Très classe Enrico sur ce dessin

Nul doute qu’il ne vous inspire

Bon week end ……..


Encore une petite confusion entre album et single pour nos amies étrangères. Mais si les chansons chantées et l’année de sorties étaient bonnes, j’ai validé la réponse.
Denise, tu étais la première à répondre. Dommage que tu aies oublié de donner l’année de sortie ….
La bonne réponse était donc LA POESIE DE LA MEDITERRANEE sorti en 1979

Points
Claudius 58 pts
Philippe 51 pts
Varta 31 pts
Kataline 31 pts
L’amie fidèle 16 pts
Denise 7 pts
Fati 4 pts
Sandra 2 pts

Une collaboration de Gisèle Bellerose
19 novembre 2009 (QIM) –
Dans le cadre d’une brève tournée québécoise amorcée au Saguenay, suivie d’un passage à Sherbrooke, Enrico Macias s’arrétait au Grand Théâtre de Québec, le vendredi 6 novembre, avant de poursuivre vers Montréal et Gatineau. La prestation a débuté avec « Juif espagnol » dont il modifiera quelques mots en finale pour « Juif québécois ». Dès la seconde pièce, le public est conquis car incapable de résister à un tel tsunami d’amour, de joie et de gentillesse.
Côté répertoire, cet auteur-compositeur-interprète ayant écrit plus de 700 chansons en carrière, a présenté intelligemment les nouvelles ballades de son dernier opus « La vie populaire », paru en 2006, entremêlées de ses incontournables avec en prime une incursion dans la musique classique arabo-andalouse. Défileront alors pour n’en nommer que quelques-unes, « Je suis resté fidèle », « Noël à Jérusalem », « Pour toutes ces raisons je t’aime », composée pour Suzy, son épouse, « Dis-moi ce qui ne va pas », « Le mendiant de l’amour » et autres mélodies qu’on écoute religieusement ou qu’on fredonne avec lui.
Le point culminant a été son cri du coeur « je vous aime » lancé avant de quitter la scène. En rappel, il offrira la sublime « Enfants de tous pays » chantée a cappella, sans micro et sans musicien, en insistant bien sur chacun des mots chargé de sens. J’ai rarement vu une star recevoir autant d’ovations debout en une même soirée.
Habile guitariste, ce fils de violoniste et petit-fils de flûtiste s’est entouré de sept talentueux musiciens dont deux guitaristes, un percussionniste, un batteur, un accordéoniste, un contrebassiste et un violoniste oriental. Ce spectacle d’une durée de près de deux heures s’est déroulé sans pause devant un public composé majoritairement de baby-boomers. Des éclairages judicieusement harmonisés aux rythmes des chansons ont contribué à créer une ambiance intimiste ou festive. Cette prestation fort bien rodée m’a permis de découvrir un homme passionné de musique et des gens. Il a interprété « Les millionnaires du dimanche » au parterre parmi les spectateurs, en prenant le temps de serrer des mains et de les saluer chaleureusement.
Enrico Macias, apôtre du dialogue entre les peuples, est un artiste qu’on doit voir au moins une fois dans sa vie. Il est rayonnant malgré ses 70 ans qu’il ne fait pas, et en dépit de lourdes épreuves récentes (notamment le décès de son épouse après 47 ans de vie commune) dont il ne dira mot afin de ne pas assombrir la soirée. La musique et l’amour des gens étant les seules choses qui apaisent sa douleur, il a choisi de poursuivre son travail d’ambassadeur de la paix universelle et de continuer à chanter « Enfants de tous pays, tendez vos mains meurtries, semez l’amour et puis donnez la vie ». Chapeau et merci beaucoup Monsieur Gaston Ghrenassia, alias Enrico Macias.

Voici notre 18ème fusain

Je suis sure qu’il va vous rappeler de magnifiques souvenirs ….

Un très bel album qui ne vous a pas fait hésiter un instant …

Il s’agit bien de « A la face de l’humanité », 33 tours sorti en 1972

Points

Claudius : 55 pts

Philippe : 49 pts

Varta : 29 pts

Kataline : 29 pts

L’amie fidèle : 15 pts

Denise : 5 pts

Fati : 3 pts

Sandra : 2 pts

Le quotidien de 1968 sur le site tempsreel.nouvelobs.com

Enrico Macias à l’Albert Hall de Londres en 1968

NOUVELOBS.COM 21.04.2008 07:04

Le chanteur français a déclenché l’enthousiasme en chantant des tubes comme « Mon cœur d’attache » ou « Les filles de mon pays », marqués de nostalgie.

