Pour celles et ceux qui ont eu la chance de venir applaudir Enrico Macias en concert ces derniers mois, vous avez eu le plaisir de découvrir et acquérir différents produits à la signature de votre idole ainsi qu’un double DVD retraçant les meilleurs moments d’Enrico Macias à la télévision au fil de ses 60 années de carrière (DVD par ailleurs en vente sur toutes les plate-formes spécialisées). Aujourd’hui, pour tous ceux qui n’ont pas eu la possibilité de venir faire la fête avec Enrico, nous avons le plaisir de vous annoncer l’ouverture de son e-store où vous pouvez retrouver et vous procurer tous ces objets. Qu’est ce qui vous fait envie ? Un carnet et un stylo pour copier les paroles de vos chansons préférées, un tee shirt pour afficher fièrement les filles de son pays, un mug pour retrouver tous les matins le soleil du midi ?…………….
Les croyances populaires prétendent qu’il fait toujours gris dans le nord pendant que dans le sud le ciel est bleu et le soleil brille. Pourtant, ce dimanche 4 mai, le ciel du Cannet était aussi gris et bouché qu’un ciel d’hiver chez les ch’tis et il pleuvait à seaux sur les rives de la méditerranée.
Mais rien ne pouvait empêcher de sortir les 1200 personnes qui avaient rendez-vous à la salle de la Palestre ce dimanche après-midi.
Parce qu’un concert d’Enrico Macias, chacun le sait, c’est du soleil, de la joie, un moment de fête hors du temps. Et quand l’évènement a lieu dans le midi, sur les bords de la Méditerranée, il y a toujours un « je ne sais quoi » en plus, une ambiance, des accents, une atmosphère, un vibrato supplémentaire. On sent qu’on se rapproche de la source, des racines de l’homme, de l’artiste, de sa musique et d’une partie de son public.
Et ce concert du Cannet fut à la hauteur de toutes les espérances. Un vrai bain de jouvence, de bonne humeur, de fête partagée sans arrière-pensée, sans retenue, une explosion de joie qui fait du bien. Chacun a pu reprendre les refrains qui lui évoquent un moment de sa vie, de son histoire, des moments de bonheur.
« Je ne peux pas m’empêcher de chanter » m’a dit un des spectateurs « C’est plus fort que moi. Il a bercé toute ma jeunesse et ma vie ».
A lui seul, Enrico Macias représente pour des milliers de personnes la nostalgie d’un passé révolu, un passé de bonheur simple, la mémoire d’une histoire commune relayée maintenant par les enfants et petits enfants pour qui il évoque les doux moments de l’enfance et de l’adolescence durant lesquels leurs parents les ont bercés aux rythmes des refrains ensoleillés de l’artiste. Mais Enrico Macias c’est aussi pour tous les présents le messager de la Paix, le chanteur infatigable de la folle espérance où qu’il se trouve dans le monde. C’est le chanteur qui a fait le pont entre l’orient et l’occident, entre toutes les communautés, qui chante aussi bien en Français, en arabe, en hébreu et dans toutes les langues des pays qu’il visite. C’est enfin l’homme et le chanteur qui, jamais ne baisse les bras, et qui, malgré toutes les adversités, continue de garder la foi et la volonté de donner du bonheur à tous ceux qui passent à portée de son cœur et de sa guitare.
Pour toutes ces raisons, son public ne se lasse pas de l’écouter, de chanter avec lui et pour lui, et lui crier son amour
Le concert du Cannet a été un bel exemple de tout cet amour réciproque qui a offert à tous du soleil comme une symphonie
Merci mille fois Enrico Merci aussi à tout ce public fidèle qui, à l’instar du chanteur, ne baisse pas les bras. Merci aux fidèles techniciens et musiciens qui eux aussi donnent le meilleur d’eux-mêmes pour que la fête soit éblouissante. Et merci à Damien Nougarede et toute son équipe de Backstage Event
Liste des chansons
Intro musicale Paris tu m’as pris dans tes bras Oh guitare, guitare Adieu mon pays Aux talons de ses souliers Dès que je me réveille La France de mon enfance Quand on a un frère Les gens du nord Suzy Chanter Une fille à marier Un berger vient de tomber Juif espagnol Les filles de mon pays Solenzara Le violon de mon père Medley arabo andalou (Billah ya Hamami, Bin el bareh ou el youm) Ya rayah Le mendiant de l’amour L’oriental Od yoter tov El Porompompero
Un soleil éclatant brillait sur St Brieuc ce 6 avril et l’on aurait presque pu se croire subitement transportés sur les rives de la Méditerranée tant la lumière et la douce chaleur nous enveloppaient d’un bien être réconfortant. De quoi faire mentir un des clichés les plus encrés dans la mémoire collective.
