Après Soa, vers 21h30, le square André Chénier accueillera ce samedi 31 août le grand Enrico Macias. Est-il nécessaire de le présenter ? Tout le monde connaît Enrico Macias. Mais Enrico Macias en concert à la Feria, c’est une autre dimension. A 85 ans, sa vie demeure sur scène.
Ce sera d’abord une ambiance, une générosité, un amour palpable et réciproque entre lui et le public. Ses chansons rassembleront et s’offriront comme un message d’espoir, d’amour et de tolérance. Durant 1h30, venez chanter ses refrains les plus connus et danser sur ses airs de fête indémodables, et en même temps si personnels.
Après quelques jours d’inquiétude, Enrico Macias vient nous rassurer sur sa santé et nous donner rendez vous dès septembre pour de nouveaux grands moments de fête. Nous lui souhaitons un bon repos, un prompt rétablissement et un très bel été. Rendez vous pour la rentrée est pris. Nous y serons
La tournée israélienne d’Enrico Macias qui devait débuter ce soir à Tel Aviv a malheureusement dû être ajournée pour cause de santé de l’artiste. Les nouvelles dates viennent d’être annoncées à l’instant par la production israélienne. Enrico Macias se produira à Tel Aviv le 5 septembre, à Haifa le 7 septembre et à Beer Sheva le 8 septembre 2024 Les billets achetés restent valables pour ces nouvelles dates
Dans l’attente de cette nouvelle rencontre avec le public israélien, nous souhaitons à Enrico Macias un très bon été et un prompt rétablissement
Les représentations d’Enrico Macias en Israël ont été reportées en raison de son état de santé, a annoncé lundi la production israélienne du chanteur. Nous lui adressons nos meilleurs vœux de prompt rétablissement. De nouvelles dates devraient être communiquées prochainement
Pour celles et ceux qui ont eu la chance de venir applaudir Enrico Macias en concert ces derniers mois, vous avez eu le plaisir de découvrir et acquérir différents produits à la signature de votre idole ainsi qu’un double DVD retraçant les meilleurs moments d’Enrico Macias à la télévision au fil de ses 60 années de carrière (DVD par ailleurs en vente sur toutes les plate-formes spécialisées). Aujourd’hui, pour tous ceux qui n’ont pas eu la possibilité de venir faire la fête avec Enrico, nous avons le plaisir de vous annoncer l’ouverture de son e-store où vous pouvez retrouver et vous procurer tous ces objets. Qu’est ce qui vous fait envie ? Un carnet et un stylo pour copier les paroles de vos chansons préférées, un tee shirt pour afficher fièrement les filles de son pays, un mug pour retrouver tous les matins le soleil du midi ?…………….
Moins de 3 semaines après un Olympia qui nous laisse encore aujourd’hui des étoiles dans les yeux et 4 jours après un concert à New York pour l’ouverture du 26ème Festival du film juif sépharade de NY, c’est à Lyon que nous avons retrouvé Enrico Macias ce jeudi 6 juin à la Bourse du travail.
Il y a longtemps que la ville des gones l’a, elle aussi, pris dans ses bras et il s’y produit régulièrement. Nos pas dans les siens nous ont souvent menés place Guichard et c’est avec un bonheur ne se démentant jamais que nous y étions à nouveau Jeudi.
Les lyonnais ont la réputation d’être froids pourtant ce sont de bons vivants, capitale de la gastronomie oblige. Cette réputation m’a souvent interrogée. Et jeudi soir, les lyonnais présents ont, une fois de plus, fait mentir les méchantes langues.
Bien avant que l’artiste n’entre en scène, ils appelaient déjà Enrico avec grand bruit. Dès l’apparition de la silhouette familière au coin de la scène, ils étaient déjà en ébullition. Et c’est dès la moitié du spectacle pour célébrer « les filles de son pays » que toute la salle s’est levée dans un même élan pour danser et faire la fête. Elle ne s’est plus rassise jusqu’aux dernières notes d’El Porompompero. Durant 1h30 de spectacle, nous avons baigné dans un océan d’amour et de chaleur qui font du bien à l’âme et au cœur et qui a touché l’homme et l’artiste au plus profond de lui-même. Pour s’en persuader, il suffisait de contempler le sourire radieux qui illuminait son visage et son bonheur de pouvoir encore poursuivre son chemin, sa guitare au bout des doigts.
