Monteux-4429« La nouvelle qu’on attend pas, y’a des matins comme ça ……. »

Vous avez tous pu lire dans la presse l’annonce du malheureux accident dont a été victime Enrico Macias.
Pour tous ceux qui s’inquiètent pour lui, il va bien autant que faire se peut dans cette situation.
Mais il doit maintenant se reposer.

En conséquence, nous devons malheureusement vous annoncer le report à une date ultérieure, en début d’année 2016, de la sortie de son nouvel album « Les clefs » et certainement aussi de son livre « L’envers du ciel bleu ».

Dès que nous aurons des dates plus précises, nous vous les communiquerons.

Les concerts à l’étranger prévus pour cette fin d’année sont, à ce jour,maintenus.

En attendant, nous souhaitons un bon rétablissement à Enrico et lui adressons toutes nos pensées positives et amicales

712RlsG1LSL._SL1181_La rentrée 2015 de notre chanteur préféré s’annonce riche et multiple

Après un nouvel ouvrage autobiographique annoncé pour le 24 septembre,
c’est un nouvel album que nous offre Enrico Macias.

« Les Clefs », c’est son titre, devrait être dans les bacs dès le 2 octobre.

12 nouveaux titres et un solo guitare le composent :

1. Les clefs
2. Ami
3. La justice et ma mère
4. Du soleil
5. Chanter pour toi
6. Comme vous
7. Des pieds et des mains
8. Va vers toi même
9. A la grace de dieu
10. Pour ma belle
11. Instrumental (alma del sol)
12. Venez
13. Vivre vivre

Editeur : Capitol records

Le mot de l’éditeur
« 10 ans après son dernier album studio, Enrico Macias revient avec un nouvel opus C’est une nouvelle aventure dans la veine inaugurée en 2003 avec le magnifique album Oranges amères, première collaboration du père et du fils (Jean-Claude Ghrenassia). Avec tous ses auteurs et compositeurs, Marc Estève, Da Silva, Bruno Maman, Claude Morgan, Frédéric Zeitoun, Barbelivien…, Enrico Macias raconte ses espoirs, ses regrets, ses inquiétudes, ses certitudes, ses bonheurs. Cela fait douze nouvelles chansons riches en sentiments francs et en images éclatantes. Riches en fraternité. Oui, tout ici est heureux. Heureux comme Enrico. Mélancolique, grave, parfois même soucieux. Mais toujours heureux. « 

Rendez vous sur ces pages pour nous donner prochainement votre avis sur ce nouvel opus

 

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Après une année d’attente, le dernier livre d’Enrico Macias

« L’ENVERS DU CIEL BLEU » est annoncé sur les sites de vente dédiés

pour le 24 septembre 2015

On voit trop souvent Enrico Macias comme une personnalité éternellement souriante et optimiste qui chante encore et toujours la beauté du ciel bleu et du soleil de la Méditerranée.
C’est oublier que Gaston Ghrenassia n’a pas seulement dû quitter son pays natal et la terre de ses ancêtres, mais que son pays natal a été enseveli par l’Histoire. Malgré son énorme popularité chez « les gens du Nord », il est resté l’enfant d’une Algérie où les Juifs vivaient depuis deux mille ans et qui a découvert la France comme un pays d’exil. Les Français diront qu’il est un pied-noir – ce qui est faux – et il s’appellera Macias parce qu’une secrétaire n’arrive pas à prononcer le nom de Ghrenassia…
Dans L’Envers du ciel bleu, le chanteur raconte son combat pour apprivoiser la France et pour faire le deuil du pays perdu. L’histoire parfois sombre d’un homme qui affronte les tourments du monde et cherche à y survivre ; une histoire dans laquelle un immense sourire cache une douleur inguérissable…

 

Broché

  • Editeur : Le Cherche Midi (24 septembre 2015)
  • Langue : Français

11951714_464868590351397_3254614713716348418_oNous vous annoncions, il y a quelques jours, les deux concerts d’Enrico Macias en Egypte les 25 et 26 octobre 2015