Et cette impression n’a fait que se confirmer lorsque nous nous sommes retrouvés dans la salle Hermione au sein du palais des congrès et des expositions de la ville. Forte de ses 1200 places, c’est une salle comble qui, dès 16h, déjà prête pour la fête promise, a commencé à taper des mains en appelant Enrico.
Et l’on peut dire que les Briochines et Briochins présents ont été à la hauteur des attentes du plus méridional des chanteurs français.
Enrico leur a offert 1h30 de concert magique accompagné de ses exceptionnels et fidèles musiciens. Calqué sur le schéma du concert du Dôme de Paris, le tour de chant a permis au public de réécouter tous les plus grands standards de l’artiste sur une orchestration de toute beauté que l’on doit à Jean Claude Ghrenassia (le propre fils d’Enrico) et à Lionel Teboul.
De « Dès que je me réveille » en passant par « Suzy », « chanter » ou « les gens du nord », chacun a pu sentir son cœur vibrer au son de ses tubes maciasiens favoris. Et bien sur l’ambiance de fête a atteint son paroxysme avec « Les filles de mon pays » et toute la partie arabo andalouse et orientale du concert.
Les Bretons ont mis une ambiance d’enfer dans la salle. Ils se souviendront longtemps de cet après-midi de folie qui leur a mis des étoiles plein les yeux et du baume au cœur pour de nombreux jours.
Ce spectateur le résume de la plus belle des manière : « Concert de M Enrico Macias Quasi 2h de Spectacle ! 86 ans une prestance hors du Commun ! Un grand Monsieur comme jamais The Voice ou autre émission sans piment n’en trouvera ! Merci pour ce moment que je n’oublierai jamais »
Il est effectivement important de souligner qu’après tant d’années, Enrico Macias chante encore et toujours en direct complet, sans prompteur, et debout, exception faite des morceaux où il s’accompagne à la guitare. Alors, effectivement, châpeau l’artiste.
Nous ne cesserons jamais de vous remercier, ainsi que vos musiciens, votre producteur Damien Nougarede et toute l’équipe qui vous accompagne pour tout le bonheur et l’amour que vous donnez avec tant de générosité.
Liste des chansons
Intro musicale Paris tu m’as pris dans tes bras Oh guitare, guitare Adieu mon pays Aux talons de ses souliers Dès que je me réveille La France de mon enfance Quand on a un frère Les gens du nord Suzy Chanter Une fille à marier Un berger vient de tomber Juif espagnol Les filles de mon pays Solenzara Le violon de mon père Medley arabo andalou (Billah ya Hamami, Bin el bareh ou el youm) Ya rayah Le mendiant de l’amour L’oriental El Porompompero
Après une semaine printanière durant laquelle nous avions pris goût aux beaux jours, l’hiver s’est de nouveau abattu sur la France et une brise glaciale soufflait sur Paris ce 15 mars 2025. Mais nous avions un RV vital et rien ne pouvait nous empêcher de l’honorer. Enrico Macias se produisait pour la 1ère fois au Dôme de Paris et nous attendions tous cet évènement avec grande impatience.
C’est donc avec une grande excitation que 4000 personnes ont investi la salle du Dôme ce 15 mars pour venir partager avec le mendiant de l’amour des instants magiques de joie, de fête et de bonheur. Les amis étaient tous là, célébrités comme parfaits inconnus, prêts à honorer le chanteur de la paix.
Et la soirée fut à la hauteur de toutes les attentes. Alors qu’en retiendrai je ?
