article et photos de notre envoyée spéciale Muriel Meimoun

Narbonne fêtait sa plage hier soir, et lorsqu’on veut faire la fête et rendre heureux un public de 7 à 77 ans, il n’y en a qu’un que vous devez inviter.
Les organisateurs l’ont bien compris. C’est pour ça qu’en ouverture de la saison estivale, c’est notre chanteur préféré qui a été convié à venir enchanter les cœurs des plus petits aux plus grands.
Le concert devait commencer à 21h30 mais à 19h déjà une cinquantaine de personnes étaient présentes, armées de leurs chaises pliantes et de leur amour, pour être devant et bien installées. Puis la foule a commencé à arriver et au début du concert, l’esplanade était bondée.
La première partie, n’hésitons pas à le dire, annonçait la suite du spectacle. Ce sont 2 frères s’appelant très justement les « latinos lover » qui ont eu la joie de chauffer la salle pour notre latino-judéo-arabo… enfin vous l’aurez compris… pour notre méditerranéen bien aimé qui leur succéda sur scène pour interpréter la poésie de cette mer qui se tenait à moins de 100 mètres de nous.
Puis Enrico a dit regretter ne pas être venu depuis longtemps à Narbonne et avoir concocté un splendide spectacle pour son public. Et il a tenu sa promesse. Enchaînant ses plus grands succès intemporels tels que « oh guitare », « Paris », « les filles de mon pays », « aux talons de ses souliers », « les gens du Nord », « adieu mon pays », « le mendiant » et parsemant ici ou là des titres tout aussi grands mais plus récents, tels que « la vie populaire », « à la grâce de Dieu », « oranges amères », c’est en apothéose que l’oriental a conclu sur ce titre quasi éponyme, accouplé à Porompompero. Nul doute qu’il aura apporté, tant aux vacanciers qu’aux locaux, beaucoup de bonheur et de chaleur humaine pour démarrer l’été en beauté. Et les vivats qui l’ont accompagné lors de son départ du site étaient à la hauteur de l’amour du public, toujours présent après 57 ans de carrière et bien sûr à la hauteur de son talent.
Merci au public, merci aux musiciens en formation réduite mais digne d’un orchestre philharmonique : Jean-Claude, Lionel, Kamel, Abdenour et Stéphane. Merci aux techniciens : Jean-Pierre et Jeff. Merci à Sud Concerts représenté hier par René et à la ville de Narbonne-Plage pour nous avoir offert ce magnifique concert qui était un moment magique.
Et bien sûr, merci à Enrico, d’être qui il est, de toujours donner son maximum et plus encore pour que le public reparte avec des étoiles dans les yeux, du soleil dans le cœur et le pas léger, porté par le bonheur d’une heure trente d’insouciance.
Nous vous donnons rendez-vous en septembre pour de nouvelles aventures maciasiennes.

A la suite d’une grosse opération de maintenance de notre hébergeur, nous avions perdu tout contact opérationnel avec l’Oriental depuis 10 jours.
Après quelques journées d’angoisse et de labeurs, il est de nouveau actif.
Toutes nos excuses pour ce désagrément tout à fait indépendant de notre volonté.
N’hésitez pas à nous signaler tout dysfonctionnement.
Bon été à toutes et tous

En février dernier, Enrico Macias nous avait convié boulevard des Capucines pour faire une grande fête a l’occasion de ses 80 printemps. Devant le succès de ces deux soirées d’exception (cf nos 2 articles « sublissime Enrico » et « 80 printemps et 57 années entre l’orient et l’occident« ) qui s’étaient tenues à guichet ferme, Enrico nous avait annoncé dès le 1 er soir qu’il nous proposait deux rendez-vous supplémentaires, les 18 et 19 juin, dans ce même Olympia.

Quelle merveilleuse annonce pour tous ceux qui avaient dû se contenter de regarder les lettres de feu au fronton de la mythique salle parisienne ! Mais aussi pour les inconditionnels qui ne rateraient pour rien au monde un tel moment.

Nous n’avons donc pas fait exception et nous étions au premier rang mardi et mercredi soir pour vous ramener des images.

Pour cette deuxième édition, le programme était à peu près le même qu’en février avec, à la marge, quelques petites modifications dans la liste des chansons. Je vous renvoie aux articles de février pour une description plus précise.

