Publié le 18/03/2022 à 13:21 – www.midilibre.fr

Le plus célèbre représentant des pieds-noirs, en concert ce vendredi 18 mars au Pasino de La Grande-Motte, raconte ses souvenirs à Constantine, son départ d’Algérie et ses espoirs d’une réconciliation.

Quels sont vos souvenirs d’enfance à Constantine ? Comment était la vie là-bas ?

La vie était belle. À l’âge de 10 ans, mon enfance se partageait entre Constantine et un petit village à 60 km qui s’appelait Jemmapes. Mes grands-parents avaient un magasin de tissus là-bas. J’ai passé toute mon enfance chez eux, c’est ma grand-mère qui m’a élevé. Mon père était un violoniste de musique arabo-andalouse. Il jouait avec celui qui allait être plus tard mon beau-père, Cheikh Raymond, avec qui j’ai d’ailleurs commencé.

Quand vous avez des épreuves dans la vie, c’est inutile d’avoir du ressentiment ou de la haine

Cheikh Raymond a été assassiné. Comment cette tragédie a changé le cours de votre vie ?

La veille de son assassinat, j’étais invité au mariage d’un ami. Comme ça s’est terminé très tard et qu’il y avait le couvre-feu, je suis rentré chez moi très tôt le lendemain matin. Je dormais et j’ai entendu des cris. C’était mon grand-père qui criait : « On a tué Raymond, on a tué Raymond ! »

J’ai cru que je faisais un cauchemar mais je me suis réveillé et c’était la réalité. On avait assassiné tonton Raymond. Je suis sorti de la maison comme un dingue pour essayer de voir ce qui se passait près de l’hôpital, car il avait été tué devant. Il est mort sur les marches de l’hôpital. Puis je suis allé voir ma future belle-mère et ses enfants. J’étais catastrophé comme eux.

Ma vie a changé immédiatement car son assassinat a eu pour conséquence le départ de Constantine de toute la communauté juive. Moi, je suis parti le lendemain.

Comment avez-vous été accueilli à votre arrivée en France ?

On n’a pas été très bien accueillis… À part quelques-uns qui nous ont aidés… On a été très mal accueillis, très mal.

Votre premier succès c’est avec « Adieu mon pays » ?

Oui mais ce n’était pas un succès retentissant. Ça n’avait pas dépassé le cadre de ma communauté. Entre-temps, j’avais sorti Enfants de tout pays. C’est ce titre-là mon premier succès. Enfant de tout pays, Le grain de blé… parlent comme beaucoup de vos chansons, de paix et de fraternité.

Pourquoi ces valeurs sont-elles aussi importantes pour vous ?

Elles sont importantes parce que, quand vous avez des épreuves dans la vie, c’est inutile d’avoir du ressentiment ou de la haine. D’ajouter de la haine à la haine, à la méchanceté, à l’injustice… J’ai choisi le contraire. J’ai choisi de répondre par la tolérance et par la fraternité. Vous n’avez jamais eu le droit de retourner en Algérie.

Avez-vous encore un espoir de pouvoir y chanter un jour ?

J’ai 83 ans. Ça me paraît difficile mais il ne faut jamais dire que c’est impossible. C’est une question de destinée. Comme je suis parti d’Algérie, c’était ma destinée. Peut-être que mon retour, ça sera aussi ma destinée. Je ne sais pas.

L’Algérie vous manque beaucoup ?

Oh oui, l’Algérie me manque énormément. C’est ma terre natale. Quand je vois qu’on peut aller dans le monde entier en avion dont l’Algérie et que je ne peux pas y aller, c’est dur.

Que souhaitez-vous aujourd’hui à l’Algérie et à la France ?

Je suis le chantre de la paix et de la fraternité. Je voudrais qu’on n’oublie pas les morts des deux côtés ni l’histoire. Mais maintenant que c’est fait, pourquoi ne pas se raccommoder ? Au lieu de faire de la repentance. Tout ça ne sert à rien. Il faut mettre sur pied un plan de réconciliation. Je souhaite la réconciliation entre la France et l’Algérie. Je crois toujours aux belles choses. Je suis un positif dans tout. Alors…

Quel pied-noir êtes-vous ?

Je suis leur représentant. Je suis juif, pied-noir, algérien et français. Tout simplement.

