« C’est l’printemps à Val Cenis » nous annonce l’affiche du festival.
Au premier abord, en arrivant dans la célèbre station de ski hier, on pouvait en douter : un épais manteau neigeux habille toujours le paysage, les sommets sont perdus dans les nuages épais et une neige fine tombe sans discontinuer.
Pourtant, à l’intérieur de l’auditorium Laurent Gerra, les spectateurs qui avaient osé braver le froid, ont eu tôt fait de voir fondre la glace qu’ils avaient encore aux talons de leurs bottes.
Après les discours d’ouverture, c’est le directeur artistique du festival, Laurent Gerra lui même, qui est entré en scène pour présenter cette 7ème édition. Son large sourire, sa gentillesse, et son humour à nul autre pareil sont déjà à eux seuls une invitation au bonheur.
Mais, pour que la fête soit parfaite, c’est à son « grand frère » Enrico, qu’il a confié l’ouverture des festivités.

Et malgré le fait que la neige extérieure soit aux antipodes de l’univers maciasien, notre chanteur n’a pas mis longtemps à réchauffer les cœurs et à mettre l’ambiance dans la salle au comble du bonheur quand il a chanté « les filles de Val Cenis » et qu’il a avoué emmener sa belle, qui ne sait pas faire la fondue, au restaurant ……….. En réponse, sans une once d’hésitation, Val Cenis l’a pris dans ses bras.
Quelle belle complicité nous a été donnée de vivre hier soir entre l’artiste et son public. Comme d’habitude penserez vous ….
Oui, évidemment, parce qu’Enrico a cet art et ce don de créer immédiatement l’ambiance et de tisser les liens pour une totale et chaleureuse communion entre lui et la salle.
Que de « merci Enrico », « Bravo Enrico » ont fusé hier soir. Ils étaient sincères, ils venaient du fond du cœur.
Oublié le froid, le vent, la neige, la glace. C’est la chaleur de l’amitié qui a donné le La de cette soirée

Et pour clôturer le spectacle dans la joie et la bonne humeur, nous avons pu savourer le duo de l’oriental au regard fatal et du normal à la teinture fatale. Quelle belle rigolade, ils nous ont offerte ces deux la.

Alors merci Laurent Gerra, merci Enrico et merci Val Cenis pour cette très belle soirée emplie de bonheur et de musique
N’oublions pas les musiciens de grand talent qui accompagnent Enrico ainsi que ses techniciens sans qui le spectacle ne serait pas ce qu’il est

Liste des chansons

La vie populaire
Oranges amères
Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
Le voyage
Les gens du nord
Pour toutes ces raisons je t’aime
Paris tu m’as pris dans tes bras
Mon cœur d’attache
Aie aie aie je t’aime
Un berger vient de tomber
Les filles de mon pays
Beyrouth
Le violon de mon père
Ya Rayah
Le mendiant de l’amour
L’oriental (en duo avec Laurent Gerra)
Porompompero

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Enrico Macias se produira devant un public de 450 privilégiés au Rox à Rouvroy le 30 avril. Reporters/Bpresse

 

Le chanteur âgé de 79 ans reprendra ses plus grands tubes et des titres de son dernier album devant 450 personnes au Rox à Rouvroy le 30 avril.

Le chanteur, musicien et compositeur français qui fêtera ses 80 ans le 11 décembre prochain, se produira sur la scène du Rox à Rouvroy le 30 avril prochain. Un concert qualifié d’intimiste par les organisateurs. Enrico Macias se produira devant un public de 450 privilégiés. Un chanteur engagé qui a commencé sa carrière en Belgique et qui est aussi un fan inconditionnel du PSG et de Thomas Meunier.

Enrico Macias, vous jonglez entre une petite salle du sud de la province de Luxembourg, l’Olympia de Montréal, des concerts à Tel Aviv en Israël. Cela ne fait pas de différence pour vous?

