la-grande-motte-enrico-macias-baptise-sa-salle-de-spectacle_556499_510x255MM. Rossignol et Macias inaugurent la salle. (J. N. )    

La cinquième salle Enrico-Macias a été inaugurée au Pasino !

Et de cinq ! Enrico Macias a inauguré samedi en début de soirée à La Grande-Motte la cinquième salle de spectacles portant son nom au coeur des Pasinos du Groupe Partouche. Accompagné du maire Stéphan Rossignol, le chanteur populaire, fort de 51 ans de carrière, a dévoilé la plaque et coupé le ruban, lors d’un moment de convivialité.

A chaque Pasino, sa salle Macias !

« Chaque fois qu’Isidore Partouche a construit un Pasino, il a tenu sa parole en baptisant la salle de spectacle de mon nom. Je suis très surpris et très touché. Je resterai dans les mémoires, cela veut dire que j’aurai marqué mon passage », disait Enrico Macias. Entre une pause photo et un bisou à ses plus grandes admiratrices, Enrico Macias, déjà venu plusieurs fois dans la région, a parlé de ses amitiés avec l’ancien Président Nicolas Sarkozy : « Je considère que c’était l’homme de la situation pour régler les problèmes de la France, même si ce n’est pas mon idéologie politique. Il ne m’a jamais déçu et a toujours tenu ses promesses. Je le vois encore régulièrement. »

La pluie s’est arrêtée

Ce discours ne pouvait que plaire à Stéphan Rossignol, maire UMP de la cité balnéaire : « Il a toujours soutenu Nicolas Sarkozy, dans les bons et les mauvais moments. Pour Enrico, l’amitié n’est pas un vain mot. » Restait alors à Enrico Macias a monté sur scène : « Dès que je vais commencer à chanter, il ne pleuvra plus », plaisantait-il. Et soudain, la pluie s’est arrêtée de tomber…

sacre-enrico-macias_295217_516x343PHOTO/© D.R

La Grande-Motte. De même que Depardieu ne saurait être résumé à ses récentes frasques, il serait dommage de ne retenir d’Enrico Macias que l’enthousiasme de ses convictions politiques (‘Ah c’qu’elles sont jolies les filles de Sarkozy !’, un soir de victoire place de la Concorde ou plus récemment à nos confrères du Parisien : ‘Sarkozy reviendra et sauvera la France’). Ses idées ne concernent que lui quand son répertoire… nous touche, tous ! Immense vedette internationale depuis le milieu des années 60, Enrico Macias s’était un peu laissé aller à la facilité de la variété dans les années 80 et 90, mais grâce aux conseils de son fils, il a renoué avec les cimes artistiques (et avec la musique arabo-andalouse). Oranges amères (2003), La Vie populaire (2006) et Voyage d’une mélodie (2011) sont des albums très sincèrement magnifiques, remarquablement joués et enjoués, et chantés avec un enthousiasme pour le coup irrésistible ! Pour fêter ses cinquante ans de carrière, il vient de publier ‘Venez tous les amis’, un disque de duos anodin, mais on lui pardonne (allez, tout !) et on court l’applaudir ! Samedi 6 avril, 20h30, au Pasino. Tarifs : de 39€ à 43€. T. 04 67 56 46 46.

 

Article paru sur « L’indépendant » : http://www.lindependant.fr/2013/04/05/sacre-enrico-macias,1742673.php

enricolyon2013 C’est avec son public lyonnais qu’Enrico Macias fêtait hier soir ses cinquante ans de carrière dans la très belle salle de l’Amphithéatre.

D’ailleurs, Enrico n’a pas manqué de rappeler ses débuts dans cette ville au palais d’hiver …….. Non, il n’a pas oublié

C’est un beau et chaud soleil de l’amitié qui a brillé hier soir sur Lyon fort apprécié compte tenu du vent glacial qui sévissait à l’extérieur.

Et c’est aux accents nostalgiques du « violon de mon père » que la soirée s’est ouverte rappelant le pays perdu mais invitant inévitablement à la fête. Les refrains se sont alors succédés au son de la guitare et de la voix inimitables d’Enrico recréant une fois encore la magie de la si belle complicité qui lie l’artiste et son public.

