De notre envoyée spéciale Muriel Meimoun

Pour cet ultime rendez-vous de la tournée israélienne 2018, Enrico a été à la rencontre de la plus grande communauté française basée en
Israël, à Netanya.
Plus qu’un rendez-vous, c’est un cadeau qu’il leur a offert en se produisant dans l’amphithéâtre face à la mer.
Lorsque vous vous promenez sur le kikar haatsmaout (place de l’indépendance), lieu symbolique où se retrouvent les résidents de Netanya, vous ne pouvez pas faire autrement que d’entendre le
spectacle. Donc, au-delà des 1000 privilégiés qui avaient leurs places, c’est toute la population de cette très célèbre station balnéaire qui a pu profiter du spectacle.
1/3 de la population de Netanya est issue de l’alya (montée en Israël) française. Mais il y a au minimum 1 personne sur 2 qui parle français car les autres, ceux venus dès 1948 ou 1962, viennent, pour la plupart, de Tunisie ou d’Algérie.
Alors dire que la fête fût belle, joyeuse, chaleureuse ne pourrait pas décrire l’intensité du bonheur ressenti par ce public qui, bien que déjà tout acquis, est reparti envoûté.
Les hommes ont chanté, les femmes ont dansé, madame la maire, Myriam Feirberg, a présenté Enrico comme étant unique, et pourtant elle en « a
vu défiler des chanteurs sur cette scène ». Mais toutes les belles choses doivent avoir une fin. Après le final légendaire composé de l’Oriental et de El Porompompero, qui me donne toujours un serrement de cœur lorsque je l’entends car cela indique que l’on va devoir se quitter, il a fallu partir et ce fût le moment des au-revoir.

Je voudrais une nouvelle fois remercier tous les protagonistes.

Pour commencer :

– Yoav Zemach qui a permis tout cela

– La Symphonette Orchestra Raananna et ses 2 chefs, Keren et David, qui bien que différents sont tous deux très chaleureux et sympathiques.

– « Nos » musiciens : Kamel, Bruno, Thierry, Serge, Karim, Amar et Abdenour et Nos » techniciens : Jean-Pierre et Jeff. Je souhaite leur dire merci pour leur façon de soutenir notre chanteur préféré, mais aussi pour l’accueil qu’ils me réservent à chaque fois. C’est un véritable bonheur que de les côtoyer.

– À Lionel Teboul et à Jean-Claude Ghrenassia pour leurs arrangements sublimes qui ont donné une sonorité nouvelle à ce spectacle. Là aussi, un merci personnel à Jean-Claude pour toujours me donner le sentimentd’être en famille.

– À Symon, qui au-delà de son talent artistique que j’ai déjà décrit, est toujours auprès de son grand-père et veille sur lui. Comme dirait Enrico « hazak oubarouh » (bien que ce soit intraduisible, cela veut dire littéralement : fort et béni).

– Un merci à l’ensemble du public et tout particulièrement aux fans, que nous les croisions régulièrement ou occasionnellement, les moments que nous vivons ensemble font de nous des personnes gâtées par ce en quoi chacun croit. Une pensée particulièrement pour Michael avec qui nous passons toujours de très bons moments.

– et bien sûr un très très grand merci à Enrico pour tout le bonheur qu’il nous donne chaque jour. Et à titre personnel, merci d’être entré dans ma vie alors que je n’étais qu’une enfant, d’être toujours là aujourd’hui et de me permettre de partager quelques moments privilégiés en me donnant la sensation de faire partie de l’équipe.

De notre envoyée spéciale Muriel Meimoun

Pour ce 7ème concert, Enrico a donné rendez-vous à son public dans la capitale israélienne, et là, c’est moi qui vous le dit, avec le meilleur public d’Israël.

Mais rendez vous était aussi donné à quelques-uns des chanteurs que nous avons eu le plaisir de découvrir ou redécouvrir dès le début de cette tournée 2018.
Je veux citer :
– Yossi Azulay dont le crédo est de mettre en musique les prières juives et d’envoûter son public, tant féminin que masculin, avec sa voix qui ne peut être qu’un don de l’au-delà.

– La petite Chelly, qui a également fait l’unanimité avec sa voix d’ange et sa reprise de Yerushalaïm shel zahav. Gageons que ce petit cœur ira loin, d’abord parce qu’elle est bien entourée étant la petit-fille de Shmoulik et nièce de Yoav Zemach. Mais aussi parce qu’elle a comme « parrain » un chanteur qui porte bonheur.