L’amour du public est le même. Que ce soit devant 450 personnes ou 10 000 personnes c’est la même chose pour moi. J’aime bien communier, échanger avec le public et ce n’est pas une question de nombre qui m’empêche de m’exprimer.

Quelles chansons réservez-vous au public belge?

Je vais interpréter notamment la chanson «Enfants de tous pays» qui est restée un classique de mon répertoire. Je vais également chanter une synthèse de mes premières chansons mais également des plus récentes issues de mon dernier album sorti en 2016. Il y aura aussi surtout mes racines musicales dont la musique arabo-andalouse.

Vous avez des souvenirs agréables avec la Belgique, où vous avez débuté votre carrière?

J’adore la Belgique et le public belge. J’ai fait mes débuts en Belgique quand je suis revenu d’Algérie. J’ai chanté à Bruxelles à l’Ancienne Belgique avant même de me produire à Bobino à Paris. J’en garde un très bon souvenir. Je m’y suis fait de nombreux amis alors que je débutais et que j’étais tout seul. Il y a une anecdote formidable de cette époque. J’ai appris qu’Edith Piaf qui se produisait avant moi à l’Ancienne Belgique avait demandé au public d’être très attentif à un chanteur qui débutait et qui deviendrait quelqu’un dans la chanson.

Vous êtes également, depuis 2015, le parrain de l’école qui porte votre nom à Hotton. Vous avez conservé des contacts avec cet établissement?

Je suis allé souvent en visite dans cette école. C’est un grand honneur d’avoir été choisi comme parrain. C’est à ce jour la seule école au monde qui porte mon nom. Cela me touche particulièrement parce que je suis un ancien instituteur et parce que cette école accueille des enfants de plusieurs nationalités. Cela me correspond tout à fait.

Vous êtes également un fan du PSG et artiste engagé. Vous vous êtes exprimé récemment sans langue de bois sur un éventuel départ de Neymar. Vous connaissez également Thomas Meunier qui est originaire de Bastogne?

J’ai toujours été fan du PSG. J’ai assisté à sa création avec Daniel Hechter et Jean-Paul Belmondo. Depuis ce temps-là j’ai assisté à tout depuis 1970 jusqu’à ce jour. J’adore Thomas Meunier et je sais qu’il est de chez vous. C’est un très grand joueur, un très grand défenseur. Et en plus il marque des buts. Il a une lecture du jeu exceptionnelle. Quand il ne peut pas marquer, il fait des centres qui tuent.

article paru sur www.lavenir.net : http://www.lavenir.net/cnt/dmf20180313_01139390/enrico-macias-en-concert-intimiste-au-rox

 

Après Annie Cordy et Pierre Perret, c’est un autre monument de la chanson française et amoureux de la langue française qui va faire escale dans notre région gaumaise.
à l’occasion de ses 80 ans, Enrico Macias part en tournée dans toute la France, mais aussi au Canada et aux Etats-Unis, ainsi bien sûr qu’en Belgique pour un tour de chant original.
L’artiste propose en effet au public, de reprendre l’ensemble de ses tubes, sous sa propre direction.
Le 30 avril, les murs du ROx risquent bien de vibrer au rythme des «Gens du Nord», «Enfants de tous pays», «Malheur à celui qui blesse un enfant», «Les filles de mon pays», «J’ai quitté mon pays, j’ai quitté ma maison», ou encore «amis», «ouvre-moi la porte»…
Adepte des chansons à texte, il a également reçu le titre de chanteur de la Paix en 1980.
Seuls 450 fauteuils seront disponibles pour ce concert intimiste, où la proximité avec l’artiste renforcera encore ce caractère populaire et familial.
Enrico Macias résume lui-même la formule de son concert : «Venez chanter avec moi mes chansons et fêtons ensemble mes 80 printemps».
Visite exceptionnelle d’un artiste exceptionnel dans notre région (55 euros).