C’est un Enrico en pleine forme, souriant et blagueur, qui a donné la pleine mesure de son talent une fois encore

Dans un seul coeur la salle a repris tous les refrains qu’il aime :
Oh guitare, guitare
Adieu mon oays
Paris tu m’as pris dans tes bras
Les gens du nord
Aux talons de ses souliers
Vous les femmes
Quand les femmes dansent
Aie aie aie
Juif espagnol
Adio kerida
Un berger vient de tomber
Le grand pardon
Les filles de mon pays
Medley arabe
Ya rayeh
Le mendiant de l’amour
L’oriental
El porompompero

Il ne faut pas oublier de remercier les musiciens d’Enrico toujours aussi excellents pour suivre le maître dans ses rythmes les plus endiablés
Kamel Labbaci au violon
Abdenour Djemai à la guitare
Hafid Djemai à la mandole
Serge Haouzi à la batterie
Henri Daguerre à la basse
Sébastien à l’accordéon
Bibi aux percussions

Merci Enrico pour ces beaux moments de communion qui passent malheureusement toujours trop vite.
Nous t’aimons tous et tu n’es pas seul au monde

 

 

 

Il y a déjà quelques temps, nous vous annoncions la tournée américaine 2013 d’Enrico

 

Voici L’affiche et les informations concernant les USA

 

Il faut y rajouter trois dates au Canada

Les 1er et 2 juin à Montréal

le 4 juin à Toronto

 

VENEZ TOUS MES AMIS !!!!!!!!!

 

join together to celebrate 50 years of music with the legendary Enrico Macias whose music has inspired and touched millions around the world.

Let’s unite as ONE to salute the man who has been appointed by the United Nations as the Ambassador of Peace to the world.

Enrico Macias USA Tour – a show that can not be missed.

 

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xy41xt_enrico-macias-chante-pour-l-o-s-e-de-casa_people#.UT4T_j_LSUk[/dailymotion]

Le 9 mars 2013 Enrico Macias offrait à Casablanca un concert pour les œuvres caritatives de l’association O.S.E. de Casablanca

SAVE THE DAY !!!

ENRICO MACIAS USA TOUR 2013

Los Angeles Thursday 6 june 2013 at SABAN THEATER 800pm

New York  Sunday 9 june 2013  at TOWN HALL 730pm

FOR TICKETS & INFORMATION PLS CALL MOSHE NOY at 310-2023100

mnoyshows@gmail.com

Retenez votre soirée pour la tournée d’Enrico Macias aux USA

Los Angeles Jeudi 6 juin 2013 au SABAN THEATER 20h

New York  Dimanche 9 juin 2013  au TOWN HALL 19h30

Pour les réservations et toute information Contacter MOSHE NOY : Tel 310-2023100

Mail : mnoyshows@gmail.com

 

Pour tous nos amis québécois, voici une excellente nouvelle !

Enrico Macias qui chante à Montréal début juin 2013 a rajouté une deuxième soirée de concert à la Place des Arts

 

Vous aurez donc la chance de pouvoir l’applaudir

Samedi 1er juin 2013 à 20h00

Dimanche 2 ,juin 2013 à 20h00

 

Nous penserons très fort à vous ces deux soirs la !

 

Merci à nos fidèles amies Louise et Lisette qui nous ont communiqué l’information

 

 

Vendredi 8 février 2013 se déroulera, en direct du Zenith, la cérémonie des VICTOIRES DE LA MUSIQUE 2013

La soirée est retransmise sur France 2 à partir de 20h45

Enrico Macias recevra une Victoire d’honneur pour ses 50 ans de carrière

en compagnie de Sheila et Salvatore Adamo

Véronique Sanson sera également fêtée pour ses 40 années de carrière

 

 Pour ses 50 ans de carrière, Enrico Macias a sorti un album composé de duos, dont un avec la magnifique Carla Bruni, intitulé Venez tous mes amis, qui réunit quatorze de ses grands succès interprétés par de nombreuses célébrités de la chanson. Et si Carla Bruni n’est pas montée sur la scène de l’Olympia aux côtés du chanteur, elle était néanmoins dans la célèbre salle parisienne le mardi 22 janvier dernier lorsqu’Enrico célébrait son demi-siècle de carrière à l’occasion d’un concert unique et exceptionnel…

En effet, Carla a préféré observer le show depuis la salle en compagnie de son époux, l’ancien président français Nicolas Sarkozy. Le couple, aux premières loges, s’est largement laissé gagner par la bonne ambiance qui régnait dans la salle. Il faut dire qu’Enrico a partagé plus d’un duo explosif durant la soirée… Le couple aurait même chanté en coeur avec le public !

