Enrico Macias sera l’un des invitĂ©s de Patrick SĂ©bastien

dans son émission

LES ANNEES BONHEUR

le 16 avril 2016 Ă  20h55 sur France 2

 

Notre amie Patricia nous fait la grande joie de nous envoyer des photos de l’enregistrement qui s’est dĂ©roulĂ© cette semaine

On reconnaĂźt, notamment, aux cotĂ©s d’Enrico Chico et Rey, du groupe Chico et les Gypsies, sans oublier ses fidĂšles musiciens que nous saluons tout particuliĂšrement

Mille mercis Patricia

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Enrico Macias Ă©tait l’invitĂ©, ce 19 mars 2016, de Faustine Bollaert, dans son Ă©mision « Je suis d’oĂč je viens » sur France bleu

En voici le podcast

 

 

Article paru ce 18 mars 2016 dans le quotidien « le Parisien » : http://www.leparisien.fr/musique/video-enrico-macias-jamais-sans-son-fils-18-03-2016-5637875.php

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Paris (XIXe), le 10 mars. Jean-Claude Ghrenassia, 48 ans, a fait ses preuves tout seul dans le milieu musical avant de s’associer Ă  son pĂšre, Enrico Macias, en 2006 puis aujourd’hui sur un nouvel album trĂšs rĂ©ussi, « les Clefs ». (LP/Jean-Nicholas Guillo.)

 

Le chanteur a enregistré son nouvel album avec son fils de 48 ans, Jean-Claude Ghrenassia, ex-musicien de jazz. Une belle relation fusionnelle.

Il a beau ĂȘtre chanteur, Enrico Macias, 77 ans, n’en est pas moins papa. Alors qu’il rejoint en studio son fils, il s’intĂ©resse d’abord Ă … sa coupe de cheveux. « Tu n’as jamais Ă©tĂ© aussi bien coiffé », signale-t-il Ă  son fiston de 48 ans, un rien gĂȘnĂ©, Jean-Claude Ghrenassia, musicien et dĂ©sormais arrangeur des albums de son pĂšre.

Le petit dernier s’appelle «les Clefs » et vient de sortir. Le premier rĂ©alisĂ© ensemble, en 2006, s’intitulait «Oranges amĂšres », un magnifique disque — oĂč l’on redĂ©couvrait Enrico ambassadeur de la musique arabo-andalouse, Ă©lĂ©gante et voyageuse — acclamĂ© par le public et la critique.

Tout ça grĂące Ă  Jean-Claude, homme de l’ombre qui a gardĂ© le vrai nom de la famille. «Notre premiĂšre collaboration n’a pas Ă©tĂ© facile pour moi, raconte Enrico. J’avais l’habitude de m’assumer tout seul. Soudain, Jean-Claude me disait : Il faut jouer comme ci, chanter comme ça. Je lui rĂ©pondais : Mais je suis ton pĂšre, quand mĂȘme !» L’aĂźnĂ© a fini par se laisser faire. «Maintenant, en studio, je suis son fils et il est mon pĂšre », s’exclame le chanteur. Les deux compĂšres se marrent, assis dans le canapĂ© du petit studio parisien de Jean-Claude, cachĂ© au fond d’une cour du XIX e arrondissement de Paris. «On a enregistrĂ© une bonne partie du dernier album ici, confirme le fils. Mon pĂšre a mĂȘme fait des voix et des guitares dans ce canapĂ©. »

«Avant d’ĂȘtre le fils d’un chanteur, je suis le fils d’un musicien»

Pourtant, ils ont mis du temps Ă  collaborer. «Il fallait que je fasse mes preuves ailleurs pour avoir de la crĂ©dibilitĂ© Ă  ses yeux », raconte le fils Ghrenassia, qui a d’abord Ă©tĂ© musicien de jazz, arrangeur et directeur artistique chez EMI.