En tout premier lieu, un Enrico Macias solaire, aminci et très élégant dans un costume noir et cravate noire sur chemise blanche, affichant un sourire radieux. On le sentait heureux d’être là et il a partagé ce bonheur avec une énergie folle. Cet amour qu’il donne sans retenue à son public qui le lui rend à 200 %, et ce bonheur partagé par tous étaient palpables tout au long de la soirée.
Le spectacle a été lancé par une superbe introduction qui nous a fait voyager avec des chansons en trompe-l’œil d’un « refrain », à « Paris, tu m’as pris dans tes bras » en passant par d’autres mélodies qu’on a perçues ou cru reconnaître.
Puis sont entrées les choristes sur « Paris tu m’as pris dans tes bras » et le public s’est levé comme un seul homme à l’apparition d’Enrico à l’autre extrémité de la scène. Et l’ambiance ne s’est plus relâchée tout au long de la soirée.
Lisbet Guldbeck – Ounsa Mebarkia et Julia Ghrenassia
Je dois vous parler des invités du chanteur qui ont tous excellé à ses côtés et nous ont fait passer des moments magiques. D’abord Rachelle Plas, brillantissime harmoniciste, qui a accompagné Enrico avec maestria sur « les gens du nord », dialoguant en écho avec le chanteur pour un très beau moment musical suspendu dans le temps.
Enrico Macias accompagné par Rachelle Plas
Noa R que nous connaissons déjà depuis quelques années est venue interpréter « Malheur à celui qui blesse un enfant » avec son parrain. Sa voix cristalline n’a pas tremblé et donné la réplique avec force et justesse à Enrico.
Enrico Macias et Noa R
Un autre moment plein de joie et d’humour fut la venue de Thomas Sotto pour un duo sur…. « J’ai perdu 25 kilos » et ce fut un kiff total. Thomas Sotto, journaliste sur RTL, avait émis l’envie lors d’une émission de radio durant laquelle il recevait Enrico, de chanter cette chanson, incontournable des départs en vacances de son enfance dans la 404 familiale. Et ce fut un moment magique pour lequel les deux acteurs-chanteurs ont joué leur rôle à merveille avec beaucoup de complicité. Saluons l’espièglerie d’Enrico qui a remplacé Françoise Hardy par Carla Bruni et l’excellente prestation du journaliste.
Thomas Sotto et Enrico Macias
Sur le plan musical, nous vous avons déjà mentionné la splendide introduction du spectacle mais nous devons aussi insister sur l’orchestration très travaillée de tout le concert, fruit du talent de Jean Claude Ghrenassia et Lionel Teboul. Il faut aussi saluer le talent de chacun des musiciens de l’orchestre qui ont mis en commun leur excellence pour un résultat époustouflant.
Nous notons également un medley international revisité avec notamment un hommage à Idir sur « Snitra » et le succès israélien « Od yoter tov » Au fil du concert, Enrico aura ainsi chanté en corse, breton, arabe, arménien, berbère, hébreu, espagnol.
Nous avons également apprécié la très belle scénographie habillant le spectacle d’un écrin de lumière de toute beauté
Il me faut encore vous décrire l’ambiance de folie qui a régné sur les 2h30 de ce concert.
Imaginez 4000 personnes chauffées à blanc du début à la fin du spectacle, frappant le rythme dans ses mains, reprenant en chœur tous les refrains, criant son amour au chanteur tout au long de la soirée.
« Quel public extraordinaire ! » leur dit Enrico et c’est 4000 personnes qui se mettent à claquer dans leurs mains en scandant « Enrico ! Enrico ! Enrico ! »
« Je me sens tellement bien avec vous » dit encore le chanteur « Je vous aime »
« Nous aussi on t’aime » lui répond le public, ce public qui est resté debout durant presque toute la deuxième partie avec une mention spéciale pour Hugues Aufray, debout lui aussi, pour applaudir son ami.
Cette soirée a vraiment été très riche en émotions et ce ne sont pas quelques petites mauvaises odeurs qui ont pu avoir raison du souffle incroyable d’amour et de bonheur partagés par l’artiste, les musiciens et le public.
