je ne sais combien de fois car il n’y avait plus de place à vendre ». Alors inutile de vous dire que les Deauvillais(es) qui ont eu la chance d’être présents étaient très chauds pour faire la fête en ce froid dimanche de janvier.

Enchaînant ses plus grands succès, Enrico leur a offert un moment qui restera gravé dans le fond de leur cœur.

En très grande forme il a tenu son public en haleine tout au long des 90 minutes du concert. Comme à chaque fois l’émotion était à son comble en se remémorant l’exil, l’accent accroché aux talons de leurs souliers, ce morceau de France de leur enfance. Les larmes perlaient aux yeux en rendant hommage au berger qui est tombé. Comme toujours, le public lui a répondu que leur cœur d’attache c’est lui et ils ont fredonné les refrains honorants les gens du Nord et Paris. Puis bien sûr les filles, qu’elles soient à marier ou de son pays ou les deux, se sont levées pour danser en l’honneur de notre oriental préféré. Et que la musique soit orientale, avec ses célèbres chansons tirées du malouf constantinois, ou espagnole, avec en final El prompompero, ou israélienne car évidemment Ose Shalom, naase Shalom, la paix règne dans les salles de concerts où se produit Enrico.

Alors comme un concert c’est bon comme du bon pain, il nous faut en reprendre le plus souvent possible donc je vous donne rendez-vous mercredi 29 à Béthune.

Mais avant, à l’instar d’Enrico, nous n’oublions pas d’applaudir techniciens (Jean-Pierre, Hannah), musiciens (Bruno, Philippe, Amar, Lionel, Kamel et Jean-Claude) et la production (Damien et Michel). Et de les remercier. Sans oublier Enrico bien sûr, car sans lui le monde serait beaucoup moins beau.

Après le Québec puis Vendôme, Nancy et le Déjazet à Paris, les pas d’Enrico Macias nous ont conduits en cette fin d’année au soleil de la Méditerranée.

Nous avions déjà eu la joie de venir au Zinga Zanga de Béziers en avril 2023.
Zinga signifie aider quelqu’un à travailler. Pour nous ce sera nous aider à être heureux. Et oui Enrico, vous aviez aussi raison, Zinga est le nom d’une ville centrafricaine.
Donc, cette salle aux consonances tant africaine qu’occitane, nous a à nouveau accueillis ce samedi 14 décembre pour faire la fête avec notre chanteur préféré.
Mais aussi pour fêter sur scène l’anniversaire de Jean-Claude Ghrenassia. Alors tout était réuni pour que la fête soit belle. Et elle le fut. Le public conquis est reparti le cœur en joie après avoir entonné les plus grands succès d’Enrico. Et il n’y a aucun doute, il aurait pu continuer à danser jusqu’au bout de la nuit.

Joyeux anniversaire Jean Claude

Après Béziers, nous nous sommes envolés pour l’île de Beauté, et plus précisément la ville chère au cœur de Bonaparte, Ajaccio.

Salle mythique de la ville, le théâtre « L’empire » a ouvert ses portes en 1958. Fraichement rénové, conservant son style art déco de l’époque, Enrico y a retrouvé ses marques avec beaucoup de bonheur, presque 60 ans après s’y être produit pour la première fois.
Dès les premières notes de « chanter », le tempo était donné et les corses n’ont pas mis longtemps à chauffer l’ambiance à blanc. Rythmant chaque refrain dans leurs mains, reprenant chaque tube avec tant de force que les musiciens d’Enrico n’avaient plus nécessité de jouer, ils ont fait la fête avec et pour Enrico avec tout leur cœur et leur amour.

Enrico n’a pas été en reste et leur a notamment fait le cadeau d’interpréter Solenzara en Corse.
La fête s’est bien évidemment terminée debout devant la scène et quelques téméraires sont même arrivées à monter sur la scène pour embrasser Enrico.
Merci la Corse et les Corses pour cette belle soirée de fête et votre accueil chaleureux et enthousiaste.


Mais dès le rideau rouge refermé, les lumières éteintes, après quelques heures d’un sommeil que l’on aurait aimé un peu plus prolongé, nous voila de nouveau dans les airs à destination de Marseille.

