Catégorie : Actualités
Banneux: cinq cents choristes autour d’Enrico Macias
Enrico Macias, accompagné de 500 choristes, donnera un concert exceptionnel à la grande église de Banneux Notre-Dame. Rendez-vous le 24 janvier !
Une semaine après avoir fêté ses cinquante ans de carrière à l’Olympia, Enrico Macias (nouvel « ambassadeur de la Province de Liège » depuis avril 2015) sera en Belgique pour un grand show belge au cours duquel il sera accompagné, pour certaines de ses chansons, par 500 choristes venus de Bouge, Waremme, Bastogne, Dilbeek, Aubrives (F), Bruxelles, Thionville (F), Marche-en-Famenne, Chimay, La Roche-en-Ardenne, Anderlecht, Baisy-Thy, Uccle, Stavelot… Un chœur impressionnant qui sera dirigé par Robert Jamaer.
Banneux Notre-Dame, lieu de rencontre de milliers de pèlerins, ne pouvait être mieux choisi pour accueillir Enrico Macias dont les grands succès ont souvent fait référence au dialogue entre les peuples ou fait chanter l’amour et la générosité. Le plus méditerranéen des chanteurs français ne manquera d’ailleurs pas d’interpréter les incontournables « Enfant de tous pays », « Malheur à celui qui blesse un enfant », « Le mendiant de l’amour »… Nul doute que l’émotion sera au rendez-vous de ce spectacle intergénérationnel organisé par le comité de soutien des mouvements de jeunesse (Scouts & Patro) de Soumagne (Liège-Belgique).
Le 24 janvier 2016 à 15h, à la grande église de Banneux Notre-Dame
Prix des places : 38 et 45€, à réserver sur www.ticketmaster.be www.fnac.be ou au 070/660.601 – Autres points de vente sur www.solmania.be
Concours
Cathobel offre 3×2 places pour le concert d’Enrico Macias. Tentez votre chance ! Envoyez un e-mail avec vos coordonnées complètes (adresse et n° de téléphone) à concours@mcbf.be. Un tirage au sort déterminera les gagnants. Clôture du concours: 10 janvier 2016.
Article paru sur le site cathobel : http://www.cathobel.be/2015/12/17/banneux-cinq-cents-choristes-autour-denrico-macias/
Enrico Macias – Interview filmée pour « La fringale culturelle »
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=RAdCBwfGfKY[/youtube]
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=ZWfpSwsc3PM[/youtube]
« Le futur c’est la fraternité, le vivre ensemble »
Sans voir le jour
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=jC4nIx2-q3E[/youtube]
Document INA
Enrico Macias en tournée en Israel en mai 2016
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=FnYzMA2il04[/youtube]
Enrico Macias sera en tournée en Israel du 12 au 19 mai 2016
Vous trouverez le détail de cette tournée sur notre page concerts
Un témoignage sans concession
Coup d’oeil sur cet article
Le chanteur, musicien, compositeur et acteur français Enrico Macias se livre entièrement, pour la première fois, dans une autobiographie poignante, L’envers du ciel bleu. Il y révèle son amour de la musique arabo-andalouse, son enfance en Algérie, son exil en France et évoque des moments forts de sa carrière.
Enrico Macias, l’homme souriant, le pied-noir qui chante la beauté du soleil de la Méditerranée raconte le deuil de son pays perdu, l’Algérie, et le pays qu’il a dû apprivoiser, la France. Il raconte aussi son enfance à Constantine, son apprentissage de la musique malouf auprès de Cheikh Raymond, un virtuose, et de son père violoniste. Sa première guitare. L’assassinat de Raymond. Son exil et sa carrière.
Page après page, on découvre son histoire, qui est aussi celle d’un enfant d’une Algérie où les Juifs vivaient depuis 2000 ans et qui a découvert la France comme un pays d’exil. Son témoignage est direct, sans concession, très émouvant.
L’espoir
En écrivant L’envers du ciel bleu, Enrico Macias avait envie de dire que, malgré l’image festive qu’il dégage, il y a en lui une douleur profonde et cachée. «La douleur, je ne peux pas l’éradiquer, mais ce que je peux, c’est transmettre l’espérance», commente-t-il en entrevue téléphonique de sa résidence parisienne. «Ce que je veux, c’est l’espoir. Et l’espoir que tout aille mieux, personne ne peut me l’enlever. Mon histoire est une histoire collective, qui a été suivie par des dizaines de milliers de gens.»
