France 3 | 20h35 – Voilà 25 ans que Iolanda Cristina Gigliotti a décidé de mettre fin à ses jours. Ce soir, la chaîne publique rend hommage à Dalida, chanteuse qui a laissé derrière elle pléthore de tubes. De « Itsi bitsi petit bikini » à « Bambino », « Gigi L’amoroso » en passant par « Il venait d’avoir 18 ans » ou « J’attendrai », Dalida a interprété tantôt la joie, tantôt l’amour, tantôt la tristesse… Pour célèbre Dalida, Daniela Lumbroso a réuni sur son plateau moult artistes proposant ses plus grands tubes. Parmi eux, M.Pokora, Dany Brillant, Fabienne Carat ou encore Annie Cordy, Enrico Macias et Orlando, venus évoquer leurs souvenirs. À noter que l’émission proposera également des images personnelles de Dalida, rarement diffusées à la télévision, et permettra de retrouver Éric Charden, décédé le 29 avril dernier.

 

http://www.toutelatele.com/article.php3?id_article=40099&id_document=29878

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Enrico Macias était hier en concert à Jérusalem, avec la présence du président de l’Etat d’Israël Shimon Péres, mais aussi avec ses nombreux musiciens ainsi que la chanteuse Yasmin Lévy. Ensemble ils ont chanté des musiques en français, en hébreux et arabo-andalouses. Un spectacle plein d’émotion.

par infolivetv

De tous les concerts d’Enrico Macias auxquels nous pouvons assister, ceux qui se déroulent à Nice ont toujours un cachet très particulier.
Celui d’hier soir n’a pas fait exception. Et ce n’est pas la présence de Christian Estrosi, maire de Nice, au premier rang, qui y a changé quelque chose.

A l’image d’une vaste famille, du plus jeune au plus âgé, chacun voulait être au plus prêt du « chanteur de la famille » pour participer à la fête.
Dès les premières notes lancées par les musiciens d’Enrico, certains étaient déjà debout sur les côtés de la scène pour danser. D’autres, pour ne rien manquer du spectacle, sont venus s’asseoir par terre, au pied du premier rang.
Inutile de dire que chaque refrain a été repris en choeur par la salle. Enrico Macias s’est même fait fort de faire du Ladino la langue officielle de la soirée.

Moment d’émotion, lorsqu’un vieux monsieur est venu danser devant la scène avec beaucoup de légèreté et de dextérité « Aux talons de ses souliers » puis « le voyage » …
Et, bien avant l’heure habituelle, ce fut une marée déferlante aux pieds d’Enrico Macias. Chacun, de quelque génération qu’il soit, voulait faire la fête et communier avec le plus célèbre d’entre eux. Au grand dam, malheureusement, des spectateurs assis aux premiers rangs, qui n’ont pas du voir grand chose de la fin du spectacle.

Ainsi fêté et acclamé, Enrico, toujours accompagné de ses fidèles musiciens, a su animer la fête maciasienne avec le talent et la fougue qui sont les siens. Littéralement porté par la salle, il a mené le rythme endiablé de la soirée au son des guitares, de l’accordéon et du violon. Une très belle soirée méditerranéenne comme on les aime dans le cadre exceptionnel du Palais de la Mediterranée. Une soirée qui restera longtemps dans les coeurs de toutes les générations présentes.

Merci Enrico pour cette belle soirée et bonne continuation pour cette année de toutes les fêtes !

 

 

C’est dans la très belle salle du théatre Galli de Sanary sur mer qu’Enrico Macias a continué son périple méditerranéen hier soir.

Et c’est vraiment du très grand Enrico Macias que les spectateurs sont pu et ont su apprécier.
En superbe forme, il nous a enchanté par ses vocalises dont il a le secret et il a littéralement enflammé la salle au rythme de ses succès éternels. Le bonheur qu ‘il irradie sur scène fait vraiment chaud au coeur.

Le public ne s’y est pas trompé et a, lui aussi, été formidable, à la hauteur de la prestation de notre chanteur préféré et le théatre entier a fait un véritable kif.

Il ne faut pas oublier aussi de parler des musiciens qui vraiment ont été eux aussi exceptionnels, dans une fusion totale avec Enrico et une maitrise instrumentale bluffante. De très grands moments que les solos d’Abdenour, de Bruno ou de Kamel.

Merci monsieur Macias, vous et vos musiciens, vous nous avez porté sur des sommets dont nous aurons, comme d’habitude, beaucoup de mal à redescendre.

Et ce soir, nous vous retrouverons dans le très beau palais de la Mediterranée à Nice.