Enrico, cette soirée a été magique et chacun y a puisé une bouffée d’énergie pour la suite de son chemin. Mille mercis pour votre foi sans faille en des jours meilleurs et votre détermination à continuer de chanter la paix et la fraternité malgré tous les obstacles. Votre prestation a été époustouflante et pourvu que ça dure jusqu’à 120 ans.
Merci à Damien Nougarede et toute son équipe pour l’organisation de cette soirée féérique malgré toutes les difficultés qu’il a fallu surmonter. Votre volonté indestructible et votre professionnalisme alliée à votre gentillesse font merveille.
Merci à tous les techniciens et musiciens qui, eux aussi, ont mis leur talent et leur professionnalisme au service de ce spectacle d’exception
Le souvenir de ces instants de profond bonheur restera encore longtemps gravé dans notre mémoire comme un morceau d’anthologie de ces 63 années.
Liste des chansons
1ère partie Intro musicale Paris tu m’as pris dans tes bras Oh guitare, guitare Adieu mon pays Aux talons de ses souliers Oranges amères Dès que je me réveille La France de mon enfance Quand on a un frère Les gens du nord Malheur à celui qui blesse un enfant Suzy Chanter
2ème partie Une fille à marier La folle espérance Un berger vient de tomber Juif espagnol J’ai perdu 25 kilos Les filles de mon pays Solenzara Le violon de mon père La fête orientale Medley arabo andalou (Billah ya Hamami, Bin el bareh ou el youm) L’oriental Medley international (L’oriental, Votch khoskov, Snitra, Kol aolam kulo, Od yoter tv, El porompompero) Ya rayah Le mendiant de l’amour Enfants de tous pays
Ce 18 février 2025, c’est à Perpignan que nous avions rendez vous avec Enrico Macias. Et le très bel auditorium Charles Trenet du palais des congrès était plein à craquer du parterre au balcon lorsque les projecteurs ont illuminé la scène.
Ce fut une fois de plus une belle fête et je vous livre ci-dessous le témoignage d’une personne présente à cette soirée :
« Hier soir, le Palais des Congrès a vibré au son des plus grands succès d’Enrico Macias. La salle était comble, nous avons été transportés dans le temps, bercés par les mélodies intemporelles de cet artiste emblématique de la scène publique..
Dès les premières notes, La voix chaleureuse et envoûtante d’Enrico Macias a résonné dans la salle, ravivant des souvenirs et des émotions enfouies. Les chansons, devenues de véritables classiques, ont été reprises en chœur par un public
Malgré les années qui passent, Enrico Macias n’a rien perdu de sa superbe. Sa voix est toujours aussi puissante et émouvante, et sa présence sur scène est magnétique. Il a su, avec une énergie communicative, transmettre sa passion pour la musique et son amour pour le public.
Cette soirée a été un véritable moment de partage et de communion entre l’artiste et son public. Les applaudissements chaleureux et les regards émus témoignent de l’attachement indéfectible du public à Enrico
Cet hommage à Enrico Macias restera gravé dans nos mémoires comme une soirée exceptionnelle, placée sous le signe de la nostalgie, de l’émotion et de la qualité de l’interprète. Un moment unique qui a permis de célébrer la carrière exceptionnelle d’un artiste hors du commun. »
Rien à ajouter à ces propos si ce n’est, tout de même, une singularité de ce concert puisque le batteur de cette soirée n’était autre que Jean Claude Ghrenassia que nous avons plus l’habitude de voir et d’entendre à la basse et la contrebasse. Musicien d’excellence et multi instrumentiste, il a fait une fois de plus preuve de son grand talent. Rappelons aussi que c’est lui qui fait tous les arrangements du spectacle d’Enrico avec Lionel Teboul.
Il faut remercier très sincèrement tous les musiciens de l’orchestre : Kamel Labbaci, Lionel Teboul, Bruno Bongarçon, Amar Mohali, Jean Claude Ghrenassia, Karim Rachedi pour leur grand talent qu’ils mettent toujours avec beaucoup de générosité au service de Maître.
Merci aussi au producteur d’Enrico Macias, Damien Nougarede et à toute son équipe Michel, Greg et Hannah.
Avant le grand rendez vous du 15 mars au Dôme de Paris, rappelons qu’Enrico Macias sera à Plougastel le 27 février prochain.