Ce qui est fascinant, malgré les années qui passent, malgré les épreuves et les vents contraires, c’est son infatigable volonté de transmettre son message, de croire encore et encore en des valeurs humaines qui s’éloignent de jour en jour, en un avenir meilleur qui tarde à se réaliser. Malgré 60 années de carrière, il chante toujours avec une émotion et une ferveur intactes, Adieu mon pays et Noel à Jérusalem. On a l’impression que les épreuves, au lieu de l’accabler, lui redonnent l’énergie pour continuer sa mission sur cette terre et donner du bonheur à tous ceux qui passent à portée de son cœur.
Au-delà de sa musique, de ses chansons, de tous les instants de fête que nous passons à ses côtés, sa volonté de continuer à porter son message de Paix et d’amitié aux quatre coins du monde malgré tous les obstacles est admirable et très touchante.
Pour toutes ces raisons, nous l’aimons et nous lui disons merci.
Merci aussi aux techniciens et musiciens qui l’accompagnent fidèlement sur toutes les scènes du monde.
Merci à Backstage Event et Damien Nougarede pour son soutien sans faille
Et merci aussi à Noa R. que nous avons retrouvée avec grand plaisir en première partie du spectacle.
Liste des chansons
Il reste aujourd’hui Oranges amères Aux talons de ses souliers Adieu mon pays Oh guitare guitare La France de mon enfance Paris, tu m’as pris dans tes bras Les gens du nord Juif espagnol Noel à Jerusalem Al Kol Ele Chanter Suzy Une fille à marier Les filles de mon pays Solenzara Le violon de mon père Medley oriental Ya Rayah Le mendiant de l’amour L’oriental El porompompero
Après 2 concerts à guichets fermés à l’Olympia, soit 4.000 personnes venues des quatre coins du monde pour écouter le maestro qui était accompagné d’un orchestre composé de 19 musiciens et 3 choristes dans un décor somptueux pensé par une véritable artiste, la sobriété du concert intimiste qui s’est tenu hier soir à Saint-Grégoire avec 5 musiciens devant une salle quasi pleine de 850 purs bretons, offrait un contraste frappant ; le faste de l’un face à la simplicité de l’autre. Ce que j’en retiens, c’est que l’homme qui est sur scène se donne avec autant d’amour, de joie et d’énergie à l’un comme à l’autre.
Le public breton ne s’y est pas trompé, il était donc là au rendez-vous fixé. Tout aussi chaleureux que les Gens du Nord ou ceux poussés par le Vent du Sud, il a accueilli Enrico sans pudeur et avec une passion débordante de 60 ans d’un amour partagé.
Comme partout ailleurs, mais curieusement ou pas… on s’y attend moins d’un public élevé au son du biniou ; celui-ci s’est levé pour faire la fête et danser dès les premières notes de « ya rayah » pour ne plus quitter le devant de la scène jusqu’aux dernières notes de « El porompompero ».
Avant cela, il avait bien sûr repris en chœur les standards du répertoire d’Enrico d’« aux talons de ses souliers » au « violon de mon père », 2 chansons nostalgiques d’un temps révolu mais toujours présent dans nos âmes, en passant par « oh guitare », « les filles de mon pays », « juif espagnol », « Noël à Jérusalem » et tant d’autres, pour finir par faire la fête à l’oriental qui nous est si cher. Nos amis bretons, au cœur tendre comme le bon beurre de là-bas, ont accompagné Enrico tout au long de son tour de chant.
Vous allez dire que je radote ou que je mens, mais une fois de plus le ciel mitigé, indécis, que j’ai trouvé en arrivant à Rennes est définitivement passé au beau à la sortie du concert et est encore présent ce matin. La magie maciasienne a encore frappé.
Une fois de plus, je me dois de remercier les techniciens de l’ombre sans qui rien ne serait possible. Merci aux musiciens présents et passés qui, même s’ils ne sont plus sur scène, suivent et aiment le boss. Un merci particulier à Karim qui ne manque aucune de nos publications et commente celles-ci avec tout l’amour qu’il porte à un homme qui l’a accompagné, comme nous tous, depuis sa plus tendre enfance.