Le chanteur Enrico Macias s’est produit dimanche 21 avril à l’Albert-Hall de Londres. La célèbre salle de spectacle a accueilli des expatriés mais pas seulement: le chanteur d’origine algérienne a également un public britannique. Il a même tenté de dépasser la barrière de la langue en prononçant quelques mots en anglais.
Enrico Macias a chanté des tubes comme « Mon cœur d’attache » et « Les filles de mon pays » qui traduisent la nostalgie de sa terre d’origine.
Depuis quatre ans, le chanteur connaît un très grand succès national et international. En 1966, cent vingt mille moscovites étaient venus l’écouter au stade Dinamo dans la capitale soviétique et cette année, à New York, il a fait salle comble au Carnegie Hall.

Après le canada, Enrico Macias continue ses concerts à travers le monde.
Le 22 novembre 2009, comme nous vous l’avons déjà annoncé dans ces pages, il chante à Londres au Hilton Metropole Hotel
Hilton Metropole Hotel
225 Edgware Rd. Paddington,
London W2.
Tel. 020 8201 7441/2,
www.zionist.org.uk. .

A cette occasion, il a répondu à quelques questions pour la radio London Macadam

Une nouvelle épreuve de rapidité
Là, il n’ y a pas à réfléchir ……
Aie, aie, aie, maman chérie…… Qu’ai je écris la ??? Est ce moi qui vous ai induit en erreur en écrivant qu’il n’y avait pas à réfléchir ???
Ouach Kaïene ????? (mille excuses pour l’orthographe qui n’est surement pas la bonne…. C’est un petit clin d’oeil pour Hamida qui, à Alger, a essayé, avec beaucoup de patience, de m’inculquer mes premières notions d’arabe. Je lui envoie ainsi qu’à Wahab, Hadja et Karima mes plus chaleureuses salutations. Mon coeur est tout particulièrement auprès de vous cette semaine)
Bon revenons à notre jeu. Il s’agit bien de l’album live de l’Olympia 2003. Mais si je ne fais pas erreur, cet album est sorti en 2004…… N’hésitez pas à me reprendre si je fais erreur ….
POINTS
Claudius : 53 pts
Philippe : 47 pts
Varta : 27 pts
Kataline : 25 pts
L’amie fidèle 14 pts
Denise : 4 pts
Sandra : 2 pts
Fati : 1 pt
Très bonne question de Denise : ouach kaïne signifie « qu’est ce qu’il y a ? »
Avis : Philippe me signale que l’album live de l’Olympia 2003 est bien sorti en 2003. Sa connaissance pointue de la carrière d’Enrico Macias ne peut que me pousser à le croire sur paroles. Toutefois, sur plusieurs sites de musique, cet album est annoncé comme sorti en mars 2004. Afin de ne pénaliser personne, je compte donc comme bonne l’une ou l’autre réponse


Le dessinateur a changé. Le coup de crayon est moins sur mais vous devriez pouvoir trouver

Je vous fais confiance …………. Vous êtes de vrais pros

Bon week end à tous

Petite précision pour nos amis étrangers : Lorsque nous parlons d’album« , il s’agit bien d’un disque vinyle 33T ou un CD comportant un ensemble de titres. Les disques ne comportant que deux titres ne sont pas des albums et sont généralement appelés des « singles« . Le sujet de notre jeu porte bien sur des albums
Compte tenu de la difficulté de la langue française, l’ensemble des participants ne verront pas d’inconvénient, je pense, à ce que je considère la réponse de Kataline et varta comme juste dans la mesure où elles me donnent bien l’année de parution ainsi qu’au moins l’un des titres de l’album.

La bonne réponse est donc UN HOMME A TRAVERSE LA MER sorti en 1973

Points
Claudius : 49 pts
Philippe : 44 pts
Varta : 25 pts
Kataline : 24 pts
L’amie fidèle : 13 pts
Denise : 3 pts
Sandra : 2 pts
Fati : 1 pt

Photo agence QMI
Article Pierre O.Nadeau http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/artsetspectacles/archives/2009/11/20091107-085653.html

Il a fait beau et chaud, vendredi soir, au Grand Théâtre de Québec à la faveur des savoureux rythmes arabo-andalousiens amenés par Enrico Macias, qui a entraîné son public dans une véritable valse d’émotions.

