Bonne fête GASTON
POUR NOTRE CHANTEUR PREFERE
BONNE FETE GASTON
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=JHVW6EezIoQ[/youtube]
POUR NOTRE CHANTEUR PREFERE
BONNE FETE GASTON
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=JHVW6EezIoQ[/youtube]
Lisette, une de nos grandes amies, indéfectible admiratrice d’Enrico,
nous envoie depuis son Québec natal (Richmond)
un très beau montage regroupant les superbes duos
du dernier Olympia du 22 janvier 2013
Merci Lisette !
C’est magnifique !
Pour ses 50 ans de carrière, Enrico Macias a sorti un album composé de duos, dont un avec la magnifique Carla Bruni, intitulé Venez tous mes amis, qui réunit quatorze de ses grands succès interprétés par de nombreuses célébrités de la chanson. Et si Carla Bruni n’est pas montée sur la scène de l’Olympia aux côtés du chanteur, elle était néanmoins dans la célèbre salle parisienne le mardi 22 janvier dernier lorsqu’Enrico célébrait son demi-siècle de carrière à l’occasion d’un concert unique et exceptionnel…
En effet, Carla a préféré observer le show depuis la salle en compagnie de son époux, l’ancien président français Nicolas Sarkozy. Le couple, aux premières loges, s’est largement laissé gagner par la bonne ambiance qui régnait dans la salle. Il faut dire qu’Enrico a partagé plus d’un duo explosif durant la soirée… Le couple aurait même chanté en coeur avec le public !
En novembre dernier, l’artiste à la bonne humeur communicative s’était déjà entouré d’une foule de personnalités sympathiques et talentueuses dans l’émission Vivement Dimanche. Le célèbre chanteur originaire de Constantine en Algérie a de nouveau pu compter sur leur présence sur la scène de l’Olympia mardi soir.
Aux côtés de la superbe Sofia Essaïdi, le chanteur de 74 ans semblait plus épanoui que jamais. Les deux artistes affichaient une complicité sans limite sur scène avant que Riff Cohen ne prenne la place de la belle Sofia.
Alors qu’il s’exprimait il y a peu sur la polémique concernant le départ de Gérard Depardieu pour la Belgique, Enrico a également chanté en duo avec Liane Foly, Dany Brillant, Gérard Darmon, Dani, Bruno Mamann, Mickaël Miro ou encore le jeune chanteur Toma.
Du 7 au 9 septembre dernier, Enrico Macias se produisait déjà sur la mythique scène de l’Olympia, rejoint par nombre des invités présents ce mardi soir ainsi que par quelques membres de sa famille.
L’homme de scène a encore partagé sa bonne humeur, ses musiques entraînantes et son sourire contagieux avec son public
Article paru sur le site de Pure People : http://www.purepeople.com/article/enrico-macias-complice-avec-la-belle-sofia-essaidi-devant-le-couple-sarkozy_a114426/1
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=BhdEig5zAbY[/youtube]
Enrico Macias et Bruno Maman – Olympia 22 janvier 2013
Merci à Eric Joseph B Aouizerats
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=uWrepwXj_vo[/youtube]
Duo avec Riff Cohen – Concert à l’Olympia le 22 janvier 2013
Merci à Jerba1000
Je vous écris ce matin tout en écoutant le disque de l’un de vos concerts maalouf. Votre voix constantinoise, profonde, votre cri et votre mélodie me font penser, ou plutôt rêver d’une Algérie plurielle, tolérante, fraternelle, cosmopolite où juifs, chrétiens et musulmans coexistent, comme avant, en paix.
En vous écoutant, j’essaie d’imaginer à quel point il serait beau, notre pays d’origine, s’il n’avait pas cédé à la tentation extrémiste et à la manipulation historico-politique.
Entre vous et moi, il y a plus de quarante ans. Vous êtes de la génération de mon père, et moi celle de votre fils ou peut-être celle de votre petit-fils.
