Enrico Macias a enregistré une nouvelle version de la célèbre chanson de Jacques Brel « Ne me quitte pas »

Elle figure sur un album turc paru le 13 avril 2016

Vous pouvez en écouter un extrait et l’acquérir en suivant le lien ci dessous

http://www.amazon.fr/Ne-me-quitte-pas/dp/B01E6FBINC?ie=UTF8&keywords=macias&qid=1462124217&ref_=sr_1_6&s=dmusic&sr=1-6

 

 

 

 

 

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=XNGL9QxkNnA[/youtube]

enrico_maciasAvec son nouvel album intitulé « Les Clefs », le fils de Cirta sera de retour au Canada pour 3 spectacles consécutifs, au Capitole de Québec : le 20 juin, à la Salle Wilfrid Pelletier – Montréal : le 21 juin et Gatineau le 22 juin 2016 – Salle Odyssée.
Après plus de 50 ans de chansons, Enrico Macias continue de drainer des foules à chacun de  ses spectacles.
Les titres qui l’ont propulsé vers le succès sont toujours d’actualité et restent gravés dans les mémoires de ses fans. Chaque spectacle est un moment riche en émotion et en souvenirs.
Dans son nouvel album qui comprend 12 titres (Les clefs, Ami, La justice et la mère, du Soleil, Chanter pour toi, Comme Vous, Des pieds et des Mains, Va vers Toi-même,  A la grace de Dieu, Pour ma Belle, Instrumental et Venez), on retrouve un « homme » toujours nostalgique et au fond du coeur des souvenirs qui restent indélébiles.
Dans la chanson « Les Clefs » , Enrico nous parle de ses souvenirs et partage avec nous ses joies et ses peines  :
Chaque nuit, les paupieres closes
je retourne dans le jardin
Contre le mur de ma maison
Des enfants jouent au ballon
De l’autre côté de la mer,
Le soleil se lève encore
On ne regarde jamais en arrière
Le temps passe mais n’efface pas
Nos plus beaux souvenirs….
Dans « Comme Vous » :
Comme vous, j’ai souvent tout perdu
Comme vous, j’ai souvent tout refait
Comme vous, la colère m’a fait dire bien des choses
que je regrette
Comme vous, l’amour m’a tout donné
Comme vous, l’amour m’a tout pris
Pour un mot pour un geste, il faut refaire sa vie….
Bien qu’âgé de 77 ans, Enrico Macias est  resté ce jeune homme de Tamazgha (Berbérie), ce jeune qui, un certain jour a composé sa première chanson « j’ai quitté mon pays » dans le bateau qui l’emmenait vers un autre destin, une autre vie. Enrico n a jamais quitté sa ville, son pays moralement et ses souvenirs sont omniprésents en lui.
Spectacles d’Enrico Macias :
Lundi, 20 juin 2016 20h00
Capitole de Québec, Québec
Mardi, 21 juin 2016 20h00
Salle Wilfrid-Pelletier, Montréal
Mercredi, 22 juin 2016 20h00
Salle Odyssée, Gatineau
Spectacles à ne pas râter. En partenariat avec Kabyle.com.
Rubriques:
Musique:
Tags agenda:
Ville:
Montréal
Dates:
Lundi, Juin 20, 2016 – 19:30
Mardi, Juin 21, 2016 – 19:30

 

Article paru sur le site Kabyle.com : https://www.kabyle.com/agenda/enrico-macias-grand-retour-au-canada-25471

DSC_1380Le ciel était couvert et un petit vent froid soufflait en ce dimanche 17 avril à Chennevières. Pourtant c’était un rendez-vous avec le soleil et le bleu de la méditerranée que nous avions pris de longue date au théâtre Lafaille.

C’est dès 15h que les premiers fans ont commencé à se réunir devant les portes du théâtre, pressés de se retrouver et d’échanger leur joie d’être à nouveau ensemble pour ces instants magiques. Les Canavérois et Canavéroises ne se sont pas trompé non plus. Ils ont répondu présents et sont venus nombreux pour prendre part à la fête. C’est donc devant une salle comble, impatiente déjà d’accueillir la vedette du jour, que les premières notes de l’intro ont été lancées par les musiciens. Et comme à l’Olympia, c’est sur Koum Tara qu’Enrico Macias, souriant et détendu, est entré sur scène dans la clameur d’un public déjà entièrement conquis.

Des entrées de spectacle, nous en avons vécu beaucoup, toutes plus festives et gages de moments inoubliables, les unes que les autres : Rien n’a changé, Le vent du sud, L’oriental, Enfants de tous pays ont mis le feu en quelques instants sur toutes les scènes du monde parcourues par Enrico. Mais nulle mieux que Koum Tara ne peut instantanément nous transporter sur le vieux rocher dans cette ambiance festive si particulière qui a bercé notre chanteur depuis ses premiers instants de vie. Et c’est une force et un rayonnement tout particuliers qui l’animent quand il interprète cette musique qui le fait vibrer au plus profond de lui-même.

