Le single d’Enrico Macias

« Tu n’es pas seul au monde  »

est arrivé dans les radios ……

Soyez vigilants ……….

peut être aurez vous la chance de l’entendre avant la sortie de l’album le 7 mars prochain

Dans cette attente, vous pouvez déjà applaudir Enrico Macias en concert. Ce soir, il est à Lyon

Venez nombreux !!!!!!!!!!!

L’association des artistes israéliens va remettre cette année son prix annuel au chanteur juif français d’origine algérienne, Enrico Macias, pour l’oeuvre de sa vie.

M. Macias, 72 ans, a à son actif 50 ans de carrière. Il entame ces jours-ci une nouvelle tournée de concerts qui le mènera aussi en Israël. Le prix israélien lui sera remis dans 3 mois au cours d’une cérémonie à Tel-Aviv, en présence de personnalités israéliennes et françaises.

Article paru sur www.terredisrael.com

Enrico Macias était hier soir à Meaux pour le premier concert de sa tournée 2011 et à deux mois de son passage à l’Olympia.

Très en beauté en costume noir et chemise blanche, , sa chevelure blanche et bouclée encadrant un visage rayonnant, il a débuté son voyage en mélodies avec bonheur.

Le public venu nombreux lui témoigner son amour et faire la fête avec lui a su entretenir l’ambiance chaleureuse qu’Enrico aime tant.

Son tour de chant, composé d’anciens succès, mais aussi, en avant première, des nouvelles chansons de son album à sortir (7 mars dans les bacs) a porté les spectateurs dans un voyage musical international allant de l’Algérie, en passant par la Tunisie et son jasmin, l’andalousie, et bien d’autres contrées que nous vous laisserons découvrir.

C’est avec beaucoup d’émotion qu’il a également rendu un vibrant hommage à son « frère » disparu il y a quelques jours, Jacques Demarny.

Merci Enrico, pour tous ceux qui étaient présents hier soir à Meaux, restera gravé dans leur coeur le souvenir d’une soirée inoubliable telle qu’ils l’attendaient : La fête maciasienne !!!!!

Nous te donnons tous rendez vous pour la suite du voyage à Digne les bains, puis à Lyon

Avant son passage à l’Olympia le 24 Mars 2011, Enrico Macias fera escale à Nice, au Palais de la Méditerranée, le 6 mars prochain. Entré dans nos foyers très tôt, il chante depuis 50 ans, Enrico Macias possède cette grande qualité d’être accessible à tous et, du coup, d’être un chanteur populaire, au sens strict du terme, c’est-àdire qu’il plaît à tous. Artiste emblématique avec son accent chaleureux et profond, le chanteur d’«Enfants de tous pays» emmènera les spectateurs dans son univers musical aux accents orientaux.
 

Shalom Pratique :

Vous souvenez-vous que votre premier concert en vedette, c’était à Nice en 1962, au Théâtre de Verdure ?

  Enrico Macias : Bien sûr que je m’en souviens. C’était la première fois que je chantais devant tant de personnes. Ça a été la révélation de mon ascension. Personne ne pouvait plus passer derrière moi (sourires.)  
 

Qu’allez-vous proposer aux Niçois le 6 mars prochain ?  

   Non seulement, je vais leur chanter mes succès, mais je vais aussi leur offrir les chansons de mon nouvel album qui sortira à peu près en même temps. Ce disque, qui a pour titre « Voyage d’une mélodie », propose un voyage dans toute la tradition juive laïque. Je chante des chansons en berbère, en arabe, en ladino, en hébreu et en Yiddish et rend ainsi hommage à toute cette culture, entre tradition et modernité. Il y a aussi un titre original « Les Sépharades. » J’ai composé la musique et Eliette Abécassis en a écrit les paroles. Un duo avec Daniel Lévi, « Shalom aleichem », figure également sur l’album, avec une nouvelle musique et une orchestration réalisée par mon fils.
 
 On a l’impression que malgré vos récents succès comme « La vie populaire », « Il pleut des étoiles » ou « Mes Andalousies », il vous est impossible de retirer de votre répertoire des chansons de plus de 30 ans. Comment l’expliquez-vous ?