Vous avez vécu la Seconde Guerre mondiale, la guerre de libération, la vague de libération des pays du tiers-monde, et moi, je suis arrivé, plus tard, pour assumer, avec des millions de jeunes comme moi, la haine des uns contre les autres, vivre «la seconde guerre d’Algérie», la terreur des années noires, les massacres fratricides, et subir des échecs consécutifs de la période post-indépendance qui ne cessaient de se produire.
A l’école, on nous apprend: «Un juif, un ennemi!». S’agit-il de tous les juifs? de Juda Ibn Quraysh à Daniel Timsit, Reinette l’Oranaise et les autres?
La violence a coutume d’engendrer la violence. En tant qu’un jeune qui s’éloigne, de plus en plus, du jeu malsain du système, je vous ai toujours considéré comme une voix, surtout une voix et une musique réconciliatrice, qui traverse toute la machine de «haine de soi, haine de l’autre».
Une musique singulière, qui nous rapproche l’un de l’autre, qui fait face aux ennemis du dialogue, de la tolérance.
Vous et moi, nous ne sommes pas d’accord sur maints sujets politiques. Nous sommes sur deux chemins différents.
Vous préférez reconnaitre et adhérer à une logique politico-idéologique, et moi, je garde mon engagement comme un apolitique. C’est votre liberté de conscience. Une conscience épanouie amène généralement à un bonheur continuel.
Vous êtes d’une rive politique, et moi d’une autre, mais, cela ne nous empêche pas d’être amis, et de continuer de vous écouter et de vous solliciter de me faire croire que notre Algérie, celle que vous chantez, serait un jour mieux que celle d’aujourd’hui.
Peut-être avec un peu de recul, et au fur et à mesure, notre regard change, et nos croyances bousculent, mais ce qui est sûr, le lien qui nous attache dépasse tout malentendu, tout un conflit provoqué par deux visions divergentes, il y a un lien identitaire, un autre historique, puis culturel qui me pousse à dire clairement, de mon point de vue que je partage avec de milliers de jeunes Algériens: tu es juif mais ton algérianité est indiscutable.
L’exil, une notion que vous comprenez parfaitement. Vous l’avez bien décrite dans Adieu mon pays. Et dans un répertoire musical qui s’étend sur cinquante ans. En terre d’exil, la joie manque de charme. Et les pires exils sont intérieurs.
La patrie ne vous a pas pardonné votre «différence». L’histoire du pays de Lala Fatma N’soumer vous a mis sur une liste d’attente, une attente qui s’allonge et qui se poursuit depuis 1962.
L’Algérie qui vous a rejeté hier, c’est la même qui rejette ses propres enfants aujourd’hui. Le drame est là, dans «une ingratitude annoncée», cinquante ans d’Indépendance ne nous a fait que sentir, de plus en plus, à quel point nous sommes exilés en notre terre natale.
Derrière toute une vérité, il y a un mensonge, et derrière tout mensonge, il y a certainement une vérité. L’histoire, avec «h» ou bien «H», est là pour faire témoin de nos erreurs, de nos gloires manquées.
Demain, avec tout le changement qui touche la région arabe, avec tous les espoirs qui naissent, nous aurons «droit de rêver» de retrouver l’Algérie changer vers le meilleur, et se réconcilier avec son passé, et vous voir, avec votre guitare, à Constantine réaliser votre rêve, vous recueillir sur les tombes de vos ancêtres et chanter votre maalouf que des millions d’Algériens, comme moi, écoutaient, tous les jours.
Après cinquante de carrière, j’aimerais vous dire merci, tout simplement merci, pour tous les bons moments que vous nous avez offerts. Une cinquantaine d’années de musique qui ont bel et bien commencé à Constantine, aux cotés de Cheikh Reymond, que j’aurais aimé fêter, en votre présence, dans les rues de cette ville millénaire.