CATHERINE UNAC

Pour fêter ses 60 ans de carrière, Enrico Macias débutait sa tournée jeudi et vendredi derniers dans les Pasinos d’Aix en Provence et de La Grande Motte.

Et comme les fidèles fans du chanteur le savent, dans chaque Pasino, il y a une salle de spectacle nommée « Enrico Macias ».
Le Pasino de la Grande Motte a d’ailleurs profité de cette occasion pour fêter les 10 ans d’existence de sa salle et installer une nouvelle plaque commémorative en compagnie de l’artiste.
(Ci dessous une photo de l’inauguration et la remise de la plaque commémorative à Enrico Macias)

Au cours de ces deux soirées, nous avons retrouvé avec beaucoup de plaisir la jeune Noa R. en première partie de spectacle. 

Nous avons le bonheur de la voir évoluer concert après concert, prendre de l’assurance et transmettre beaucoup de plaisir et d’émotion au public qui ne s’y est pas trompé et lui a réservé un franc succès et des applaudissements nourris.

Bravo Noa ! Beau parcours !

Rendez-vous à l’Olympia !

Puis, le temps de laisser les musiciens s’installer, la chaleur monte encore d’un cran dans la salle. Et le public commence à frapper dans ses mains et à appeler Enrico. On s’impatiente, on trépigne, pressé de commencer la fête.
Les trois coups de baguette du batteur donnent le signal, et les premières notes d’enfants de tous pays emplissent l’espace. Le public scande immédiatement le rythme dans les mains, et lorsque la chevelure blanche d’Enrico se devine au fond de la scène une ovation s’élève. La joie est déjà dans tous les cœurs et le soleil sur toutes les lèvres. Non seulement le soleil est sur scène mais c’est toute la Méditerranée qui est là dans la salle et ça s’entend et se voit.

Pasino d’Aix en Provence – 17 mars 2022

Enrico, cheveux courts et silhouette affinée, sourire éclatant aux lèvres, a mené la fête de main de maître de bout en bout, soutenu par un public déchainé qui n’a pas été avare en youyous et en olés.
Reprenant tous les refrains, d’ « une fille à marier » à « l’oriental » en passant par  « les filles de mon pays », les 800 personnes présentes ont manifesté leur bonheur de partager ces moments de joie et de fête. Après tant de mois de privations et de drames dans le monde, alors que les masques sont tombés et qu’on peut enfin lire le bonheur sur les visages, c’est un véritable kiff que chacun a vécu, dans la salle comme sur scène. Ces instants magiques nous les devons à Enrico Macias et ses 7 fidèles musiciens, Bruno, Jean Claude, Lionel, Amar, Abdenour, Serge et Kamel, excellents musiciens et artistes au grand cœur que nous remercions très chaleureusement

Pasino d’Aix en Provence – 17 mars 2022

Merci aussi à Sud Concerts qui nous a organisé ces concerts et à tous les techniciens dont Jean Pierre et Greg.

Notre prochain rendez vous sera boulevard des Capucines les 2 et 3 avril pour fêter tous ensemble les 60 ans de carrière d’Enrico.
Nous y serons nombreux ! Au plaisir de tous vous revoir à cette occasion

Pasino de La Grande Motte – 18 mars 2022

Liste des chansons


Enfants de tous pays
Une fille à marier
Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
Le voyage
Paris tu m’as pris dans tes bras et medley
La femme de mon ami
Solenzara
Les gens du nord
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
Shabehi Yerushalaim
Medley oriental
Ya Rayah
L’oriental
El Porompompero
Le mendiant de l’amour

interview par Céline Bouchard pour ToutMa

Enrico Macias entame une tournée consacrant ses 60 ans de carrière. Un tour de chant qui reprend son dernier album, sorti en 2019 et réalisé avec ses fidèles musiciens d’Al Orchestra. C’est au Pasino d’Aix-en-Provence, le 17 mars prochain, que cette tournée débute… dans la salle de spectacle qui d’ailleurs porte son nom. Il est la Méditerranée à lui tout seul, mais Enrico Macias est aussi un immense chanteur populaire français qui peut s’enorgueillir d’un parcours sans faute. Il nous offre à nouveau la chaleur de ses interprétations sur scène. Un entretien à savourer en imaginant en même temps s on irrésistible accent chantant.

ToutMa : 60 ans de carrière et 80 ans passés ! On a tous grandi avec vous… Votre secret pour rester si beau et plein d’énergie ? Vous pratiquez un sport ?