Liste des chansons
Chanter Aux talons de ses souliers Adieu mon pays Oh guitare, guitare La France de mon enfance Medley : (Non je n’ai pas oublié, la femme de mon ami, Solenzara, Paris tu m’as pris dans tes bras) Les gens du nord Juif espagnol Quand on a un frère Un berger vient de tomber Une fille à marier Les filles de mon pays Le violon de mon père Billah Ya hammami Bin el Barah ou el youm Ya Rayah Le mendiant de l’amour L’oriental El Porompompero
5 colonnes à la une – 1962 5 colonnes à la une – 1965 Top à Enrico Macias – 1972
Un grand merci à la chaine LCP et à Patrick Cohen et Richard Poirot pour cette émission Une soirée télé comme nous n’en avons plus depuis longtemps Nous sommes allés nous coucher des étoiles plein les yeux
Enrico Macias connait le succès dès sa première apparition télé en octobre 1962, lors d’un reportage sur l’exode des Français d’Algérie pour Cinq Colonnes à la Une. En interprétant l’emblématique « Adieu mon pays », il devient le porte-voix des pieds-noirs déracinés. Grâce à son répertoire unique et universel, il conquiert très vite un public plus large. Devenu une immense vedette, il enflamme régulièrement les plateaux des plus grandes émissions de variétés des années 70, dont « Top à », le show mythique des producteurs Maritie et Gilbert Carpentier. Patrick Cohen, en compagnie de Richard Poirot de l’INA, reçoit en plateau Enrico MACIAS, auteur, compositeur, interprète. C’est une plongée dans l’histoire de notre pays au travers des trésors cachés de la télévision. Fictions, documentaires, magazines d’actualité, émission de divertissements, débats politiques… Le dimanche, Patrick Cohen nous invite à jeter un coup d´oeil dans le rétroviseur de notre petite lucarne. En présence d´acteurs ou de témoins de l’époque, de spécialistes des archives de l´INA, Patrick Cohen revient sur les grandes heures de la télévision. Emblématiques ou polémiques, ces programmes ont marqué les esprits et l’histoire du petit écran.
A l’occasion de ses 60 ans de carrière, Rembob’INA rend hommage à celui qui n’a jamais cessé d’enchanter son public avec ses chansons populaires et fédératrices.
Enrico Macias connait le succès dès sa première apparition télé en octobre 1962, lors d’un reportage sur l’exode des Français d’Algérie pour Cinq Colonnes à la Une. En interprétant l’emblématique « Adieu mon pays », il devient le porte-voix des pieds-noirs déracinés. Grâce à son répertoire unique et universel, il conquiert très vite un public plus large. Devenu une immense vedette, il enflamme régulièrement les plateaux des plus grandes émissions de variétés des années 70, dont « Top à », le show mythique des producteurs Maritie et Gilbert Carpentier.
Patrick Cohen, en compagnie de Richard Poirot de l’INA, reçoit :
Enrico MACIAS, auteur, compositeur, interprète
Présenté par : Patrick Cohen
Durée : 120′ / Année : 2025
Coproduction : LCP-Assemblée nationale / INA
Diffusions :
Dimanche 16 février à 21h
Samedi 22 février à 14h
Et en replay sur LCP.fr et la chaîne YouTube jusqu’au 07/03/2025
C’est en banlieue parisienne qu’Enrico Macias chantait ce week end pour deux concerts, dans deux lieux très différents, mais dans la même ambiance de fête et d’amour fraternel.
De conception moderne, inaugurée en 2013, offrant toutes les installations permettant de profiter d’un spectacle de qualité, la salle de l’Embarcadère à Aubervilliers était notre 1er rendez vous avec Enrico qui se produisait pour la première fois dans cette ville. Mais nul doute que ni lui, ni le public présent n’oublieront cette soirée. Parce que Maman chérie ……………… Quelle ambiance !!!!!!!!!!! Les youyous si chers au cœur de l’artiste ont fusé dès les premières notes de l’intro musicale pour atteindre une déferlante de joie à l’apparition de la silhouette de l’artiste dans les projecteurs. Et du début à la fin du spectacle, l’ambiance n’a fait que monter crescendo.
