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Nous vous avions annoncé il y a quelques jours la participation d’Enrico Macias en tant que Guest Star dans la spéciale de « Nos chers voisins fêtent Noël » l 26 décembre prochain

 

Voici, en avant première, les photos de notre artiste dans son rôle de cambrioleur ……….

Il a l’air de bien s’amuser !

 

Alors Rendez vous le 26 décembre 2014 !

 

 

 

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[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=jjxj8a1jxpU[/youtube]

Dimanche 10 aout 2014 au théâtre de verdure Un immense merci à Magali Bonomi pour ces images de très grande qualité Et un merci tout spécial pour Muriel qui a retrouvé cette vidéo qui nous avait échappée

IMG_2101-630x050 ans de carrière pour celui qui vient de faire chavirer, ce dimanche après-midi le Centre Prévert de Villeparisis. Enrico restera Enrico… dans le coeur des gens.

Enrico Macias a enchanté le dimanche après-midi de bon nombre de fans. Un Centre Jacques Prévert sous le charme et qui visiblement avait des fourmis dans les jambes pour accompagner debout ou en dansant celui qui fêtait ses 50 ans de chansons.

Un beau moment, rythmé à souhait avec les anciens tubes et quelques incursions dans la musique arabo-andalouse fort bien venue. Avec beaucoup de gentillesse, le chanteur s’est appuyé sur le public pour lui donner l’occasion de fredonner des chansons qui ont traversé les époques.

Seule petite faute avec le “”s” persistant mis par le chanteur à chaque prononciation de Villeparisissssss.. Mais vraiment pas très grave Monsieur Maciassssss le public a passé un excellent moment. Un joli moment comme vous nous l’aviez annoncé dans les colonnes de La Marne ce dernier mercredi.

Article paru sur le site www.journallamarne.fr

http://www.journallamarne.fr/2014/11/23/concert-enrico-macias-enchante-le-centre-prevert-de-Villeparisis/

 

 

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De retour de Sao Paulo au Brésil et avant de partir demain pour l’Egypte, c’est dans les très belles salles « Ravel » à Levallois-Perret et « Jacques Prévert » à Villeparisis, qu’Enrico Macias avait donné rendez vous ce week end à son public.

Et c’est salle comble qu’il a chanté les deux jours dans une ambiance chauffée au soleil des youyous et de l’amitié.

Imaginez que notre chanteur préféré réussit l’exploit de rassembler dans une même salle des fans venant des 4 coins de la France mais aussi de partout dans le monde. Que ce soit de Hongrie, Crête, USA, Bulgarie, Roumanie, Belgique, Maghreb, et certaines fois même du Japon, ils prennent tous l’avion sans hésitation aucune pour le seul plaisir d’entendre le maître chanter et de partager avec lui ces instants de communion intense et chaleureuse.

Nous vous l’avons souvent décrit dans ces pages

« C’EST LE MIRACLE MACIASIEN »

Et qu’il était doux pour tous ceux qui étaient présents ces deux jours de voir le sourire et le bonheur rayonnants d’Enrico sur la scène.
Qu’il était doux de savourer le son si particulier de son indissociable compagne, sa lampe d’Aladin, sa fidèle guitare qui égrène ses notes cristallines au fil de la course agile et légère des doigts du maître.

Il faut rendre hommage aussi au grand talent de chacun de ses musiciens. Kamel (au violon alto), Thierry (à l’accordéon), Henri (à la basse), Bruno (à la guitare),  Hafid et Abdenour (à la mandole et à la guitare), Amar (aux percussions), Serge (à la batterie) accompagnent avec beaucoup de générosité et une grande virtuosité notre chanteur préféré dans tous ses refrains les plus populaires mais sont aussi très attentifs et réactifs à chaque improvisation de l’artiste qui est prompt à s’éloigner des sentiers tous tracés.

Et c’est avec les « Enfants de tous pays », « quand les femmes dansent », que nous avons fait le plus beau de tous les voyages.

De Constantine à Paris, de la valse légère aux accents douloureux du Malouf, nous avons suivi les traces maciasiennes aux talons de ses souliers comme un grand pont de fraternité et de paix entre l’orient et l’occident.

