Pour celles et ceux qui ont eu la chance de venir applaudir Enrico Macias en concert ces derniers mois, vous avez eu le plaisir de découvrir et acquérir différents produits à la signature de votre idole ainsi qu’un double DVD retraçant les meilleurs moments d’Enrico Macias à la télévision au fil de ses 60 années de carrière (DVD par ailleurs en vente sur toutes les plate-formes spécialisées).
Aujourd’hui, pour tous ceux qui n’ont pas eu la possibilité de venir faire la fête avec Enrico, nous avons le plaisir de vous annoncer l’ouverture de son e-store où vous pouvez retrouver et vous procurer tous ces objets.
Qu’est ce qui vous fait envie ? Un carnet et un stylo pour copier les paroles de vos chansons préférées, un tee shirt pour afficher fièrement les filles de son pays, un mug pour retrouver tous les matins le soleil du midi ?…………….


N’attendez plus. Tout est sur ENRICO-STORE.COM

Moins de 3 semaines après un Olympia qui nous laisse encore aujourd’hui des étoiles dans les yeux et 4 jours après un concert à New York pour l’ouverture du 26ème Festival du film juif sépharade de NY, c’est à Lyon que nous avons retrouvé Enrico Macias ce jeudi 6 juin à la Bourse du travail.

Il y a longtemps que la ville des gones l’a, elle aussi, pris dans ses bras et il s’y produit régulièrement. Nos pas dans les siens nous ont souvent menés place Guichard et c’est avec un bonheur ne se démentant jamais que nous y étions à nouveau Jeudi.

Les lyonnais ont la réputation d’être froids pourtant ce sont de bons vivants, capitale de la gastronomie oblige. Cette réputation m’a souvent interrogée.
Et jeudi soir, les lyonnais présents ont, une fois de plus, fait mentir les méchantes langues.

Bien avant que l’artiste n’entre en scène, ils appelaient déjà Enrico avec grand bruit.
Dès l’apparition de la silhouette familière au coin de la scène, ils étaient déjà en ébullition.
Et c’est dès la moitié du spectacle pour célébrer « les filles de son pays » que toute la salle s’est levée dans un même élan pour danser et faire la fête. Elle ne s’est plus rassise jusqu’aux dernières notes d’El Porompompero.
Durant 1h30 de spectacle, nous avons baigné dans un océan d’amour et de chaleur qui font du bien à l’âme et au cœur et qui a touché l’homme et l’artiste au plus profond de lui-même.
Pour s’en persuader, il suffisait de contempler le sourire radieux qui illuminait son visage et son bonheur de pouvoir encore poursuivre son chemin, sa guitare au bout des doigts.


Ce qui est fascinant, malgré les années qui passent, malgré les épreuves et les vents contraires, c’est son infatigable volonté de transmettre son message, de croire encore et encore en des valeurs humaines qui s’éloignent de jour en jour, en un avenir meilleur qui tarde à se réaliser.
Malgré 60 années de carrière, il chante toujours avec une émotion et une ferveur intactes, Adieu mon pays et Noel à Jérusalem. On a l’impression que les épreuves, au lieu de l’accabler, lui redonnent l’énergie pour continuer sa mission sur cette terre et donner du bonheur à tous ceux qui passent à portée de son cœur.

Au-delà de sa musique, de ses chansons, de tous les instants de fête que nous passons à ses côtés, sa volonté de continuer à porter son message de Paix et d’amitié aux quatre coins du monde malgré tous les obstacles est admirable et très touchante.

Pour toutes ces raisons, nous l’aimons et nous lui disons merci.


Merci aussi aux techniciens et musiciens qui l’accompagnent fidèlement sur toutes les scènes du monde.

Merci à Backstage Event et Damien Nougarede pour son soutien sans faille

Et merci aussi à Noa R. que nous avons retrouvée avec grand plaisir en première partie du spectacle.

Enrico Macias et Damien Nougarede

Liste des chansons

Il reste aujourd’hui
Oranges amères
Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
Oh guitare guitare
La France de mon enfance
Paris, tu m’as pris dans tes bras
Les gens du nord
Juif espagnol
Noel à Jerusalem
Al Kol Ele
Chanter
Suzy
Une fille à marier
Les filles de mon pays
Solenzara
Le violon de mon père
Medley oriental
Ya Rayah
Le mendiant de l’amour
L’oriental
El porompompero

De notre envoyée spéciale et amie Muriel Meimoun

Après 2 concerts à guichets fermés à l’Olympia, soit 4.000 personnes venues des quatre coins du monde pour écouter le maestro qui était accompagné d’un orchestre composé de 19 musiciens et 3 choristes dans un décor somptueux pensé par une véritable artiste, la sobriété du concert intimiste qui s’est tenu hier soir à Saint-Grégoire avec 5 musiciens devant une salle quasi pleine de 850 purs bretons, offrait un contraste frappant ; le faste de l’un face à la simplicité de l’autre. Ce que j’en retiens, c’est que l’homme qui est sur scène se donne avec autant d’amour, de joie et d’énergie à l’un comme à l’autre.