Ainsi animé, Enrico a été encore une fois majestueux en cet après midi d’avril pour nous chanter son histoire faite de moments heureux et de très grandes peines mais qu’il sait toujours nous transmettre accompagnée d’une dose incommensurable de générosité et d’espoir. Et pour offrir à son public le plus beau des spectacles, Enrico a su s’entourer de musiciens exceptionnels, virtuoses mais aussi hommes de cœur qui donnent toujours le meilleur d’eux-mêmes sans faillir. Merci à Kamel, Thierry, Bruno, Abdenour, Karim, Amar et Serge. Elle est belle votre complicité avec Enrico et sans vous ces concerts ne seraient pas ce qu’ils sont. Enrico toréant Serge le taureau, on s’en souviendra ………..

Il ne faut pas oublier deux autres membres indispensables et indissociables de l’équipe. Jean Pierre qui est aux manettes de la console de sonorisation, grand professionnel toujours attentif, précis et souriant sachant garder son calme en toute circonstance pour mettre en valeur l’artiste et chacun des instrumentistes. Un grand bravo aussi à Jeff, qui, lui, est un virtuose des lumières. Il manie ses projecteurs comme un peintre ses pinceaux et ses couleurs, créant des décors tous plus splendides les uns que les autres.

Le public de Chennevières mérite aussi une mention toute spéciale. Il a vraiment été exceptionnel et 380 personnes ont su faire autant de bruit et mettre autant d’ambiance qu’une salle pleine de l’Olympia. « Vous avez été exceptionnels, je vous ai kiffé … et grave » a dit Enrico.

Il faut aussi donner une mention spéciale à l’équipe du théâtre Lafaille et tout particulièrement à Noémie qui a fait preuve d’une gentillesse, d’une attention et d’une disponibilité exceptionnelles. Merci infiniment. Vous aurez compris à travers ces lignes, qu’encore une fois, Enrico Macias, avec toute son équipe, a su offrir au spectateurs du théâtre Lafaille des moments inoubliables et que chacun est reparti des étoiles pleins les yeux et le cœur en fête. Merci Enrico pour ces moments magiques.
Nous aussi nous avons kiffé ……….. et grave

 

Durant cet après midi, vous avez pu entendre : Koum Tara Adieu mon pays Le voyage Aux talons de ses souliers Les gens du nord Pour toutes ces raisons je t’aime Paris tu m’as pris dans tes bras A la grâce de Dieu Aie aie aie comme je t’aime Un berger vient de tomber Les filles de mon pays Le violon de mon père Medley oriental Medley final (L’oriental – porompompero) Le mendiant de l’amour

5718715_169d19d4-0314-11e6-bff4-f3b42d3a92c0-1Illustration. Enrico Macias vient enflammer la scène du théâtre Lafaille, ce dimanche, à Chennevières. (LP/Frédéric Dugit.)

 

Le plus méditerranéen de nos chanteurs viendra brûler les planches du théâtre Roger-Lafaille à Chennevières, ce dimanche. Pour ce nouveau concert, le « mendiant de l’amour » fera briller le soleil du sud en vous interprétant nombre de ses tubes et vous entraînera sous d’autres cieux.

Le concert débutera à 16 heures, au théâtre, 11, avenue du Maréchal-Leclerc à Chennevières. Prix des places : plein tarif : 30 € ; tarif réduit : 25 € ; demi-tarif : 15 €. Renseignements au 01.45.93.38.41.
Article paru sur Le Parisien : http://www.leparisien.fr/chennevieres-sur-marne-94430/chennevieres-enrico-macias-vient-donner-au-theatre-15-04-2016-5718715.php

Enrico Macias était ce soir, jeudi 24 mars 2016, l’invité mystère des Grosses têtes, émission présentée par Laurent Ruquier sur RTL

En voici le replay

 
Pour réécouter l’intégralité de l’émission c’est ICI sur le site de RTL

Enrico Macias sera l’un des invités de Patrick Sébastien

dans son émission

LES ANNEES BONHEUR

le 16 avril 2016 à 20h55 sur France 2

 

Notre amie Patricia nous fait la grande joie de nous envoyer des photos de l’enregistrement qui s’est déroulé cette semaine

On reconnaît, notamment, aux cotés d’Enrico Chico et Rey, du groupe Chico et les Gypsies, sans oublier ses fidèles musiciens que nous saluons tout particulièrement

Mille mercis Patricia

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Article paru ce 18 mars 2016 dans le quotidien « le Parisien » : http://www.leparisien.fr/musique/video-enrico-macias-jamais-sans-son-fils-18-03-2016-5637875.php

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Paris (XIXe), le 10 mars. Jean-Claude Ghrenassia, 48 ans, a fait ses preuves tout seul dans le milieu musical avant de s’associer à son père, Enrico Macias, en 2006 puis aujourd’hui sur un nouvel album très réussi, « les Clefs ». (LP/Jean-Nicholas Guillo.)

 

Le chanteur a enregistré son nouvel album avec son fils de 48 ans, Jean-Claude Ghrenassia, ex-musicien de jazz. Une belle relation fusionnelle.