Le 26 à l’Opéra d’Alexandrie, le vent du sud soufflera, on peut en être surs, les accents de la Paix, de l’amitié et de la fête orientale

Et pour compléter le message du Maître, vous aurez le grand plaisir d’applaudir Christina Rosmini.
Pour notre part, nous avons découvert cette artiste en janvier 2014, alors qu’elle se produisait en première partie du spectacle de l’Olympia d’Enrico.
Auteur, compositeur, interprète mais aussi danseuse et comédienne, cette artiste de grand talent assurément vous ravira par sa voix chaude, son charisme naturel, et son univers chargé d’émotions communicatives

Alors bonne soirée à toutes et tous
Merci d’avance à Christina et à Enrico pour ces moments d’exception

 

Enrico Macias performing during the concert for the association 'Les Voila' at the Olympia, in Paris, France, on January 13, 2014. Photo by Aurore Marechal/ABACAPRESS.COM
Enrico Macias performing during the concert for the association ‘Les Voila’ at the Olympia, in Paris, France, on January 13, 2014. Photo by Aurore Marechal/ABACAPRESS.COM

Enrico Macias vous manquait? Bonne nouvelle: il arrive. Chanteur, musicien, acteur, cet artiste pied noir, connu pour sa musique aux sonorités orientales et andalouses, sera au Saban Theatre le 11 novembre.

Il est connu pour ses tubes, notamment « Les filles de mon pays » (1962) et « Adieu mon pays » (1964) ou encore les « Oranges amères » (2003). Le chanteur est également acteur: il a joué dans « La Vérité Si Je Mens » 2 et 3, et « Coco » .

Ce n’est pas la première fois qu’Enrico Macias vient aux Etats-Unis. Sa première tournée américaine remonte à 1968. Il avait alors joue à guichets fermés au Carnegie Hall et s’était produit à Chicago, Dallas et Los Angeles. Il revient régulièrement depuis, au plus grand plaisir de ses fans.

article paru http://frenchmorning.com/novembre-enrico-macias-jouera-a-beverly-hills

DSC_4351C’est dans le cadre du festival Franco-Québécois des grandes voix qu’Enrico Macias se produisait hier soir, 12 aout 2015, sur la scène du théâtre EQI de Monteux, cadre quelque peu insolite pour ceux qui ont l’habitude de suivre notre chanteur préféré sur ses tournées. Il est donc nécessaire de préciser que cet espace est en premier lieu le théâtre du magnifique spectacle équestre EQI SHOW et que le décor est donc planté en pleine nature, face au lac de Monteux, la scène trônant au milieu de la piste de sable blanc habituellement occupée par les majestueux équidés.

Profitant de ce cadre naturel reposant et du temps splendide en cette période estivale, le public est arrivé de bonne heure pour se rafraichir, se restaurer et deviser sereinement entre amis.

C’est alors que notre attention a été de nouveau attirée. Nous sommes coutumiers des fans qui anticipent ou prolongent le show en entonnant les refrains maciasiens, prolongeant ainsi la fête si chère à leur cœur. Nous le sommes moins d’un groupe entier entrainé par leur chef d’orchestre improvisé, révisant les paroles de chaque chanson les unes après les autres ainsi que les encouragements destinés à l’artiste. Voilà des spectateurs motivés et enthousiastes qui n’ont rien laissé au hasard. Bravo à eux !

Et puis la nuit est peu à peu tombée et le temps du spectacle est enfin arrivé. C’est alors que nous avons pu apprécier toute la majesté de la voute constellée d’étoiles du ciel provençal, offrant à notre artiste un écrin de toute splendeur très joliment agrémenté de décors lumineux de toute beauté.

Et malgré l’immensité de l’espace, avec toute sa chaleur méditerranéenne, son charisme et son immense talent, Enrico n’a pas mis longtemps à allumer le feu de la fête orientale.