Le public breton ne s’y est pas trompé, il était donc là au rendez-vous fixé. Tout aussi chaleureux que les Gens du Nord ou ceux poussés par le Vent du Sud, il a accueilli Enrico sans pudeur et avec une passion débordante de 60 ans d’un amour partagé.

Comme partout ailleurs, mais curieusement ou pas… on s’y attend moins d’un public élevé au son du biniou ; celui-ci s’est levé pour faire la fête et danser dès les premières notes de « ya rayah » pour ne plus quitter le devant de la scène jusqu’aux dernières notes de « El porompompero ».

Avant cela, il avait bien sûr repris en chœur les standards du répertoire d’Enrico d’« aux talons de ses souliers » au « violon de mon père », 2 chansons nostalgiques d’un temps révolu mais toujours présent dans nos âmes, en passant par « oh guitare », « les filles de mon pays », « juif espagnol », « Noël à Jérusalem » et tant d’autres, pour finir par faire la fête à l’oriental qui nous est si cher. Nos amis bretons, au cœur tendre comme le bon beurre de là-bas, ont accompagné Enrico tout au long de son tour de chant.

Vous allez dire que je radote ou que je mens, mais une fois de plus le ciel mitigé, indécis, que j’ai trouvé en arrivant à Rennes est définitivement passé au beau à la sortie du concert et est encore présent ce matin. La magie maciasienne a encore frappé.

Une fois de plus, je me dois de remercier les techniciens de l’ombre sans qui rien ne serait possible. Merci aux musiciens présents et passés qui, même s’ils ne sont plus sur scène, suivent et aiment le boss. Un merci particulier à Karim qui ne manque aucune de nos publications et commente celles-ci avec tout l’amour qu’il porte à un homme qui l’a accompagné, comme nous tous, depuis sa plus tendre enfance.

Merci à toute l’équipe de Backstage Évent, dont Greg, Daniel et Véronique, la magicienne de la scène.

Merci à Jean-Claude et à Damien qui, avec tout l’amour qu’ils portent à Enrico, programment et organisent ces rendez-vous. Quoi de plus normal pour un fils envers son père me direz-vous. C’est vrai, encore que tous ne sont pas aussi dévoués. Dans la vie on ne peut donner que ce que l’on reçoit (dixit Enrico lors d’une émission qui est chère à mon cœur), et cette présence, cette attention de chaque instant, ne peuvent avoir vues le jour que grâce à ce que lui-même a reçu.

Quant à la foi et la fidélité de Damien, elles n’ont d’égales que son amour pour l’homme et l’artiste.

Pour finir, MERCI à Enrico d’être l’homme que vous êtes. De ne jamais dévier de vos principes et de vos croyances.

Alors, grâce à eux tous, retrouvons-nous nombreux à Lyon où nous débarquerons le 6 juin, parallèlement aux commémorations du 80ème anniversaire d’un autre débarquement sans lequel nous ne serions peut-être, certainement, pas là pour que la fête continue malgré tous les obstacles sur la voie de l’amour, du partage et du respect mutuel.

Nathan Foeller-Claudel, petit neveu de Jean Claudric, était présent dans la salle de l’Olympia dimanche 19 mai 2024 pour applaudir Enrico Macias et faire la fête avec nous tous.
Venant tout juste de fêter ses 17 ans, c’est une autre génération qui vous parle avec son coeur de l’artiste et de son répertoire
Merci Nathan

Comme toutes ses rentrées parisiennes, ces deux concerts d’Enrico Macias étaient extrêmement attendus. Soixante ans après son premier Olympia, son vingt-huitième passage au Temple du music-hall s’est constitué de deux dates : les 18 et 19 mai 2024, et la salle a affiché complet. Comme Enrico a tenu à le rappeler, c’est sur cette même scène qu’il a chanté pour la première fois « Paris, tu m’as pris dans tes bras » le 19 mars 1964.

Le récital revêt un  caractère exceptionnel à plusieurs  égards.  Le programme a été modifié et enrichi par rapport à la tournée en province et les chansons du tour de chant ont pris une toute autre dimension grâce à l’ensemble de dix-neuf musiciens et aux trois choristes. Rappelons au passage que la musique est une histoire de famille puisque Julia Ghrenassia, la gracieuse petite-fille d’Enrico, a apporté son concours au chœur.