 

Infos :
Bertrand Jacques
0475 69 28 58
ou Johan Cristina
0498 500 485
>> Retrouvez tous les articles de cette édition du journal l’Info de la Région sur notre site internet www.linfo.lu

De notre envoyée spéciale Muriel Meimoun

Pour notre premier rendez-vous de l’année avec notre chanteur préféré, je n’ai pas eu à aller très loin. En effet, c’est au théâtre Mogador à Paris qu’avait lieu la soirée annuelle de soutien à l’association Kol Yacoov qui vient en aide aux familles en difficulté en Israël.

Ce lieu presque aussi mythique que l’Olympia a vu passer de très nombreux artistes sur sa scène. Situé dans le 9ème arrondissement entre La Trinité et l’Opéra, de grandes comédies musicales ont vu le jour en ce lieu, ou y ont été rejouées. Je pense évidemment au chef d’oeuvre de Michel Berger et Jean-Luc Plamandon : Starmania. Il y aura eu aussi : La légende de Jimmy, Cabaret, La Cage aux Folles, Notre-Dame de Paris, Le Roi Lion, Bagdad Café, La Belle et la Bête, Cats… De grandes pièces de théâtre telles que Le Bourgeois Gentilhomme, Cyrano de Bergerac et celle pour laquelle mon cœur bat un peu plus : La Femme du Boulanger de mon cher Marcel Pagnol. De grands artistes de tous styles et de tous horizons sont passés sur cette scène depuis son inauguration en 1919.

Et en ce froid lundi de février, entre 2 épisodes neigeux, notre soleil était au rendez-vous, même s’il fût tardif. Après moult chanteurs, certains assez jeunes, puis un appel aux dons durant lequel le mot « générosité » ne fût pas un vain mot, Enrico fit enfin son entrée aux environs de 23h et était entouré non pas par ses musiciens habituels mais par l’orchestre Les Cigales de Jean-Pierre Sebagh. Et tous ensemble ils ont mis le feu dans la salle. Alors je sais, Martine et moi écrivons souvent cela, mais ce soir c’était encore plus vrai que vrai. Et ceux qui comme nous, ont la chance d’assister aux concerts, savent que c’est la vérité. Que l’on soit chez les Gens du Nord, ou que souffle le Vent du Sud, que ce soit à l’Olympia ou dans des plus petites salles de province, que l’on soit sur notre terre de France, à New-York ou à Tel-Aviv, cela finit toujours de la même façon, avec une salle en délire. Tout le monde est debout, danse, chante.

Alors qui sont ces Cigales qui se sont dépensées sans compter durant ce concert, et pour paraphraser Enrico, elles n’ont pas du tout été des fourmis ce soir. Et bien elles étaient nombreuses sur scène, une trentaine de musiciens, de chœurs, de chanteurs, tous de grands artistes. Et au milieu, un musicien que les aficionados d’Enrico connaissent bien, ils l’ont même connu quand il était petit, il s’appelle de Lionel Teboul. Pour ceux qui ne se souviennent pas de son nom, il avait accompagné Enrico à l’Olympia en 1985, il n’était alors qu’un jeune garçon d’une dizaine d’années. Comme l’avait décrit Enrico, il était « le petit Macias ». Si vous voulez en savoir plus sur cet ensemble musical, je vous invite à suivre ce lien :
http://www.orchestrelescigales.com/#presentation

Évidemment, toutes ces éloges n’enlèvent rien aux multiples talents de nos amis musiciens que l’on adore. Mais ce soir c’était différent et très réussi. Je dirais même fabuleux, grandiose, prodigieux, surprenant, inattendu… Bref c’était innovant et j’espère qu’on aura l’occasion de réentendre très vite ces arrangements, tout autant que j’ai hâte de retrouver la fidèle équipe pour de nouvelles aventures intercontinentales.