– Nous avons également le plaisir de chanter tous les soirs en chœur avec Orlika et Enrico (exception faite de Beer-Sheva où c’était Galit Mor qui a eu ce privilège), la célèbre chanson de Naomi Shemer : Al kol ele.
« Sur le miel et sur l’épine,
Sur l’amer et sur le doux,
Sur nos maisons et nos bébés,
Sur tout ça, donne-nous ta protection […]
Accorde ta protection, Seigneur, sur cette maison
Sur le jardin, sur le mur.
Protège-nous du chagrin, de la peur soudaine,
Et de la guerre
Garde sur le peu que j’ai,
Sur la lumière et sur les jeunes,
Sur les fruits qui ne sont pas encore mûrs,
Et sur ceux qui ont déjà été récoltés…. »

– Puis (dernier cité mais le premier dans nos cœurs), « notre » petit pharaon, « notre » petit Symon. Sa reprise de « la femme de mon ami » en français et en hébreu est divine et son interprétation de « Lekhol Ehad » est captivante. Mais aussi, l’émotion de voir Enrico le protéger de son regard, tout en restant en retrait, me chavire le cœur chaque soir. Puis leur duo sur « Enfants de tous pays », succès international, qui est devenu un hymne et qui est repris dans les écoles, est un moment de bonheur intense.

C’est aussi avec un plaisir extrême que nous avons retrouvé l’ensemble des musiciens, les nôtres et ceux de la Symphonette Orchestra de Raananna dirigée pour ce concert par leur chef David Sebba. Ce dernier a fait une très belle publication sur Facebook concernant Enrico. Il dit de lui qu’un chanteur comme lui, il y en a un sur un million. Qu’il est aussi à l’aise sur scène, en chantant et parlant dans plusieurs langues, en « jouant » avec son public comme avec un « jouet de fête foraine », que lui sous sa douche. L’amour et le respect qu’il éprouve pour notre chanteur préféré se ressent chaque soir. Leur complicité est de plus en plus évidente chaque jour.

Comme vous l’aurez compris, le concert de Jérusalem fût à tous points de vue une réussite à 200%. L’amour réciproque d’Enrico et de son public a chauffé la salle dès les premières notes, et le final fût brûlant sous les youyous et les ovations.

Ce soir, dernier concert à Netanya, moment important dans un lieu magique, mais je vous en dirai plus demain. Restez connectés.

De notre envoyée spéciale Muriel Meimoun

 

De Ashkelon à Haifa, de David Sebba à Keren Kagarlitsky, ce sont 2 chefs d’orchestre différents mais complémentaires qui accompagnent notre
chanteur préféré depuis le début de cette tournée israélienne à la tête du « Raanana Symphonette Orchestra ».

L’orchestre symphonette de Raanana a été créé en 1991 par la municipalité de Raanana, réunissant des musiciens de l’ex-Union soviétique et de jeunes musiciens locaux, dans le cadre de l’initiative de la municipalité de Raanana pour fournir du travail aux nouveaux immigrants russes. À cet égard, la municipalité de Raanana a bénéficié de la pleine coopération du Centre d’assistance aux nouveaux immigrants, créé par le Ministère de l’éducation, l’Agence juive et le Ministère de l’intégration des immigrés.
Depuis sa création, l’orchestre joue le répertoire classique, ainsi que des œuvres israéliennes originales, enrichissant ainsi le patrimoine israélien et établissant un lien solide entre les multiples facettes du patrimoine juif et la culture israélienne contemporaine, populaire et moderne. L’orchestre a commandé plus de 80 œuvres de compositeurs israéliens de renom, tels que Noam Sheriff, Gil Shohat, Omer M. Welber, Uri Vidislavski, Ella Milch-Sheriff, Josef Bardanashvili, Daniel Shalit, Oren Lok, Ron Shapira, Ayal Adler, Aviyah Copelman et beaucoup plus.
Il s’intéresse particulièrement aux contes héroïques des Justes parmi les Nations, ainsi qu’à la musique des artistes juifs qui ont péri durant l’holocauste. En 2007, l’orchestre a reconstitué l’histoire tragique d’Alma, la violoniste qui dirigeait l’orchestre des femmes à Auschwitz.
Source : www.symphonette.co.il

Des grands orchestres accompagnant Enrico, j’en ai vus. Mais là, je vous parle d’un temps que les moins de 30 ans ne peuvent pas
connaître. Pourtant, avec le Symphonette orchestra de Raanana, la façon dont leurs accompagnements se marient parfaitement à la musique d’Enrico est magique. Enfin, pas tant que ça, car en réalité c’est grâce au talent de 2 hommes.
L’un s’appelle Lionel Teboul et n’est pas un inconnu pour les fans d’Enrico . Nous n’avions plus entendu parler de lui depuis l’Olympia de 1985, et cette année, c’est la seconde fois que nous le retrouvons.
Le second homme est un magicien de la musique. Il faut dire qu’il a de qui tenir. Avec le père et les 2 grands-pères qui sont les siens, comment aurait-il pu en être autrement ?
Pour avoir eu personnellement le bonheur d’assister à quelques répétitions durant lesquelles il donnait ses instructions aux musiciens, je peux vous assurer que celles-ci font toute la différence. Vous passez de « bien, très bien » à « parfait, waouh.. ». Vous l’aurez deviné, je parle de Jean-Claude Ghrenassia.
Tous les soirs Enrico remercie ces 2 hommes pour leur magnifique travail.

Si cet orchestre est prodigieux, cela n’enlève rien à la qualité du travail de nos musiciens préférés qui déjà, lorsqu’ils sont uniquement tous les 7, nous donnent l’impression qu’ils sont 20. Mais de nouveaux instruments donnent de nouvelles sonorités et tout cela est prodigieux.
Merci aussi à Yoav Zemach qui a rendu tout cela possible.

