Le chanteur Enrico Macias a réagi après la mort de Charles Aznavour dans la nuit de dimanche à lundi à l’âge de 94 ans.
« Pour moi, il est immortel. »

« Ça me fait une peine énorme, j’ai le cœur serré, j’ai envie de pleurer, je ne sais plus quoi faire », a déclaré lundi 1er octobre sur franceinfo Enrico Macias, après la mort de Charles Aznavour dans la nuit de dimanche à lundi à l’âge de 94 ans. « Pour moi, il est immortel. »

« Il nous avait tellement habitués à être présent. Il a continué à chanter à son âge, je l’ai vu dernièrement au Palais des sports ». Lors de ce dernier spectacle « je l’avais trouvé fantastique. J’ai trouvé qu’il était encore mieux qu’avant. Je lui ai dit, c’est fabuleux », a témoigné Enrico Macias.

Enrico Macias et Charles Aznavour se connaissaient bien. « Il était vraiment mon maître. J’étais un fan. D’ailleurs à chaque fois que je le voyais je lui disais que je n’étais pas un chanteur mais son fan. » Des compliments qui faisaient plaisir à Charles Aznavour. « Il m’adorait. Il n’était pas expansif mais je sentais l’affection dans ses yeux et ses gestes. Quand j’ai eu des problèmes, il a tenu à me consoler, à me donner des conseils. J’ai gardé tout ça dans mon cœur, dans ma mémoire. »

Charles Aznavour devait donner plusieurs concerts prochainement. « Je n’arrive pas à croire qu’il n’est plus parmi nous, qu’il va nous quitter, tellement il a été présent », a expliqué Enrico Macias.

 

Article paru sur France Info : https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/art-culture-edition/mort-de-charles-aznavour-ca-me-fait-une-peine-enorme-j-ai-le-coeur-serre-confie-enrico-macias_2965499.html

 

En ce premier octobre 2018, Charles Aznavour nous a quittés à l’âge de 94 ans

Enrico Macias lui a rendu hommage cet après midi :
« Je pense bien fort au grand Charles et à sa famille .
Merci pour tout ce que tu nous a donné mon Maître mon ami mon frère »

Toutes nos plus sincères condoléances à sa famille et ses proches.
Charles Aznavour restera à jamais dans nos cœurs et nos vies au travers de ses chansons

Vendredi 5 octobre à 20h55. À l’occasion de la nouvelle édition de « + de vie », France 3 propose une toute nouvelle émission musicale, présentée par Wendy Bouchard.

Dans « Symphonique Kids jouent pour + de vie », de nombreux artistes français se mobiliseront pour interpréter leurs plus belles chansons, accompagnés d’un orchestre symphonique de 115 musiciens unique en son genre : « Les Petites Mains Symphoniques », exclusivement constitué d’enfants de 6 à 17 ans !

Cette grande soirée d’engagement intergénérationnelle au profit de l’association « + de vie » qui vient en aide aux personnes âgées hospitalisées, mettra plus que jamais la musique et les artistes au cœur de l’événement.

Avec : Marc Lavoine, Zazie, Kendji Girac, Julien Clerc, Pascal Obispo, Amel Bent, Vincent Niclo, Natasha St-Pier, Kids United, Chico & The Gypsies, Enrico Macias, Pauline, et le parrain de l’association Yves Duteil.

Une soirée de solidarité sous la présidence de Madame Bernadette Chirac, présidente de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France.

Tout au long de la soirée, Marine Vignes interviendra en direct parmi les 400 bénévoles mobilisés pour faire un point sur les promesses de dons des téléspectateurs.

France 3 se mobilise et renouvelle son soutien à la campagne nationale de solidarité de la Fondation Hôpitaux de Paris – Hôpitaux de France.

Crédit photo © Concert EDM – DR.

 

Article paru sur : http://www.leblogtvnews.com/2018/09/symphonique-kids-jouent-pour-de-vie-le-5-octobre-sur-france-3.html

 

A l’occasion du passage d’Enrico Macias à la foire de Douai pour un concert exceptionnel le 1er septembre 2018,

Stéphane Hardy a interviewé l’artiste pour la radio RLM 107.9

« Un tête à tête en toute simplicité avec Enrico Macias à la foire de Gayant Expo. Une interview chaleureuse, pleine de sincérité et de partage pour les auditeurs de RLM 107.9 »

Il y avait de l’émotion samedi soir au Carré brasserie pour le concert d’Enrico Macias. Des souvenirs sont revenus à la surface pour une partie de l’auditoire, sa chanson « Adieu mon Pays » l’illustrait parfaitement.