 

 

Cinquante ans qu’il foule toutes les scènes de France et du monde entier pour délivrer son message de Paix, d’Amitié et de Tolérance. Cinquante ans aussi qu’il offre à son public toute la chaleur de son amour et le soleil de la méditerranée.
Mais cinquante ans aussi que ce public ne manque pas ses rendez vous et lui adresse des tonnerres d’applaudissements dès son premier pas sur la scène et la première note qu’il leur adresse.

2012, 50 ans de carrière et pour fêter ce bel évènement Enrico Macias chantait hier soir au Pasino d’Aix en Provence.

Heureux et détendu, il a offert au public aixois un brillant récital et les youyous, les applaudissements et les choeurs n’ont pas fait défaut dans la salle pour lui renvoyer tout le bonheur qu’il sait si bien donner aux autres.

Débutant la soirée avec « les enfants de tous pays », il a poursuivi le show avec ses grands succès d’hier mais aussi ceux plus récents comme Adio Kerida, Mi corason ou Tu n’es pas seul au monde.
Le public a également eu la joie d’entendre et de voir danser Enrico sur Zingarella que notre chanteur n’avait pas interprété depuis longtemps sur les scènes françaises.

Remercions tous les musiciens d’Enrico, Thierry Roques, Bruno Bongarçon, Abdenour Djemai, Amar Mohali, Serge Haouzi, Kamel Labacci et Henri Daguerre qui, comme a l’accoutumé ont excellé dans un accompagnement revisité pour cette année de fête. Ils respirent tous la joie d’être sur scène avec Enrico et on sent la complicité qui les lie.

On a pu savourer un très beau moment de malouf durant lequel communient la guitare d’Enrico et le violon de kamel

Et la fête, bien évidemment, n’a pu se terminer que devant la scène pour chanter et danser sur ya rayah, l’oriental et El porompompero

Merci monsieur Macias pour ces beaux moments

Et ce n’est qu’un au revoir pour les fans du midi de la France puisqu’Enrico Macias chantera ce soir à Sanary sur mer

Alors, rendez vous ce soir

 

 

Interview

Enrico MACIAS

Jeudi 15 Mars 2012 – 20h30 – Le Pasino – AIX EN PROVENCE – 40€  Réservez ici !
Vendredi 16 Mars 2012 – 20h45 – Théâtre Galli – SANARY SUR MER – 41€  Réservez ici !
Samedi 17 Mars 2012 – 20h30 – Casino du Palais de la Méditerranée – NICE – 40€  Réservez ici !

 

Morgane L. : Plus de 70 ans et 50 ans de carrière, d’où vous vient cette inépuisable énergie ?
Enrico Macias : Je ne sais pas comment je fais… Je trouve que c’est une immense chance de fêter mes 50 ans de carrière cette année, de durer tant que ça et d’être en bonne santé. Mais je pense que l’énergie me vient de l’amour du public et de l’amour de mon entourage, de mes enfants, de mes petits-enfants… J’ai eu un gros malheur, j’ai perdu ma femme il y a 3 ans et j’ai vraiment pensé tout arrêter… J’étais dans un état lamentable et c’est mon fils Jean-Claude qui m’a remis sur les rails en me parlant du concept du dernier album. Ça m’a occupé… Pas à oublier ma peine mais à me consoler de ma peine.

« Voyage d’une Mélodie » ? Il s’agit d’une mélodie universelle qui représente différentes racines, familières et étrangères. Et je la fais voyager pour échanger toutes ces cultures de façon à rapprocher les gens. Je crois que le 1er médicament de l’humanité en dehors de l’amour, c’est la culture sous toutes ses formes… Et moi, c’est la chanson.

Amour, racines, famille… Cet album s’inscrit donc dans la même lignée ? Exactement dans la même lignée ! Tout est assez festif même celle dont j’ai composé la musique et où je chante une prière très gaie Shalom Aleikhem, « Que la paix soit sur vous ».  La seule chanson qui est très sérieuse et solennelle raconte l’histoire de gens qui étaient aux camps de Vilnius pendant la Shoah. C’était un ghetto où étaient incarcérés des juifs. Parmi eux, il y avait un auteur-compositeur et pendant leur immense souffrance, il leur a inventé une chanson pleine d’espoir. Personne n’a survécu à ce camp, la seule survivante a été cette chanson et j’ai tenu à l’enregistrer en la mémoire de toutes les victimes de la Shoah. J’aurais du la chanter en yiddish mais j’ai tenu à la chanter en français pour que tout le monde la comprenne…

Suite de l’interview ici : http://www.le-mensuel.fr/index.php/interviews/67-itwmaitres/2940-enrico-macias-interview

Enrico Macias en concert Propos recueillis par Morgane Las Dit Peisson pour Le Mensuel

Celebrul cântăreţ francez de origine algeriană Enrico Macias a sărbătorit vineri 50 de ani de carieră printr-un concert special susţinut la Sala Palatului, oferind miilor de bucureşteni veniţi să-l vadă o seară de neuitat.