  Vous savez, sans ces premières chansons, les nouvelles n’existeraient pas. Je crois que je fais un mélange savant pour contenter tout le monde.

  Vous dites que vous êtes un chanteur de groupe et n’hésitez jamais à valoriser vos musiciens. Qui vous accompagnera sur scène cette fois ?

  Toujours les mêmes. Je serai accompagné d’une formation très équilibrée de 7 musiciens : Basse, accordéon, percussion, batterie, guitares, violon. Parmi eux, Amar Mohali aux percussions, Abdenour Djemai et Bruno Bongarçon aux guitares, Thierry Roques à l’accordéon…

  On constate que votre public s’est élargi. Est-ce parce que vous êtes un chanteur de charme mais aussi un chanteur à messages ?

  Il est vrai que les jeunes commencent à me découvrir. Ça a pris du temps, mais aujourd’hui, ils ne me boudent plus. Alors que les jeunes de l’époque, quand j’ai débuté, ne comprenaient pas mon discours, j’étais en porte-à-faux.

  Pour vous, la musique est une porte éternellement ouverte à la création. Il n’y a pas de barrière, pas de frontière…

  J’aime dire que la musique c’est comme un océan. On n’a d’ailleurs jamais fini de développer son style. Moi-même, vous savez, je suis l’héritier d’une civilisation vieille de plusieurs millénaires !

  Chanteur, est-ce un métier où il faut prendre des risques ? C’est-à-dire, par exemple, accepter de se renouveler…

  Oui tout à fait. Et le charme est de se renouveler tout en restant le même.

  Vous aimez dire que vous avez deux religions, n’est-ce pas ? La mémoire et la liberté.

  En effet, en dehors de la religion juive évidemment. La mémoire et la connaissance, c’est Dieu. Nousavons ce devoir de mémoire, c’est d’ailleurs la première prière que l’on doit faire à Dieu. Dieu récompense les gens qui font leur devoir de mémoire. On peut blasphémer, il comprendra, mais ne pas respecter ce devoir de mémoire, il ne nous le pardonnera pas.  

  Vous considérez-vous comme un chantre de la paix, ainsi que le représentant de la musique judéo-arabe-andalouse ?

  Bien sûr. Il s’agit de toutes les facettes que je représente. Et dans mon dernier album, je flirte même avec la civilisation Yiddish. J’aimerais qu’on soit tous unis.

En 1980, l’ONU vous a décerné le titre de « chanteur de la paix. » En 1997, le Secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan, vous a nommé ambassadeur itinérant pour promouvoir la paix et la défense de l’enfance. Votre engagement auprès de l’UNICEF est indéfectible, d’ailleurs vous lui avez abandonné vos droits sur la chanson « Malheur à qui blesse un enfant .» Votre implication humanitaire est remarquable. Est-ce vital pour vous de vous investir dans ce genre de causes ?

  Je me suis toujours investi dans des causes humanitaires. C’est un réconfort, je dirais un confort supplémentaire et le poids que représente l’ONU, ça m’aide. Je me fous des titres et des médailles. Je me souviens même que lorsque Kofi Annan m’a nommé Ambassadeur, il m’a dit que ce titre était un pléonasme pour celui qui avait chanté « Enfants de tous pays. »

Vous êtes un « déraciné » et pourtant, grâce à une carrière internationale incroyable aux quatre coins du globe, vous êtes chez vous dans le monde entier. Malheureusement, votre popularité s’arrête encore aujourd’hui aux frontières des pays arabes. Comment vivez-vous cela ?

  Je suis un peu amer et je trouve que c’est frustrant pour le peuple qui n’a rien à voir avec toutes ces histoires. C’est un retard sur la fraternité. Mais je demeure optimiste, un jour ou l’autre, ça va s’arranger.  

On vous a vu dans « La vérité si je mens 2 », vous reverra-t-on bientôt sur un écran de cinéma ?