Enrico Macias, qui vit à Paris et dans le sud de la France, a été bouleversé par les attentats survenus au cours de l’année à Paris. «Je me suis aperçu que l’histoire est un éternel recommencement, mais que l’espérance est un éternel message que je vais faire passer. Je pense que, malgré tout ce qui peut se passer, mon espérance est plus grande que les événements qu’on a vécus et qui m’ont bouleversé, évidemment. Un jour, la lumière viendra arranger tout ça.»
La musique, rappelle-t-il, est universelle et représente «un médicament pour tout». «C’est un pont entre les différentes civilisations, les différentes communautés, les différents pays. Même un pont entre des pays qui peuvent être éventuellement en conflit.»
Enrico Macias parle d’ailleurs beaucoup dans son livre de la musique malouf, une musique savante, métissée, née des traditions arabo-andalouses en Algérie. «J’ai eu l’héritage musical de mon père qui était un très grand violoniste de musique arabo-andalouse et il était aussi le bras droit du grand maître Cheikh Raymond Leyris, le chef d’orchestre qui m’a découvert et m’a fait jouer dans son orchestre quand j’avais 15 ans, aux côtés de mon père. J’ai une formation de musique arabo-andalouse très forte, et cette influence est restée.»
Quand il a quitté l’Algérie après l’assassinat de Cheikh Raymond, il a créé un répertoire pour se soigner du chagrin de l’avoir perdu et d’avoir quitté son pays. «Dans mes chansons, je n’ai jamais copié la musique arabo-andalouse, mais l’influence est là. Vous prenez par exemple Dis-moi ce qui ne va pas, qui est typiquement française: si vous mettez des paroles en arabe, ça devient de la musique arabo-andalouse.»
Par ailleurs, il apprécie énormément le public québécois et espère revenir au mois de juin. «C’est un des meilleurs publics qui puissent exister dans ma carrière puisqu’il est d’une fidélité incroyable. Chaque fois que je viens au Québec, les salles sont pleines, les gens réagissent au quart de tour et m’adorent. Et moi, j’adore les Québécois et j’aime le Québec!»
Enrico Macias revient d’une tournée aux États-Unis, en Turquie et en Égypte.
Il va chanter à l’Olympia au mois de janvier et prépare un nouvel album qui sortira en février.
Article paru dans le journal de Montréal : http://www.journaldemontreal.com/2015/12/11/un-temoignage-sans-concession
ENRICO MACIAS RÉUNIT LES ENFANTS DE TOUS PAYS EN AMÉRIQUE.
A l’occasion de son spectacle au Saban Theater de Beverly Hills, Enrico Macias a accepté de nous accorder un entretien exclusif depuis Los Angeles. Le chanteur, qui a célébré ses 50 ans de carrière en 2013, se livre avec authenticité.
De notre correspondante, Magisophienne
En septembre dernier, Gaston Ghrenassiade de son vrai nom, chutait malencontreusement dans sa salle de bain. Résultat : hospitalisation et opération d’une triple fracture du bras droit. La sortie attendue de son dernier album Les Clefs est ainsi repoussée à début 2016. Cependant, que les fans se réjouissent, l’Oriental à la voie ensoleillée se confie sur ses plus grandes blessures dans son livre L’Envers du ciel bleu, sorti le 14 octobre dernier.
A l’aube de ses 77 ans, toujours aussi engagé pour la paix, l’artiste franco-algérien de confession juive, revient aussi sur son positionnement face à la montée de l’extrême droite en France : « Si Marine Le Pen est élue présidente, je quitte la France », déclarait-il récemment sur BFM TV.
Sur la terrasse du Beverly Hilton, entretien avec un Enrico attachant, en grande forme, remis de sa chute et heureux de s’être produit à New York dimanche dernier et à Los Angeles, ce mercredi.
Pour lire cette très belle interview de Magisophienne, suivez ce lien : http://magisophienne.com/blog/?p=1049
PourPppp
Un homme comme toi avec les enfants d’Aix en Provence
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=cOlqRykZp5A[/youtube]
Je m’en souviens comme si c’était hier
Merci à Jean Claude Noizat
Nouvelle autobiographie d’Enrico Macias entre sourire et nostalgie
Propos recueillis par LAURE JOANIN
L e chanteur revient sur ses cinquante ans de carrière et sur les déchirements de sa vie.
Pourquoi publier une nouvelle autobiographie ?