Et c’est à l’espace Julien que nous avions rendez vous ce 17 décembre pour le dernier concert de l’année 2024.
Salle atypique mais offrant un cadre intimiste qui sied à Enrico et à ses fans, elle était pleine à craquer lorsque les lumières se sont éteintes. Et c’est une ambiance de folie, digne de la réputation des Marseillais, qui a animé tout le concert. Transcendé par tous les cris d’amour, les youyous et les applaudissements, Enrico a été fabuleux et a mené un rythme endiablé tout au long de ce concert.

A 86 ans, et après une année 2024 où il a parcouru des milliers de kilomètres aux quatre coins de France et du monde, il n’a de cesse de nous surprendre et de nous enthousiasmer.  

Au fil de toutes ces scènes et à travers les échanges engagés avec les fans de chacun de ces lieux, il est remarquable et touchant de réaliser les liens forts tissés entre l’artiste et son public.

Après 60 années de vie pour les uns comme pour les autres, chacun de ces concerts donne à se retourner vers le passé rappelant à l’artiste le long et patient chemin parcouru vers le succès, les premières fois où il a foulé toutes ces scènes. De la même manière, dans la salle, la mélodie de telle ou telle chanson rappelle une maman qui fredonnait tous ces refrains, un frère ou un ami qui chantait à tue-tête ce titre dans la rue, un épisode heureux ou malheureux de son existence. Chacun a une histoire en mémoire avec l’un ou l’autre des succès du chanteur et revit ces moments avec des frissons de bonheur et de nostalgie.

Si l’on pouvait rassembler tous les témoignages des personnes rencontrées au fil de ces concerts, on pourrait écrire une belle histoire humaine retraçant des jours de malheur ou de tristesse, mais aussi les jours de bonheur et de fête. L’histoire avec un grand H a marqué le parcours de chacune de ces personnes et chacun a trouvé des repaires et du réconfort dans les chansons d’un enfant de Constantine qui a dû quitter son pays dans les cris et les larmes de la guerre et s’est, dès ce jour, fixé comme ligne de vie d’allumer les lumières de la fête et du bonheur dans les yeux de tous ceux qui croiseraient son chemin.
Accompagné de sa fidèle guitare, il continue sans se lasser, ni se laisser abattre, de chanter la Paix, la fraternité et de donner de l’amour à tous ceux qui passent à portée de son cœur.

Cette volonté sans faille laisse admiratif.

Merci Enrico pour tout ce bonheur donné avec tant de générosité. Chaque spectateur que vous avez touché par votre voix chaude, votre accent si particulier et le son caractéristique de votre guitare vous est reconnaissant et vous remercie du fond du cœur.

Excellente fin d’année pour vous et les vôtres Enrico. Nous vous souhaitons de merveilleuses fêtes de fin d’année entouré de beaucoup d’amour et de joie.

Bonnes fêtes de fin d’année également pour tous vos fans et votre public.

Pour la deuxième année consécutive, c’est au théâtre Déjazet, Boulevard du temple à Paris, qu’Enrico Macias avait convié ses fans, ses amis, sa famille pour fêter son anniversaire.

86 ans et toujours sur les scènes de France et du monde pour transmettre son message de paix, d’amitié et d’amour, c’est beau et remarquable.
Et cette soirée très spéciale fut à la hauteur de l’artiste, empreinte d’amour, de chaleur et de joie. La salle, comble du parterre au poulailler a célébré, son chanteur avec ferveur et générosité.

Pas de plus beau cadeau pour Enrico qu’un public sur le visage duquel il lit le bonheur et qui fait la fête sans retenue avec lui.

Il l’a d’ailleurs exprimé avec beaucoup de sincérité :
 « Mon plus beau cadeau d’anniversaire, c’est vous »

Et les moments d’émotion, dans la salle comme sur la scène ont été nombreux :

                lorsque la salle, debout, a entonné un « Joyeux Anniversaire Enrico » après le premier medley provoquant un sourire radieux sur le visage de l’artiste

                Lorsqu’Enrico impose le silence à ses musiciens pour mieux entendre et savourer ses refrains repris par son public comme un seul chœur.

