Le voyage – Le Caire – 26 novembre 2014
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=AKZw0KW8gT0[/youtube]
Anastasia !!!!!!!!!! Thank you
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=AKZw0KW8gT0[/youtube]
Anastasia !!!!!!!!!! Thank you
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=G5UowvQGIk4[/youtube]
Un grand merci Anastasia
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=6lkEESf_OhI[/youtube]
Thank you Anastasia
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=HhAIQ_pYTfY[/youtube]
Anastasia you are our eyes ! Thank you very much
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=P6z8-fxWO_c[/youtube]
Merci Anastasia, du fond du coeur
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=_oopcGtCi5s[/youtube]
Toute notre gratitude à Anastasia
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=n1RiiW7qOvk[/youtube]
Thank you very much Anastasia
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=Qa-Lnf1zpCE[/youtube]
Merci Anastasia
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=No8j9cn9Qq0[/youtube] Merci à notre grande amie Anastasia qui nous offre ces images Anastasia vient à chaque concert depuis La Crête ……….
50 ans de carrière pour celui qui vient de faire chavirer, ce dimanche après-midi le Centre Prévert de Villeparisis. Enrico restera Enrico… dans le coeur des gens.
Enrico Macias a enchanté le dimanche après-midi de bon nombre de fans. Un Centre Jacques Prévert sous le charme et qui visiblement avait des fourmis dans les jambes pour accompagner debout ou en dansant celui qui fêtait ses 50 ans de chansons.
Un beau moment, rythmé à souhait avec les anciens tubes et quelques incursions dans la musique arabo-andalouse fort bien venue. Avec beaucoup de gentillesse, le chanteur s’est appuyé sur le public pour lui donner l’occasion de fredonner des chansons qui ont traversé les époques.
Seule petite faute avec le “”s” persistant mis par le chanteur à chaque prononciation de Villeparisissssss.. Mais vraiment pas très grave Monsieur Maciassssss le public a passé un excellent moment. Un joli moment comme vous nous l’aviez annoncé dans les colonnes de La Marne ce dernier mercredi.
Article paru sur le site www.journallamarne.fr
De retour de Sao Paulo au Brésil et avant de partir demain pour l’Egypte, c’est dans les très belles salles « Ravel » à Levallois-Perret et « Jacques Prévert » à Villeparisis, qu’Enrico Macias avait donné rendez vous ce week end à son public.
Et c’est salle comble qu’il a chanté les deux jours dans une ambiance chauffée au soleil des youyous et de l’amitié.
Imaginez que notre chanteur préféré réussit l’exploit de rassembler dans une même salle des fans venant des 4 coins de la France mais aussi de partout dans le monde. Que ce soit de Hongrie, Crête, USA, Bulgarie, Roumanie, Belgique, Maghreb, et certaines fois même du Japon, ils prennent tous l’avion sans hésitation aucune pour le seul plaisir d’entendre le maître chanter et de partager avec lui ces instants de communion intense et chaleureuse.
Nous vous l’avons souvent décrit dans ces pages
« C’EST LE MIRACLE MACIASIEN »
Et qu’il était doux pour tous ceux qui étaient présents ces deux jours de voir le sourire et le bonheur rayonnants d’Enrico sur la scène.
Qu’il était doux de savourer le son si particulier de son indissociable compagne, sa lampe d’Aladin, sa fidèle guitare qui égrène ses notes cristallines au fil de la course agile et légère des doigts du maître.
Il faut rendre hommage aussi au grand talent de chacun de ses musiciens. Kamel (au violon alto), Thierry (à l’accordéon), Henri (à la basse), Bruno (à la guitare), Hafid et Abdenour (à la mandole et à la guitare), Amar (aux percussions), Serge (à la batterie) accompagnent avec beaucoup de générosité et une grande virtuosité notre chanteur préféré dans tous ses refrains les plus populaires mais sont aussi très attentifs et réactifs à chaque improvisation de l’artiste qui est prompt à s’éloigner des sentiers tous tracés.
Et c’est avec les « Enfants de tous pays », « quand les femmes dansent », que nous avons fait le plus beau de tous les voyages.
De Constantine à Paris, de la valse légère aux accents douloureux du Malouf, nous avons suivi les traces maciasiennes aux talons de ses souliers comme un grand pont de fraternité et de paix entre l’orient et l’occident.
Et comme à chacun de ses concerts, nous avons tous fini au pied de la scène pour danser aux accents du « mendiant de l’amour » et de « l’oriental », pour faire la fête et s’étourdir de ces moments si particuliers dans le cœur de chacun.
Enrico, nous ne saurons jamais vous remercier assez pour ces moments de bonheur qui passent malheureusement toujours trop vite et qu’on voudrait voir se poursuivre à l’infini.