Saïd Khatibi
Article paru sur : SLATE AFRICA
Pour fêter ses cinquante ans de carrière, fidèle à lui-même, Enrico Macias a voulu être entouré de sa famille et de tous ses amis.
A cette fin, et avec le concours de son fils Jean Claude qui a assuré les arrangements, il a invité ses amis chanteurs, connus et moins connus, à reprendre avec lui ses plus grands succès de ces 50 années. C’est ainsi qu’est né son dernier album « Venez tous mes amis » sorti dans les bacs le 12 novembre 2012 et proposant 17 duos inédits.
Le cœur toujours généreux, Enrico avait réservé la primeur de certains de ces duos à son fidèle public lors d’une première fête à l’Olympia en septembre 2012 (voir nos articles sur cet évènement)
Mais il voulait réunir tout le monde pour son jubilé et c’est à un nouveau rendez-vous boulevard des Capucines qu’il nous a conviés ce mardi 22 janvier 2013.
D’ailleurs, le public ne s’y est pas trompé, sachant instinctivement qu’il s’agissait d’une fête hors du commun, et c’est à guichet fermé que s’est déroulé le concert. Du premier rang jusqu’au dernier strapontin tout en haut du balcon, pas une place n’était libre.
Pour débuter la soirée, nous avons pu apprécier deux jeunes talents très prometteurs : Nill Klemm, chanteur compositeur qui a représenté la Suisse au dernier concours de l’Eurovision, et Riff Cohen que nous allions retrouver plus tard aux cotés d’Enrico et qui nous a donné à découvrir son univers musical, pétillant et rythmé, mis en valeur par une très belle voix.
Mais c’est pour une soirée de fête « maciasienne » que le public avait bravé le froid et la neige et après un court entracte, il a commencé à s’impatienter : « Enrico ! Enrico ! Enrico ! ». Alors les lumières se sont éteintes, le rideau s’est ouvert et l’orchestre au grand complet a entamé l’intro ; « C’est un livre d’histoire le violon de mon père …… »
Et à l’instant même où la salle a aperçu la belle chevelure blanche poindre derrière les musiciens, comme un raz de marée galopant, l’acclamation de la salle est montée pour porter jusqu’à la scène tout son bonheur d’être à nouveau réunie avec son chanteur préféré. Costume sombre et chemise blanche, un sourire radieux illuminant son visage, Enrico a salué son public avant d’attraper sa guitare pour égrener les premières notes de la fête.
Si le spectacle était monté sur la même trame que celui de septembre 2012, il nous a toutefois réservé de magnifiques surprises tout au long de la soirée.
La première d’entre elle s’est incarnée sous les traits de la charmante Sofia Essaidi qui, avec beaucoup de maestria, a marié sa voix à celle d’Enrico pour nous offrir une version de « Paris tu m’as pris dans tes bras » légère, élégante et tourbillonnante.
Malheureusement, Carla Bruni n’a pu accompagner Enrico sur scène pour « les gens du nord » mais elle a tenu avec son mari à honorer l’artiste par sa présence dans la salle. Et c’est avec beaucoup d’enthousiasme que les spectateurs, debouts, ont ovationné l’ancien président de la république.
Troisième surprise, la main sur le cœur, la voix chargée d’émotion, les yeux perdus à l’horizon, Enrico a célébré « La France de mon enfance », et chacune des personnes présentes a ressenti cette émotion étreindre son cœur et mouiller ses yeux.
Ainsi, durant deux heures, les duos, tous époustouflants, se sont succédés et chaque artiste, sans se départir de sa propre personnalité et sensibilité, a rendu un vibrant hommage à l’ami et l’artiste, joignant sa voix à la sienne pour éclairer d’un jour nouveau les tubes que nous connaissons tous par cœur.
Se sont succédés sur la scène Riff Cohen pour « aux talons de ses souliers », Liane Foly pour « mon cœur d’attache », Dany Brillant pour « les filles de mon pays », Cabra Casay pour « il reste aujourd’hui », Gérard Darmon pour « sans voir le jour », Dani pour « Oumparere », Toma pour « Mon histoire c’est ton histoire », Bruno Maman pour « ces étrangers » et Mickael Miro pour « le mendiant de l’amour ».