« Et toi Aubervilliers je suis bien dans tes bras fut salué par un tonnerre d’applaudissements, de cris, de youyous ».
« On vous entend dans toutes les banlieues et même dans la capitale. » leur a dit Enrico, les yeux pleins de l’amour du public.
Cette soirée de folie s’est bien évidemment terminée par la partie arabo andalouse, qui, là plus qu’ailleurs encore, s’est déroulée dans une ambiance de délire. Les murs de l’Embarcadère s’en souviendront longtemps.
Le lendemain après-midi, c’est à Enghien que nous avions rendez-vous avec l’oriental au regard fatal. Situé au bord du lac, Le théâtre du Casino offre un tout autre cadre avec une salle italienne aux fauteuils de velours rouge et balcons rehaussés d’or. C’est un charme d’antan même si la salle a été refaite en 2005. Mais l’ambiance y a été tout aussi festive.
Enrico Macias, possède, entre autres talents, celui d’entrer instantanément en communication avec son public et de faire croire à chacun qu’il fait partie de la famille. Il suffit d’un mot ou d’un geste de sa part pour que la salle réagisse à l’unisson.
Et on peut dire que le public d’Enghien n’a pas boudé son plaisir, ni celui d’Enrico qui évidemment répond lui aussi instantanément à tant de preuves d’amour et de joie.
En veine de confidences, Enrico a rappelé qu’à son arrivée en France, avant même Paris, c’est à Argenteuil qu’il avait débarqué et qu’il était très souvent venu se promener à pied jusqu’à Enghien. D’ailleurs, a-t-il confié, c’est dans un hôtel d’Enghien que j’ai passé ma nuit de noce avec Suzy.
Tout à son bonheur de partager sa musique et la fête avec ce public merveilleux comme si il était avec sa bande de copains, il n’hésite pas à plaisanter dès qu’une occasion se présente.
« J’ai pris de l’âge dit il avec humour en s’asseyant pour prendre sa guitare … Mais ce n’est pas tout le spectacle, c’est juste pour jouer de la guitare »
Et de fait à 86 ans passés, nous pouvons témoigner qu’Enrico assure chacun de ses concerts debout, sans prompteur, et en live. C’est suffisamment remarquable pour le souligner. Porté par l’enthousiasme du public comme on surfe sur la vague, il a montré, ce week end, une forme resplendissante annonçant la montée en puissance avant le Dôme le 15 mars où il espère bien retrouver chacun de ses fans.
Ce sera sans nul doute l’apothéose de cette saison et un moment inoubliable. Ne le manquez pas. Il reste encore quelques places. N’attendez pas pour réserver.
Sous le ciel bleu de Paris, ce week end nous a offert des moments inestimables de bonheur pur et simple et redonné à chacun une bouffée d’optimisme pour continuer notre route.
Il faut saluer deux publics vraiment exceptionnels qui ont fait une ovation à Enrico, lui aussi, dans une forme olympienne.
Nous ne manquerons pas, non plus, de remercier les techniciens et musiciens d’Enrico : Jean Pierre Boyer, Bruno Bongarçon, Philippe Hervouët, Patrick Goraguer, Lionel Teboul, Amar Mohali et Kamel Labbaci.
De gauche à droite : Patrick Goraguer, Amar Mohali, Philippe Hervouët, Bruno Bongarçon, Enrico Macias, Jean Claude Ghrenassia, Kamel Labbaci, Lionel Teboul
Nous n’oublions pas Damien Nouagrede, producteur attentionné d’Enrico Macias.
Enrico nous attendons tous le rendez vous du 15 mars au Dôme avec beaucoup d’impatience. Tous vos fans seront là arrivant des 4 coins du monde pour faire la fête avec vous.
D’ici là, il reste encore deux rendez vous à Perpignan et Plougastel.