Et comme à chacun de ses concerts, nous avons tous fini au pied de la scène pour danser aux accents du « mendiant de l’amour » et de « l’oriental », pour faire la fête et s’étourdir de ces moments si particuliers dans le cœur de chacun.

Enrico, nous ne saurons jamais vous remercier assez pour ces moments de bonheur qui passent malheureusement toujours trop vite et qu’on voudrait voir se poursuivre à l’infini.

Notre prochain rendez vous sera à l’Olympia sur le boulevard des Capucines les 13 et 14 janvier 2015.

Tous les fans « du premier rang » seront là, comme au long de ces 52 années passées et encore pour les 52 années à venir …………….

 

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Ce n’est pas un scoop en soi. Nous vous avions déjà annoncé cet évènement il y a de nombreux mois

Enrico Macias sera, comme il l’a promis, à l’Olympia

les 13 et 14 janvier 2015

Mais voici la nouvelle affiche que vous pouvez retrouver sur le site de l’Olympia

et ou vous pouvez dès à présent, si vous ne l’avez déjà fait, réserver vos places

 

http://www.olympiahall.com/variete-francaise-disco/enrico-macias.html

 

 

 

 

 

Image-14-630x0Enrico Macias vient enchanter le centre Prévert de Villeparisis dimanche 23 à 15h30 pour ses 50 ans de carrière. Voir l’interview dans le journal de mercredi.

Vous êtes de ces artistes qui font partie de notre patrimoine. Alors Enrico, entre la Tour Eiffel et l’Arc de Triomphe où vous situez-vous ?
(Rire franc) Oh là, là… c’est vraiment trop d’honneur que vous me faites. Cela me fait plaisir tout de même. Remarquez, 52 ans de carrière c’est un sacré chemin parcouru non ?

La raison de cette longévité ne vient-elle pas de votre sincérité et authenticité ?
Ah, c’est une question qui demande un peu de réflexion… (Silence) Il y a une sincérité vis-à-vis du public, de ma maison de disques, des enregistrements mais … (nouveau temps de réflexion) je n’ai jamais fait de concession vis-à-vis des phénomènes de mode car c’est le meilleur moyen de disparaître avec elle dans le temps. J’ai suivi le chemin que je devais prendre, simplement.

Vous avez chanté « je suis partout où les hommes ont besoin de parler à quelqu’un ». Votre bonheur est-il dans ce simple rapprochement avec les êtres ?
C’est une question philosophique… (sourire) Disons que le silence est le plus grand des mépris, c’est un vrai mur qui empêche de communiquer. Dans notre existence, plus on se parle et moins il y a de problème.

Vous êtes un chanteur à messages. Quel est celui que vous martelez encore aujourd’hui avec force de conviction ?
Le premier message est celui de l’amour, vecteur de l’humanité qui permet de mieux comprendre les autres
avec un souci de tolérance. Je n’ai jamais dévié de cette ligne. L’amour est avant tout la seule issue pour arranger
tous les problèmes. Le terme amour a été galvaudé par ceux qui ont oublié l’essentiel. Pour moi, l’amour est
l’énergie et le moteur de l’humanité.

Vous considérez-vous comme un artisan ou un soldat de la musique ?
Ah non… (silence) C’est vrai, je suis un soldat qui chante.

Le terme artisan, pris dans son sens le plus noble, vous dérange-t-il ?
(Net) Oh que non ! Je suis et demeure un artisan. Vous savez, j’ai un respect contemplatif pour les artisans. Je peux passer des heures à regarder travailler un artisan sur ma guitare. Après, je suis aussi un artisan en assemblant mes chansons. C’est un beau terme et une bien jolie question à deux facettes.

Photo Benjamin Marciano

(Voir suite de l’interview dans le journal du mercredi 19 novembre)

article paru : http://www.journallamarne.fr/2014/11/20/artiste-enrico-macias-dimanche-a-villeparisis/

imagesActuellement circulent sur le net, et sur Youtube notamment, des informations annonçant des concerts d’Enrico Macias

– à Brooklyn

– et à Haiti

En tant que fans, et après prise d’informations auprès de personnes de confiance proches de monsieur Macias, nous tenons à informer nos lecteurs que ces informations sont totalement erronées

Attention aux arnaques !!!!!!!!!!!!!!!!