Enrico Macias : (éclat de rires)… Je dors ! Je suis un couche-tard mais je me lève tard aussi et surtout je dors bien ! Souvent mon fils me le reproche. Je lui réponds que si je suis comme ça à 83 ans, c’est parce que JE DORS ! (rires) Et non, je ne fais pas de sport, je ne fais rien d’autre que de la musique.

TM : Chez nous, à Marseille, vivent de grandes communautés méditerranéennes. Sont-elles toujours les piliers de votre public selon vous ?

EM : Oui, bien sûr ! Moi, je réunis toutes les communautés. Dans mes spectacles, il y a toujours une diversité incroyable. Et c’est surtout un moment de paix. Et puis les générations se sont renouvelées. Ces dix dernières années, je me suis aperçu que le public rajeunissait. J’ai compris que c’étaient les enfants et même les petits-enfants de ceux qui aimaient déjà mes chansons. Je suis intergénérationnel, et ça, ça me fait plaisir (sourire).

TM : Ce tour avec Al Orchestra est très élégant, tous en costumes sombres un peu à l’ancienne et vous, trônant au milieu comme Il Maestro… Un message subliminal ou juste l’envie d’être chic ?

EM : Oui, un peu « mafia », vous voulez dire, c’est ça ? (rires) Je dirais que je me pose plutôt en patriarche… Que je suis ! Mais vous savez, on n’y a pas vraiment réfléchi. On a fait ça assez spontanément. Naturellement même, je dirais… D’ailleurs, j’ai toujours improvisé dans les spectacles. Les musiciens le savent et me suivent du coin de l’oeil. Je leur dis toujours d’être attentifs car ce n’est jamais exactement comme on a répété. (rires)

TM : Dans votre répertoire, il y a plus d’une centaine de chansons. Quelle est celle qui vous met le plus en joie ?

EM : Mais je les aime toutes, puisque je les ai composées ! Ce n’est pas la joie qui compte le plus pour moi, c’est l’émotion. Celle que je donne aux gens et qui rejaillit sur moi. Mais puisque vous insistez, celle que je préfère, c’est Adieu mon pays… (sourire nostalgique)

TM : Votre beau-père était votre mentor. Que vous a-t-il transmis ?

EM : Il a d’abord réveillé mes propres racines musicales, puisque mon père était violoniste. Il m’a permis de jouer dans son orchestre, tout jeune, alors que tous les musiciens étaient âgés, et d’apprendre la musique arabo-andalouse, à la guitare. Il m’a appris la scène avec toute sa rigueur. Quand je suis arrivé en France, j’avais déjà du métier et c’était grâce à lui.

TM : Malgré la nostalgie d’un pays perdu, vos textes ont toujours été porteurs d’espoir et de joie de vivre. Vous incarnez cela. Est-ce toujours en vous ?

EM : Après la nostalgie, il y a toujours la joie et l’espoir car sans lui, on ne peut pas vivre. Dans la vie, on traverse tous des choses difficiles. Moi, en arrivant en France, non seulement j’étais orphelin de mon beau père, de mon pays mais je l’étais aussi de la musique arabo-andalouse. Mais grâce à tout ce que j’ai fait, j’ai pu participer à des festivals énormes comme les Vieilles Charrues ou le Printemps de Bourges pour y rejouer la musique arabo-andalouse, et rendre ainsi hommage à mon beau-père et à mon pays.

Céline Bouchard

Article paru sur ToutMa le 7 mars 2022

Chanteur et musicien d’origine algérienne, Enrico MACIAS, de son vrai nom Gaston GHRENASSIA, a grandi entouré par la musique. Il rejoint rapidement l’orchestre prestigieux dans lequel son père joue. Plus tard, en 1961, il débarque en France avec sa famille alors que l’Algérie est en guerre.

Il débute sa carrière artistique en chantant dans divers cabarets, prend le pseudonyme d’Enrico MACIAS et assure même la première partie de Gilbert BECAUD. Son premier succès sera le titre Adieu mon pays (1962) qui raconte son exil. De nombreux tubes suivront : Enfants de tous pays (1963), Paris, tu m’as pris dans tes bras (1964), Les filles de mon pays (1964)… Son triomphe grandissant, il commence à se produire à l’international. En 1979, il chante aux pieds des pyramides, en Egypte, pour le président de l’époque. A partir de 2003, Enrico MACIAS change de registre et s’inspire de ses racines, ses albums sont teintés aux couleurs de l’Orient.