Merci à toute l’équipe de Backstage Évent, dont Greg, Daniel et Véronique, la magicienne de la scène.
Merci à Jean-Claude et à Damien qui, avec tout l’amour qu’ils portent à Enrico, programment et organisent ces rendez-vous. Quoi de plus normal pour un fils envers son père me direz-vous. C’est vrai, encore que tous ne sont pas aussi dévoués. Dans la vie on ne peut donner que ce que l’on reçoit (dixit Enrico lors d’une émission qui est chère à mon cœur), et cette présence, cette attention de chaque instant, ne peuvent avoir vues le jour que grâce à ce que lui-même a reçu.
Quant à la foi et la fidélité de Damien, elles n’ont d’égales que son amour pour l’homme et l’artiste.
Pour finir, MERCI à Enrico d’être l’homme que vous êtes. De ne jamais dévier de vos principes et de vos croyances.
Alors, grâce à eux tous, retrouvons-nous nombreux à Lyon où nous débarquerons le 6 juin, parallèlement aux commémorations du 80ème anniversaire d’un autre débarquement sans lequel nous ne serions peut-être, certainement, pas là pour que la fête continue malgré tous les obstacles sur la voie de l’amour, du partage et du respect mutuel.
Nathan Foeller-Claudel, petit neveu de Jean Claudric, était présent dans la salle de l’Olympia dimanche 19 mai 2024 pour applaudir Enrico Macias et faire la fête avec nous tous. Venant tout juste de fêter ses 17 ans, c’est une autre génération qui vous parle avec son coeur de l’artiste et de son répertoire Merci Nathan
Comme toutes ses rentrées parisiennes, ces deux concerts d’Enrico Macias étaient extrêmement attendus. Soixante ans après son premier Olympia, son vingt-huitième passage au Temple du music-hall s’est constitué de deux dates : les 18 et 19 mai 2024, et la salle a affiché complet. Comme Enrico a tenu à le rappeler, c’est sur cette même scène qu’il a chanté pour la première fois « Paris, tu m’as pris dans tes bras » le 19 mars 1964.
Le récital revêt un caractère exceptionnel à plusieurs égards. Le programme a été modifié et enrichi par rapport à la tournée en province et les chansons du tour de chant ont pris une toute autre dimension grâce à l’ensemble de dix-neuf musiciens et aux trois choristes. Rappelons au passage que la musique est une histoire de famille puisque Julia Ghrenassia, la gracieuse petite-fille d’Enrico, a apporté son concours au chœur.
On doit les arrangements musicaux et les orchestrations particulièrement opulentes à Jean-Claude Ghrenassia, Lionel Teboul – également chef d’orchestre – et Bruno Bongarçon. Tout comme la sobriété élégante des jeux de lumières et de la scénographie, cette richesse musicale a participé à la magie du spectacle. Mais soulignons – comme Enrico l’a fait lui-même sur scène – que les trois arrangeurs se sont inspirés du travail de Jean Claudric, qui restera à jamais leur Maître en la matière.
Fidèle, le chanteur a rendu hommage dès le début à ceux qui ont participé à l’écriture de son répertoire : outre son ami de toujours Jean Claudric – cité à trois reprises -, il n’a pas oublié son parolier le plus prolifique hélas disparu Jacques Demarny, mais aussi Didier Barbelivien, Michel Jourdan, Claude Morgan, Marc Estève et Frédéric Zeitoun.
Comme à l’occasion des quatre-vingt-cinq ans d’Enrico au Déjazet le 11 décembre dernier, ce spectacle en deux parties a été entièrement illustré par Joann Sfar, célèbre auteur de bandes-dessinées très présent dans les medias actuellement et dont nous devons reconnaître la grande lucidité. Sfar a dessiné en direct, ses œuvres étant projetées sur un écran. Même s’il avait prévu les grandes lignes de ce qu’il devait faire pour chaque chanson, il a réservé aussi une place à l’improvisation.