On doit les arrangements musicaux et les orchestrations particulièrement opulentes à Jean-Claude Ghrenassia, Lionel Teboul – également chef d’orchestre – et Bruno Bongarçon. Tout comme la sobriété élégante des jeux de lumières et de la scénographie, cette richesse musicale a participé à la magie du spectacle. Mais soulignons – comme Enrico l’a fait lui-même sur scène – que les trois arrangeurs se sont inspirés du travail de Jean Claudric, qui restera à jamais leur Maître en la matière.

Fidèle, le chanteur a rendu hommage dès le début à ceux qui ont participé à l’écriture de son répertoire : outre son ami de toujours Jean Claudric – cité à trois reprises -, il n’a pas oublié son parolier le plus prolifique hélas disparu Jacques Demarny, mais aussi Didier Barbelivien, Michel Jourdan, Claude Morgan, Marc Estève et Frédéric Zeitoun.

Enrico Macias et Jean Claudric après le concert

Comme à l’occasion des quatre-vingt-cinq ans d’Enrico au Déjazet le 11 décembre dernier, ce spectacle en deux parties a été entièrement illustré par Joann Sfar, célèbre auteur de bandes-dessinées très présent dans les medias actuellement et dont nous devons reconnaître la grande lucidité. Sfar a dessiné en direct, ses œuvres étant projetées sur un écran. Même s’il avait prévu les grandes lignes de ce qu’il devait faire pour chaque chanson, il a réservé aussi une place à l’improvisation.

Autre grand moment de la soirée, Enrico a invité Noa R. pour interpréter en duo « Tous les soleils de l’amitié », titre qui a littéralement sauvé la vie de la jeune chanteuse à la voix cristalline. Car oui, Enrico est de ceux qui aident à vivre,

il redonne de la saveur à nos jours quand il nous arrive parfois de la perdre, il est un moteur qui aide à avancer dans l’existence et à en supporter les épreuves.

La chanson d’entrée était « L’instituteur », – choix d’autant plus appréciable qu’il ne l’avait pas chantée depuis sa création en 1981, – dont il a interprété une bonne partie alors que le rideau rouge était encore baissé… Dès qu’il est apparu, – en grande forme et vêtu d’un costume bleu marine -, tel un prophète qui vient nous dire la Vérité, nous étions tous au bord des larmes car Enrico est seul capable de nous procurer à chaque fois ces mêmes émotions uniques, dont l’intensité relève de l’indicible. Plus que jamais, son maître-mot fut l’espoir, qu’il a presque adopté comme une seconde religion. Mais point besoin de prise de parole à portée politique avec Enrico, puisqu’il dit tout dans ses chansons !

Pendant plus de deux heures, ce fut évidemment la fête orientale dans ce lieu mythique ! Grâce à certains dans le public, il y eut même une envolée de ballons rouges à l’effigie d’Enrico !

Même si « on n’a pas le droit de sacrifier le présent au passé », beaucoup sont déjà nostalgiques, deux jours après le spectacle. Mais heureusement, la fête continue et pour longtemps, c’est certain !

Nathan FOELLER-CLAUDEL

Fabuleux, époustouflant, voici les adjectifs qui peuvent qualifier les deux concerts qui nous ont fait vibrer ce Week-end.

Enrico Macias se produisait boulevard des Capucines pour son 28ème Olympia en 62 années de carrière et il a rappelé durant son récital qu’il y a 60 ans, lors de son 1er Olympia en mars 1964, il chantait pour la 1ère fois, dans cette même salle, « Paris tu m’as pris dans tes bras ».

Peu d’artistes peuvent se vanter d’un tel parcours et le petit Gaston de Constantine peut en être fier.

Fabuleux, Enrico l’a été tout au long de ces deux concerts. Toujours aussi élégant dans un costume de scène bleu marine et chemise blanche, affichant une forme olympienne, il a rappelé avec maestria, par le seul pouvoir de sa musique et de ses chansons, qu’il était toujours le même, l’homme de paix rassemblant toutes les communautés pour partager l’espoir de jours meilleurs et des moments de fête si importants pour tous.

« …Pourtant il suffirait de voir un jour
S’élever dans une prière
Le coeur de 3 hommes éperdus d’amour
Pour changer la face de la terre
.. »

Fabuleux, l’orchestration et les arrangements de Jean Claude Ghrenassia, le propre fils d’Enrico, accompagné dans ce travail par Lionel Teboul et Bruno Bongarçon. Il a fait un travail remarquable et coordonné l’ensemble avec beaucoup de talent. Un grand musicien dans la lignée familiale.

Enrico Macias et jean Claude Ghrenassia

Fabuleux l’a été aussi le public. Il est toujours là pour son chanteur préféré mais, dans le contexte si particulier de ces derniers mois, il a fait vibrer les murs de l’Olympia par la force de son amour et de son soutien pour l’homme et l’artiste. Cette ovation montant dès l’ouverture du rideau rouge fait chaud au cœur et vous fait courir des frissons tout au long de la colonne vertébrale.