Liste des chansons Chanter Aux talons de ses souliers Adieu mon pays Oh guitare, guitare La France de mon enfance Medley : (Non je n’ai pas oublié, la femme de mon ami, Solenzara, Paris tu m’as pris dans tes bras) Les gens du nord Juif espagnol Quand on a un frère Un berger vient de tomber Une fille à marier Les filles de mon pays Le violon de mon père Billah Ya hammami Bin el Barah ou el youm Ya Rayah Le mendiant de l’amour
De notre amie et envoyée spéciale Muriel Meimoun. Mille mercis pour ce témoignages et ces belles photos
Deauville en janvier… ce n’est pas l’idéal me direz-vous et tout était réuni pour vous donner raison. Le froid, le vent, la pluie….
Mais à Deauville il y a aussi les Planches. Ce lieu mythique que les pas des plus grands du monde ont foulé, est intemporel. Les noms des plus grands stars d’Hollywood, sur les barrières blanches délimitants les cabines, vous font voyager loin dans l’espace et dans le temps.
Mais nous c’est pour une autre star que nous étions là. Notre star.
Avant de nous retrouver le 15/03 au Dôme de Paris pour le grand show, nous avons eu le bonheur de retrouver Enrico au Casino Barrière. Cette institution Deauvillaise construite en 1912 inspirée par le Grand Trianon du Château de Versailles puis restaurée en 1988 dans un style plus baroque, nous a accueilli avec beaucoup de chaleur pour un concert d’exception. Et je le tiens de la bouche même du directeur « s’il y avait eu une deuxième date, les billets se seraient arrachés » ainsi que « on s’est fait enguirlander je ne sais combien de fois car il n’y avait plus de place à vendre ». Alors inutile de vous dire que les Deauvillais(es) qui ont eu la chance d’être présents étaient très chauds pour faire la fête en ce froid dimanche de janvier.
Enchaînant ses plus grands succès, Enrico leur a offert un moment qui restera gravé dans le fond de leur cœur.
En très grande forme il a tenu son public en haleine tout au long des 90 minutes du concert. Comme à chaque fois l’émotion était à son comble en se remémorant l’exil, l’accent accroché aux talons de leurs souliers, ce morceau de France de leur enfance. Les larmes perlaient aux yeux en rendant hommage au berger qui est tombé. Comme toujours, le public lui a répondu que leur cœur d’attache c’est lui et ils ont fredonné les refrains honorants les gens du Nord et Paris. Puis bien sûr les filles, qu’elles soient à marier ou de son pays ou les deux, se sont levées pour danser en l’honneur de notre oriental préféré. Et que la musique soit orientale, avec ses célèbres chansons tirées du malouf constantinois, ou espagnole, avec en final El prompompero, ou israélienne car évidemment Ose Shalom, naase Shalom, la paix règne dans les salles de concerts où se produit Enrico.
Alors comme un concert c’est bon comme du bon pain, il nous faut en reprendre le plus souvent possible donc je vous donne rendez-vous mercredi 29 à Béthune.
Mais avant, à l’instar d’Enrico, nous n’oublions pas d’applaudir techniciens (Jean-Pierre, Hannah), musiciens (Bruno, Philippe, Amar, Lionel, Kamel et Jean-Claude) et la production (Damien et Michel). Et de les remercier. Sans oublier Enrico bien sûr, car sans lui le monde serait beaucoup moins beau.
Après le Québec puis Vendôme, Nancy et le Déjazet à Paris, les pas d’Enrico Macias nous ont conduits en cette fin d’année au soleil de la Méditerranée.
Nous avions déjà eu la joie de venir au Zinga Zanga de Béziers en avril 2023. Zinga signifie aider quelqu’un à travailler. Pour nous ce sera nous aider à être heureux. Et oui Enrico, vous aviez aussi raison, Zinga est le nom d’une ville centrafricaine. Donc, cette salle aux consonances tant africaine qu’occitane, nous a à nouveau accueillis ce samedi 14 décembre pour faire la fête avec notre chanteur préféré. Mais aussi pour fêter sur scène l’anniversaire de Jean-Claude Ghrenassia. Alors tout était réuni pour que la fête soit belle. Et elle le fut. Le public conquis est reparti le cœur en joie après avoir entonné les plus grands succès d’Enrico. Et il n’y a aucun doute, il aurait pu continuer à danser jusqu’au bout de la nuit.
Joyeux anniversaire Jean Claude
Après Béziers, nous nous sommes envolés pour l’île de Beauté, et plus précisément la ville chère au cœur de Bonaparte, Ajaccio.