Autre grand moment de la soirée, Enrico a invité Noa R. pour interpréter en duo « Tous les soleils de l’amitié », titre qui a littéralement sauvé la vie de la jeune chanteuse à la voix cristalline. Car oui, Enrico est de ceux qui aident à vivre,
il redonne de la saveur à nos jours quand il nous arrive parfois de la perdre, il est un moteur qui aide à avancer dans l’existence et à en supporter les épreuves.
La chanson d’entrée était « L’instituteur », – choix d’autant plus appréciable qu’il ne l’avait pas chantée depuis sa création en 1981, – dont il a interprété une bonne partie alors que le rideau rouge était encore baissé… Dès qu’il est apparu, – en grande forme et vêtu d’un costume bleu marine -, tel un prophète qui vient nous dire la Vérité, nous étions tous au bord des larmes car Enrico est seul capable de nous procurer à chaque fois ces mêmes émotions uniques, dont l’intensité relève de l’indicible. Plus que jamais, son maître-mot fut l’espoir, qu’il a presque adopté comme une seconde religion. Mais point besoin de prise de parole à portée politique avec Enrico, puisqu’il dit tout dans ses chansons !
Pendant plus de deux heures, ce fut évidemment la fête orientale dans ce lieu mythique ! Grâce à certains dans le public, il y eut même une envolée de ballons rouges à l’effigie d’Enrico !
Même si « on n’a pas le droit de sacrifier le présent au passé », beaucoup sont déjà nostalgiques, deux jours après le spectacle. Mais heureusement, la fête continue et pour longtemps, c’est certain !
Fabuleux, époustouflant, voici les adjectifs qui peuvent qualifier les deux concerts qui nous ont fait vibrer ce Week-end.
Enrico Macias se produisait boulevard des Capucines pour son 28ème Olympia en 62 années de carrière et il a rappelé durant son récital qu’il y a 60 ans, lors de son 1er Olympia en mars 1964, il chantait pour la 1ère fois, dans cette même salle, « Paris tu m’as pris dans tes bras ».
Peu d’artistes peuvent se vanter d’un tel parcours et le petit Gaston de Constantine peut en être fier.
Fabuleux, Enrico l’a été tout au long de ces deux concerts. Toujours aussi élégant dans un costume de scène bleu marine et chemise blanche, affichant une forme olympienne, il a rappelé avec maestria, par le seul pouvoir de sa musique et de ses chansons, qu’il était toujours le même, l’homme de paix rassemblant toutes les communautés pour partager l’espoir de jours meilleurs et des moments de fête si importants pour tous.
Fabuleux, l’orchestration et les arrangements de Jean Claude Ghrenassia, le propre fils d’Enrico, accompagné dans ce travail par Lionel Teboul et Bruno Bongarçon. Il a fait un travail remarquable et coordonné l’ensemble avec beaucoup de talent. Un grand musicien dans la lignée familiale.
Fabuleux l’a été aussi le public. Il est toujours là pour son chanteur préféré mais, dans le contexte si particulier de ces derniers mois, il a fait vibrer les murs de l’Olympia par la force de son amour et de son soutien pour l’homme et l’artiste. Cette ovation montant dès l’ouverture du rideau rouge fait chaud au cœur et vous fait courir des frissons tout au long de la colonne vertébrale.
Fabuleux a été l’orchestre composé de 19 musiciens auxquels se sont jointes 3 choristes. Toutes et tous des musiciens exceptionnels, ils ont réuni leurs talents pour une interprétation magique des plus grands succès d’Enrico.
Parmi ces succès et les incontournables titres de l’artiste, il faut souligner l’introduction notable pour ces deux soirées de « L’instituteur », « Quand on a un frère », « Noel à Jérusalem », « Suzy », « la folle espérance » que l’on n’avait pas entendus en live pour certains titres depuis leur création.
Il faut noter aussi la très belle prestation de Noa R. que nous ne vous présentons plus, qui a interprété « Tous les soleils de l’amitié » avec le Maître. Si vous avez suivi son histoire, vous connaissez l’importance de cette chanson pour elle.