Emotion lorsque la voix du chanteur s’étrangle et que ses yeux s’inondent de larmes réfrénées en chantant « Un berger vient de tomber »

Emotion encore lorsqu’Enrico rend hommage à son chef d’orchestre et arrangeur historique, Jean Claudric qui, à 94 ans, est encore présent dans la salle pour venir applaudir son ami de toujours.

Il faut souligner une très belle surprise lors de cette soirée. Enrico a invité Rachelle Plas à l’accompagner à l’harmonica sur « les gens du nord », un très beau duo, l’harmonica faisant écho au chanteur avec virtuosité et grande sensibilité. Merci et bravo Rachelle, c’était sublime.

Enrico Macias et Rachelle Plas

Comme lors de chaque concert, Enrico a mis à l’honneur ses musiciens :

Lionel Teboul dont il a fait la connaissance pour la première fois au cours d’une émission de l’école des fans alors que Lionel n’avait que 5 ans. Ce dernier est devenu depuis un grand pianiste, arrangeur et chef d’orchestre et il accompagne Enrico depuis quelques années déjà.

Amar Mohali, son percussionniste, originaire de Kabylie. C’est le bout en train de l’équipe qui, outre être un excellent musicien, est aussi le chauffeur de salle durant le concert.

Bruno Bongarçon, originaire de Solenzara, guitariste émérite qui nous offre toujours un moment époustouflant de virtuosité lors de son improvisation.

Philippe Hervouet, qui est originaire, lui, de Bretagne et dont les Tralalaleno endiablés enchantent Enrico qui lui répond en Laï, laï, laï, laï, laï.

Kamel Labbaci, originaire d’Annaba en Algérie, violoniste virtuose, chef d’orchestre de la musique arabo andalouse nous offre à chaque concert une improvisation (à la manière de papa Sylvain) qui nous laisse pantois.

Enfin, il ne faut pas oublier celui qu’Enrico Macias connait depuis sa naissance puisqu’il s’agit de son fils, Jean Claude Ghrenassia, multi instrumentiste mais principalement bassiste et contre bassiste avec son père, dont il est aussi le manager, le directeur musical et l’arrangeur de tout le spectacle.

Il faut ajouter à la technique son Jean Pierre Boyer

Enrico n’a pas manqué non plus de mettre à l’honneur son producteur, Damien Nougarède, qui se met en quatre pour accompagner l’artiste sur toutes les scènes de France et du monde à la rencontre de son public. Toujours souriant et à l’écoute, il est entouré d’une équipe très professionnelle et accueillante.

Enrico Macias et Damien Nougarede

Pour que la fête soit complète, la fin du spectacle avec le medley arabo andalou et le final endiablé du mendiant de l’amour suivi de l’oriental et de porompompero a été l’occasion pour tous de finir debout pour chanter et danser avec Enrico et une dernière fois lui souhaiter un très joyeux anniversaire.

En remerciement de tous ces témoignages d’amour, Enrico est revenu sur le devant de la scène pour interpréter à capella « Enfants de tous pays » dont le refrain fut repris par l’ensemble du public tel une prière adressée aux générations futures.

Nous garderons de cette soirée un souvenir très spécial de par sa date. Être avec son chanteur préféré le jour de son anniversaire pour faire la  fête avec lui est un moment unique et inoubliable.
Mais aussi de par son lieu. Si le théâtre Déjazet a un petit air désuet, il offre un cadre très chaleureux et intimiste, qui nous place au plus près de l’artiste et nous fond tous dans un même cocon de bonheur partagé. Il nous ramène bien des années en arrière à une époque plus insouciante.
Enfin une émotion toute particulière a baigné ce concert sur la scène comme dans la salle et elle restera gravée en nous pour très longtemps.

Merci à Enrico qui, à 86 printemps, affiche encore un enthousiasme admirable et une foi inébranlable.
Et Damien Nougarede, les musiciens et techniciens pour cette magnifique soirée.