  J’ai tourné deux films en même temps que je préparais mon nouvel album. Je reprends donc le rôle de Maurice Boutboul dans « La vérité si je mens 3 », mais il sera plus étoffé (sortie prévue en 2012). Et je joue aussi dans le film d’Éric Lavaine, « Croisière Caraïbes » avec Franck Dubosc, Valérie Lemercier et Gérard Darmon, dont la sortie est prévue en octobre.

Quel est votre plus beau souvenir ? Votre concert en 1978 au pied des pyramides égyptiennes devant 20 000 spectateurs arabes, votre premier Olympia… ?

 Sans aucun doute, ma rencontre avec le président égyptien Anouar el-Sadate en 1978.

Aurez-vous le trac le 6 mars prochain avant de monter sur la scène du Palais de la Méditerranée ?

  J’ai toujours le trac. Le jour où je ne l’aurais plus,je n’aurais plus d’intérêt à chanter.

 

Propos recueillis par Corinne Sorin

 Article paru sur le site : Shalom pratique 

 

 

    

  
 

 

 
 

 

 
 

 

populaire dans le coeur des gens

 

 
 

 

 

Enrico Macias commence sa tournée 2011 à Meaux

A cette occasion, un journaliste de la radio 77info.fr l’a interviewé par téléphone

Ecoutez ce qu’il nous dit de son nouvele album à sortir le 7 mars, de sa tournée et de son actualité

[audio:https://enricomaciasloriental.fr/WordPress/wp-content/uploads/2011/01/info809_enrico_macias_net1.mp3|titles=info809_enrico_macias_net[1]]

Interview réalisée par la radio 77info.fr

Décès Jacques Demarny : Enrico Macias a « perdu un frère »

PARIS, 13 jan 2011 | Le chanteur Enrico Macias a « perdu un frère, un deuxième (lui-même) » avec la mort de son parolier Jacques Demarny dont la rencontre a été la « chance de sa vie », a-t-il déclaré jeudi à l’AFP.

Le chanteur Enrico Macias a « perdu un frère, un deuxième (lui-même) » avec la mort de son parolier Jacques Demarny dont la rencontre a été la « chance de sa vie », a-t-il déclaré jeudi à l’AFP.

Jacques Demarny, décédé mercredi à l’âge de 85 ans, « a été la chance de ma vie dans ma carrière artistique. On a écrit plus de 500 chansons ensemble, on a fait le tour du monde. Il était tout le temps près de moi, très proche de ma famille aussi », a déclaré M. Macias.

« C’est un frère que j’ai perdu, un deuxième moi-même. On ne pouvait pas créer chacun de notre côté, il fallait qu’on se voit tout le temps », a-t-il ajouté.

Enrico Macias, alors jeune chanteur, avait fait la connaissance de Jacques Demarny en 1963, lorsque celui-ci était venu lui proposer un dimanche après-midi dans sa loge à Bobino les textes d' »Enfants de tous pays » et de « La femme de mon ami », qu’il avait écrits avec Pascal-René Blanc.

Article « Tribune de Genève » http://www.tdg.ch/node/294940

AFP – Le parolier Jacques Demarny, inséparable d’Enrico Macias pour lequel il avait écrit « Les gens du Nord » et « Enfants de tous pays », est mort mercredi à l’âge de 85 ans, a-t-on appris jeudi auprès de la Sacem, dont il avait présidé à deux reprises le conseil d’administration.

Né en 1925 à Paris, résistant dès l’âge de 19 ans, Jacques Demarny a commencé sa carrière en 1947, en montant un numéro de duettistes avec son frère Jean.

En 1959, il entame une carrière de parolier et commence à écrire pour Annie Cordy (« Allez hop », « 1960 ») et Danielle Darrieux (« Prendre le temps de s’aimer davantage »).

Le succès arrive avec un ancien instituteur venu d’Algérie et dont le nom deviendra vite indissociable de celui de Jacques Demarny : Enrico Macias. Pour lui, il écrira des dizaines de chansons dont « Enfants de tous pays », « Les gens du Nord », « Les millionnaires du dimanche », J’ai quitté mon pays », « Mon coeur d’attache », « Malheur à qui blesse un enfant »…

Jacques Demarny écrira aussi pour Daniel Guichard, Gérard Lenorman, Georges Guétary, Alice Dona, Nana Mouskouri, Demis Roussos…

« Avant tout, c’était l’homme qui était vraiment impressionnant d’humanité, de force, de sagesse. Il avait été un très jeune résistant. Toute sa vie a été un combat pour les causes qu’il trouvait justes », a réagi l’actuel président du conseil d’administration de la Sacem, Claude Lemesle.

