Marc-André Joanisse
Journal Le Droit

Il y a l’artiste, présent sur la scène internationale depuis plus de cinq décennies. Il y a aussi le citoyen derrière le grand auteur-compositeur-interprète. Le citoyen, exilé en France après la Guerre d’Algérie et devenu ambassadeur des Nations unies pour la paix et porte-parole de son secrétaire général, Ban Ki-moon.

« Oui, j’ai eu à surmonter plusieurs épreuves dans ma vie, mais la musique a été ma thérapie et la chanson, un exutoire. »

On est en fin de journée, vendredi. Enrico Macias a pris place dans un véhicule. Direction, Québec pour un spectacle en soirée. Il est d’une grande générosité en entrevue téléphonique. En aucun temps, on a l’impression de le déranger et il prend le temps de réfléchir à chacune de nos questions.

Suite de l’article, en cliquant sur ce lien

http://www.cyberpresse.ca/le-droit/arts-et-spectacles/200911/09/01-920066-retour-du-pere-de-la-musique-du-monde.php


Après sept ans d’absence au Québec, Enrico Macias était sur les planches de la salle Louis-Fréchette du Grand Théatre de Québec, le vendredi 6 Novembre dans le cadre de sa mini tournée chez nous. Et quel accueil il a reçu du public dès son entrée en scène !
Le gentleman vêtu d’un complet marine et d’une chemise à rayures a gagné le coeur des spectateurs dès son arrivée. Entouré de six excellents musiciens appelés affectueusement « sa famille », ce jeune homme de 71 ans nous a bercé sur sa vague méditerranéenne tout au long de ces 1h50 qu’a duré le voyage.
Tantôt cette vague se faisait calme, enveloppante, carressante, enjoleuse, agitée et était accompagnée d’une musique teintée d’une saveur arabo-andalouse………….

Voila le numéro 13
Va t’il vous porter chance ???
Attention, deux questions, donc deux réponses
Faites vos jeux …………………..
Celui ci aussi vous a posé quelques problèmes. En fait, il y avait deux réponses possibles. J’ai donc accepté les deux et donné le double de points pour ceux qui m’avaient donné les deux bonnes réponses
Il s’agit donc bien, en premier lieu, de l’album de l’Olympia 1980, sorti en 1980.
Mais la même photo a été aussi utilisée pour le CD Olympia 1972/1980 sorti en 2004
Points : Claudius 39 pts
Philippe 36 pts
Varta 19 pts
Kataline 18 pts
L’amie fidèle 9 pts
sandra 2 pts
Denise 1 pt

Je ne comprends pas toujours comment fonctionnent les moteurs de recherche. Me baladant sur le net à la recherche d’informations sur La tournée d’Enrico au Canada, voila ce que j’ai trouvé.

Vous vous souvenez certainement de l’émission radiophonique de Patrick Sébastien dont Enrico Macias était l’invité le 5 avril 2009. Nous avions eu le plaisir, une heure durant, d’écouter Patrick et Enrico bavarder et échanger leurs souvenirs.
Ce document vous montre Enrico en coulisse ce jour là.

Photo Maxime Picard – La Tribune
Richard Boisvert pour le journal
Cet article reprend des passages de l’article déjà paru sous ce titre le 31 octobre 2009 et que vous pouvez trouvez sur ce blog ICI
Mais je ne pouvais vous priver de cette nouvelle photo
Enrico Macias chante ce soir et demain soir à l’Olympia de Montréal dans le cadre du festival Sefarad

 » Le miracle Enrico Macias » est pour moi cette capacité et ce pouvoir que possède cet homme (avant d’être un artiste) de rassembler en un même lieu et dans une même communion les individus de toutes communautés.

Ce « miracle Enrico Macias », je le vis tous les jours à travers ce blog et ce site, et tout particulièrement ces jours ci. Je veux vous dire combien il me fait chaud au coeur de trouver sur mon mail ou sur ce blog des messages d’ami(e)s français mais aussi hongrois, américains, canadiens qui me signalent au travers d’un lien un article ou une vidéo que je n’aurais pas encore trouvé.
Merci à Kataline, Sandra, Varta, Hélène, Claudius, Philippe et tous les autres que j’aurais pu oublier. Vous avez la générosité du coeur, la générosité « maciasienne » qui vous donne le plaisir de partager avec les autres vos connaissances et vos découvertes.

Je vous remercie de votre présence
Bon week end à vous

Photo Maxime Picard – Imacom
Steve Bergeron – La tribune
Même si Monsieur Macias, à presque 71 ans, a maintenant le vibrato moins leste et le pas plus calculé, il a toujours en lui cette flamme inextinguible, ce sens de la fête qui le rend si proche, même si on a envie de le saluer bien bas pour un tel parcours de vie.
«Il y a longtemps que je n’étais pas venu chanter dans la région. Je garde de bons souvenirs de Sherbrooke», a-t-il assuré. Plus tard, la dernière ligne de Paris tu m’a pris dans tes bras deviendra Cheurbrwooke, je suis ben dans tes bras. «Vous êtes ben cute!» ajoute-t-il dans le délire total.
Après quinze petites minutes de retard, la prestation a commencé lentement. Il faut dire que Gaston Ghrenassia avait réservé pour le début ses chansons où le texte se goûte à la syllabe près. Il a bénéficié d’une assistance d’une grande qualité d’écoute.
Dès la troisième chanson, les six musiciens se retrouvaient dans la pénombre, pendant que la vedette du jour empoignait sa guitare, démontrant encore l’adresse de gitan dont il est encore capable sur sa six-cordes.
Mais c’est avec Noël à Jérusalem que l’Algérien a mis le feu dans la salle. Jusqu’alors timides, les interventions des spectateurs sont devenues assurées et gaillardes, qu’il s’agisse de faire les lalala, les poï poï poï ou les aïe aïe aïe. Une chanson en espagnol, La casa del sol, avivait les braises, pendant que Dis-moi ce qui ne va pas transformait le Granada en choeur volontaire.Tous les détails dans La Tribune de vendredi…

Vous êtes tous la ?????????????