De notre envoyée spéciale
Muriel Meimoun

 

Ils sont venus, ils étaient tous là lorsqu’ils ont entendu l’appel pour la Tsedaka 2017. Pour les non-initiés, qu’est-ce que la Tsedaka ? C’est la solidarité, l’aide aux personnes les plus démunies. Et cette année, c’est le 25ème anniversaire de cette grande soirée qui réunit sur scène de grands artistes.

La liste des personnalités présentes ce lundi soir au Palais des Congrès de Paris est longue :
les parrains de cette édition : Amir et Franck Dubosc
– Patrick Bruel
– Michel Drucker
– Ary Abittan
– Jeff Panacloc
– Michel Boujenah
– Cyril Hannouna
– …

Et bien sûr, le seul, l’unique, celui qui nous fait voyager de chanson en chanson aux quatre coins du monde depuis 55 ans, celui qui réunit les enfants de tous pays et de toutes religions, notre chanteur préféré, Enrico Macias.
Pour ce dernier rendez-vous de 2017, accompagné par Serge Haouzi et Jean-Claude, Enrico a chanté en duos.
Le premier avec Amir, ils ont été tous 2 des mendiants de l’amour et le second avec Symon, pour l’hymne à leur instrument de prédilection… Oh Guitare.
Puis Symon nous a chanté sa première chanson en solo, et au vu de la réaction du public, je lui prédis une grande carrière.
Mais tout ça avait un goût de trop peu, enfin il faut bien laisser la place aux autres.

Nous vous souhaitons à tous de très bonnes fêtes de fin d’année et nous vous donnons rdv en 2018 pour plein de bons moments en compagnie de notre chanteur préféré.

De notre envoyée spéciale Muriel Meimoun

 

Dans ce beau théâtre de la Madeleine, et en présence de nombreuses personnalités, dont Meyer Habib (député de la 8ème circonscription des Français à l’étranger), Nicole Guedj (présidente de la fondation France Israël), Victor Wintz (président du MDA France), et Eli Bin (président général du MDA) pour ne citer qu’eux, nous attendions Enrico avec une impatience non dissimulée. Après une courte intervention de Michel Boujenah… si si c’est possible, enfin il a essayé 😊, le public a usé de toute sa générosité pour permettre la construction d’une banque du sang. Inutile que notre mendiant de l’amour ne leur chante « Donnez, donnez ».

Dire que c’était le feu dans la salle lorsqu’ Enrico est enfin arrivé devant ce public qui lui était d’ores et déjà acquis, serait un euphémisme. Des premières notes de la fête orientale aux dernières d’El porompompero, des gens du Nord à Osé Shalom en passant par les classiques : Aux talons de ses souliers, Paris tu m’as pris dans tes bras, les filles de mon pays, le violon de mon père… la salle entière a repris en cœur chacune de ses chansons. Ils ont chanté, ils ont dansé, ils ont poussé des youyous… et ils sont repartis sûrement aphones mais encore plus certainement tristes que ce soit déjà fini et je ne doute pas qu’ils seront tous au prochain rendez-vous du MDA.

 

*Ndlr : Etoile de David rouge, la « Croix-Rouge » israélienne

 

En 2018, Enrico Macias fête ses 80 ans et en Israel,
il célèbrera par la même occasion les 70 ans de l’indépendance du pays

 

Jeudi 24 mai 2018 – 20h30
Beer Sheva – Meshran LeOumaniot HaBama

Samedi 26 mai 2018 – 21h
Tel Aviv – Charles Bronfman, Hechal hatarbut

Dimanche 27 mai 2018 – 20h30
Petah Tikva – Heiral HaTarbout

Lundi 28 mai 2018 – 20h30
Ashkelon – Heiral HaSport – 20h30

Mardi 29 mai 2018 -20h30
Haïfa – Merkaz HaCongressim

Mercredi 30 mai 2018
Jérusalem – Binyane Haouma

Jeudi 31 mai 2018 – 20h30
Netanya – amphithéâtre de la plage

de notre envoyée spéciale aux Folies Bergères :
Muriel Meimoun
Un grand merci à elle

Le soleil de la Corse brillait aux Folies Bergère ce mardi soir.