Fabuleux a été l’orchestre composé de 19 musiciens auxquels se sont jointes 3 choristes. Toutes et tous des musiciens exceptionnels, ils ont réuni leurs talents pour une interprétation magique des plus grands succès d’Enrico.

Parmi ces succès et les incontournables titres de l’artiste, il faut souligner l’introduction notable pour ces deux soirées de « L’instituteur », « Quand on a un frère », « Noel à Jérusalem », « Suzy », « la folle espérance » que l’on n’avait pas entendus en live pour certains titres depuis leur création.

Il faut noter aussi la très belle prestation de Noa R. que nous ne vous présentons plus, qui a interprété « Tous les soleils de l’amitié » avec le Maître. Si vous avez suivi son histoire, vous connaissez l’importance de cette chanson pour elle.

Et bien sûr, il ne faut pas oublier d’associer au spectacle le talentueux dessinateur Joann Sfar qui a illustré, en live, chacune des chansons. Un travail de haute volée dont il a relevé le défi avec beaucoup de brio et aussi d’humour. Dommage que le grand écran sur lequel était projeté sa planche de dessinateur soit placé trop haut au-dessus de la scène pour permettre aux premiers rangs d’apprécier son grand art. J’aurais ben vu le pinceau du dessinateur en tableau de fond de scène ….
Espérons que nous aurons un jour le bonheur de voir ces dessins édités sur papier. Vous pouvez en retrouver quelques-uns sur ses réseaux sociaux

En conclusion, c’est une ambiance de folie qui a secoué l’Olympia et parmi les 2000 personnes présentes dans la salle à chaque séance, pas une n’a fini le concert assise. Toutes étaient debout, au parterre comme au balcon, pour chanter et danser en communion avec Enrico.
Ce sont des moments uniques de partage et de joie qui vous redonnent l’énergie pour continuer votre chemin.

Pour ces moments inoubliables, nous devons donc remercier du fond du cœur Damien Nougarède et Backstage Event pour cette organisation de main de maître.
Un grand bravo à Jean Claude Ghrenassia et chacun des musiciens et techniciens pour leur talent et leur professionnalisme mis au service de l’artiste.

ET BRAVO ET MERCI ENRICO

Vous êtes irremplaçable et nous attendons avec impatience la prochaine fête

Les musiciens

Direction musicale / basse : Jean-Claude Ghrenassia     
Chef d’orchestre musique arabo-andalouse / violon et flûte : Kamel Labbaci
Chef d’orchestre / piano /arrangements musicaux : Lionel Teboul
Arrangements musicaux / guitare : Bruno Bongarçon
Guitare : Philippe Hervouët
Percussions : Amar Mohali
Batterie / percussions : Serge Haouzi
Batterie : patrick Goraguer
Clavier : Nicolas Lienard
Saxophone : Florence Kraus
Trompette : Julie Varlet
Trombone : Gabrielle Rachel
Violon : Nadine Colon, Emelyne Chirol, Cécile Bourcier, Sabine Dupret, Florence Veniant
Alto : Christelle Guigner
Violoncelle : Isabelle Sajot
Choristes : Julia Ghrenassia, Ounsa Mebarkia, Lisbet Guldbeck-Bongarçon

La liste des chansons

1ère partie

L’instituteur
Il reste aujourd’hui
Oranges amères
Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
Oh guitare guitare
La France de mon enfance
Toi, Paris, tu m’as pris dans tes bras
Les gens du nord
Quand on a un frère
Noël à Jerusalem
Tous les soleils de l’amitié (duo avec Noa R.)
Suzy
Chanter

2ème partie

La folle espérance
Le vent du sud
Al Kol Ele
Juif espagnol
Une fille à marier
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
Medley oriental
   Billah ya hamami
   Bine el barakh ouel youm
   Ya raya
Le mendiant de l’amour
L’oriental
Porompompero

Le rideau rouge s’étant à peine refermé, Enrico Macias est heureux de vous annoncer qu’il se produira
AU DOME DE PARIS
LE 15 MARS 2025

Vous pouvez dès à présent réserver votre place sur ticketmaster.
Ne tardez pas, les premiers rangs se sont déjà remplis.

Nous vous l’avions annoncé, et
IL EST DESORMAIS EN VENTE
80 des plus grands succès d’Enrico Macias,
Retrouvez pour la première fois en DVD les meilleurs moments d’ENRICO MACIAS à la télévision, des années 60 à nos jours.
Un DOUBLE DVD retraçant le parcours unique d’un chanteur populaire aux succès internationaux, qui n’a eu de cesse de chanter pour la paix des peuples, comme une célébration de la culture.
Au fil de ses chansons, telles des rencontres émouvantes, vous retrouverez des duos cultes avec Annie Cordy, Mireille Mathieu, Dalida, ou encore Charles Aznavour, Claude François, Georges Moustaki et plus récemment Amir.
A l’occasion de ses 60 ans de carrière, Enrico nous offre ce beau cadeau, parce qu’avec lui, la Fête continue !
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(Age tendre et tête de bois, Top à, Numero 1, Champs Elysées, etc …….)
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10 ans après avoir reçu le prix Grenade pour l’ensemble de son oeuvre, Enrico Macias sera à New York pour le 26ème festival du film juif séfarade.