Salle mythique de la ville, le théâtre « L’empire » a ouvert ses portes en 1958. Fraichement rénové, conservant son style art déco de l’époque, Enrico y a retrouvé ses marques avec beaucoup de bonheur, presque 60 ans après s’y être produit pour la première fois. Dès les premières notes de « chanter », le tempo était donné et les corses n’ont pas mis longtemps à chauffer l’ambiance à blanc. Rythmant chaque refrain dans leurs mains, reprenant chaque tube avec tant de force que les musiciens d’Enrico n’avaient plus nécessité de jouer, ils ont fait la fête avec et pour Enrico avec tout leur cœur et leur amour.
Enrico n’a pas été en reste et leur a notamment fait le cadeau d’interpréter Solenzara en Corse. La fête s’est bien évidemment terminée debout devant la scène et quelques téméraires sont même arrivées à monter sur la scène pour embrasser Enrico. Merci la Corse et les Corses pour cette belle soirée de fête et votre accueil chaleureux et enthousiaste.
Mais dès le rideau rouge refermé, les lumières éteintes, après quelques heures d’un sommeil que l’on aurait aimé un peu plus prolongé, nous voila de nouveau dans les airs à destination de Marseille.
Et c’est à l’espace Julien que nous avions rendez vous ce 17 décembre pour le dernier concert de l’année 2024. Salle atypique mais offrant un cadre intimiste qui sied à Enrico et à ses fans, elle était pleine à craquer lorsque les lumières se sont éteintes. Et c’est une ambiance de folie, digne de la réputation des Marseillais, qui a animé tout le concert. Transcendé par tous les cris d’amour, les youyous et les applaudissements, Enrico a été fabuleux et a mené un rythme endiablé tout au long de ce concert.
A 86 ans, et après une année 2024 où il a parcouru des milliers de kilomètres aux quatre coins de France et du monde, il n’a de cesse de nous surprendre et de nous enthousiasmer.
Au fil de toutes ces scènes et à travers les échanges engagés avec les fans de chacun de ces lieux, il est remarquable et touchant de réaliser les liens forts tissés entre l’artiste et son public.
Après 60 années de vie pour les uns comme pour les autres, chacun de ces concerts donne à se retourner vers le passé rappelant à l’artiste le long et patient chemin parcouru vers le succès, les premières fois où il a foulé toutes ces scènes. De la même manière, dans la salle, la mélodie de telle ou telle chanson rappelle une maman qui fredonnait tous ces refrains, un frère ou un ami qui chantait à tue-tête ce titre dans la rue, un épisode heureux ou malheureux de son existence. Chacun a une histoire en mémoire avec l’un ou l’autre des succès du chanteur et revit ces moments avec des frissons de bonheur et de nostalgie.
Si l’on pouvait rassembler tous les témoignages des personnes rencontrées au fil de ces concerts, on pourrait écrire une belle histoire humaine retraçant des jours de malheur ou de tristesse, mais aussi les jours de bonheur et de fête. L’histoire avec un grand H a marqué le parcours de chacune de ces personnes et chacun a trouvé des repaires et du réconfort dans les chansons d’un enfant de Constantine qui a dû quitter son pays dans les cris et les larmes de la guerre et s’est, dès ce jour, fixé comme ligne de vie d’allumer les lumières de la fête et du bonheur dans les yeux de tous ceux qui croiseraient son chemin. Accompagné de sa fidèle guitare, il continue sans se lasser, ni se laisser abattre, de chanter la Paix, la fraternité et de donner de l’amour à tous ceux qui passent à portée de son cœur.
Cette volonté sans faille laisse admiratif.
Merci Enrico pour tout ce bonheur donné avec tant de générosité. Chaque spectateur que vous avez touché par votre voix chaude, votre accent si particulier et le son caractéristique de votre guitare vous est reconnaissant et vous remercie du fond du cœur.
Excellente fin d’année pour vous et les vôtres Enrico. Nous vous souhaitons de merveilleuses fêtes de fin d’année entouré de beaucoup d’amour et de joie.
Bonnes fêtes de fin d’année également pour tous vos fans et votre public.