Antoine Ciosi entamait sa tournée d’adieu sous le ciel gris de Paris. La chaleur a très vite envahi la salle et elle fût à son comble lorsque notre chanteur préféré est venu interpréter son succès Corse : Solenzara.

Antoine n’a pas manqué de rappeler que c’est grâce à Enrico que l’Ile de beauté est entrée dans tous les foyers jusqu’au fin fond du Japon.

Enrico a dédié cette soirée au très regretté Charley Marouani qui avait organisé cette rencontre. Sa femme et ses enfants étaient d’ailleurs dans la salle. C’est sous un tonnerre d’applaudissements qu’il a été ovationné par ce chaleureux public.

La vie d’artiste n’est pas faite que de lumières, de musique et d’applaudissements. C’est aussi une vie sur les routes et les chemins où il faut enchaîner les kilomètres et remonter sur la scène malgré la fatigue.
Il en va ainsi pour Enrico, ses musiciens et ses techniciens. Après le concert exceptionnel de samedi soir à Lyon et une nuit courte, il a fallu reprendre le train de bonne heure, puis la route pour être au rendez-vous dans la Sarthe, à Mamers très exactement, dès 17h.
Plus intimiste, la salle de l’espace Saugonna était comble à l’heure dite et il avait même fallu rajouter des sièges devant, au grand dam de ceux qui avaient cru réserver un premier rang (petit clin d’œil à qui saura se reconnaitre).
L’espace scénique de plein pied avec la salle crée immédiatement une proximité avec l’artiste qui sied à merveille à Enrico. Et fort de ses sept musiciens qui le connaissent sur le bout de leurs doigts et de leurs notes, il ne lui a pas fallu longtemps pour créer l’alchimie et mettre le feu à la salle, qui, composée d’un public qui le suit depuis 55 ans, a su transmettre à notre chanteur préféré tout son amour et son bonheur de partager ces instants avec lui.
Dans un style très différent de la veille, ce dimanche fut un moment très chaleureux, un moment de pure communion et de bonheur de part et d’autre, comme Enrico en a le secret. L’ambiance montant crescendo, atteignant son paroxysme sur les accents de la musique arabo andalouse et les rythmes endiablés qui suivent, nous n’avons jamais le loisir de voir le temps passer. Et ce dimanche, comme partout ailleurs, la réaction a été la même. « C’est déjà fini ? » .

On voudrait le garder, encore et encore, Enrico, l’écouter et faire la fête avec lui jusqu’au bout de la nuit. Mais raison il faut garder. Et tous les meilleurs moments ont une fin.

Alors Bravo aux Mamertins et à tous les Sarthois présents ce dimanche. Et Bravo Enrico ! Bravo les musiciens et les techniciens !

On attend avec impatience un prochain rendez vous

Liste des chansons

La fête orientale
L’île du Rhône
Les gens du nord
Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
Le voyage
A la grâce de Dieu
Pour toutes ces raisons je t’aime
Paris tu m’as pris dans tes bras / mon cœur d’attache
Un berger vient de tomber
Les filles de mon pays
Solenzara
Le violon de mon père
Ya Bellaredj
Ya Rayah
Le mendiant de l’amour
L’oriental
Porompompero

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est dans le très bel amphithéâtre Lumière de la cité internationale à Lyon que la société de voyages Marietton a campé le décor pour célébrer son 50ème anniversaire ce 25 novembre 2017.

Et c’est pour le plus beau des voyages à destination du soleil et de la chaleur de l’amitié qu’elle nous a conviés pour cette soirée exceptionnelle.