Dimanche 2 juin 2024 – 18h
ASF – Center for Jewish History
15 West 16th Street
New York City

Rejoignez-nous lors de la soirée d’ouverture pour une performance envoûtante d’Enrico Macias, qui revient sur la scène américaine après 4 ans d’absence, main dans la main avec la Fédération séfarade américaine.

Venez voir la légende dont la performance doit être savourée comme du vin. Entre deux grandes représentations en France, dont l’Olympia, Enrico se rend à New York pour être la tête d’affiche du 26e Festival du film juif séfarade de New York.

Alors que nous nous réunissons pour honorer et promouvoir la dynamique culture séfarade à travers le cinéma et la musique, nous vous invitons à faire partie de cette expérience inoubliable.

🎟️ Assurez-vous d’obtenir vos billets dès que possible car notre auditorium est intime !

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De notre envoyée spéciale et amie Muriel Meimoun

Ce jeudi 24 avril, loin des bruits de la ville, je suis allée jusqu’en Auvergne.

Clermont Ferrand – 25 avril 2024

Non pas pour aller pêcher la truite à l’ombre d’un sapin, mais, vous vous en doutez, pour assister au concert d’Enrico Macias à la maison de la culture de Clermont-Ferrand.

Dès que je fus là-bas, plus de téléphone, j’ai voulu oublier la vie quelques heures loin de Paris.
Et qui mieux que mon chanteur préféré peut me permettre de faire cela.
Si vous êtes passé par là, vous avez vu qu’il est un maître dans l’art du dépaysement. À peine rentre-t-il sur scène que vous oubliez tous vos petits tracas, ou même vos plus gros soucis. Pendant 1h30, vous vous envolez avec lui et ce n’est qu’une fois le concert terminé que vous atterrissez pour reprendre la route avec vos bagages laissés à la consigne.
Ne vous semblent-ils pas tout de même un peu plus légers ?

Clermont Ferrand – 25 avril 2024


D’autant plus que je savais que quelques heures plus tard, j’aurais le bonheur d’aller à la rencontre des Gens du Nord, qui, comme nous le savons tous, ont dans le cœur le soleil qu’ils n’ont pas dehors. C’est donc ce dimanche 28 avril, après avoir bravé les caprices de la météo pour me rendre à la salle du Palais des Congrès, que j’ai pu retrouver ce soleil, cette journée n’ayant pas démenti cette phrase chantée des centaines de fois par Enrico et par tant d’autres artistes qui ont repris cette chanson culte de la variété française. Le bonheur des chti’s de retrouver ce chanteur qui a su si bien les chanter depuis tant d’années, n’avait d’égal que la joie d’Enrico de chanter pour eux… pour la mère, pour la fille, pour l’enfant et pour le père.

Le Touquet – 28 avril 2024


Comme à chaque fois, la fête était au rendez-vous lors de ces 2 concerts, avec un avant-goût de ce que sera la grande rentrée parisienne des 18 et 19 mai prochains.
Les chansons ont défilé les unes après les autres, faisant jaillir la clameur dans le public tant auvergnat que nordiste.
La musique, que sa sonorité soit espagnole ou orientale, a allumé le feu dans le cœur de chacun. La générosité d’Enrico qui donne tout ce qu’il a en lui pour remercier son fidèle public d’être présent, sème de l’amour entre chaque personne présente. Et vous verrez donc des personnes qui ne se connaissaient pas 120 minutes plus tôt, rester assises là à partager leurs émotions, bien que le rideau se soit refermé depuis quelques minutes déjà.
Alors, comment ne pas remercier une nouvelle fois Enrico pour ce bonheur, ainsi que tous ceux qui nous permettent de nous rencontrer, techniciens, musiciens et producteurs. En particulier, Jean-Claude Ghrenassia et Damien Nougarede. Nous vous donnons rendez-vous le 18 mai prochain pour le concert tant attendu à l’Olympia.