De la culture de l’exil que le chanteur transmet, à ses paroles qui ont fait bercer Josette dans sa jeunesse, Enrico Macias n’a rien perdu de son expérience acquise depuis 56 ans même si la fatigue de l’artiste se ressent. Mais qu’importe pour Josette encore sous l’émotion : «  C’était parfait, j’ai tout aimé. Il a même fait revenir ses musiciens pour chanter une deuxième fois «Les gens du Nord»  », confia-t-elle. Défini comme ambassadeur de la paix et de l’amour, le chanteur compositeur enchaîne ses chansons reprises en chœur par le public.

Le mendiant de l’amour, Enfants de tous pays donnent des frissons. Fatima, Yassmina et Mounira ne passent pas à travers cette sensation : «  Son histoire, c’est notre histoire. Nous sommes pour le retour d’Enrico en Algérie  », confient les Wazieroises, la gorge serrée à la fin du concert. Une heure quinze de musique arabo-andalouse assurée par sept musiciens talentueux, il n’en fallait pas plus pour réchauffer les milliers de cœurs unis face à l’artiste.

Article paru le 2 septembre 2018 dans La Voix du Nord :
http://www.lavoixdunord.fr/441349/article/2018-09-02/en-ouverture-de-la-foire-expo-enrico-macias-offert-un-rayon-de-soleil-oriental

 

De notre envoyée spéciale Muriel Meimoun

 

Pour ce dernier concert avant la trêve estivale, Enrico, invité par l’ACCIP (Association Culturelle et Cultuelle Israélite de Puteaux), nous avait donné rendez-vous au Théâtre des Hauts de Seine de Puteaux, en banlieue parisienne.
Dans le public, toute la communauté était présente, mais aussi quelques « exilés », comme les fans venu(e)s des 4 coins de France et d’ailleurs. Étaient présents également Joël Mergui (président du consistoire israélite de France) qui a rappelé l’attachement de la communauté aux valeurs de la République Française et la maire de Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, qui a assuré et rassuré ses administrés de son soutien indéfectible.
Si nous étions tous réunis, c’était pour fêter les 50 ans de la création de la communauté et qui pouvait mieux nous accompagner dans cette fête que notre chanteur préféré ?
Entouré de ses 7 musiciens : Thierry, Bruno, Hafid, Serge, Amar, Kamel et Karim, et soutenu à la technique par Jean-Pierre et Jeff, Enrico nous a donné un concert d’une haute intensité. Très vite, dès la seconde chanson, le public était debout et lorsqu’il s’est levé comme « une seule fille ».. de mon pays au moment de cette incontournable chanson, il ne s’est plus rassis jusqu’à la fin.
Alors oui, je sais, vous allez dire qu’aussi bien Martine que moi-même, nous vous disons toujours ça.. Mais le public d’hier soir était tellement ardent, bouillant, bouillonnant, enthousiaste, fougueux, frénétique, passionné… Je vais m’arrêter là parce que je n’ai pas de mots pour vous expliquer.
La chaleur venant de la scène et de notre soleil s’est propagée en quelques secondes dans les premiers rangs et a atteint son paroxysme et le fond de la salle en une poignée de minutes. Là, pas de service de sécurité (ou bien ont-ils été tellement débordés qu’on ne les a pas vus). Même les organisateurs et madame la Maire étaient au pied de l’estrade pour chanter et danser, tant sur le répertoire arabo-andalou, que sur « enfants de tous pays » ou sur le « mendiant de l’amour ». Et, pour finir, il n’y avait que des orientaux originaux ou convertis pour chanter « el porompompero ».
Je voudrais encore une fois, avant cette pause estivale, remercier tous ceux qui font que chaque soirée est une fête : les musiciens, les techniciens, Jean-Claude et les organisateurs d’hier, en la personne de Michel Benhaïm (et son épouse). Ce fut un vrai bonheur de les rencontrer et d’échanger avec eux. Mais, bien sûr, nous devons également remercier celui sans qui nous ne serions pas là : MERCI à ENRICO pour tout ce bonheur ! Que Dieu vous prête vie jusqu’à 120 ans, toujours dans la santé et dans la fête.