Avec comme élément central les accents si particuliers de sa guitare, et accompagné de façon magistrale par ses fidèles musiciens, Enrico nous a présenté un tour de chant reprenant ses succès de 50 années de carrière pour célébrer la Paix et l’amitié entre les peuples et les cultures. Et le public vraiment formidable de Monteux a répondu à toutes ses invites, chantant, dansant, dialoguant avec lui en toute simplicité et spontanéité, suscitant ce sourire de bonheur total que nous aimons tant voir s’éclairer sur le visage d’Enrico. Merci à Monteux pour cette belle soirée !

Merci à Enrico Macias pour ces moments exceptionnels

Et merci aussi aux musiciens et aux techniciens sans qui le spectacle ne serait assurément pas le même.

 

Le tour de chant de cette soirée

Enfants de tous pays
Oh guitare
Quand les femmes dansent
Adieu mon pays
Le voyage
Aux talons de ses souliers
Les gens du nord
Pot pourri : Paris tu m’as pris dans tes bras –  Les millionnaires du dimanche – Mon cœur d’attache
La vie populaire
Un berger vient de tomber
Aie aie aie je l’aime
Les filles de mon pays
Arwah arwah
Le violon de mon père
Ya belaredj
Ya rayah
Le mendiant de l’amour
L’oriental
Yase shalom
Porompompero

11036664_10153433176898726_1114462085834481250_nRéservez votre calendrier pour assister aux concerts d’ Enrico Macias le dimanche 25 Octobre 2015 dans les jardins de l’ambassade de Belgique au Caire et le lundi 26 Octobre à l’Opéra d’Alexandrie 
Nous vous donnerons tous les détails prochainement
Organisé par Event 4U

Book your calendar to attend Enrico Macias live concert on Sunday 25 October at the garden of the Belgium Embassy in Cairo and on Monday 26 October at Alexandria Opera House …
Will share all the details soon ..
Organized by Event 4 U

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Enrico Macias donnera un tour de chant où la guitare occupera une place centrale. Photo Serge Guéroult

Il se produit demain au Lac de Monteux au festival « Les grandes voix »

On vous a peu vu l’an dernier. Qu’avez-vous prévu pour ce concert-retour ?
Enrico Macias : Ce sera un « one-man-show » en quelque sorte. Mais je serai accompagné par sept musiciens. Je jouerai mes anciennes chansons et des morceaux plus récents. Ce sera une synthèse de toutes mes racines musicales. Mais ce que je peux vous dire c’est qu’il y aura beaucoup de guitare !

Qu’est-ce que cela vous fait de jouer en Provence ?
E.M. : C’est très spécial pour moi. Cette région est l’une des premières que j’ai visité quand je suis arrivé en France (Enrico Macias est arrivé d’Algérie dans les années 1960, ndlr). J’ai chanté la Provence et j’ai beaucoup de bons souvenirs ici. Je suis très heureux de me produire chez vous !

Votre carrière est bercée par les rythmes arabo-andalous. C’est important de mettre les musiques du monde sur le devant de la scène ?
E.M. : Les échanges culturels et le dialogue sont la clé de voûte de la paix. On en a besoin pour rapprocher les gens. Mieux vaut la musique que des actes de barbarie… Je suis très fier d’être joué dans des écoles, des églises, des synagogues et même des mosquées. Je n’ai fait ce métier que pour une seule raison : faire communier les gens.

On vous sait très engagé. Qu’est-ce qui vous révolte aujourd’hui et vous donne envie de continuer à chanter ?
E.M. : Je n’ai jamais cessé de combattre l’injustice et l’intolérance. Encore plus aujourd’hui qu’hier. Tant que ça va mal, je continue de prendre mon bâton de pèlerin pour qu’un jour règne la paix.

Après toutes ces années de carrière, où trouvez-vous encore l’inspiration ?
E.M. : L’inspiration, c’est un don de Dieu. Elle vient quand elle veut, il faut la ménager. Si je la bouscule, elle va partir chez un autre chanteur ! Mes influences ne changent pas : le flamenco, le fado m’inspirent. Côté chanteurs, j’adore Ray Charles, Jacques Brel, Georges Brassens. Mais aussi Johnny Halliday et Eddie Mitchell !