Et merci au fidèle public d’Enrico Macias d’être toujours présent

De gauche à droite : Bruno Bongarçon, Philippe Hervouet, Amar Mohali, Jean Claude Ghrenassia, Enrico Macias, Rachelle Plas, Kamel Labbaci, Lionel Teboul

Liste des chansons


Non, je n’ai pas oublié
La femme de mon ami
les millionnaires du dimanche
Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
Oh guitare, guitare
Les gens du nord (accompagné de Rachel Plas)
Juif espagnol
Un berger vient de tomber
Quand on un frère
Yerushalaïm Ose shalom
Dès que je me réveille
une fille à marier
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
Medley oriental
Ya Rayah
Le mendiant de l’amour
L’oriental
Porompompero
Enfants de tous pays

Il n’y a pas besoin d’artifices pour faire la fête. Enrico Macias l’a encore prouvé le 09 Décembre dernier à Nancy, où il s’est produit dans la magnifique salle Poirel, véritable joyau du patrimoine nancéien. Le public lorrain était conquis. Enrico est venu avec cinq complices musiciens qui ont su également enflammer la foule d’enthousiasme : deux guitaristes (Bruno Bongarçon et Philippe Hervouët), un bassiste (Jean-Claude Ghrenassia), un percussionniste (Amar Mohali) et un violoniste (Kamel Labbaci).

Les arrangements épurés ont donné un côté très intimiste aux succès du chanteur. Comme toujours, c’est un grand moment d’authenticité qu’il offre. Enrico a particulièrement échangé avec le public, qui s’est montré chaleureux et réceptif à ses notes d’humour.

En 1970, Enrico chantait :

« De musique en musique De couplet en refrain
On voyage plus vite
Que par d’autres moyens »

Une nouvelle fois, il l’a encore montré ce soir puisqu’il a improvisé un air du folklore breton avec son guitariste P. Hervouët : des tralalaleno aux laï laï laï, il n’y a qu’un pas ! Car Enrico, ce n’est pas seulement le Soleil et la Méditerranée : sa poésie est universelle.

A la demande d’Enrico, Philippe Hervouët improvise quelques notes du folklore breton

À la fin du spectacle, on éprouve à chaque fois un sentiment ambivalent : un mélange subtil de joie et de tristesse. Ah, si seulement le temps pouvait suspendre son vol ! Enrico est le seul à nous procurer des émotions aussi intenses qui relèvent de l’indicible. Un concert d’Enrico Macias n’est pas simplement un récital à regarder ou à écouter, mais bien une expérience à vivre. Enrico est un magicien de la chanson : chaque représentation est unique et inoubliable.

Enrico, au nom de la ville de Nancy, je te prends dans les bras !

NATHAN FOELLER-CLAUDEL

Mille mercis à Nathan pour son témoignage de fin connaisseur de l’artiste et empreint de beaucoup de sensibilité

De notre envoyée spéciale et amie à Ste Hyacinthe Louise Charron

St-Hyacinthe, dimanche soir le 01 décembre 2024, de légers flocons de neige tombent sur la ville. Sept cents fans en majorité Québécoises et Québécois se dirigent vers la salle Juliette Lassonde pour voir, entendre et applaudir leur chanteur préféré, le magnifique Enrico Macias.

Les musiciens ont fait leur entrée, une Québécoise au clavier Jo-Annie Bourdeau et un Québécois à la batterie Denis Cantin suivis des musiciens d’Enrico, Philippe Hervouet, Amar Mohali, Bruno Bongarçon et à la direction musicale le fils d’Enrico Jean-Claude Ghrenassia. Plus tard dans le spectacle, le chef d’orchestre de la musique Arabo-Andalouse Kamel Labbaci fera son entrée avec un solo mémorable.

Puis arrive le chanteur préféré de toutes et tous, l’extraordinaire Enrico Macias, élégamment vêtu et dans une grande forme pour bientôt 86 ans. Instantanément l’ambiance était donnée. La fougue, l’énergie et la passion d’Enrico ont fait de ce moment un concert mémorable dont nous nous souviendrons toujours.