En ce qui concerne les invités, nous avons eu l’immense plaisir de retrouver David Hababou, Hafid Djemai ainsi que Meriem Beldi et Syrine Ben Moussa, qui forment avec Enrico, chacun dans leur répertoire et avec leur personnalité, quatre duos d’exception et apportent leur talent comme quatre valeurs ajoutées indéniables au spectacle.

Syrine Ben Moussa Enrico Macias et Meriem Beldi

Mais ce sur quoi nous voulons mettre l’accent pour cette deuxième édition de cet Olympia 2019, c’est sur le don du ciel, le talent incroyable d’Enrico Macias pour créer une ambiance qui n’appartient qu’à lui.
Après 57 ans de carrière, 26 Olympias et un nombre incalculable de concerts en France et à travers le monde, Enrico sait toujours, à l’instant même où il entre sur la scène, créer ce lien particulier avec chacune des personnes présentes dans la salle. Et cette ambiance de fête laissant penser à chacun qu’il fait partie de sa famille, a encore une fois mis le feu durant ces deux soirées. Dès les premières chansons, le public était debout pour danser et faire une ovation au chanteur.

Le spectacle est alors autant sur la scène que dans la salle. Il est important de souligner qu’Enrico réunit dans ses salles toutes les nationalités et toutes les religions qui communient dans la même ferveur et la même joie. Ce n’est pas un mythe. C’est une réalité qui se répète à chaque concert. Et ce qui est extraordinaire, c’est que ce public est capable de faire des milliers de kilomètres et d’affronter toutes les fatigues pour répondre présent. En provenance des USA, du Japon, du Maghreb, du proche orient, de Turquie, mais aussi de toute l’Europe (Hongrie, Bulgarie, Crête, Belgique, …) et bien sûr des 4 coins de France, ils sont tous côté à côte pour frapper des mains, chanter, danser et lancer les youyous de joie. Et tous ressentent le même kiff et la même communion avec le chanteur.

Qu’est ce qui crée cet attachement du public pour cet artiste unique ? Sans doute sa sincérité, sa simplicité, son authenticité, son humanité et son goût de donner du bonheur aux autres, auxquels s’ajoutent une voix chaude unique et un talent de musicien hors pair.
Et à 80 ans, porté par tout cet amour de son public, il lui donne tout le meilleur de lui-même tout au long des 2h30 de spectacle. .

A ce succès, nous devons bien évidemment associer Jean Claude, son fils, qui a fait les arrangements du spectacle avec Lionel Teboul et ses musiciens, tous de très grands virtuoses.

BRAVO ENRICO ! Merci pour ces moments dont chacun gardera la chaleur et le bonheur longtemps dans son chœur. C’était magique !
Merci Jean Claude Ghrenassia]  et Lionel Teboul pour la conception de ce magnifique spectacle
Merci à tous les musiciens sans qui la fête ne serait pas complète
Merci à Sud Concerts et à Laurent Abitbol

Nous avons passé de merveilleux moments grâce à vous et nous attendons déjà avec impatience les prochains.

Enrico, que ça dure jusqu’à 120 ans


 

Nous vous avons déjà dit combien Enrico Macias était célèbre en Turquie et qu’environ 80 de ses titres avaient été repris par des artistes turcs
Voici une belle reprise de « S’il fallait tout donner » par Kamuran Akkor (1968)
Sanatçı : Kamuran Akkor Söz :
Sezen Cumhur Önal
Müzik: Enrico Macias
Aranje : Turgut Dalar
Orkestra : Vasfi Uçaroğlu
Kayıt : 45 lik Plak ( Sahibinin Sesi Plakçılık)
A1 : Aşk Eski Bir Yalan
B1 : Kokladığım İlk Ve Son Çiçeksin Eserin
Orjinali : ENRİCO MACİAS..S’il Fallait Tout Donner

© Photos Didier Debusshere

Patsy Gallant, Michèle Richard et compagnie ont fait vibrer le Centre Vidéotron

Gérard Lenorman, Enrico Macias, Claude Barzotti, Michèle Richard, Claude Valade, Gilles Girard et Patsy Gallant ont connu leurs heures de gloire durant les années 60. Ils ont encore l’énergie et la fougue des beaux jours et ils l’ont démontré, samedi, au Centre Vidéotron.