Et Kendji ?
E.M. : On est de la même planète tous les deux ! Il a du charisme et du talent. Je suis content qu’il réussisse.

Vous n’êtes pas retourné en Algérie depuis 1961. À quel point ce pays est présent dans votre vie ?
E.M. : Je suis en manque de mon pays. Mais quand on coupe les branches, les racines sont toujours là…

Quels sont vos projets à venir ?
E.M. : D’abord la sortie de mon album début octobre avec 12 nouvelles chansons. Il y aura aussi un livre intitulé « L’envers du ciel bleu ». Ce sont des réflexions menées tout au long de mon parcours. Un début de mémoires en quelque sorte !

 

Article paru sur : laprovence.com : http://www.laprovence.com/article/spectacles/3530972/enrico-macias-la-musique-rapproche-les-gens.html


Festival « Les grandes voix » Lac de Monteux. 21h Billetterie disponible sur place

lyon-2015Le ciel était gris et une petite pluie fine tombait sur Lyon dès le matin, ce 14 juin 2015.

Ceci ne présageait rien de bon pour réchauffer l’ambiance et faire mentir la vox populi qui qualifie les lyonnais de gens froids et peu acceuillants.

Mais c’était sans compter sur le pouvoir du soleil de l’amitié et de la chaleur méditerranéenne.
Et en ce dimanche de grisaille, ce sont les Lyonnais qui nous ont prouvé qu’ils avaient dans le cœur le soleil qu’ils n’avaient pas dehors.

Bien avant l’arrivée des musiciens sur scène, le public nombreux et impatient réuni dans la très belle salle de la Bourse du travail à Lyon, appelait Enrico à grand bruit en scandant son nom, impatient de commencer la fête.

Quand enfin les musiciens sont venus se placer, dès les premières notes de musique et l’apparition au fond de scène de l’artiste, il a été évident que non, rien n’avait changé malgré toutes ces années.

Enrico, souriant et détendu, a rappelé aux Lyonnais combien cette ville où il avait débuté il y a bien longtemps lui était chère et combien de souvenirs il avait avec les Lyonnais.
Il a aussi tenu à honorer tout spécialement ce soir ses fans les plus fidèles qui le suivent dans tous ses concerts à travers le monde, et un grand moment d’émotion est passé parmi eux lorsqu’il les remerciés un à un.
Il a enfin dédié cette soirée à une délégation venue spécialement du Turkménistan pour l’entendre chanter et lui apporter en présent un magnifique tapis de leur pays à son éphigie. En remerciement, il leur a réservé la surprise au cours du spectacle de leur interpréter quelques mesures d’enfants de tous pays en russe.

Le cadre posé, la fête a pu battre son plein et, au propre comme au figuré, le thermomètre a vite grimpé dans la salle où la chaleur des sunlights a fusionné avec celle des cœurs pour produire une alchimie chaque fois renouvelée.

Tous les standards maciasiens ont été repris en cœur par la salle surchauffée et comme toujours la fête s’est poursuivie debout devant la scène à danser et chanter pour le plus grand plaisir de tous, celui d’Enrico n’étant pas le moindre. C’est une belle image de bonheur collectif qu’il est donné de contempler et de vivre à chacun de ses concerts et nous en redemandons encore et encore. la fête se termine toujours trop vite et on voudrait la voir se poursuivre la nuit durant.

Si la communion totale entre Enrico et son public est évidente, il faut aussi souligner la grande complicité qui règne entre l’artiste et son orchestre constitué de musiciens de très grand talent,  tous à l’écoute du Cheikh et prompts à le suivre dans toutes ses improvisations prévues ou spontanées. Un grand merci à Kamel, Bruno, Thierry, Abdenour, Amar, Serge et Karim, nouveau venu dans le paysage maciasien qui remplace Henri pendant son absence.  Nous envoyons à ce dernier toutes nos pensées les plus sincères, souhaitant son retour très prochain.