Et bien sûr, il ne faut pas oublier d’associer au spectacle le talentueux dessinateur Joann Sfar qui a illustré, en live, chacune des chansons. Un travail de haute volée dont il a relevé le défi avec beaucoup de brio et aussi d’humour. Dommage que le grand écran sur lequel était projeté sa planche de dessinateur soit placé trop haut au-dessus de la scène pour permettre aux premiers rangs d’apprécier son grand art. J’aurais ben vu le pinceau du dessinateur en tableau de fond de scène …. Espérons que nous aurons un jour le bonheur de voir ces dessins édités sur papier. Vous pouvez en retrouver quelques-uns sur ses réseaux sociaux
En conclusion, c’est une ambiance de folie qui a secoué l’Olympia et parmi les 2000 personnes présentes dans la salle à chaque séance, pas une n’a fini le concert assise. Toutes étaient debout, au parterre comme au balcon, pour chanter et danser en communion avec Enrico. Ce sont des moments uniques de partage et de joie qui vous redonnent l’énergie pour continuer votre chemin.
Pour ces moments inoubliables, nous devons donc remercier du fond du cœur Damien Nougarède et Backstage Event pour cette organisation de main de maître. Un grand bravo à Jean Claude Ghrenassia et chacun des musiciens et techniciens pour leur talent et leur professionnalisme mis au service de l’artiste.
ET BRAVO ET MERCI ENRICO
Vous êtes irremplaçable et nous attendons avec impatience la prochaine fête
Les musiciens
Direction musicale / basse : Jean-Claude Ghrenassia Chef d’orchestre musique arabo-andalouse / violon et flûte : Kamel Labbaci Chef d’orchestre / piano /arrangements musicaux : Lionel Teboul Arrangements musicaux / guitare : Bruno Bongarçon Guitare : Philippe Hervouët Percussions : Amar Mohali Batterie / percussions : Serge Haouzi Batterie : patrick Goraguer Clavier : Nicolas Lienard Saxophone : Florence Kraus Trompette : Julie Varlet Trombone : Gabrielle Rachel Violon : Nadine Colon, Emelyne Chirol, Cécile Bourcier, Sabine Dupret, Florence Veniant Alto : Christelle Guigner Violoncelle : Isabelle Sajot Choristes : Julia Ghrenassia, Ounsa Mebarkia, Lisbet Guldbeck-Bongarçon
La liste des chansons
1ère partie
L’instituteur Il reste aujourd’hui Oranges amères Aux talons de ses souliers Adieu mon pays Oh guitare guitare La France de mon enfance Toi, Paris, tu m’as pris dans tes bras Les gens du nord Quand on a un frère Noël à Jerusalem Tous les soleils de l’amitié (duo avec Noa R.) Suzy Chanter
2ème partie
La folle espérance Le vent du sud Al Kol Ele Juif espagnol Une fille à marier Les filles de mon pays Le violon de mon père Medley oriental Billah ya hamami Bine el barakh ouel youm Ya raya Le mendiant de l’amour L’oriental Porompompero
Le rideau rouge s’étant à peine refermé, Enrico Macias est heureux de vous annoncer qu’il se produira AU DOME DE PARIS LE 15 MARS 2025
Vous pouvez dès à présent réserver votre place sur ticketmaster. Ne tardez pas, les premiers rangs se sont déjà remplis.
Nous vous l’avions annoncé, et IL EST DESORMAIS EN VENTE 80 des plus grands succès d’Enrico Macias, Retrouvez pour la première fois en DVD les meilleurs moments d’ENRICO MACIAS à la télévision, des années 60 à nos jours. Un DOUBLE DVD retraçant le parcours unique d’un chanteur populaire aux succès internationaux, qui n’a eu de cesse de chanter pour la paix des peuples, comme une célébration de la culture. Au fil de ses chansons, telles des rencontres émouvantes, vous retrouverez des duos cultes avec Annie Cordy, Mireille Mathieu, Dalida, ou encore Charles Aznavour, Claude François, Georges Moustaki et plus récemment Amir. A l’occasion de ses 60 ans de carrière, Enrico nous offre ce beau cadeau, parce qu’avec lui, la Fête continue ! extraits des émissions les plus mytiques de la télévision. (Age tendre et tête de bois, Top à, Numero 1, Champs Elysées, etc …….) Vous pouvez le commander dès à présent sur le site de la FNAC