En novembre dernier, l’artiste à la bonne humeur communicative s’était déjà entouré d’une foule de personnalités sympathiques et talentueuses dans l’émission Vivement Dimanche. Le célèbre chanteur originaire de Constantine en Algérie a de nouveau pu compter sur leur présence sur la scène de l’Olympia mardi soir.

Aux côtés de la superbe Sofia Essaïdi, le chanteur de 74 ans semblait plus épanoui que jamais. Les deux artistes affichaient une complicité sans limite sur scène avant que Riff Cohen ne prenne la place de la belle Sofia.

Alors qu’il s’exprimait il y a peu sur la polémique concernant le départ de Gérard Depardieu pour la Belgique, Enrico a également chanté en duo avec Liane Foly, Dany Brillant, Gérard Darmon, Dani, Bruno Mamann, Mickaël Miro ou encore le jeune chanteur Toma.

Du 7 au 9 septembre dernier, Enrico Macias se produisait déjà sur la mythique scène de l’Olympia, rejoint par nombre des invités présents ce mardi soir ainsi que par quelques membres de sa famille.

L’homme de scène a encore partagé sa bonne humeur, ses musiques entraînantes et son sourire contagieux avec son public

 

Article paru sur le site de Pure People : http://www.purepeople.com/article/enrico-macias-complice-avec-la-belle-sofia-essaidi-devant-le-couple-sarkozy_a114426/1

Enrico Macias, Paris, mars 2012. © LIONEL BONAVENTURE / AFP

Enrico Macias vient de fêter ses 50 ans de musique. Occasion pour le journaliste algérien Saïd Khatibi de lui rendre hommage, même si tout les oppose.

Cher Enrico,

Je vous écris ce matin tout en écoutant le disque de l’un de vos concerts maalouf. Votre voix constantinoise, profonde, votre cri et votre mélodie me font penser, ou plutôt rêver d’une Algérie plurielle, tolérante, fraternelle, cosmopolite où juifs, chrétiens et musulmans coexistent, comme avant, en paix.

En vous écoutant, j’essaie d’imaginer à quel point il serait beau, notre pays d’origine, s’il n’avait pas cédé à la tentation extrémiste et à la manipulation historico-politique.

Cher Enrico,

Entre vous et moi, il y a plus de quarante ans. Vous êtes de la génération de mon père, et moi celle de votre fils ou peut-être celle de votre petit-fils.

Vous avez vécu la Seconde Guerre mondiale, la guerre de libération, la vague de libération des pays du tiers-monde, et moi, je suis arrivé, plus tard, pour assumer, avec des millions de jeunes comme moi, la haine des uns contre les autres, vivre «la seconde guerre d’Algérie», la terreur des années noires, les massacres fratricides, et subir des échecs consécutifs de la période post-indépendance qui ne cessaient de se produire.

A l’école, on nous apprend: «Un juif, un ennemi!». S’agit-il de tous les juifs? de Juda Ibn Quraysh à Daniel Timsit, Reinette l’Oranaise et les autres?

La violence a coutume d’engendrer la violence. En tant qu’un jeune qui s’éloigne, de plus en plus, du jeu malsain du système, je vous ai toujours considéré comme une voix, surtout une voix et une musique réconciliatrice, qui traverse toute la machine de «haine de soi, haine de l’autre».

Une musique singulière, qui nous rapproche l’un de l’autre, qui fait face aux ennemis du dialogue, de la tolérance.

Cher Enrico,

Vous et moi, nous ne sommes pas d’accord sur maints sujets politiques. Nous sommes sur deux chemins différents.

Vous préférez reconnaitre et adhérer à une logique politico-idéologique, et moi, je garde mon engagement comme un apolitique. C’est votre liberté de conscience. Une conscience épanouie amène généralement à un bonheur continuel.

Vous êtes d’une rive politique, et moi d’une autre, mais, cela ne nous empêche pas d’être amis, et de continuer de vous écouter et de vous solliciter de me faire croire que notre Algérie, celle que vous chantez, serait un jour mieux que celle d’aujourd’hui.