Ce pays, pour tous ceux qui fréquentent régulièrement ce site, vous le connaissez bien et vous le vivez tous les jours avec nous.
Vedette de cette soirée de gala, Enrico Macias n’est pas venu les mains vides et a apporté, outre sa guitare, de belles surprises pour célébrer cette fête comme il se doit.
Après la rapide présentation de l’histoire du groupe Marietton, et les discours et du parcours de la famille Abitbol qui préside à sa destinée, c’est sur un orchestre renforcé de 12 musiciens, à l’identique de l’Olympia, que s’est ouvert le rideau.

Et c’est en présence de nombreuses personnalités dont le ministre de l’intérieur, Gérard Collomb et le président de l’OL, Jean Michel Aulas, qu’Enrico a proposé un récital exceptionnel en interprétant outre ses classiques, quelques perles plus rares de son répertoire telles « L’ile du Rhône » ou « Dès que je me réveille ».
Mais une autre surprise attendait les heureux spectateurs, puisqu’Enrico avait également convié son petit fils Symon à participer à la fête et c’est avec un immense plaisir renouvelé que nous avons savouré leur duo sur « Oh guitare, guitare » et « Enfants de tous pays ».
Commencée aux accents de la fête orientale, poursuivie sur les succès de 55 années de carrière, la fête s’est achevée aux accents de la musique arabo andalouse et des rythmes effrénés qui sont le secret de notre chanteur.
Quand la vox populi taxe les lyonnais de gens froids et distants, Enrico a su aller toucher chacun d’eux au fond du cœur et la soirée s’est achevée dans une ambiance enflammée, en tout point similaire à celle d’un Olympia. Toute la salle a fini debout aux pieds de la scène, y compris les personnalités présentes, pour chanter et danser avec Enrico qui a, une fois de plus, réussi le miracle de faire communier toutes les communautés et les religions aux mêmes accents de Paix, de chaleur et d’amitié.
Nous garderons vraiment un très beau souvenir de cette soirée.
Merci à Laurent Abitbol pour cette belle fête. Joyeux anniversaire au Groupe Marietton.
Mille mercis à Enrico Macias et à Jean Claude Ghrenassia pour ce concert splendide.
Et mercis à tous les musiciens et techniciens pour leur concours toujours de très haute qualité qui donne à Enrico l’écrin qu’il mérite.

Liste des chansons

La fête orientale
Oranges amères
Aux talons de ses souliers
Dès que je me réveille
Adieu mon pays
L’île du Rhône
les gens du nord
Juif espagnol
Pour toutes ces raisons, je t’aime
Paris, tu m’as pris dans tes bras
Oh guitare, guitare – avec Symon
Enfants de tous pays – avec Symon
Un berger vient de tomber
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
A la grâce de Dieu
Koum Tara
Bel tar ou el oud
Ya belaredj
Bin el bareh ouel youm
Ya Rayah
Le mendiant de l’amour
L’oriental
Votch Khoskov
Oseh Shalom
L’oriental

Pour certains, samedi soir, c’était une première, mais assurément pas une dernière.

Le grand impresario israélien, Shmuel Zemach, est mort ce dimanche 15 octobre 2017 à Tel Aviv à l’âge de 85 ans
Considéré comme l’un des plus grands producteurs d’Israel, il a produit sur les scènes de son pays les plus grands artistes internationaux tels que Franck Sinatra, Paul Anka, Elton John et bien d’autres.
C’est lui qui, il y a 50 ans, a fait venir Enrico Macias en Israel pour la première fois et qui, depuis cette date, le fait revenir régulièrement en tournée à travers le pays.

En juin dernier, Shmuel Zemach a reçu des mains même d’Enrico, un Award décerné par Acum pour l’ensemble de sa carrière.
Vous pouvez en revoir les images ci-dessus

A son épouse, à ses enfants et notamment son fils Yoav Zemach, à ses petits enfants et bien sur à Enrico Macias, nous présentons toutes nos plus sincères condoléances
Que son souvenir soit béni