Les chats ne font pas des chiens ? «Bien sĂ»r », rĂ©pond Enrico. «Non, rĂ©torque Jean-Claude, pas d’accord. La musique, pour moi, c’Ă©tait un luxe, ça n’Ă©tait pas acquis. J’ai fait des Ă©tudes de droit parce que mes parents voulaient que j’aie un diplĂŽme. » Enrico dĂ©fend son idĂ©e : «Oui, d’accord, mais rappelle-toi, tu ne parlais pas encore que tu avais une pile de 45 tours avec un tourne-disque et on te demandait : Mets Marie LaforĂȘt. Tu triais Ă  toute vitesse et tu le trouvais. » Jean-Claude acquiesce. «Je me souviens de Johnny et Mort Shuman qui passaient Ă  la maison, de Mike Brant qui a habitĂ© un moment chez nous. Ce que j’adorais, c’Ă©tait les rĂ©pĂ©titions dans notre grand appartement. J’avais 5-6 ans, je rentrais de l’Ă©cole et il y avait un orchestre qui jouait dans le salon. C’Ă©tait gĂ©nial. J’Ă©tais attirĂ© par les instruments. Avant d’ĂȘtre le fils d’un chanteur, je suis le fils d’un musicien. J’aimais aller le voir en concert. Mais j’avais Ă©tĂ© assez traumatisĂ© par les gens qui poussaient la voiture un soir en sortant d’un show. Je dĂ©testais toute l’hystĂ©rie qu’il y avait autour de la cĂ©lĂ©britĂ©. On se moquait parfois des chansons de mon pĂšre Ă  l’Ă©cole. Mais moi, je le dĂ©fendais toujours. »

«La culture de l’exil nous a Ă©tĂ© transmise par la musique»

Dans la musique de Macias, il y a aussi l’histoire de l’exil d’Enrico, de son arrivĂ©e en France douloureuse aprĂšs l’assassinat en 1961 de son beau-pĂšre, Cheikh Raymond, grand musicien français d’AlgĂ©rie. «Avec ma sƓur, on n’est pas Ă©trangers Ă  tout ça, souligne Jean-Claude. Je ne suis jamais allĂ© Ă  Constantine (NDLR : oĂč est nĂ© Enrico Macias), mais je peux vous dessiner la carte de la ville tellement mon pĂšre nous en a parlĂ©. La culture de l’exil nous a Ă©tĂ© transmise par la musique. La premiĂšre fois que l’on a commencĂ© Ă  travailler un peu ensemble avec mon pĂšre, c’Ă©tait sur un album de reprises de mon grand-pĂšre maternel, Cheikh Raymond, ce n’est sans doute pas un hasard. »

Dans le nouvel album, une chanson Ă©voque Suzy, la femme d’Enrico et la mĂšre de Jean-Claude, disparue en 2008. «C’est une chanson Ă©crite par Bruno Maman, qui n’est pas dans le pathos, souligne Jean-Claude Ghrenassia. Mon pĂšre a ma mĂšre dans la tĂȘte 24 heures sur 24. Et ce morceau, c’est la douceur du souvenir plutĂŽt que la tristesse du deuil. » La chanson fait du bien Ă  Enrico. «Je l’Ă©coute souvent, juste pour moi. On s’est beaucoup rapprochĂ© avec Jean-Claude quand Suzy est morte. Il restait avec moi, dormait Ă  la maison. » Aujourd’hui, Enrico profite aussi des trois enfants de Jean-Claude, de 8, 16 et 20 ans. «On se retrouve tous les vendredis pour shabbat, explique le chanteur. Avant, selon la tradition, c’Ă©tait chez le pĂšre. Mais maintenant que je suis tout seul, on fait ça chez Jean-Claude. » Le fils peut donc parfois devenir le pĂšre.

@emarolle Enrico Macias « les Clefs », Capitol, 16,99 €. En concert le 8 janvier 2017 Ă  Paris Ă  l’Olympia. Et le 4 juin prochain Ă  Divonne- les-Bains, le 19 aoĂ»t Ă  Carmaux, le 16 octobre Ă  Saint-Quentin…

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=WSrYIjp3us0[/youtube]

 

 

Enrico-765x510Extrait de l’interview parue sur LPHinfo
Vous pouvez consulter l’intĂ©gralitĂ© de l’article en cliquant I C I

 

Le P’tit Hebdo : Lorsqu’on est le fils d’Enrico Macias et le petit-fils de Cheikh Raymond, a-t-on un avenir tout tracĂ© dans le monde de la musique ?

Jean-Claude Ghrenassia : Non. Je vais mĂȘme vous Ă©tonner en vous disant que j’ai d’abord fait des Ă©tudes de droit et que je me destinais plutĂŽt Ă  une carriĂšre acadĂ©mique ! Mais finalement la musique m’a rattrapĂ©. Il est vrai que j’ai grandi avec, mais d’entamer une carriĂšre dans cet univers a Ă©tĂ© un choix personnel et volontaire. J’ai d’ailleurs travaillĂ© pendant plusieurs annĂ©es avec des artistes issus d’un milieu musical totalement diffĂšrent de celui de mon pĂšre. Je suis un fĂ©ru de musique jazz et noire amĂ©ricaine ! Je me souviens qu’il n’a compris rĂ©ellement que j’étais dans le mĂ©tier qu’aprĂšs un certain temps, lorsque j’avais dĂ©jĂ  35 ans et une petite expĂ©rience !