Peut-être avec un peu de recul, et au fur et à mesure, notre regard change, et nos croyances bousculent, mais ce qui est sûr, le lien qui nous attache dépasse tout malentendu, tout un conflit provoqué par deux visions divergentes, il y a un lien identitaire, un autre historique, puis culturel qui me pousse à dire clairement, de mon point de vue que je partage avec de milliers de jeunes Algériens: tu es juif mais ton algérianité est indiscutable. 

Cher Enrico,

L’exil, une notion que vous comprenez parfaitement. Vous l’avez bien décrite dans Adieu mon pays. Et dans un répertoire musical qui s’étend sur cinquante ans. En terre d’exil, la joie manque de charme. Et les pires exils sont intérieurs.

La patrie ne vous a pas pardonné votre «différence». L’histoire du pays de Lala Fatma N’soumer vous a mis sur une liste d’attente, une attente qui s’allonge et qui se poursuit depuis 1962.

L’Algérie qui vous a rejeté hier, c’est la même qui rejette ses propres enfants aujourd’hui. Le drame est là, dans «une ingratitude annoncée», cinquante ans d’Indépendance ne nous a fait que sentir, de plus en plus, à quel point nous sommes exilés en notre terre natale.

Cher Enrico,

Derrière toute une vérité, il y a un mensonge, et derrière tout mensonge, il y a certainement une vérité. L’histoire, avec «h» ou bien «H», est là pour faire témoin de nos erreurs, de nos gloires manquées.

Demain, avec tout le changement qui touche la région arabe, avec tous les espoirs qui naissent, nous aurons «droit de rêver» de retrouver l’Algérie changer vers le meilleur, et se réconcilier avec son passé, et vous voir, avec votre guitare, à Constantine réaliser votre rêve, vous recueillir sur les tombes de vos ancêtres et chanter votre maalouf que des millions d’Algériens, comme moi, écoutaient, tous les jours.

Cher Enrico,

Après cinquante de carrière, j’aimerais vous dire merci, tout simplement merci, pour tous les bons moments que vous nous avez offerts. Une cinquantaine d’années de musique qui ont bel et bien commencé à Constantine, aux cotés de Cheikh Reymond, que j’aurais aimé fêter, en votre présence, dans les rues de cette ville millénaire.

Saïd Khatibi

 

Article paru sur : SLATE AFRICA

Pour fêter ses cinquante ans de carrière, fidèle à lui-même, Enrico Macias a voulu être entouré de sa famille et de tous ses amis.

A cette fin, et avec le concours de son fils Jean Claude qui  a assuré les arrangements, il a invité ses amis chanteurs, connus et moins connus, à reprendre avec lui ses plus grands succès de ces 50 années. C’est ainsi qu’est né son dernier album « Venez tous mes amis » sorti dans les bacs le 12 novembre 2012 et proposant 17 duos inédits.

Le cœur toujours généreux, Enrico avait réservé la primeur de certains de ces duos à son fidèle public lors d’une première fête à l’Olympia en septembre 2012 (voir nos articles sur cet évènement)

Mais il voulait réunir tout le monde pour son jubilé et c’est à un nouveau rendez-vous  boulevard des Capucines qu’il nous a conviés ce mardi 22 janvier 2013.
D’ailleurs, le public ne s’y est pas trompé, sachant instinctivement qu’il s’agissait d’une fête hors du commun, et c’est à guichet fermé que s’est déroulé le concert. Du premier rang jusqu’au dernier strapontin tout en haut du balcon, pas une place n’était libre.

Pour débuter la soirée, nous avons pu apprécier deux jeunes talents très prometteurs : Nill Klemm, chanteur compositeur qui a représenté la Suisse au dernier concours de l’Eurovision, et Riff Cohen que nous allions retrouver plus tard aux cotés d’Enrico et qui nous a donné à découvrir son univers musical, pétillant et rythmé, mis en valeur par une très belle voix.

Mais c’est pour une soirée de fête « maciasienne » que le public avait bravé le froid et la neige et après un court entracte, il a commencé à s’impatienter : « Enrico ! Enrico ! Enrico ! ». Alors les lumières se sont éteintes, le rideau s’est ouvert et l’orchestre au grand complet a entamé l’intro ; « C’est un livre d’histoire le violon de mon père …… »

Et à l’instant même où la salle a aperçu la belle chevelure blanche poindre derrière les musiciens, comme un raz de marée galopant,  l’acclamation de la salle est montée pour porter jusqu’à la scène tout son bonheur d’être à nouveau réunie avec son chanteur préféré. Costume sombre et chemise blanche, un sourire radieux illuminant son visage, Enrico a salué son public avant d’attraper sa guitare pour égrener les premières notes de la fête.