Il a beau être chanteur, Enrico Macias, 77 ans, n’en est pas moins papa. Alors qu’il rejoint en studio son fils, il s’intéresse d’abord à… sa coupe de cheveux. « Tu n’as jamais été aussi bien coiffé », signale-t-il à son fiston de 48 ans, un rien gêné, Jean-Claude Ghrenassia, musicien et désormais arrangeur des albums de son père.

Le petit dernier s’appelle «les Clefs » et vient de sortir. Le premier réalisé ensemble, en 2006, s’intitulait «Oranges amères », un magnifique disque — où l’on redécouvrait Enrico ambassadeur de la musique arabo-andalouse, élégante et voyageuse — acclamé par le public et la critique.

Tout ça grâce à Jean-Claude, homme de l’ombre qui a gardé le vrai nom de la famille. «Notre première collaboration n’a pas été facile pour moi, raconte Enrico. J’avais l’habitude de m’assumer tout seul. Soudain, Jean-Claude me disait : Il faut jouer comme ci, chanter comme ça. Je lui répondais : Mais je suis ton père, quand même !» L’aîné a fini par se laisser faire. «Maintenant, en studio, je suis son fils et il est mon père », s’exclame le chanteur. Les deux compères se marrent, assis dans le canapé du petit studio parisien de Jean-Claude, caché au fond d’une cour du XIX e arrondissement de Paris. «On a enregistré une bonne partie du dernier album ici, confirme le fils. Mon père a même fait des voix et des guitares dans ce canapé. »

«Avant d’être le fils d’un chanteur, je suis le fils d’un musicien»

Pourtant, ils ont mis du temps à collaborer. «Il fallait que je fasse mes preuves ailleurs pour avoir de la crédibilité à ses yeux », raconte le fils Ghrenassia, qui a d’abord été musicien de jazz, arrangeur et directeur artistique chez EMI.

Les chats ne font pas des chiens ? «Bien sûr », répond Enrico. «Non, rétorque Jean-Claude, pas d’accord. La musique, pour moi, c’était un luxe, ça n’était pas acquis. J’ai fait des études de droit parce que mes parents voulaient que j’aie un diplôme. » Enrico défend son idée : «Oui, d’accord, mais rappelle-toi, tu ne parlais pas encore que tu avais une pile de 45 tours avec un tourne-disque et on te demandait : Mets Marie Laforêt. Tu triais à toute vitesse et tu le trouvais. » Jean-Claude acquiesce. «Je me souviens de Johnny et Mort Shuman qui passaient à la maison, de Mike Brant qui a habité un moment chez nous. Ce que j’adorais, c’était les répétitions dans notre grand appartement. J’avais 5-6 ans, je rentrais de l’école et il y avait un orchestre qui jouait dans le salon. C’était génial. J’étais attiré par les instruments. Avant d’être le fils d’un chanteur, je suis le fils d’un musicien. J’aimais aller le voir en concert. Mais j’avais été assez traumatisé par les gens qui poussaient la voiture un soir en sortant d’un show. Je détestais toute l’hystérie qu’il y avait autour de la célébrité. On se moquait parfois des chansons de mon père à l’école. Mais moi, je le défendais toujours. »

«La culture de l’exil nous a été transmise par la musique»

Dans la musique de Macias, il y a aussi l’histoire de l’exil d’Enrico, de son arrivée en France douloureuse après l’assassinat en 1961 de son beau-père, Cheikh Raymond, grand musicien français d’Algérie. «Avec ma sœur, on n’est pas étrangers à tout ça, souligne Jean-Claude. Je ne suis jamais allé à Constantine (NDLR : où est né Enrico Macias), mais je peux vous dessiner la carte de la ville tellement mon père nous en a parlé. La culture de l’exil nous a été transmise par la musique. La première fois que l’on a commencé à travailler un peu ensemble avec mon père, c’était sur un album de reprises de mon grand-père maternel, Cheikh Raymond, ce n’est sans doute pas un hasard. »

Dans le nouvel album, une chanson évoque Suzy, la femme d’Enrico et la mère de Jean-Claude, disparue en 2008. «C’est une chanson écrite par Bruno Maman, qui n’est pas dans le pathos, souligne Jean-Claude Ghrenassia. Mon père a ma mère dans la tête 24 heures sur 24. Et ce morceau, c’est la douceur du souvenir plutôt que la tristesse du deuil. » La chanson fait du bien à Enrico. «Je l’écoute souvent, juste pour moi. On s’est beaucoup rapproché avec Jean-Claude quand Suzy est morte. Il restait avec moi, dormait à la maison. » Aujourd’hui, Enrico profite aussi des trois enfants de Jean-Claude, de 8, 16 et 20 ans. «On se retrouve tous les vendredis pour shabbat, explique le chanteur. Avant, selon la tradition, c’était chez le père. Mais maintenant que je suis tout seul, on fait ça chez Jean-Claude. » Le fils peut donc parfois devenir le père.

@emarolle Enrico Macias « les Clefs », Capitol, 16,99 €. En concert le 8 janvier 2017 à Paris à l’Olympia. Et le 4 juin prochain à Divonne- les-Bains, le 19 août à Carmaux, le 16 octobre à Saint-Quentin…

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=WSrYIjp3us0[/youtube]