Je n’avais pas tout dit dans mes livres précédents, et je voulais expliquer que derrière mon image festive, il y avait une grande douleur. J’ai estimé aussi qu’à l’automne de ma vie, je devais transmettre des choses à mon public et à mes petits-enfants. Ce livre, je le vois comme une sorte de testament, sans rien de morbide. Et il résonne étrangement aujourd’hui, car l’histoire est un éternel recommencement : je me retrouve parfois dans le temps présent comme lorsque j’étais enfant en Algérie. On importe les conflits venus d’ailleurs et je ne le supporte pas. J’ai toujours voulu être le pont entre les différentes communautés. Et même si c’est difficile, je continue ce combat pour mes enfants, mes petits-enfants. Je ne veux pas qu’un jour, ils puissent dire que je n’ai rien fait, alors que j’avais le pouvoir que donne la notoriété.
Le fil rouge de ce livre, c’est l’Algérie, et la douleur de l’exil… Un pays, dites-vous, qui n’existe plus…
Oui, je viens d’un pays où des religions différentes n’empêchaient pas d’être un même peuple. Ce pays a été vidé d’une partie des gens qui le peuplaient. Tant que tous les enfants d’Algérie ne pourront pas y retourner, je me dis que ce pays dans lequel j’ai vécu n’existe plus. Il existe dans ma mémoire, dans la musique arabo-andalouse que je joue, dans les plats que je continue de manger. C’est ma terre natale sur laquelle je ne peux pas aller. C’est une douleur très forte. D’autant plus que je ne comprends pas pourquoi on refuse que je m’y rende. Bien sûr, je suis pied-noir et il y a mon attachement à Israël, mais j’ai toujours défendu un État palestinien et la paix. Mais j’espère encore, je ne ferme pas la porte au futur et je me dis que si Dieu me prête vie, j’y retournerai peut-être de mon vivant. Cela dit, si je n’y retourne pas, je souhaite que mes enfants et mes petits-enfants s’y rendent pour voir où je suis né.
« Je ne suis pas un chanteur de variétés », dites-vous. Y a-t-il un malentendu dans votre carrière ?
Non, je l’ai toujours bien vécue car j’ai plusieurs cordes à mon arc. Je suis un chanteur de variétés, mais je suis aussi un chanteur de culture algérienne, un chanteur classique oriental. Quand je suis arrivé en France, j’étais orphelin de l’Algérie mais aussi de Cheikh Raymond, mon beau-père et mon maître. J’ai reproché à mon père de continuer de jouer à Paris cette musique arabo-andalouse dans les bars, je trouvais que c’était une trahison envers Cheikh Raymond. Aujourd’hui, avec le recul, je le remercie de s’être battu pour que perdure la musique andalouse à Paris. Depuis, elle ne m’a jamais quittée. Mais c’est parce que je suis devenu célèbre avec la chanson que j’ai pu monter mon hommage à Cheikh Raymond au Printemps de Bourges et à l’Olympia. Presque quarante ans après mon arrivée en France. J’ai réalisé il y a quelque temps que j’ai été longtemps à la recherche d’une normalité française. Même si je suis et me sens vraiment français, je ne le suis pas comme les autres. Mon grand-père a fait la guerre de 14, mon père celle de 39-45, on a payé de notre sang, par la mort de nos proches en Algérie et pourtant, en arrivant en France, on nous a accueillis comme des étrangers.
Déjà 53 ans de carrière. Comment voyez-vous l’avenir ?
Contre toute logique parfois, j’ai toujours eu peur d’être lâché par le public. Tous les matins, quand j’ouvre les yeux, je suis heureux de savoir que, dans la journée, j’ai un concert, une séance en studio, un rendez-vous avec la presse. J’ai toujours hâte de travailler. C’est pour cela que la retraite me paraît une idée impossible. L’exemple à suivre pour moi, c’est Aznavour. Pour qu’un jour je m’arrête, il faudrait vraiment que je sois poussé dehors par le public.
L’Envers du ciel bleu, Éditions Cherche-Midi, 17 €, 236 pages.
Article paru dans Midi Libre : http://www.midilibre.fr/2015/11/20/l-envers-du-ciel-bleu,1245234.php
Enrico Macias à Istambul – 18 novembre 2015
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=7i7niRWEPIE[/youtube]
Enrico Macias charms Istanbul
Legendry French singer Enrico Macias charmed the audience during a concert at Istanbul’s Zorlu Performance Arts Center late on Nov. 18, playing a number of his top hits to the delight of the crowd.
“Every time I come here, it feels like coming to my family,” said the 77-year-old of Algerian decent, who had many of his original songs adapted into Turkish pop songs.
“We were successful tonight as a whole,” the singer marking his 53rd year in the industry told Anadolu Agency, implying that his audience was a part of his show. Macias sang many of his once-popular songs including “Melisa,” “Solenzara,” “Paris” and “Zingarella.”