Pour fêter ses 60 ans de carrière et aussi ceux de la fin de la guerre d’Algérie, Melody lui consacre une semaine avec 9 programmes dont 3 complètement inédits.
Retrouvez nos programmes Melody réservés à la semaine Enrico Macias :
« Top à Enrico Macias », avec Serge LAMA, le samedi 12 mars à 20h50
« Guetary club N°2 », avec SHEILA, le lundi 14 mars à 20h50
« La bonne étoile », avec Nicole CROISILLE, le mardi 15 mars à 20h50
« Le Palmares des chansons » avec Jacques Martin, le mardi 15 mars à 22h
« S’il vous plait Pierre Pechin », avec Michel SARDOU, le mercredi 16 mars à 20h50
« Face au public Enrico Macias », le mercredi 16 mars à 22h
« Enrico Macias : le chant de la mémoire », le jeudi 17 mars à 21h20
« Chansons à la carte », avec Hervé VILARD, le vendredi 18 mars à 20h50
« La chance aux chansons, le vendredi 18 mars à 22h10

Toutes les informations sur le site de Télé Melody

Théatre du Léman – Geneve – 27 février 2022

3 années et 4 reports plus tard, nous étions enfin hier soir sur les bords du Léman pour notre rendez-vous tant attendu et espéré avec Enrico Macias. Malgré un air un peu frais, fin février oblige, le soleil et le ciel bleu étaient là pour nous acceuillir.
La très belle salle du Theâtre du Léman, toute de bois habillée, était pleine à craquer et le public suisse, fidèle à sa réputation, a dès 20h appelé les artistes de ses applaudissements.

La première partie était assurée par Noa R. Nous ne vous présentons plus la petite protégée d’Enrico. Si vous nous suivez, vous la connaissez. Voie pure et cristalline mais forte à la fois, elle fait preuve d’un grand talent que l’on a plaisir à voir évoluer et s’affirmer au fil des concerts.
Hier, elle a réalisé une très belle performance révélant une artiste à la grande sensibilité et au grand cœur mettant sa déjà difficile expérience de la vie au profit de son art. Un grand bravo pour elle.

Enrico Macias et Noa R.

Puis, après un court entracte permettant aux techniciens et musiciens de se mettre en place, c’était au tour d’Enrico d’entrer en scène sur les notes d’Enfants de tous pays. Les chansons de l’artiste sont intemporelles et nul doute, au regard de l’actualité brulante de ces derniers jours, que cette chanson a eu une résonnance toute particulière pour chacune des personnes présentes dans la salle.

C’est un Enrico dynamique et plein de fantaisie que nous avons eu le plaisir de voir et d’écouter hier soir. Souriant, blaguant avec ses musiciens comme avec le public, il a mené un train d’enfer mettant le feu au Léman et soulevant la salle dans son sillage pour l’entrainer aux accents de ses mélodies dansantes et festives.
Un petit air de renouveau soufflait sur ce concert, présageant déjà d’une fête hors du commun à L’Olympia pour fêter comme il se doit les 60 ans de carrière en avril prochain.
Si vous n’avez déjà vos places, nous vous conseillons de ne pas tarder. Nul doute que l’ambiance sera chaude boulevard des Capucines pour fêter comme il se doit notre chanteur.

D’ici-là, nous aurons le plaisir de le revoir à Aix en Provence et La Grande Motte les 17 et 18 mars prochain

Liste des chansons

Enfants de tous pays
Une fille à marier
Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
Le voyage
Paris tu m’as pris dans tes bras et medley
La femme de mon ami
Solenzara
Les gens du nord
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
Shabehi Yerushalaim
Medley oriental
Ya Rayah
L’oriental
El Porompompero
Le mendiant de l’amour

Grenoble, ville olympique, ville des sports d’hiver a pour décor, au mois de février, la neige et la glace des sommets qui l’enserrent.
Que pensez-vous qu’il se passe alors lorsque débarque dans cette froidure le plus rayonnant et chaleureux soleil de la Méditerranée ?
N’ayez aucun doute, c’est ce dernier qui impose son tempo et c’est bien ce qui s’est passé hier soir à l’auditorium d’Alpexpo.
Petite salle à l’ambiance chaleureuse, c’était le lieu idéal pour offrir à Enrico Macias et à son public un cocon intimiste et convivial.
La soirée a débuté de la plus belle des façons avec le virtuose de la guitare flamenca, Jean Philippe Bruttman qui, accompagné de ses musiciens (Alberto Garcia/2ème guitare & chant, Fabrice Bon/clarinette & violon, Maria Gasca/percussions), nous a offert un mini récital aux accents gitans de très haute qualité. Un pur moment de bonheur et de régal qui nous a mis en bouche pour la suite de la soirée.