Le spectacle La Tournée des idoles était de retour après cinq années d’absence, avec deux représentations, une première à 13 h 30 et une autre qui a suivi en soirée.

Une foule tournant autour de 8000 spectateurs était présente en début d’après-midi, par cette belle journée du mois de mai.

Une cinquantaine d’autocars, provenant de partout au Québec, étaient garés dans le stationnement de l’amphithéâtre. Des gens de Val-d’Or et de Havre-Saint-Pierre ont fait dix heures de route pour assister au spectacle.

Michel Stax a lancé le spectacle avec Je suis un gigolo et Oh! ma Lili. Le chanteur effectue quelques steppettes et tourne sur lui-même. Le plaisir est là.

La chanteuse française Sheila, pour qui c’était la première visite en Amérique du Nord, a suivi avec L’École est finie, Bang Bang (une reprise de Cher) et Les rois mages.

« Vous savez, au bout de 57 ans, me voilà. C’est la première et pas la dernière », a lancé la chanteuse de 73 ans, résumant bien l’esprit de longévité entourant les idoles.

Le « rital » Claude Barzotti et Enrico Macias ont bien fait lors de leur tour de chant respectif.

Atmosphère de fête avec Plastic

Enrico Macias a même fait durer le plaisir. Il s’est mis à fredonner Dis-moi ce qui ne va pas, qu’il venait de chanter. Il a même improvisé de nouvelles paroles au moment où les animateurs Mario Lirette et Brigitte M étaient sur le point d’annoncer l’entracte. « Moi, je trouve que ça va très bien lorsque je vous entends chanter comme ça », a-t-il chanté.

Plastic Bertrand, le petit jeune, avec ses 65 printemps, a mis en place une atmosphère de fête avec les Stop ou encore, Téléphone à téléphone mon bijou et Ça plane pour moi.

Superbe idée de réunir, lors de la deuxième partie du spectacle, des musiciens des Sultans, Hou-Lops, Aristocrates, César et les Romains et des Jaguars pour interpréter les succès des Classels, Lutins, Bel Canto, Bel Air, et des Gendarmes.

La reine Patsy

Donald Seward, claviériste de César et les Romains, portait la tunique d’époque, et le très aimé et sympathique Gilles Girard, tout de blanc vêtu, a été ovationné à deux occasions. Très en voix, Patsy Gallant a livré, sans un seul soupçon de doute, du haut de ses 70 ans, la performance vocale du jour avec Besoin d’amour, Sugar Daddy et l’Hymne à l’amour, en hommage à Édith Piaf. On ne l’a pas ovationnée pour rien. Quelle grande voix !

Avec La Ballade des gens heureux pour mettre un terme au spectacle, on se serait attendu à une finale grandiose qui n’a pas eu lieu. Est-ce cette version plus rythmée et différente offerte par Gérard Lenorman qui a un peu surpris les gens ? Est-ce ces trois heures et demie de spectacle, incluant un entracte et un tirage peut-être pas nécessaire qui ont amené une baisse d’énergie ? La communion ne s’est pas produite.

Ils n’ont plus tous leur voix d’antan, mais les « idoles » portent toujours le flambeau avec plaisir et passion. Ce sont des vrais.

Article paru sur le site : Le journal du Québec

Quelques mois après le tournage, la sortie de cette nouvelle série sur Netflix est annoncée le 28 juin 2019.
Vous pourrez, outre Gérard Darmon et Jonathan Cohen, y retrouver Enrico Macias dans son propre rôle dans un cadre que vous connaissez bien puisque c’est celui de « la Boule rouge » à Paris.
Ne manquez pas le rendez vous

Joseph, 35 ans, fourmille d’idées de business… même s’il bosse toujours malgré lui dans la boucherie casher de son père Gérard. Lorsqu’il apprend de source « sûre » que le cannabis va être légalisé, c’est la révélation. Son idée de génie : transformer, à l’aide de sa famille et de ses potes, la boucherie familiale en « Beucherie » FAMILY BUSINESS Bande Annonce (Série, 2019) Gérard Darmon, Jonathan Cohen, Comédie Netflix Date de sortie : © 2019 –

https://www.youtube.com/watch?v=jDsVwtQQZbM

Hier soir, Enrico Macias était l’un des invités de l’émission « Les coups de cœur d’Alain Morisod » sur la chaine RTS1
Outre « Les gens du nord », il a interprété « Adieu mon pays » dans un très beau duo avec Kendji Girac