Mais oui,
Vous êtes fidèles, comme notre artiste

Alors facile pour ce soir …….

Des fois, la facilité provoque le relachement de l’attention et pousse à la faute…. C’est bien connu en sport.
C’est malheureusement, ce qui est arrivé à certains d’entre vous. Je vous rappelle que le jeu comprend deux questions : Quel est le titre de l’album et quelle année il est sorti ?? Désolée mais un arbitre se doit d’être impartial …

La bonne réponse était donc « La fête à l’Olympia » (olympia de 1995) sorti en 1996

Points :
Claudius : 35 pts
Philippe : 32 pts
Varta : 18 pts
Kataline : 14 pts
l’amie fidèle 9 pts
Sandra : 2 pts
Denise : 1 pt

Bienvenue à Denise qui nous rejoint sur ce jeu.

Photo Rocket Lavoie – Le quotidien

Mélyssa Gagnon – Le Quotidien

(LA BAIE) Gaston Ghrenassia, alias Enrico Macias, a fait une fleur à plusieurs dames du Saguenay-Lac-Saint-Jean hier soir au Théâtre du Palais municipal de La Baie, à l’occasion du coup d’envoi de sa tournée québécoise.

Elles étaient nombreuses, ces dames, assises dans les gradins de l’amphithéâtre baieriverain, à fredonner les airs popularisés au fil des ans par le célèbre chanteur d’origine algérienne. Certes, il y avait des hommes dans la salle. Mais en grande majorité, le public était formé de représentantes de la gent féminine, pour la plupart âgées de 50 ans et plus.

Reconnu pour sa musique arabo-andalouse emblématique de ses terres natales, Enrico Macias a prouvé, s’il devait encore le faire, qu’il sait conjuguer rythme et romantisme. Vêtu d’un complet marine et d’une chemise à rayures, le chanteur qui ne fait pas du tout ses 70 ans, s’est montré relativement discret à son entrée sur scène.

Après avoir entamé les premières notes de «Juif espagnol», pièce aux paroles légèrement modifiées, passage au Québec oblige, la glace était cassée. Sympathique, Enrico Macias a souligné l’importance qu’il accorde aux gens des régions. À maintes reprises pendant le concert, le chanteur y est allé de clins d’oeil à la Belle Province, à La Baie, à Chicoutimi.

«La région, c’est plus important que tout. C’est le Québec profond que je viens rencontrer», a-t-il signifié, avant d’être applaudi chaleureusement.

Il n’en fallait pas plus, mis à part peut-être la très attendue livraison du classique «Dis-moi ce qui ne va pas», pour que le public soit totalement conquis. Cette chanson fétiche des Québécois s’est pointée assez tôt en soirée. Quatrième, pour être précis. Satisfaite, la foule n’avait qu’à se laisser bercer.

Le journal de Sherbrooke
Cynthia Dubé
Spectacles – Publié le 28 octobre 2009 à 16:03

Il fait carrière aux quatre coins de la planète, et ce, depuis maintenant quarante-sept ans. Au cœur d’une tournée internationale dans laquelle ses grands succès sont à l’honneur, Enrico Macias s’arrête au théâtre Granada, le jeudi 5 novembre.

« C’est un spectacle qui représentera toutes mes racines musicales. Je ferai un petit panorama de mon histoire. J’y interprèterai quelques nouvelles chansons, mais surtout mes grands succès, puisque le public préfère entendre mes anciennes chansons », explique d’un ton des plus sympathiques Enrico Macias.

Et elles sont nombreuses ses anciennes chansons qui ont la cote du public! Après tout, le chanteur guitariste a vendu plus de soixante millions d’albums au cours de sa longue carrière. Un nouvel opus devrait sortir en 2010, soit dix ans après La vie populaire.

Artiste voyageur

La tournée de spectacles 2009-2010 l’emmène encore une fois à voyager d’un bout à l’autre de la planète. L’artiste français né en Algérie se dit d’ailleurs citoyen du monde. « Je suis contre les frontières! J’aime voyager, mais pas pour y découvrir des paysages. Ce qui m’intéresse le plus, c’est la rencontre avec les gens qui habitent dans des pays loin du mien. J’aime voir comment ils vivent, comment ils pensent », raconte l’artiste qui chante dans pas moins de six langues (français, anglais, espagnol, italien, hébreu et grec). Et laquelle raconte le mieux l’amour? « L’hébreu, parce que c’est ma langue maternelle, celle de mon peuple. C’est tout le berceau de l’humanité qui s’y retrouve! »

Artiste engagé, il ne se cache pas pour donner ses opinions sociales et politiques. « Il faut bien se situer quelque part lorsque nous avons des engagements! Cependant, mon souci est de ne pas influencer les gens que j’aime. Je dis mes opinions, mais je ne les impose pas. Par contre, il y a des valeurs que je défends. Je veux que l’on m’écoute lorsqu’il s’agit de la paix, de la solidarité et de la générosité. Ce sont des valeurs très importantes à mes yeux », lance celui qui a reçu le titre de Chanteur de la paix en 1980.