Puis ce fut au tour d’Enrico Macias d’entrer sur scène. Attendu avec beaucoup d’impatience par un public venu voir le chanteur de la famille, la salle s’est mise à frapper dans ses mains dès la première mesure jouée par l’orchestre, et une ovation spontanée est montée dès l’apparition de l’artiste sur la scène.
Souriant et détendu, Enrico Macias n’a eu besoin que d’une chanson pour faire fuser les youyous et les cris de bonheur. Et malgré le froid et l’humidité à l’extérieur, c’est dans une chaleur torride et un climat de fête et de fraternité que s’est déroulé le concert.
Soutenu par ses musiciens attentifs à chacun de ses élans, Enrico Macias a réservé à son public quelques belles surprises. Citons notamment la reprise impromptue de Chiquita ou le duo avec Jean Philippe Bruttman en fin de spectacle.


Quelle ambiance « maman chérie » ! Quelle belle fête ! 1h20 de magie, de bonheur, portée par un Enrico en grande forme, des musiciens toujours aussi excellents, et un public au top qui a chanté, dansé, applaudi et ovationné Enrico, scandant son nom sans fin pour lui dire merci encore et encore pour ces moments de joie si précieux en ces temps difficiles.

Ce fut vraiment une très belle soirée maciasienne hier soir à Grenoble.
Et nous devons remercier l’organisateur Thierry Touati et le C.I.G. BarYohai en la personne de son président Erick Bensoussan pour cette initiative. Les Grenoblois n’avaient pas eu le plaisir d’accueillir Enrico dans leurs murs depuis 2007, et cet évènement a été un tourbillon de bonheur et de communion sous le soleil de la Méditerranée qui aura redonné l’entrain nécessaire à chacun des heureux présents.

Nous ne terminerons pas ces lignes sans bien évidemment remercier Enrico lui-même,  le magicien de la fête, celui qui sait atteindre tous les cœurs et les enflammer aux accents de sa voix chaude et du son si pur de sa guitare.

Mille mercis pour ces instants précieux dont nous garderons longtemps le souvenir

Liste des chansons

Enfants de tous pays
Une fille à marier
Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
Le voyage
Paris, tu m’as pris dans tes bras
La femme de mon ami
Solenzara
Les gens du nord
Chiquita
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
Shabehi Yerushalaïm
Medley oriental
Le mendiant de l’amour
L’oriental
El Porompompero




Enrico Macias, Jean Claude Ghrenassia et Jean Philippe Bruttman

Une offre partenaire CubismAgency.com

Après le tournée triomphale de l’automne dernier, Enrico Macias revient en Israel pour deux concerts exceptionnels à l’occasion du 74ème anniversaire de l’indépendance.

Le vendredi 6 mai 2022 à 14:00 au Hekhal Hatarbout de TEL AVIV
Le lundi 9 mai 2022 à 20:00 au Sport Center d’ASHKELON

En partenariat avec la Production et la grande billetterie Israélienne LEAAN.CO.IL, CubismAgency.com en la personne de sa directrice Eva Karsenty a le plaisir de vous faire bénéficier d’une réduction spéciale de -10% sur la totalité des places de l’Evènement avec le Code Promo: Eva1010.

Rendez-vous sur la billetterie LEAAN : https://bit.ly/3qjy0K7
CODE PROMO “Eva1010” à saisir au moment de la réservation

Yom Haatsmaout en Israël avec Enrico Macias et l’Orchestre Symphonette de Raanana :
– Le vendredi 6 mai 2022 à 14:00 au Hekhal Hatarbout de TEL AVIV
– Le lundi 9 mai 2022 à 20:00 au Sport Center d’ASHKELON

🔷Informations – Tarifs réduits Groupes & Associations : 🇮🇱: + 00972-54-668-58-24 🇫🇷: +33-1-8380-1694