Pour celles et ceux qui suivent Enrico et ce blog, nous vous avons plusieurs fois emmenés à l’espace Rachi à Paris.
Et, hier soir, c’est de nouveau au 39 rue Broca que nous avions rendez-vous pour une soirée très particulière.
Enrico Macias s’y produisait au profit de l’association « Hatchomer Hatzaïr France» (le gardien de la jeunesse) pour un concert exceptionnel.

Dès l’entrée dans la salle, l’ambiance était joyeuse et bon enfant, chacun s’employant à rechercher sa place, puis négocier avec ses voisins pour se rapprocher de ses amis. Un joyeux brouhaha dans la bonne humeur, le sourire aux lèvres : toute la chaleur de la Méditerranée.

Une fois tout le monde enfin assis, ce fut au tour du maître de cérémonie de monter sur scène pour présenter rapidement son association et ses objectifs avant de laisser la parole aux jeunes animateurs.

Et l’heure de la fête a enfin sonné avec l’entrée en scène des musiciens d’Enrico.

La fête (la messiba) ! Le mot est bien faible. Pourtant habitués des concerts et de l’ambiance maciasienne, nous avons, hier soir, atteint tous les paroxysmes. Car c’est dès l’apparition d’Enrico dans le halo des projecteurs et les premières paroles du « juif espagnol » que toute la salle s’est levée comme un seul homme et s’est mise à danser et chanter avec l’artiste.
« Le chanteur de la famille », voilà bien la chanson que nous devrions tous entonner pour Enrico, car hier nulle autre n’était plus appropriée. La salle pleine à craquer a été déchainée du premier instant au dernier, et le premier rang des VIP n’a pas été des moins actifs. Ils ont donné le La, dès l’ouverture, et n’ont pas cédé une once d’énergie jusqu’à l’extinction des projecteurs.

On ne peut non plus passer sous silence ce moment très beau et plein de promesses, où les jeunes de l’association sont spontanément montés sur scène pour entourer Enrico et chanter en chœur avec lui « Le mendiant de l’amour ». C’est un beau tableau de famille auquel on a pu assister, celui du patriarche heureux et comblé, entouré de ses nombreux enfants, auxquels il a transmis ses valeurs et son expérience.

Alors, Enrico dans tout ça, me direz-vous. Enrico a, comme à son habitude, mis le feu. Vous l’avez compris. Son charisme, son don exceptionnel pour entrer en communication avec le public, et son grand professionnalisme ne sont plus à démontrer. Entouré de ses musiciens (à l’exception de Thierry qui nous a manqué hier), il a transporté la salle sous le soleil et le ciel bleu des rives de la Méditerranée. Tout son amour du public et de la musique l’animent d’une énergie hors norme et l’on peut dire que son public, hier, lui a offert une belle preuve de l’amour et l’attachement qu’il lui voue.

Un grand merci aux organisateurs de cette soirée.
Un immense bravo au public
Et tous nos remerciements les plus sincères à Enrico pour nous permettre de vivre de tels moments en sa compagnie.

Du 2 juillet au 2 septembre 2018, tous les soirs à 20h50, retour de La minute vieille (sauf le mardi) sur ARTE.
La série courte humoristique de Fabrice Maruca revient cet été pour une nouvelle salve d’histoires drôles, dont dix-huit épisodes inédits, dans lesquelles nos impassibles retraitées n’ont rien perdu de leur mordant.
Dans leur décor de vacances, les comédiennes Anna Strelva, Michèle Hery, Claudine Acs et Sophie Sam enchaînent les blagues piquantes. Cet été, elles s’entoureront de trois nouveaux guests : Guy Roux, Guy Marchand et Enrico Macias pour trois épisodes inédits les lundi 9, mercredi 11 et jeudi 12 juillet.
Cette septième saison sera aussi l’occasion de revoir les personnalités ayant participé à la série : Geneviève de Fontenay, Liliane Rovère, Andréa Ferréol, Bernadette Lafont, Anémone, Judith Magre, Michel Galabru, Claude Brasseur et Michel Robin.
Une coproduction ARTE France, LM Production et Bakea Productions.