Les coups de cœur d’Alain Morisod – RTS 1 – samedi 11 mai 2019

06-07-19 : AUDE – NARBONNE – Le samedi 6 juillet, Enrico Macias à l’honneur du premier festival Narbonne fête sa plage

Souhaitant instaurer un nouveau rendez-vous festif et familial pour retrouver les plaisirs de la plage et célébrer le lancement de la saison estivale dans sa station littorale, la Ville de Narbonne organise la première édition du festival « Narbonne fête sa plage », le samedi 6 juillet, de 10 h à 23h, à Narbonne- Plage.

De nombreuses animations y seront proposées: jeux pour les enfants, carnaval, fête du port, initiations à de nombreuses activités (danse country, kitesurf, pêche…), concours de château de sable, marché, etc. En point d’orgue, à 21h30, un grand concert gratuit du célèbre chanteur Enrico Macias sera organisé sur les Terrasses de la Mer.

Monument de la variété française, ce natif de Constantine, en Algérie, fête cette année ses 57 ans de carrière. Invité par « Al Orchestra », un collectif de musiciens franco-algériens, il revisitera avec eux ses grandes chansons connues ou moins connues.

Avec cet événement, la Ville de Narbonne, dont Evelyne Rapinat est l’Adjointe au Maire déléguée aux animations et Alain Vico l’élu référent à Narbonne-Plage, souhaite marquer le début de l’été. L’objectif est ainsi de proposer un rendez-vous familial, pour tous les Narbonnais et visiteurs de tous les âges, qui mobilise et valorise les activités proposées par les habitants de sa station littorale.

Le programme complet de « Narbonne fête sa plage » sera dévoilé prochainement.


Enrico Macias (photo DR/Benjamin Marciano)

Pour sa dernière soirée,  la Fascinante Foire du Dauphiné reçoit un chanteur incontournable dans le paysage français  : Enrico Macias

C’est en Algérie que naît Enrico le 11 décembre 1938 à Constantine dans une famille de musiciens. Dès l’âge de 14 ans, il reçoit l’enseignement musical de son futur beau-père, Cheikh Raymond Leyris. Attiré par la chanson française, il gagne à la fin des années 1950 des « radio- crochets » en interprétant alors les tubes de Charles Aznavour ou Dalida.

Arrivé en France en 1962, il est révélé au grand public par l’émission « 5 colonnes à la une » interprétant un vibrant « Adieu mon pays ». Cette chanson devient une sorte d’hymne de l’exil.
La notoriété de l’artiste devient de plus en plus grande. Les succès s’enchainent : « Oh guitare« , « Enfants de tous pays« , « Les filles de mon pays« , « Toi Paris tu m’as pris dans tes bras » etc… La chanson française prend avec lui des accents méditerranéens
Les années 1970 confirmeront son statut de vedette nationale ou internationale avec de grandes chansons comme « Aux talons de ses souliers« , « Malheur à celui qui blesse un enfant« , « Oumparere« .
Les années 1980 seront aussi marquées par de grands succès : « Ouvre-moi la porte« , « La France de mon enfance » et le « Mendiant de l’amour » avec des rentrées parisiennes à l’Olympia de grande tenue (1980, 1982, 1985, 1989).

Il fête cette année ses 80 ans et ses 57 ans de carrière. Invité par « Al orchestra », un collectif de musiciens franco-algériens, il revisite avec eux dans un premier volume ses grandes chansons connues ou moins connues. 

http://enricomacias.net

Enrico Macias sur la scène de la Foire
le samedi 5 octobre- 20h

Voici quelques mois que nous vous parlons de Lionel Teboul. Certains l’ont peut être découvert à cette occasion.

Mais pour tous ceux qui suivent Enrico Macias depuis ses débuts, Lionel Teboul, vous le connaissez depuis de très nombreuses années.

Souvenez vous de l’école des fans de Jacques Martin avec pour invité Enrico Macias le 22 mai 1977. Un petit bout de chou de 5 ans est venu chanter Solenzara en s’accompagnant à la guitare.


Ce même petit garçon, nous l’avons retrouvé quelques années plus tard sur la scène de l’Olympia en mars 1985, toujours aux côtés d’Enrico. Comme un reflet du petit Macias de Constantine, il a interprété en duo avec l’artiste, toujours en s’accompagnant à la guitare, « Quand j’étais tout petit » (aussi appelée « l’amour existe »).

