Sublissime Enrico

Après deux années d’absence, c’est pour fêter ses 80 ans qu’Enrico Macias a donné rendez-vous à son public, ce week end, sur la scène de l’Olympia.
Et c’est à guichet fermé que s’est jouée cette première soirée du samedi.

A évènement exceptionnel, fête exceptionnelle ! Et l’on peut dire que le spectacle a été sublime, au-delà de tout ce qu’on pouvait imaginer.
Nous n’aurons pas assez d’une seule page pour tout vous raconter et vous faire partager toutes les surprises qui nous ont été faites par Enrico. Mais n’ayez crainte, il y aura plusieurs épisodes.
Pour ce soir, nous planterons le décor. Un orchestre digne de celui des années 80, composé de 20 musiciens auxquels se sont jointes trois choristes.
Des arrangements entièrement réécrits pour l’occasion par Lionel Teboul et Jean Claude Ghrenassia. Nous consacrerons un article à Lionel Teboul. Mais souvenez-vous d’une certaine école des fans en 1977 et de l’Olympia de1985. Nous y reviendrons.
Un spectacle en deux parties qui nous a tenus en haleine trois heures durant, nous entrainant dans un tourbillon de surprises et d’émotions toutes plus belles les unes que les autres.

Un voyage de l’occident à l’orient avec un élément central « La Méditerranée » qui dès l’entrée du spectacle a permis de confirmer que le soleil du pays était bien présent sur scène comme dans la salle. Et Enrico, « Il est comme le soleil ». Epoustouflant, il ne nous a pas laissé une seconde de répit, nous offrant un medley très ensoleillé qui a fait exulter de joie la salle : imaginez « Un rayon de soleil », « Il est comme le soleil », « j’appelle le soleil ». Nous retiendrons aussi dans la première partie « Ma Patrie », et puis « La casa del sol », « Par ton premier baiser ».
Enrico avait aussi invité « Kendji Girac » pour un duo d’exception sur « adieu mon pays ». Leurs guitares et leur voix s’entendent à merveille et on aurait bien gardé Kendji un peu plus longtemps sur scène pour « La casa del sol ».

Cette première partie a également été ponctuée par trois hommages très émouvants.
L’un à Charley Marouani, son imprésario décédé fin juillet 2017, et pour lequel Enrico a interprété avec le seul piano pour accompagnement, une très belle chanson écrite par Frédéric Zeitoun.
Le second a été pour Jean Claudric, le grand ami et le compositeur et arrangeur de tant de succès de l’artiste. Enrico l’a appelé sur scène, à ses côtés, pour interpréter « Les gens du nord » et toute la complicité qui existe entre ces deux monsieurs était presque palpable..
Le troisième hommage a été pour Charles Aznavour, avec la reprise « Les deux guitares ».

Et nous sommes arrivés à la fin de cette première partie un peu ivres de tant de joies, du bonheur qui se lisait sur le visage d’Enrico et de l’ambiance torride qui régnait dans la salle.
Du grand Enrico, qui a été magistral de bout en bout.
Chapeau monsieur Macias ! Vous nous avez bluffés et cette soirée a été un grand kiff.

Comme il se fait tard, nous vous donnons rendez-vous demain pour vous parler de la seconde partie du spectacle qui nous a fait traverser la méditerranée et a fait monter encore d’un cran, la chaleur sur le boulevard des Capucines.

Enrico vous attend encore tous nombreux ce dimanche à 17h.

 

3 Comments on “Sublissime Enrico

  1. Lire cet article me donne le plus grand regret de ma vie. Enrico est la seule star de France. La chaleur de sa présence sa musique son talent ne peuvent qu être compatibles avec son public chaud comme le soleil de la bas. Bravo bravo. Chocran

  2. Bonjour
    Comme à chaque concert mais celui la sur été bcp plus grandiose que les autres ,encore bien dommage je n y étais pas serai au prochain il est vraiment phénoménal notre enrico et son équipe au plaisir

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