Notre prochain rendez vous sera à l’Olympia sur le boulevard des Capucines les 13 et 14 janvier 2015.
Tous les fans « du premier rang » seront là, comme au long de ces 52 années passées et encore pour les 52 années à venir …………….
Ce n’est pas un scoop en soi. Nous vous avions déjà annoncé cet évènement il y a de nombreux mois
Enrico Macias sera, comme il l’a promis, à l’Olympia
les 13 et 14 janvier 2015
Mais voici la nouvelle affiche que vous pouvez retrouver sur le site de l’Olympia
et ou vous pouvez dès à présent, si vous ne l’avez déjà fait, réserver vos places
http://www.olympiahall.com/variete-francaise-disco/enrico-macias.html
Enrico Macias vient enchanter le centre Prévert de Villeparisis dimanche 23 à 15h30 pour ses 50 ans de carrière. Voir l’interview dans le journal de mercredi.
Vous êtes de ces artistes qui font partie de notre patrimoine. Alors Enrico, entre la Tour Eiffel et l’Arc de Triomphe où vous situez-vous ?
(Rire franc) Oh là, là… c’est vraiment trop d’honneur que vous me faites. Cela me fait plaisir tout de même. Remarquez, 52 ans de carrière c’est un sacré chemin parcouru non ?
La raison de cette longévité ne vient-elle pas de votre sincérité et authenticité ?
Ah, c’est une question qui demande un peu de réflexion… (Silence) Il y a une sincérité vis-à-vis du public, de ma maison de disques, des enregistrements mais … (nouveau temps de réflexion) je n’ai jamais fait de concession vis-à-vis des phénomènes de mode car c’est le meilleur moyen de disparaître avec elle dans le temps. J’ai suivi le chemin que je devais prendre, simplement.
Vous avez chanté « je suis partout où les hommes ont besoin de parler à quelqu’un ». Votre bonheur est-il dans ce simple rapprochement avec les êtres ?
C’est une question philosophique… (sourire) Disons que le silence est le plus grand des mépris, c’est un vrai mur qui empêche de communiquer. Dans notre existence, plus on se parle et moins il y a de problème.
Vous êtes un chanteur à messages. Quel est celui que vous martelez encore aujourd’hui avec force de conviction ?
Le premier message est celui de l’amour, vecteur de l’humanité qui permet de mieux comprendre les autres
avec un souci de tolérance. Je n’ai jamais dévié de cette ligne. L’amour est avant tout la seule issue pour arranger
tous les problèmes. Le terme amour a été galvaudé par ceux qui ont oublié l’essentiel. Pour moi, l’amour est
l’énergie et le moteur de l’humanité.
Vous considérez-vous comme un artisan ou un soldat de la musique ?
Ah non… (silence) C’est vrai, je suis un soldat qui chante.
Le terme artisan, pris dans son sens le plus noble, vous dérange-t-il ?
(Net) Oh que non ! Je suis et demeure un artisan. Vous savez, j’ai un respect contemplatif pour les artisans. Je peux passer des heures à regarder travailler un artisan sur ma guitare. Après, je suis aussi un artisan en assemblant mes chansons. C’est un beau terme et une bien jolie question à deux facettes.
Photo Benjamin Marciano
(Voir suite de l’interview dans le journal du mercredi 19 novembre)
article paru : http://www.journallamarne.fr/2014/11/20/artiste-enrico-macias-dimanche-a-villeparisis/
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=dqNS0SnECg4[/youtube]
Christophe Dechavanne recevait Enrico Macias. Au cours de cette émission Enrico ne va pas être ménagé, devant faire face aux taquineries de Christophe Dechavanne, Patrice Carmouze ainsi que les téléspectateurs lorsque ceux-ci se mettent à titiller le chanteur avec leurs questions. Par la suite, l’écrivain Yann Queffélec débattra de l’intégrité de la désignation du prix Goncourt avec monsieur Faget. Puis place aux mythiques objets de Patrice, où celui-ci commencera tout d’abord à se battre avec une moustiquaire avec de nous parler lunette de toilettes. Enfin, pensant être enfin à l’abri, le pauvre Enrico donnera une fois encore de sa personne lors d’une séquence couscous boulette inoubliable ! Et pour conclure, un trio chantant constitué d’Enrico, Charly, Lulu viendra clore l’émission ! De l’imprévu, du direct, du rire, tout ceci et bien plus encore est à retrouver dans cette émission.
Emission diffusée le 9 novembre 1992.
Merci à Coucou c’est nous
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=ouCuces-fFI[/youtube]
Didier Barbelivien chante une des chansons qu’il a écrite pour Enrico
Merci à Pascal P