Nous vous avons déjà loué certains d’eux en septembre et, si tous ont été superbes, nous voudrions mettre à l’honneur Liane Foly qui, avec une interprétation superbe, est devenue le nouveau cœur d’attache d’Enrico, Cabra Casay qui a mis son tempérament de feu au service d’ « il reste aujourd’hui ».
Et nous voudrions aussi remercier Bruno Maman d’être venu sur scène interpréter « ces étrangers » chanson qu’il a écrite spécialement pour Enrico. Ce duo interprété avec beaucoup de sensibilité et d’émotion a donné une vraie grandeur à cette chanson qui, n’en doutons pas, va trouver tout naturellement une place de choix dans le répertoire maciasien.
Evidemment il n’y a pas de concert d’Enrico Macias sans la fête orientale et la soirée s’est terminée comme à l’habitude debout devant la scène, dans une ambiance de folie, sur les incontournables medleys oriental et israélien, symboles de cette fraternité entre tous les peuples, pour trouver son apothéose avec « l’oriental » et « el porompompero ». Une fois de plus, malgré le froid polaire sévissant sur le boulevard des Capucines, le soleil de l’amitié a réalisé son miracle et mis le feu à la mythique salle de l’Olympia.
Mais comme toutes les autres fois, le temps s’est écoulé trop vite et l’heure de se séparer a sonné.
Répondant avec générosité aux rappels du public qui en voulait encore, Enrico nous a offert, à capella, « enfants de tous pays » avant que le rideau rouge ne se referme définitivement et que les lumières de la salle nous rappellent à la réalité.
Ce fut vraiment une magnifique soirée et, dans une forme éblouissante, accompagné de tous ses amis, Enrico, a offert à son public un somptueux cadeau.
MERCI ENRICO POUR CES 50 ANS DE BONHEUR !
Encore une fois, JOYEUX ANNIVERSAIRE !
D’ores et déjà, rendez-vous est pris pour les 11 et 12 janvier 2014 dans la même salle !
Mais entre temps, nous aurons le plaisir de vous suivre dans une tournée nationale et internationale notamment sur le continent américain.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=JHVW6EezIoQ[/youtube]
Duo avec Cabra Casay – Olympia – 22 janvier 2013
Merci à Afikomane
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=zRnD8G-JYhI[/youtube]
Un grand merci à mademoisellesosso
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=jq2RW55wePc[/youtube]
Duo avec Dany Brillant – Olympia 22 janvier 2013
Merci à mademoisellesosso
La nouvelle est tombée ce matin
Enrico Macias sera à nouveau en concert à l’Olympia
les 11 et 12 janvier 2014
Vous pouvez retenir en
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xwv4ki_empreintes-du-18-01-a-15h06_tv?search_algo=2#.UPpA5mcmaSo[/dailymotion]
Vous pouvez revoir le très beau documentaire diffusé hier sur France 5 dans le cadre de la série « Empreintes »
Malheureusement nos amis étrangers n’y auront pas accès
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xwvfdb_empreintes-du-18-01-a-21h34_tv?search_algo=2#.UPpBk2cmaSo[/dailymotion]
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=AVMGxX8TGm4[/youtube]
Dans “Empreintes”. A 21h30 sur France 5
En 2012 Enrico Macias a célébré ses 50 ans de carrière et, au passage, ses 50 millions d’albums vendus. Le documentaire nous rappelle le rôle majeur joué par l’artiste dans la chanson française. Les premières images du film nous ramènent dans l’Algérie des années 1940, celle de l’enfance d’un certain Gaston Ghrenassia. C’est au nord-est du pays, dans la ville de Constantine, qu’il naît le 11 décembre 1938 dans une famille de musiciens. A la tête du clan, une forte personnalité, un génie dans son genre, son oncle Cheikh Raymond Leyris, maître de la musique arabo-andalouse. Aujourd’hui, Enrico Macias se souvient comme si c’était avant-hier, du soir où il a eu l’honneur d’intégrer son orchestre en qualité de guitariste.