34 ans plus tard, nous l’avons retrouvé, sur cette même scène de l’Olympia, mais cette fois ci au clavier et comme chef d’orchestre et co-arrangeur avec Jean claude Ghrenassia du spectacle d’Enrico.

Il a eu la gentillesse de bien vouloir répondre à nos questions

Avez-vous des souvenirs de votre passage à l’école des fans d’Enrico Macias en mai 1977 ?
Vous aviez alors 5 ans.

Oui j’avais 5 ans et je m’en souviens comme si c’était hier. Je me rappelle même que la veille de l’émission, nous avons fait la répétition.

Étaient ce vos parents qui avaient fait le choix d’Enrico Macias ?

Oui ce sont mes parents qui ont fait ce choix. Ils écoutaient Enrico Macias et ils s’étaient rendu compte que mon oreille était attirée par ses chansons.

Vous aviez déjà une maîtrise impressionnante de la guitare. Qui vous a appris à jouer ?

Mon Père jouait quelques accords de guitare en tant qu’amateur. Il m’a transmis ces accords ainsi que les chansons d’Enrico Macias.

A 5 ans , je savais chanter quinze chansons d’Enrico Macias en m’accompagnant à la guitare.

En 1985, vous retrouvez Enrico sur la scène de l’Olympia pour un inoubliable duo sur « l’amour existe » (« Quand j’étais petit »).  Enrico avait il écrit cette chanson pour vous deux ?

Lionel Teboul et Enrico Macias – Olympia mars 1985

Oui, cette chanson avait été écrite pour nous deux.

Durant ce même Olympia, vous aviez également interprété avec lui « Ouvre moi la porte », « Malheur à celui qui blesse un enfant » et « Deux ailes et trois plumes » avec Astrid.
C’était un rêve tout éveillé qui se déroulait pour vous.
Vous n’avez pas essayé de poursuivre une carrière de chanteur par la suite ?

Oui, c’était vraiment un grand rêve accompagné d’un Énorme Bonheur !

Après avoir mué à l’âge de 13 ans, j’ai voulu suivre une carrière de chanteur. J’ai eu un producteur avec qui j’ai enregistré quelques chansons. Les maisons de disques étaient très intéressées, mais il n’y a pas eu de suite. Je me suis donc dirigé vers la Composition et les Arrangements.

Depuis qu’ êtes-vous devenu ?

Après l’Olympia, j’ai continué à apprendre le piano que j’avais commencé en parallèle de la guitare à l’âge de 10 ans ainsi que la composition  et l’arrangement.

J’ai aussi appris le métier d’ingénieur du son de studio et j’ai commencé à faire des arrangements pour des artistes tels que Jonathan BERBUDES , Bernard MENEZ, ainsi que d’autres artistes. A 17 ans, et durant trois années, j’ai été le Pianiste de John William (Chanteur Négro Spiritual ).

A 22 ans, j’ai monté mon propre studio d’enregistrement et j’ai réalisé les arrangements des 2 premiers albums du Groupe ALABINA, mais aussi de nombreux autres artistes : Françis Lalanne, KAOMA, Gloria Gaynor, etc….

Aujourd’hui, on vous retrouve avec grand plaisir comme chef d’orchestre d’Enrico et co arrangeur avec son fils Jean Claude, du spectacle de l’Olympia et de l’album de reprises qui vient de sortir.
Comment se sont faites les retrouvailles ?

Oui, c’est un énorme bonheur pour moi d’être le chef d’Enrico Macias et de me retrouver à ses côtés après 35 ans.

Avec Jean Claude, nous nous sommes retrouvés lors d’une soirée privée il y a trois ans et depuis nous collaborons beaucoup ensemble.

Quels ont été vos intentions dans cette préparation de l’Olympia ?

La réussite du spectacle.

Avez-vous d’autres projets avec Enrico ?

Secret 🙂

Vous pouvez retrouver Lionel alias Ronny Gold sur son site

Merci infiniment à Lionel Teboul d’avoir accepté avec beaucoup de gentillesse de répondre à nos questions
Très prochainement, nous vous proposerons sur notre site une nouvelle page qui lui sera consacrée.
A suivre