« Ce n’est pas étonnant de l’avoir retrouvé en tant qu’auteur aux côtés d’Enrico Macias, pour chanter ce peuple qui avait souffert de ce rapatriement, la Shoah, les guerres. Il y avait une cohérence formidable entre l’homme et l’auteur », a déclaré M. Lemesle à l’AFP.

Paru sur France 24 : http://www.france24.com/fr/20110113-deces-jacques-demarny-parolier-denrico-macias

Enrico Macias à l’honneur de « Vivement Dimanche » le 6 mars prochain

En tournée dans toute la France dès la fin du mois de janvier 2011, Enrico Macias sera l’invité d’honneur de l’émission « Vivement Dimanche » présenté par Michel Drucker sur France 2 le 6 mars 2011. L’occasion pour l’éternel interprète des « Filles de mon pays » ou « Les gens du Nord » de présenter son nouvel album, « Voyage d’une mélodie » à paraître le 7 mars prochain. Un disque dans lequel le chanteur méditerranéen rend hommage aux vieux thèmes de la culture Yiddish, entre tradition et modernité.

Rappelons qu’Enrico Macias débutera une grande tournée hexagonale dès la fin du mois de janvier, laquelle passera notamment par Meaux (27/01), Lyon (10/02), Rennes (13/02), Aix en Provence (5/03), Nice (6/03), sans oublier quatre dates à L’Olympia à Paris les 24, 25, 26 et 27 mars 2011.

Photo DR
© 2011 Concert Live Publishing. Toute reproduction interdite même partielle sans autorisation

Le chanteur Enrico Macias, 72 ans, a perdu son épouse Suzy au cours de l’année 2008. L’artiste a accepté de revenir sur cette tragédie dans les pages du magazine Paris Match. Il livre un témoignage bouleversant : « Suzy, c’est mon amour d’enfance, celle dont je me suis follement épris à l’âge de 15 ans, chez nous, à Constantine, lorsque mon père était violoniste dans l’orchestre de son père, Raymond Leyris. Son coeur était très fragile. Sa quatrième opération à coeur ouvert, lors de l’été 2008, s’était plutôt bien passée. Malheureusement, quelques mois plus tard, elle a fait une rechute et repris le chemin de l’hôpital pour ne plus en sortir. On ne pouvait plus rien faire. Elle est morte deux mois après. »

Il a également raconté comment il a énormément souffert de cette disparition et à quel point il n’était plus que l’ombre de lui-même. Sans l’amour et le soutien de ses proches et notamment de ses enfants, Jean-Claude, 42 ans et Joycia, 47 ans, il aurait eu vraiment du mal à sortir la tête de l’eau. « J’avais perdu le goût de la vie. Je ne marchais que sur une jambe. Je n’arrivais pas à dormir. Je ne sortais plus, je ne mangeais plus et passais mes journées entières à m’abrutir de télévision, affalé sur le canapé » a-t-il révélé. Et d’ajouter : « (…) Joycia, avec qui je me chamaillais souvent quand elle était plus jeune, ferait n’importe quoi pour moi. Désormais, par certains côtés, elle remplace un peu sa mère auprès de moi. Je me suis aussi beaucoup rapproché de Jean-Claude, même s’il est plus pudique, moins démonstratif. »

L’été suivant le décès, Enrico Macias reprend sa guitare pour la première fois depuis le drame. « J’ai joué sans réfléchir un air que Suzy adorait et que je n’avais pas interprété depuis au moins quarante ans » a-t-il dévoilé.
(Photo © Abaca)

Article paru sur le site : http://people.voila.fr/people/actu-stars/tv-cine-musique/enrico-macias-evoque-sa-femme-disparue-people_4188.html