Si le spectacle était monté sur la même trame que celui de septembre 2012, il nous a toutefois réservé de magnifiques surprises tout au long de la soirée.
La première d’entre elle s’est incarnée sous les traits de la charmante Sofia Essaidi qui, avec beaucoup de maestria, a marié sa voix à celle d’Enrico pour nous offrir une version de « Paris tu m’as pris dans tes bras » légère, élégante et  tourbillonnante.
Malheureusement, Carla Bruni n’a pu accompagner  Enrico sur scène pour « les gens du nord » mais elle a tenu avec son mari à honorer l’artiste par sa présence dans la salle. Et c’est avec beaucoup d’enthousiasme que les spectateurs, debouts, ont ovationné l’ancien président de la république.
Troisième surprise, la main sur le cœur, la voix chargée d’émotion, les yeux perdus à l’horizon, Enrico a célébré « La France de mon enfance », et chacune des personnes présentes a ressenti cette émotion étreindre son cœur et mouiller ses yeux.
Ainsi, durant deux heures, les duos, tous époustouflants,  se sont succédés et chaque artiste, sans se départir de sa propre personnalité et sensibilité, a rendu un vibrant hommage à l’ami et l’artiste, joignant sa voix à la sienne pour éclairer d’un jour nouveau les tubes que nous connaissons tous par cœur.
Se sont succédés sur la scène Riff Cohen pour « aux talons de ses souliers », Liane Foly pour « mon cœur d’attache », Dany Brillant pour « les filles de mon pays », Cabra Casay pour « il reste aujourd’hui », Gérard Darmon pour « sans voir le jour », Dani pour  « Oumparere », Toma pour « Mon histoire c’est ton histoire », Bruno Maman pour « ces étrangers » et Mickael Miro pour « le mendiant de l’amour ».

Nous vous avons déjà loué certains d’eux en septembre et, si tous ont été superbes, nous voudrions mettre à l’honneur Liane Foly qui, avec une interprétation superbe, est devenue le nouveau cœur d’attache d’Enrico, Cabra Casay qui a mis son tempérament de feu au service d’  « il reste aujourd’hui ».
Et nous voudrions aussi remercier Bruno Maman d’être venu sur scène interpréter « ces étrangers » chanson qu’il a écrite spécialement pour Enrico. Ce duo interprété avec beaucoup de sensibilité et d’émotion a donné une vraie grandeur à cette chanson qui, n’en doutons pas, va trouver tout naturellement une place de choix dans le répertoire maciasien.

Evidemment il n’y a pas de concert d’Enrico Macias sans la fête orientale et la soirée s’est terminée comme à l’habitude debout devant la scène, dans une ambiance de folie, sur les incontournables medleys oriental et israélien, symboles de cette fraternité entre tous les peuples, pour trouver son apothéose avec « l’oriental » et « el porompompero ». Une fois de plus, malgré le froid polaire sévissant sur le boulevard des Capucines, le soleil de l’amitié a réalisé son miracle et mis le feu à la mythique salle de l’Olympia.

Mais comme toutes les autres fois, le temps s’est écoulé trop vite et l’heure de se séparer a sonné.
Répondant avec générosité aux rappels du public qui en voulait encore, Enrico nous a offert, à capella, « enfants de tous pays » avant que le rideau rouge ne se referme définitivement et que les lumières de la salle nous rappellent à la réalité.

Ce fut vraiment une magnifique soirée et, dans une forme éblouissante, accompagné de tous ses amis, Enrico, a offert à son public un somptueux cadeau.

MERCI ENRICO POUR CES 50 ANS DE BONHEUR !

Encore une fois, JOYEUX ANNIVERSAIRE !

D’ores et déjà, rendez-vous est pris pour les 11 et 12 janvier 2014 dans la même salle !

Mais entre temps, nous aurons le plaisir de vous suivre dans une tournée nationale et internationale notamment sur le continent américain.

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Vous pouvez revoir le très beau documentaire diffusé hier sur France 5 dans le cadre de la série « Empreintes »

en suivant ce lien

Malheureusement nos amis étrangers n’y auront pas accès

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xwvfdb_empreintes-du-18-01-a-21h34_tv?search_algo=2#.UPpBk2cmaSo[/dailymotion]