LPH : Aujourd’hui vous ĂȘtes son producteur. Est-ce difficile de travailler avec son pĂšre ?

J-C.G. : Nos mondes ne se sont rĂ©unis que tardivement et c’était bien aussi. J’ai toujours eu beaucoup d’admiration pour mon pĂšre, je suis trĂšs fier de son parcours en tant qu’homme et en tant qu’artiste. L’image de mon pĂšre, aussi cĂ©lĂšbre qu’il Ă©tait, n’a jamais Ă©tĂ© un poids pour moi. À ce propos, je me souviens que quand j’étais enfant et que je suis entrĂ© Ă  l’école YavnĂ©, tous les Ă©lĂšves se passaient le mot que le fils d’Enrico Ă©tait parmi eux. Un jour, l’un d’entre eux est venu me voir et m’a chuchoté : « tu sais que le fils d’Enrico est dans cette Ă©cole » ! Travailler avec mon pĂšre est vĂ©ritable plaisir. J’ai aussi plein d’autres centres d’intĂ©rĂȘt. Je pense que les enfants n’appartiennent qu’à eux-mĂȘmes. Mes parents m’ont appris Ă  me construire, Ă  me forger ma propre personnalitĂ©.

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Crédits photo : HélÚne Pambrun

 

En toute objectivité, ce CD est magnifique.

Cet album, je l’ai attendu, comme jamais je n’en ai attendu un autre.

D’abord la sortie est reportĂ©e d’octobre Ă  fĂ©vrier pour la raison que l’on sait.
Puis je le commande Ă  l’importation, il devait arriver avant le 12/02, raté ! et j’en passe.
Alors inutile de dire que le 19, j’étais sur des charbons ardents et dĂšs 8 h du matin dans un magasin afin de me le procurer.
AussitĂŽt arrivĂ©e au bureau, je le lance et lĂ , je tombe sous le charme de l’intĂ©gralitĂ© des chansons (ou presque).
C’est vrai que nous en avions dĂ©jĂ  dĂ©couvert 5 Ă  l’Olympia et celles-ci reflĂštent assez bien le CD.
De la musique orientale sur des paroles de sagesse.
Des textes puissants sur des mĂ©lodies qui vous trottent dans la tĂȘte.
Petit bémol dans ce CD, il manque le 13Úme titre.
Qu’à cela ne tienne, aprĂšs une enquĂȘte approfondie, nous comprenons comment nous le procurer, et voilĂ  c’est parti pour un 3Ăšme achat.

Commençons par les chansons rythmĂ©es : « A la grĂące de Dieu » et « Vivre, vivre ». J’adore ! Il n’y a pas d’autres mots.
Si je suis debout en les Ă©coutant, je me mets Ă  danser, leur musique est transcendante et leurs textes sont ceux d’une personne qui a compris ce qu’est l’essentiel dans la vie.
Dans cette mĂȘme catĂ©gorie « Du soleil » met du baume au cƓur.

Concernant les chansons Ă  textes, je serais incapable de dire laquelle est ma prĂ©fĂ©rĂ©e entre les 4 suivantes. D’abord « Comme vous » et « Vas vers toi-mĂȘme » me touchent avec, de nouveau, des textes profonds.
Bien sĂ»r, je suis bouleversĂ©e par le cri du cƓur de « Chanter pour toi ». Et, mais comment pourrait-il en ĂȘtre autrement, je suis Ă©mue par « Pour ma belle ».

La chanson « La justice et ma mĂšre » est tellement d’actualitĂ© qu’elle vous saisit. Bien qu’elle ne lui ressemble pas, « Ami » est sympathique Ă  Ă©couter. Puis nous avons : « Des pieds et des mains ». Le mot « perplexe » est celui qui rĂ©sume le mieux ce que je ressens. La musique et le rythme sont parfaits, mais j’imagine que le texte est trop subtil car je ne l’ai pas encore bien captĂ©.