Le Touquet – 28 avril 2024

Nous avons eu le plaisir, il y a quelques jours, de partager avec vous le regard porté par Nathan Foeller-Claudel sur Enrico Macias.
Aujourd’hui, il revient nous parler des liens particuliers qui unissent Enrico Macias et son grand-oncle, Jean Claudric, à qui il voue aussi, et à juste titre, une grande admiration
Ce texte a été relu et approuvé par Jean Claudric en personne

« Il a le don de servir l’interprète. Excellent musicien, il ne tire pas la couverture à lui… C’est un faiseur d’écrin musical. Quel que soit le bijou, il met un point d’honneur à lui donner de l’éclat, attirant l’oreille dès l’introduction, élaborant des contre-chants dignes d’être des mélodies, soulignant le thème avec tant de finesse que le plus banal des refrains prend un relief inattendu. »

Enrico Macias et Jean Claudric
(Tous droits réservés – archives personnelles Nathan Foeller-Claudel)

A travers ce passage de son livre « Non, je n’ai pas oublié » publié en 1982, Enrico Macias parle évidemment de Jean Claudric, son grand chef d’orchestre, arrangeur, orchestrateur et compositeur. Si Cheikh Raymond lui a donné une formation de musique arabo-andalouse, Jean Claudric est son « maître » en matière de musique de variétés, comme il le dit lui-même.
Aux guitares et aux mandolines de ses débuts, Claudric ajoute des violons et un accordéon. Dans ses arrangements, on appréciera d’ailleurs particulièrement le traitement des cordes, mais aussi la grande finesse des combinaisons entre les divers instruments de l’orchestre, les chœurs qui jaillissent d’un seul coup de façon inattendue… Il encourage Enrico à composer des valses et des marches pour qu’il ne se sente pas prisonnier de ses racines méditerranéennes tout en l’initiant à la musique dite « occidentale » et à l’harmonie.
Leur relation, leur histoire, leur collaboration sont incomparables, c’est une véritable symbiose. Enrico se souviendra dans « l’Envers du ciel bleu » (2015) de leur façon si naturelle de travailler ensemble avec son parolier le plus prolifique Jacques Demarny :

« On s’installe à la maison, Claudric au piano, Demarny dans le canapé et moi à la guitare.
Je propose une mélodie, Claudric improvise des harmonies, qui vont donner les couleurs de l’arrangement, et je choisis parmi ses propositions. Et puis la chanson vient toute seule. »

Les séances de travail se passaient dans une atmosphère détendue, dans la salle de musique d’Enrico, boulevard de Courcelles les premières années. « Tous les trois, nous faisions une équipe fantastique ! » se rappelle Macias.
Pied-noir né à Alger le 13 septembre 1930, de son vrai nom Jean-Claude Bacri, Claudric deviendra après des débuts de pianiste de jazz, le plus grand arrangeur de la chanson Française durant la seconde moitié du XXème siècle. Il « monte » à Paris en 1955 et est associé à des artistes comme Maurice Chevalier, Joséphine Baker, Pierre Perret (Le Tord-boyaux, Les Jolies Colonies de vacances), Sheila (il l’accompagne à ses débuts et durant quelques années sous le pseudonyme de Sam Clayton), Mireille Mathieu, Charles Aznavour et des centaines d’autres. Il a également dirigé les orchestres de nombreuses émissions télévisées de Maritie et Gilbert Carpentier ou de Michel Drucker. Il enregistra aussi deux volumes du Monde Symphonique de Michel Sardou et Jacques Revaux : il obtint un disque d’or pour le premier en 1976 et dirigea le London Symphony Orchestra l’année suivante pour le second. Enfin, en 2004, Claudric a constitué un big band considéré comme un des meilleurs d’Europe. Mais il est quasiment impossible de résumer ainsi une carrière d’une telle dimension…

Il est à noter que Jean Claudric est le frère de Roland Bacri, le célèbre « petit poète » du Canard enchaîné qui maniait si bien le pataouète ; le père du grand compositeur contemporain Nicolas Bacri ; et le neveu de Marcel Daxely, célèbre comédien de la « bande à Pagnol » et pensionnaire de l’Alcazar de Marseille.

C’est lors d’un enregistrement pour un disque de Maya Casabianca qu’ils se rencontrent pour la première fois en 1962. Cette chanteuse décide de faire une reprise d’ »Adieu mon pays« . Le producteur Roland Berger souhaitant que l’introduction de guitare de la version originale soit conservée, fait donc venir Enrico Macias au studio pour qu’il la joue lui-même. Celui-ci est tellement impressionné par le travail de Jean Claudric qu’il insista auprès du directeur de la firme Pathé-Marconi pour qu’il devienne l’arrangeur de son prochain disque, disant qu’il était le seul à pouvoir écrire ses scores. La première chanson que Claudric dirigea fut « Paris tu m’as pris dans tes bras« . Il prendra ainsi la suite d’Anne Huruguen.