Enrico Macias şi-a început spectacolul alături de cei şapte instrumentişi ai săi cu piesa « Enfants de tous pays » primită cu ropote de aplauze de toţi cei prezenţi la spectacol.

« Mulţumesc! Bună seara! » a salutat artistul în limba română după prima piesă. « Sunt onorat să cânt în această seară la Bucureşti. Nu a trecut mult timp de când am cântat aici şi în această seară doresc să dedic acest spectacol tuturor femeilor din sală », a continuat artistul în limba franceză după care a început a două piesă din concert, « Paris tu m’as pris dans tes bras ».

Pentru următoarea melodie, « Oh guitare guitare » artistul a apelat şi la chitară. Printre versurile melodiei foarte apreciată de publicul prezent artistul a strecurat şi un vers dedicat românilor: « Ce ţară frumoasă este România! », primit cu ropote de aplauze de spectatori.

Suite d el’article en suivant le lien ci-dessous

http://www.agerpres.ro/media/index.php/cultura/item/110244-Enrico-Macias-a-oferit-un-spectacol-de-neuitat-la-Sala-Palatului.html

 

Traduction pour nos amis français

Enrico Macias a donné un spectacle inoubliable à la Salle du Palais

Le célèbre chanteur français d’origine algérienne, Enrico Macias,  a célébré 50 ans de carrière vendredi par un concert spécial à la Salle du Palais, offrant au public de Bucarest une soirée inoubliable.

Enrico Macias a commencé son spectacle, accompagné de sept de ses instrumentistes, avec « Enfants de tous-pays» et a déclenché les applaudissements de toutes les personnes présentes dans la salle.

L’artiste a ensuite salué en roumain : « Merci Bonne soiréet! » . «Je suis honoré de jouer ce soir à Bucarest. Je n’ai eu longtemps à attendre pour revenir dans cette ville depuis mon dernier passage et ce soir  je tiens à dédier ce spectacle à toutes les femmes dans le public », a poursuivi l’artiste en français, puis il a commencé la deuxième partie de concert, «Paris, tu m’as Pris tes bras ».

Pour la chanson suivante, « Oh la guitare guitare » l’ artiste s’accompagne de sa guitare. Moment très apprécié par le public Enrico Macias glisse dans sa chanson un verset consacré aux Roumains: «Quel beau pays est la Roumanie », et il déclenche une salve d’applaudissements de la part des spectateurs.

Le spectacle n’a pas manque de chansons comme « La femme de ami», «Aux talons de ses souliers », « Adieu Mon Pays », « Tu n’es pas seul au monde »,  « Juif Espagnol» ou «Mi Corason »
Parmi les chansons les plus réussies de l’artiste qui a reçu une salve d’applaudissements et comprenait la «Adieu Kerid » et « Zingarela ».

Après la chanson « Zingarela » un spectateur a offert à Enrico Macias une plaque de cookies . «Ils sont faits maison? » Enrico Macias enchanté a ri et applaudi.

Ont suivi « Les filles de mon pays », « Le violon de mon père », « Ya Rayah », « Le mendiant de l’amour  » puis Enrico a improvisé sur des airs orientaux, chantant en ladino, en hébreu, arabe, français. Il remercie le public et toute la Roumanie pour la réception qu’il lui a été faite.

Enrico Macias n’a pas oublié de présenter ses musiciens d’une manière très spéciale, avec leur lieu d’origine et la relation particulière qu’il entretient avec chacun d’eux.

Enrico Macias à peine fini son tour de chant, les fans ont envahi la scène et les premières rangées de sièges. Ils ont offert à l’artiste des dizaines de bouquets de fleurs et attendu pour des autographes.

Enrico Macias, de son vrai nom Gaston Ghrenassia, est né à Constantine, une ville de l’Algérie française, dans une famille juive. Il était un disciple de Raymond Leyris, maître de musique arabo-andalouse.

En 1961, suite aux conséquences de la guerre d’indépendance algérienne, Macias se retrouve  jeune émigré à Paris.

Son premier album « Adieu mon pays », en 1962, est bien accueilli par le public et la chanson « J’ai quitté mon pays » devient l’hymne des exilés à travers le monde. Ce premier album ouvre la voie à une carrière internationale à travers le monde entier.

Chanteur de la paix et de l’amitié entre les peuples, Enrico Macias est nommé en 1997 «Ambassadeur de la Paix » par Kofi Annan, ancien secrétaire-général. AGERPRES