L’AlgĂ©rie est Ă  l’honneur avec « Les clefs ». C’est un chef d’Ɠuvre musical avec un texte qui me parle au plus profond de mes racines. Dans le mĂȘme registre nous avons : « Venez ». L’une comme l’autre me renvoient Ă  une chanson des frĂšres Nacash « elle imagine ». J’ai cette nostalgie du pays perdu, mais je ne peux qu’imaginer

.

Le morceau de guitare nous rappelle qu’Enrico est avant tout un trĂšs grand guitariste qui, associĂ© au merveilleux Bruno, nous offre lĂ  un bijou.

Donc voilĂ , comme vous l’aurez sans doute compris, je classe ce CD comme le meilleur depuis la « reconversion », ce qui n’enlĂšve rien Ă  la qualitĂ© des prĂ©cĂ©dents.

Merci Ă  Enrico, Jean-Claude et Ă  tous les autres participants pour ce cadeau.

Muriel Meimoun

 

Un immense merci à Muriel. Je ne pouvais faire mieux qu’elle pour vous prĂ©senter ce nouvel album de notre chanteur prĂ©fĂ©rĂ©

Il ne nous reste plus qu’Ă  le remettre sur la platine, nous installer confortablement dans un fauteuil et replonger dans le monde ensoleillĂ© d’Enrico

 

201603081764-fullFĂȘtes et festivals – Saint-privat

Qui sera élue Miss Saint-Privat Ségala Carmausin samedi soir salle François-Mitterrand ?

Le verdict tombera aux alentours de minuit, l’heure oĂč la belle Ă©lue par le peuple de Carmaux et des contrĂ©es voisines montera dans le carosse royal en compagnie de ses deux dauphines, coiffĂ©e de son diadĂšme, drapĂ©e dans sa pĂšlerine de reine.

Venues de Carmaux, Saint-BenoĂźt-de-Carmaux, La Salvetat-PeyralĂšs, Valence-d’Albigeois et Le Garric, elles seront 14 postulantes au titre suprĂȘme, 14 belles supportĂ©es, acclamĂ©es, admirĂ©es par plusieurs centaines de supporters en pamoison, de papas et de mamans, petits copains, tonton et mamie, toutes et tous avides de porter sur le trĂŽne leur candidate prĂ©fĂ©rĂ©e, forcĂ©ment la plus belle.

La soirĂ©e festive et Ă©lective dĂ©marrera Ă  20h avec l’apĂ©ro-concert orchestrĂ© par Tony Bram’s, sa trompette et ses musiciens, le tout animĂ© par Christian VĂ©deilhĂ©.

L’apĂ©ro Ă  peine avalĂ©, place au repas dansant, toujours avec Tony et son show Frenchy Folie’s, et les 14 miss qui se jetteront dans l’arĂšne, rivalisant de beautĂ© et d’Ă©lĂ©gance sous les regards amoureux et larmoyants de leurs fans.

Et lorsque les 12 coups de minuit sonneront, il sera temps de faire le choix ultime et de dĂ©poser dans l’urne le nom de sa reine prĂ©fĂ©rĂ©e.

Laura, Lou-Ann et Alice, reine et dauphines 2015, remettront alors aux heureuses Ă©lues leurs diadĂšmes et leurs sceptres, ovationnĂ©es par tous les convives, debout pour clamer d’une seule voix : «Vive la miss».

La reine et ses demoiselles d’honneur qui auront l’immense privilĂšge d’accueillir le 19 aoĂ»t le roi Enrico, Enrico Macias qui sera la star du gala de la Saint-Privat.

Les fans peuvent d’ores et dĂ©jĂ  rĂ©server leur place Ă  l’office d’animation du Carmausin, place Gambetta Ă  Carmaux.

Election Miss Saint-Privat samedi 12 mars salle François-Mitterrand, 20h apéro-concert,

21h soirée repas-spectacle dansant.

Tarif : avec repas 22€, enfants -10 ans 12€, sans repas 10€ (à partir de 21h).

RĂ©servation Ă  l’office d’animation, 05.63.76.76.67.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/08/2299457-on-vote-pour-la-reine-et-on-reserve-pour-enrico.html#38lQPm806qdY1xW3.99

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=in1tdyETXp4[/youtube]

Bonne fĂȘte Ă  toutes les femmes du monde

Et merci Ă  Shirin pour ce trĂšs beau document

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Enrico Macias – CrĂ©dits Albane Penaranda – radio France

Enrico Macias Ă©tait l’invitĂ© d’Albane Penaranda sur France culture

le 6 mars 2016

Voici les replays