November/19/2015
http://www.hurriyetdailynews.com/Default.aspx?pageID=238&nid=91402
Enrico Macias à Los Angeles
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=4ZzWR7o3AT0[/youtube]
Enrico Macias était en tournée aux USA cette semaine.
Après New York, c’est au Saban Theater de Los Angeles qu’il s’est produit à guichet fermé.
Et comme toujours, il a mis le feu à la salle.
le feu de l’amitié, de la Fraternité et de la Fête orientale
Merci à Parounak qui nous a offert ces images sur YouTube
Merci à Moshe Noy qui veuille aux destinées d’Enrico aux USA !
Et Bravo Enrico !
Enrico Macias en Israel – Tournée mai 2016
A l’occasion des 68 ans de l’état d’Israël , Enrico Macias revient pour une tournée à travers le pays accompagné d’une formation de 12 musiciens
A Be’er Sheva , Haïfa , Petah Tikva , Ashdod , Tel Aviv et Jérusalem .
Be’er Sheva
Jeudi 12 mai 2016
Ha Mishkan le Omanouiot Habama – Yitskhak Rager 41
Haïfa
Samedi 14 mai à 21h00
Mercaz Rappaport – Sérot Ha Nassi 138
Petah Tikva
Dimanche 15 mai
Heichal Hatarbut – Ha Maccabim 5
Ashdod
Lundi 16 mai à 20h0
Ha Mishkan le Omanouiot Habama – Derekh Eretz 1
Tel Aviv
Mardi 17 mai 2016 à 21h00
Heichal Ha tahbout – Huberman 1
Jérusalem
Jeudi 19 mai à 20h30
Binyanei Ha Ouma – Sdérot Zalman Shazar 1
Tous les renseignements pour réserver vos places ici : http://www.tinokland.com/#!enrico-macias/c130j
Enrico Macias: « C’est spécial de venir aux Etats-Unis »
Nous sommes le 17 février 1968. Enrico Macias fait son premier concert aux Etats-Unis. C’est à Carnegie Hall. Il joue à guichets fermés.
« Comment l’oublier? , lâche la star aujourd’hui. J’étais venu quinze jours à l’avance pour m’acclimater. J’étais stressé car je ne savais pas si j’étais connu. J’avais appris une chanson, « Mon cœur d’attache », en anglais. Je l’ai jouée sur un enregistreur en boucle pendant la nuit pour qu’elle me rentre dans la tête. Sur scène, je n’ai pas pu la finir car dès que j’ai commencé à prononcer les mots en anglais, les musiciens sont tombés de leur chaise. Tout le monde rigolait. J’ai chanté en français finalement » .
Depuis ses débuts américains à Carnegie, Enrico Macias revient régulièrement aux Etats-Unis. Il sera le dimanche 8 novembre au Town Hall de New York, puis le 11 au Saban Theatre de Beverly Hills. « Je me suis amélioré en anglais depuis le temps » , plaisante le chanteur au téléphone, juste avant de prendre l’avion pour New York. « C’est spécial de venir aux Etats-Unis. Mon public, c’est la diversité. Il correspond à mes chansons. Le peuple américain est constitué d’enfants de tous pays. Ça va très bien avec ma musique » .
Nouvelle auto-biographie
A 76 ans, Enrico Macias ne lève pas le pied. La sortie de son nouvel album est prévue pour 2016 et il vient de publier une autobiographie, L’envers du ciel bleu, dans laquelle il revient sur ses cinquante ans de carrière et les douleurs qu’il a dû surmonter, comme la mort de sa femme Suzy en 2008 et l’impossibilité de retourner en Algérie. Une partie de la classe politique s’oppose à sa venue en raison de son soutien à Israël. Et le chanteur, né à Constantine, refuse d’y retourner avec un visa comme on lui a proposé.
Sur scène, il est bien loin de cette réalité. « Je me concentre sur mon spectacle, je suis en communion avec le public, dit l’interprète des « Filles de mon pays » et d’autres hits.
Celui qui a récemment déclaré qu’il quitterait la France si Marine Le Pen était élue n’a rien perdu de son militantisme pour la paix et le métissage. « Vivre aux Etats-Unis, pourquoi pas. C’est un pays qui a accueilli des individus de tous les pays. J’aime bien l’ambiance. J’y ai des amis » .
Dans l’immédiat, il est juste de passage. Il promet à ses fans des « chansons de mes débuts. Ils ne viennent pas pour les nouveautés » , dit-il. Le reverra-t-on aux Etats-Unis? « Je l’espère. Si Dieu le veut bien » .
Article paru sur French Morning.com : http://frenchmorning.com/enrico-macias-cest-special-de-venir-aux-etats-unis/