Cheikh Raymond, personnage phare de la communauté juive, savait mettre d’accord les chrétiens et les musulmans, jusqu’au jour où… « Entre 15 et 22 ans, je n’ai pas eu de jeunesse, souligne Enrico Macias. Notre vie n’était plus qu’anxiété et deuils. » Le jeune Enrico va définitivement sortir de l’enfance le 12 juin 1961. Le charismatique Raymond est tué d’une balle dans le dos. « C’était un jeudi », dit l’artiste le regard fixe et humide, comme si la scène défi lait sous ses yeux. Se sentant désormais en insécurité, la communauté juive doit fuir. Dans l’urgence, les familles n’emportent que le strict nécessaire sur les paquebots qui voguent vers Marseille.
Gaston Ghrenassia est du voyage. Il compose à la guitare « J’ai quitté mon pays » en regardant s’approcher Notre-Dame-de-la-Garde. « Je chantais pour oublier ma peine, dit-il simplement. Je pensais qu’étant de nationalité française, nous les pieds-noirs, nous serions accueillis en France comme des gens de la même famille. Cela n’a pas été le cas et nous avons été reçus comme des étrangers », ajoute-t-il. A Paris, il devient le chantre des Français d’Algérie, réunissant autour de lui ses pairs qui partageront – et partagent encore – cette nostalgie qui donne à son répertoire sa couleur sépia.
Sophie Delassein
Article paru dans le teleobs : http://teleobs.nouvelobs.com/rubriques/la-selection-teleobs/articles/39987-enrico-macias-la-vie-en-chansons
Ce 18 janvier à 21h30, Enrico Macias sera à l’honneur d’un nouveau numéro d’Empreintessur France 5. Et c’est le 10 janvier dernier qu’il a découvert, à la SACEM, devant une salle remplie de connaissances et d’amis, ce documentaire. L’occasion de lui poser quelques questions sur son sentiment autour de cet hommage vibrant. Interview.
Quel a été votre impression après la découverte de ce numéro d’Empreintes autour de votre vie ?
Franchement, ça m’a beaucoup ému, ça m’a même bouleversé. J’ai oublié que c’était de moi dont il s’agissait ! J’étais comme un spectateur, je m’intéressais à ce que je racontais dans le film et il me semblait que j’étais un autre personnage.
Ce n’était pas trop perturbant ?
Non. C’était vraiment fabuleux ! Antoine (Casubolo Ferro, NDLR) a réalisé un film fantastique. Il a su décrire tout ce que j’ai dans le ventre et dans le cœur.
Vous racontez dans le documentaire que vous vous sentiez étranger à votre retour en France.
C’était le sentiment de tous ceux qui arrivaient d’Algérie. Nous avions au fond de nous-mêmes le drapeau français gravé dans notre cœur. Quand on a dû partir, nous pensions qu’on serait accueilli à bras ouvert. Ça a été le contraire. Je sais ce que c’est que d’être un étranger, tout en ayant un passeport français.
Comment décririez-vous votre musique ?
Il y a tout dans la musique comme dans la vie d’un être humain : les peines comme la nostalgie, les joies comme la fête. La fête, je la compare à l’espérance et l’espoir.
Est-ce une joie de voir que vos chansons sont sont devenues universelles ?
Oui, c’est une grande chance et un privilège formidable au bout de 50 ans de retrouver un amour et une communion pareil avec le public, c’est vraiment un don de dieu !
Empreintes est diffusé ce 18 janvier à 21h30
Article paru sur Tele Star : http://www.telestar.fr/2013/01/enrico-macias-emu-par-son-empreintes-sur-france-5/71329