Les chansons que nous avons eu le bonheur d’entendre sont :

Chanter, Enfants de tout pays, Quand on a un frère, Adieu mon pays, Beyrouth, Non je n’ai pas oublié, La femme de mon ami, Toi Paris tu m’as pris dans tes bras, Les millionnaires du dimanche, Mélissa, Aux talons de ses souliers, Solenzara, Pour toutes ces raisons je t’aime, Oh! Guitare, guitare, Dis-moi ce qui ne va pas, Le mendiant de l’amour, Une fille à marier, Noël à Jérusalem, Le violon de mon père, Juif espagnol, medley Oriental, Koum tara, Ya rayah, L’oriental, Porompompero.

Je dois mentionner le message de Paix qu’Enrico a adressé à toutes les personnes Libanaises, il l’a fait aussi à Montréal juste avant d’entonner la chanson Beyrouth.

Enrico a aussi joué à la guitare l’introduction du concerto d’Aranjuez, Aranjuez mon amour, suivi de Pour toutes ces raisons je t’aime, dédié à l’amour de sa vie, Suzy.

À la fin du spectacle la foule a entonné en chœur 2 fois : Mon cher Enrico c’est à ton tour de te laisser parler d’amour, tiré de Gens du Pays, du grand poète et chansonnier Québécois de 95 ans Gilles Vigneault. Par ce chant les fans ont voulu démontrer leur attachement, leur admiration et leur amour envers leur chanteur préféré Enrico Macias.

Enrico vous êtes toujours le bienvenu au Québec!

Merci Louise Charron pour ce beau témoignage

De notre amie et envoyée spéciale à Montréal Louise Charron

Montréal, mardi soir du 27 novembre 2024, la température extérieure est maussade. Malgré cela 3000 personnes se dirigent vers la Place des Arts, dans la plus grande salle Wilfrid Pelletier, confiantes de retrouver le soleil.

En première partie, Noa R nous a interprété quelques chansons. Puis plusieurs musiciennes et musiciens sont arrivés (es), 10 au total dont 4 Québécoises et 2 Québécois. Ils étaient au violon, clavier et batterie. Vinrent ensuite les musiciens d’Enrico Philippe Hervouet, Amar Mohali, Bruno Bongarçon et à la direction musicale le fils d’Enrico Jean-Claude Ghrenassia. Plus tard dans le spectacle, le chef d’orchestre de la musique Arabo-Andalouse Kamel Labbaci fera son entrée avec un solo mémorable au violon.

Puis arrive le chanteur préféré de toutes et tous, l’Unique Enrico Macias, élégamment vêtu et dans une grande forme pour bientôt 86 ans. Instantanément l’ambiance était donnée. Le soleil est apparu dans la salle. La fougue, l’énergie et la passion d’Enrico ont fait de ce moment un concert extraordinaire et inoubliable et à jamais gravé dans notre cœur !

La chorale de l’école Maimonide chante « Enfants de tous pays » avec Enrico macias

Enrico a eu des invités : La chorale de l’école Maïmonide qui a entonné avec lui ‘’ Enfants de tous pays’’, puis une chanteuse prénommée Rita (Rita Tabbakh) qui a interprété ‘’ Dis moi ce qui ne va pas’’, grand succès au Québec et deux danseuses du ventre qui ont accompagné Enrico dans le succès ‘’ Ya Rayah’’.

Les chansons que nous avons eu le bonheur d’entendre sont :

Chanter, Enfants de tout pays, Quand on a un frère, Adieu mon pays, Non je n’ai pas oublié, La femme de mon ami, Toi Paris tu m’as pris dans tes bras, Les millionnaires du dimanche, Mélisa, Aux talons de ses souliers, Solenzara, Pour toutes ces raisons je t’aime, Oh! Guitare, guitare, Dis-moi ce qui ne va pas, Une fille à marier, Les filles de mon pays, Noël à Jérusalem, Le violon de mon père, Juif espagnol, Al Kol Ele, Beyrouth, Ya rayah, L’oriental, Porompompero.


Merci à Louise Charron pour cet article et ses photos