Merci Enrico pour cette belle soirée dont nous garderons longtemps le souvenir. Nous vous souhaitons un bel été et attendons avec impatience la rentrée où de belles surprises nous attendent.

La liste des chansons

Rien n’a changé
Quand les femmes dansent
Adieu mon pays
Le voyage
Aux talons de ses souliers
Pour toutes ces raisons
Les gens du nord
Medley (Paris tu m’as pris dans tes bras, Les millionnaires du dimanche, mon cœur d’attache)
Juif espagnol
Aie aie aie je t’aime
Un berger vient de tomber
La vie populaire
Les filles de mon pays
le violon de mon père
Medley final ( ya rayah, Aware, El belarej,
L’oriental, Yerushalaim shel Zahav, El Porompompero)
Le mendiant de l’amour

 

 

 

 

 

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Le chantre de la musique arabo-andalouse est de retour à Lyon pour un concert dominical à la Bourse du Travail.

« Allô, c’est Enrico ». Avec un tel accent et une voix aussi chaleureuse, le chanteur n’a pas besoin de préciser son patronyme. Enrico Macias appelle depuis sa maison dans le sud, pour parler de son concert de dimanche à la Bourse du Travail.

Comment fait-on pour choisir un répertoire de scène, quand on a autant de chansons ?

Ah, c’est assez difficile. J’ai un peu l’impression d’être le sélectionneur de l’équipe de France. En fait, je les choisis en fonction de mon humeur, de mes envies, et je calcule pour que ça fasse entre une heure trois quart et deux heures…

Il y en a quand même que vous êtes obligé de chanter, non ?

Oui, il y a des incontournables : « Les Gens du Nord », « Adieu Mon Pays », « Aux Talons de ses Souliers »… Ces chansons, je ne peux pas y échapper, ce sont les fondations de ma carrière et de mon répertoire.

C’est un exercice obligé ?

En enregistrant mon album de duos il y a trois ans, on a retravaillé tous les arrangements. Ça leur a donné une nouvelle jeunesse ! Et ça nous a donné un nouveau plaisir à les chanter.

On vous connaît comme le chanteur de la musique arabo-andalouse. Est-ce que vous aimez aussi d’autres musiques ?

Bien sûr, j’aime beaucoup de musiques. Mais je suis né dans la musique arabo-andalouse. Mon père était violoniste dans l’orchestre de Cheikh Raymond, qui, plus tard, est devenu mon beau-père. Notre famille est constituée de musiciens depuis des générations. Nos ancêtres étaient déjà des musiciens quand on était encore en Andalousie.

Alors, pour répondre à votre question, j’adore la musique tzigane, ou le flamenco. J’adore les folklores, en fait.

Pourquoi les folklores ?

C’est la musique des origines. Même la musique classique s’est inspiré des folklores.

Par exemple, les berceuses que chantent les mères depuis la nuit des temps, ce sont les musiques de la terre.

Elles viennent des gens, de leur cœur.

Jouer à Lyon, ça vous rappelle des souvenirs ?

Oh oui, je me souviens de mon premier concert, aux Célestins. On m’avait dit que les Lyonnais étaient froids et distants et je me suis retrouvé devant une salle avec une ambiance explosive ! C’était la première fois que je voyais ça.

Ensuite, vous êtes revenus souvent…

Oui, j’ai beaucoup chanté au Palais d’hiver. J’adorais travailler avec le directeur, Roger Lamour. On était tellement bien accueillis. Lyon est devenue une ville très importante dans ma carrière, autant que Paris et Marseille. Je suis comme le train PLM !

Ce dimanche 14 juin à 18 heures

à la Bourse du Travail, 205, place Guichard, Lyon 3e. De 31 à 43 €.

Recueilli par T. M.

Le Propres : http://www.leprogres.fr/sortir/2015/06/13/enrico-macias-lyon-est-une-ville-tres-importante-dans-ma-carriere