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Septiembre 17, 2014

texto y fotos. Oliver Meixner

El cantante francés visita Panamá.
¿Hay alguna canción que espontáneamente te haga sacar lágrimas? La Mama, de Charles Aznavour, me conmueve mucho. Me hace pensar en mi madre y en mi abuela; una mamá no se reemplaza.
Y at-il une chanson qui vous fait monter spontanément des larmes? La Mama de Charles Aznavour, me bouleverse . Elle me fait penser à ma mère et ma grand-mère; une maman n’est jamais remplacée.
¿De dónde sacas energía para perdurar más de 50 años en la música y en primer plano? Haber llegado a mi edad con salud ya es un gran privilegio. ¿Cómo explicar que dure tanto? De joven no sabía que iba a alcanzar esto, pero cuando me levantaba por la mañana no podía concebir mi vida sin la música, sin público; por eso desde siempre lo he dado todo para estar en un escenario. Y claro, con la ayuda de Dios y el público.
Où puisez-vous l’énergie pour rester au premier plan plus de 50 ans dans la musique ? Avoir atteint mon âge avec la santé est un grand privilège. Comment expliquer que je dure aussi longtemps? Jeune je ne savais pas que j’ allais y parvenir, mais quand je me levais le matin je ne pouvais pas imaginer ma vie sans la musique, loin du public; donc j’ai toujours tout donné pour être sur scène. Et bien sûr, avec l’aide de Dieu et du public.
 
 ¿Tu primer instrumento? Mi padre era un gran violinista. Sobre su cama había una mandolina; un día que me dejaron solo en casa agarré el instrumento, que por suerte estaba afinado, comencé a tocar una cuerda, después dos, y al final de la semana sabía tocar todas las melodías que me conocía. Es un don. Con la guitarra igual, apenas la tome en mis manos supe tocarla.
Quel a été votre premier instrument? Mon père était un grand violoniste. Au dessus de son lit était accrochée une mandoline; un jour où j’étais seul à la maison j’ai saisi l’instrument, qui, heureusement, était accordé. J’ai commencé à jouer un accord, puis deux, et à la fin de la semaine je pouvais jouer toutes les chansons que vous me connaissez. C’est un cadeau. Avec la guitare ainsi, il a suffi de la prendre dans mes mains et je savais toucher.
Eres una de las grandes figuras de la música francesa, ¿como hiciste para no perder la cabeza? Nunca perdí los estribos; he tenido muchos sufrimientos y dolores en mi vida, muchas alegrías y mucho éxito. Cuando comparas el placer de la alegría y del éxito con el sufrimiento y el dolor, piensas que no tienes derecho de perder la cabeza.
Vous êtes l’une des grandes figures de la musique française, comment avez-vous perduré ? Je n’ai jamais perdu mon sang-froid; J’ai eu beaucoup de souffrances et de douleurs dans ma vie, beaucoup de bonheurs et de succès. Lorsque vous comparez le plaisir des joies et des succès avec la souffrance et la douleur, vous pensez que vous n’avez pas le droit de perdre la tête.
¿Cantante popular o músico árabe-andaluz? Los dos. Mi primer maestro fue Cheikh Raymond Leyris, que dirigía una orquesta de música arábe-andaluza. Cuando lo asesinaron me sentí huérfano e hice un break  de 50 años con la música popular. En mis espectáculos siempre hay una parte dedicada a esa música.
Chanteur ou musicien arabo-andalou populaire? Les deux. Mon premier professeur était Cheikh Raymond Leyris, qui a dirigé un orchestre de musique arabo-andalouse. Quand il a été assassiné, je me suis senti orphelin et j’ai fait une pause de 50 ans, avec la musique populaire. Dans mes spectacles, il y a toujours une partie dédiée à la musique de mes origines.
Eres un artista comprometido…  Pienso que el arte y mis compromisos sociales o políticos son dos cosas diferentes. Si hago una mala canción, es malo para mi carrera, pero no es malo tener una opinión. Además, lo único que quiero es la felicidad de los otros. Me han dado tanto que quiero que todos la encuentren.
12sept-conversa3-webVous êtes un artiste engagé je pense que mon art et mes engagements sociaux et politiques sont deux choses différentes. Si je fais une mauvaise chanson, c’est mauvais pour ma carrière, mais ce n’est pas mauvais d’avoir une opinion. D’ailleurs, tout ce que je veux, c’est le bonheur des autres. Ils m’ont donné tellement que je veux que chacun puisse le trouver.
 