Jean compose avec lui en le guidant, il sera véritablement un « ange gardien » et apportera un enrichissement essentiel à son répertoire. A force de ténacité, il réussira par exemple à convaincre Enrico de chanter « Les filles de mon pays« , qu’ils ont composé ensemble, ce qu’il a refusé pendant un an, ayant peur de se ridiculiser avec les « lai lai lai ». On voit ainsi le génie de Jean Claudric.
Ensemble, ils enchainent les disques, les émissions de télévision et les Olympia. Ils se sont produits également au Carnegie Hall de New York, au Albert Hall de Londres, à Tokyo quatre années de suite…

Jean Claudric et Enrico Macias – Centre Rachi – 2016

Il est fabuleux de percevoir l’évolution des arrangements à travers les différents Olympia au fil des années. Claudric garde une base, mais ajoute à chaque fois une « touche » subtile supplémentaire pour apporter une nouveauté aux anciens titres. Ainsi, Jean a su traverser le temps en se nourrissant de ce qui se faisait à l’époque. Selon Jean-Claude Ghrenassia, « il y a un peu de Phil Spector dans les chansons des années 60»

Soulignons que Jean Claudric n’a pas seulement été arrangeur de centaines de titres pour Enrico Macias, ils ont composé une bonne quarantaine de morceaux à quatre mains, et non des moindres. Outre « Les gens du Nord » et « Les filles de mon pays« , on peut citer sans souci de la chronologie : « Aïe, aïe, aïe je t’aime« , « Je le vois sur ton visage« , « Les yeux de l’amour« , « Dix ans déjà« , « C’est notre anniversaire« , « La vie dans la vie« , « Je t’aimerai pour deux« , « J’ai pleuré de joie« , « Où est donc la vérité« , « Aux quatre coins du monde« , « Quand on est amoureux« , « Dis-moi ce qui ne va pas« , « La lavande« , « La folle espérance« , « Je porte bonheur« , « La musique et moi« , « C’est ça l’amour« , etc…

Bien sûr, nous nous devons de mentionner Martial Ayela, qui accompagnait Enrico lors de ses tournées en province, on pourrait d’ailleurs évoquer d’autres arrangeurs qui ont œuvré auprès de lui de manière assez épisodique – comme Benoît Kaufmann, Hervé Roy, Roger Loubet – mais c’est bien Jean Claudric qui occupe une place prépondérante dans la vie d’Enrico Macias étant son compagnon de route privé. Au-delà de la sphère professionnelle et même de l’amitié, il y un vrai lien encore plus profond qui les unit, ils sont des « membres de la famille » l’un pour l’autre, des « frères ». Jean Claudric se souvient « d’heures extraordinaires passées chez Enrico avec [s]on épouse Huguette, devant un couscous préparé au dernier moment par Suzy, femme d’Enrico. »
Et à Jean d’ajouter : « On a tout vécu ensemble : des moments de joie, ponctués de rires, de larmes de bonheur, traversant des périodes où le trac cohabitait avec le doute, l’angoisse mais toujours fier et heureux du succès grandissant. » Quant à lui, Enrico est toujours présent dans les rassemblements familiaux et les mariages chez les Bacri…

De gauche à droite :
Jean Claudric, Huguette Claudric, son épouse, Enrico Macias et Suzy
(archives personnelles Nathan Foeller-Claudel

Depuis ces dernières années, c’est Jean-Claude Ghrenassia – fils d’Enrico – qui a remplacé Jean Claudric. Il raconte lui-même : « Jean Claudric est une de mes plus grandes influences, si je fais de la musique aujourd’hui, c’est à cause de lui ! J’ai passé beaucoup de temps à étudier la musique avec ses scores d’orchestre ! Je fais mes propres arrangements en regardant le travail du Maître, mais je ne peux pas me comparer, c’est incomparable ! »
Aux sujet des nouvelles orchestrations qu’il écrit actuellement pour les concerts de son père, il m’a dit : « Certains titres ont été réarrangés, mais Jean-Claude reste notre référence, surtout pour les classiques. »

Nous n’insisterons jamais assez sur le rôle capital de l’arrangeur dans la naissance d’une chanson.
Selon l’article 68 du règlement général de la Sacem, « constitue un arrangement la transformation d’une œuvre musicale avec ou sans paroles par l’adjonction d’un apport musical de création intellectuelle », ce qui met bien en évidence la place de choix que l’imagination tient dans ce métier. L’arrangeur commence par harmoniser la mélodie pour lui adjoindre un soutien. Ensuite, il doit écrire une introduction pour définir l’ambiance de la chanson, et trouver des contre-chants (lignes mélodiques qui accompagnent, sur les mêmes harmonies, l’exécution du thème principal), ainsi que des réponses entre les différents instruments, un gimmick (signature musicale répétitive pour provoquer un effet marquant)… Quant à l’orchestration, c’est l’art de répartir les notes à jouer pour les différents instruments de l’orchestre – selon le son attendu -, et pour chacun des musiciens. Bref, le but de l’arrangeur-orchestrateur est de taille : mettre en valeur la chanson et l’interprète, pour cela il peut aussi s’appuyer sur des chœurs. Tous les professionnels de la musique s’accordent à dire que, sans un bon arrangement, on peut passer à côté du succès, c’est dire son importance !