Après s’être fait attendre durant sept ans, la légende bien vivante a eu droit à des retrouvailles émouvantes. «_Il y a trop longtemps que je ne suis pas venu ici, s’est d’abord excusé l’artiste de 71 ans, avant d’ajouter : « J’aime chanter en région; c’est là que je rencontre les gens les plus authentiques. »

Pour voir l’intégralité de l’article cliquez sur le lien ci-dessous

http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/artsetspectacles/archives/2009/11/20091107-085653.html

 

Ah vous de jouez …………….
Pas de souci pour vous.
Vous l’avez tous reconnu
Il s’agit bien de l’album
UN BERGER VIENT DE TOMBER
sorti en 1981
J’ai accepté la réponse de Fati qui me donne l’une des chansons de l’album. Malheureusement il manquait l’année de sortie de cet album
POINTS :
Claudius : 45 pts
Philippe : 42 pts
Varta : 23 pts
Kataline : 22 pts
L’amie fidèle : 11 pts
Denise : 3 pts
Sandra : 2 pts
Fati : 1 pt
J’espère qu’Hélène, notre amie fidèle, va mieux et a retrouvé la forme
Grosses bises

Photo Etienne Ranger – journal Le Droit
Article Valérie Lessard – Journal Le Droit

Enrico Macias a mis un terme à sa tournée québécoise à la Maison de la culture de Gatineau, hier soir, en ouvrant grand les fenêtres et les portes sur sa Casa del sol, sa musique aux multiples influences, sur ses racines algériennes et son envie de paix et de croire en un monde meilleur.

À croire que la chaleur de l’été indien des derniers jours avait mis la table pour les retrouvailles du public outaouais avec l’artiste de 71 ans, après sept ans d’absence. Car ça fleurait bon le jasmin, les olives et le miel du bassin méditerranéen dans la salle Odyssée, hier soir.

D’emblée, les gens ont joint les mains, autant pour accueillir chaleureusement Enrico Macias à son arrivée sur la scène, que pour battre la mesure sur Juif espagnol. Le ton était donné à une soirée où, en près de deux heures sans interruption (exception faite de la sympathique présentation de ses six musiciens), les guitares aux accents andalous allaient répondre aux percussions maghrébines, où la voix du chanteur allait trouver un écho dans la salle. À preuve, les « laï, laï, laï » enthousiastes qui ont résonné dès que le chanteur a entonné Aux talons de ses souliers et La vie ordinaire. Ou encore les joyeux « Poï Poï Poï » que tous ont repris en choeur chaque fois que l’artiste tendait son micro vers eux.

C’est sans oublier que, dès les premières notes d’accordéon de Paris, tu m’as pris dans tes bras, les gens ont une fois de plus joué aux choristes. C’est d’ailleurs à ce moment précis qu’Enrico Macias est descendu dans la salle, serrant au passage quelques mains d’admiratrices – principalement – qui n’allaient pas laisser passer pareille chance de lui témoigner leur affection.

Les quelque 760 personnes rassemblées à la MCG hier ont pris un évident plaisir à prendre une part active à la fête. Deux dames se sont notamment levées pour se déhancher sur Quand les femmes dansent.

« Fais-moi un bec »

Cela dit, les gens ont également su faire preuve d’un silence des plus respectueux lorsque l’artiste s’est fait troubadour et plus intimiste. Ç’a notamment été le cas lorsqu’il a livré, ému, en s’accompagnant à la guitare, Pour toutes ces raisons je t’aime. Ou encore quand la jeune Néo-Brunswickoise Amélie Hall est venue mêler sa voix à la sienne sur la classique Dis-moi ce qui ne va pas. « Fais-moi un bec », lui a par ailleurs réclamé en rigolant Enrico Macias en adaptant en québécois les paroles de son succès au grand plaisir de la foule.

Il en a été de même quand Enrico Macias a servi comme un cadeau Noël à Jérusalem et qu’il s’est fait chantre de l’exil, reprenant entre autres Adieu mon pays – qui a suscité une vive réaction – titre qu’il a fondu dans Le Voyage, dans un diptyque particulièrement touchant. C’est aussi à la mémoire de « tous les martyrs de la paix » qu’il a repris Un berger vient de tomber.

Si on a pu entendre les limites de la voix du septuagénaire ici et là, cela ne l’a pas empêché de compenser par sa générosité et sa présence sentie sur scène, ainsi que par son agilité à la six-cordes, qu’il a fait chanter sur tous les tons.

Et histoire de conclure sur une note toute personnelle, Enrico Macias a tenu à prouver son amour pour sa terre natale algérienne en rendant hommage à son « papa, qui était un grand violoniste », et en donnant la réplique de sa guitare à l’élève de son père, le violoniste virtuose Kamel Labassi, sur la vibrante Le violon de mon père. C’est toutefois en enfilant les dansantes Le Mendiant de l’amour et L’oriental qu’il a conclu la soirée, soulevant la foule pour une ultime ovation.

Facile n’est ce pas ………………..

Mille excuses pour le retard, un petit contre-temps

Bonne chance


Là, pas d’hésitation pour vous

Il s’agit bien de l’album SUZY sorti en 1993

Points
Claudius 43 pts
Philippe 38 pts
Varta 21 pts
Kataline 20 pts
L’amie fidèle 9 pts
Sandra 2 pts
Denise 2 pts