Si nuestros lectores quisieran descubrir a Enrico Macias, ¿qué tienen que escuchar? La primera canción que les aconsejaría es Enfants de tout pays (Niños de todos los países), la segunda es Adieu mon pays (Adiós a mi país), para que entiendan que soy un símbolo del exilio; soy un desplazado. También podrían escuchar mis canciones sobre el Medio Oriente, Navidad en Jerusalén. Y claro, están las canciones de amor… el amor, la energía de la humanidad.
Si nos lecteurs ont envie de découvrir Enrico Macias, qu’est-ce que vous écoutez ? La première chanson que je recommande est  Enfants de tous les pays, le second est Adieu mon pays (Adieu mon pays), alors vous comprenez que je suis un symbole de l’exil; Je suis une personne déplacée. Ils pourraient aussi entendre mes chansons sur le Moyen-Orient, Noël à Jérusalem. Et bien sûr, il y a les chansons d’amour l’amour de l’énergie de l’humanité.
Y para terminar, ahora, con una varita mágica, ¿adónde irías a comer? Pastrami en Nueva York. El pastrami, todos los pastramis son Buenos.
Et enfin, maintenant, avec une baguette magique, où iriez-vous manger ? Pastrami de New York. Le pastrami, tous les pastramis sont bons.
Perfil: Enrico Macias es un monstruo sagrado de la música francesa, al mismo nivel que Brel, Brassens o Aznavour. Es autor, compositor, cantante y actor. Nace en una familia de músicos judíos de Constantine, Argelia, e integra muy joven la mítica orquesta árabe-andaluza de Cheikh Raymond Leyris. La guerra de independencia y el asesinato de su padrastro mandan a toda su familia al exilio. Su primer éxito lo obtiene cuando ilustra un reportaje sobre los exiliados con la canción ‘Adieu mon pays’ (Adiós mi país) y desde entonces nunca ha dejado de estar en primer plano. Es un cantante comprometido, con Francia, con Israel y con la paz. En 1980, Kurt Waldheim (secretario general de las Naciones Unidas) le otorgó el premio Cantante por la Paz.
 « Profil: Enrico Macias est un monstre sacré de la chanson française, au même niveau que Brel, Aznavour ou Brassens. Il est auteur, compositeur, chanteur et acteur. Né dans une famille de musiciens juifs à Constantine, en Algérie, il intègre très jeune le mythique Orchestre arabo-andalou de Cheikh Raymond Leyris. La Guerre d’Indépendance et l’ assassinat de son beau-père a propulsé toute sa famille en exil. Son premier succès a été obtenu en illustrant une histoire sur les exilés avec la chanson «Adieu mon pays» (Adieu mon pays) et, depuis, il n’a jamais cessé d’être au premier plan. Il est un chanteur engagé, avec la France, Israël et la paix. En 1980, Kurt Waldheim (secrétaire général de l’ONU) lui a donné le titre de «  Chanteur pour la paix. »

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Enrico Macias , après la sortie de son nouveau livre « L’envers du ciel bleu » dans quelques jours

 

va reprendre sa valise et sa guitare pour continuer de transmettre son message et sa joie de vivre

 

C’est à Sao Paulo qu’il sera en concert le 10 novembre 2014

 

Gageons que les Brésiliens sauront lui faire la fête comme il le mérite

 

https://coletivojudaico.wordpress.com/2014/09/15/kkl-brasil-realiza-jantar-de-gala-anual-com-apresentacao-do-cantor-enrico-macias/