Avec ses instrumentaux – parmi lesquelles les introductions « Soleil« , « Taïna« , « Sarabande » ou « la Sortie Espagnole » – qui ouvrent et mettent souvent fin aux spectacles à l’Olympia, Jean Claudric a le génie de plonger instantanément le public dans l’ambiance du spectacle en donnant une couleur à celui-ci (music-hall, disco, orientale…).
Il a arrangé également à plusieurs reprises des œuvres traditionnelles du folklore parfois inscrites au domaine public et conçu – tel un grand couturier – des solos de guitare sur mesure pour Enrico d’après des partitions préexistantes, comme pour l’Asturias d’Albeniz. Jean est aussi l’auteur avec Martial Ayela d’un fameux « Prélude« .
Parfois, il accompagne Enrico seulement au piano, comme en témoigne la version épurée et mémorable de « La tolérance« .
Claudric a accompli un tour de force : il a réussi à donner une véritable authenticité aux chansons d’Enrico grâce à un son inimitable !

Jean Claudric explique avec émotion : « Mon histoire avec Enrico est tout à fait exceptionnelle. Ce n’était pas un artiste qui m’appelait pour que je fasse les arrangements de son disque, nous avons fait une création totale. C’est même une seconde naissance. Il est né avec moi, et moi, je suis né avec lui ! »
Toujours fidèle et reconnaissant, Enrico l’invite chaque année à la première de son nouveau spectacle pour le mettre à l’honneur en le faisant monter sur scène. En 2020, il lui offre aussi une courte préface pour son recueil de souvenirs et d’anecdotes « Un Pied-noir à Paris« , dans laquelle il utilise une anaphore, comme une allusion à un célèbre titre de son répertoire :

Enrico Macias et Jean Claudric – Olympia 2019

« Que de souvenirs avec Jean Claudric tant nos vies sont liées.
Non je n’ai pas oublié ses orchestrations magiques qui apportaient la Méditerranée dans des valses parisiennes.
Non je n’ai pas oublié les mélodies que nous composions ensemble en convoquant le soleil dans des ciels gris !
Non je n’ai pas oublié notre complicité et son soutien fraternel lorsque le trac me coupait le souffle avant la scène.
Non je n’ai pas oublié que comme Paris c’est toi Jean Claudric qui m’a pris dans tes bras ! »

Nathan FOELLER-CLAUDEL

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Enrico Macias dans les yeux de Nathan Foeller-Claudel

Dans le cadre de sa grande tournée à l’occasion de ses 60 ans de carrière, Enrico Macias était ces derniers jours dans le sud de la France, sur les lieux de ses débuts, comme il aime à le rappeler.

D’Avignon à Toulon, en passant par Menton, accompagné de ses fidèles et excellents musiciens, il a semé la joie dans les cœurs et levé les salles pour une fête comme lui seul sait les orchestrer et qui restera gravée dans tous les cœurs pour longtemps.

Contre vents et marées, tel un roc inébranlable dans ses convictions, il continue de chanter sa nostalgie de la terre de son enfance, sa folle espérance en la paix entre tous les peuples, et n’a de cesse d’allumer les lumières de la fête dans les yeux de tous ceux qui passent à portée de son cœur.


Quelle joie de voir une très jeune femme se faufiler, des étoiles plein les yeux, au plus près de la scène pour filmer l’artiste qu’elle rêvait de voir sur scène, de l’entendre pousser un cri de joie aux premières notes d’une chanson qu’elle affectionne particulièrement. Un petit sourire amusé, mais de connivence aussi, on se revoit à son âge et c’est un bonheur à lui seul de la voir faire.  Quel que soit l’âge, Enrico Macias a ce pouvoir magique sur les cœurs.

« C’est un musicien qui sait faire en quelques chansons, l’unité des générations »

C’est le chanteur de la famille

En pleine forme, Enrico a soulevé l’enthousiasme de son public faisant souffler un petit vent annonciateur de l’évènement attendu de tous : les deux concerts de l’Olympia les 18 et 19 mai 2024.
Comme les sportifs préparent les JO, Enrico est en pleine préparation de son passage dans la mythique salle parisienne.
Le répertoire du tour de chant et les arrangements amorcent des contours nouveaux, présageant de deux jours de fête inoubliables. Mais nous ne vous en dirons pas davantage pour garder le suspens et laisser la surprise intacte. Si vous n’avez pas encore votre billet, nous ne pouvons que vous conseiller de vous dépêcher de réserver. Ce sera grandiose.

Avant ce grand rendez-vous, Enrico Macias remonte vers le nord : Clermont Ferrand, Anzin, Le Touquet.
Ne le manquez pas s’il passe près de chez vous