De notre envoyée spéciale Muriel Meimoun

Hier soir, c’était au tour des Petahtikviennes et des Petahtikviens de souhaiter à Enrico, avec fleurs et gâteau, un joyeux anniversaire.
Assurément, les Petahtikviennes étaient au rendez vous.
Les « Enrico mon amour » fusaient de tous les coins de la salle, nous faisant penser aux paroles du « chanteur de la famille » : « les femmes se font belles d’abord pour plaire à leurs maris, et si ce n’est pas vrai, c’est tout au moins ce que l’on dit ».
Hier, c’était pour Enrico que les femmes et les fans étaient là.
Et il leur a tout donné sur scène. Après un début chaotique bien qu’amusant et, croyez-moi, fort sympathique, dû à une panne technique, les habitants de « l’ouverture vers l’espoir » (Petah Tikva en hébreu), ont vu tous leurs espoirs s’accomplir durant ce concert. Enrico a repris tous ses standards, de « Chanter » à « El porompompero » en passant par, « Melisa », « Aux talons de ses souliers », « Adieu mon pays », « Oh guitare », « Juif espagnol », « Quand les femmes dansent », « Pour toutes ces raisons, je t’aime », « Paris tu m’as pris dans tes bras », « Al kol ele » en duo avec Orlika, « Zingarella », « Enfants de tous pays » avec Symon, « Les filles de mon pays », « Le violon de mon père », le Medley arabo-andalou, « Le mendiant de l’amour » et « L’Oriental »
Et ce sont plus de 1000 personnes en liesse qui ont repris en chœur, et par cœur, chacun de ses couplets. L’osmose était grande hier soir, et « le meilleur public du monde » a été comblé.
Gageons que le bonheur sera tout aussi fort, ce soir, au Ashkelon Sports Arena.

De notre envoyée spéciale en Israël : Muriel Meimoun

Le tout Tel-Aviv s’est retrouvé hier soir, 27 mai 2018, dans l’amphithéâtre Charles Brofman pour souhaiter avec quelques mois d’avance, un très joyeux anniversaire à notre chanteur préféré.
Ce n’est pas n’importe quel anniversaire, puisque, le 11 décembre prochain, Enrico fêtera ses 80 printemps, 80 ans de musique, de chansons, et d’amour de la famille.

Pour cette soirée, du monde, il y en avait sur scène. A l’instar de la tournée 2014 durant laquelle l’orchestre andalou de Jérusalem accompagnait Enrico, cette année, c’est l’orchestre philharmonique de Raanana (banlieue de Tel Aviv) qui s’est joint aux musiciens habituels de l’artiste pour accompagner le Maître.
Les « symphonettes » ont été exceptionnelles et la soirée a été mémorable. Conduits par David Sebba, ils ont apporté une note différente et toute aussi mélodieuse aux airs que nous aimons tant.

Nous avons aussi eu le plaisir de revoir Shirel, enceinte et radieuse, pour un duo sur « Paris tu m’as pris dans tes bras » sauf qu’hier soir, c’était Tel-Aviv qui a pris les 2 artistes dans ses bras.
Orlika, que nous connaissons également, a repris avec Enrico cette chanson qu’il nous avait faite découvrir en 1982, « Al Kol Ele ».
Puis, Symon est venu rejoindre son grand-père qui l’a laissé voler de ses propres ailes, ou plutôt comme il le dit, « qu’il a jeté dans l’eau afin qu’il apprenne à nager tout seul ».
Et, sous son œil bienveillant, Symon a fait une belle interprétation de « la femme de mon ami », en français et en hébreu, puis « Lekol Ehad » (Chanson de Schlomi Shabbat).
Alors, Enrico est revenu au-devant de la scène pour reprendre en duo avec lui « enfants de tous pays ». Et hier, Symon était le petit-fils de tout le public, tant leur amour pour lui était intense, et leur regard bienveillant.
S’est ensuite joint à eux un chanteur qui ne nous est pas totalement inconnu, Yossi Azulay. Fin 2017, Enrico et Yossi ont enregistré 2 duos pour le CD de ce dernier. Ce soir, nous le découvrions pour la 1ère fois sur scène, en trio avec Enrico et Symon, pour une reprise de la chanson que beaucoup d’entre nous ont découvert grâce à Symon, il y a 3 ans, « vehi sheamda ».
Yossi était aussi aux côtés d’Enrico pour le medley arabo-andalou et une adorable enfant s’est jointe à eux pour interpréter « Yerushalaïm shel zahav ». Elle s’appelle Chelly et c’est la petite-fille de Shmoulik Zemach זיל, qui a été le producteur d’Enrico en Israël dès 1967 et qui, malheureusement, nous a quittés il y a quelques mois. Depuis quelques années, c’est son fils Yoav qui a pris la relève.

Comme chaque fois, cette soirée est passée à la vitesse de l’éclair et chacun est reparti chez lui les yeux pleins d’étoiles et le cœur en fête.

Mais Enrico n’en finit pas de faire la fête avec tous ceux qui l’aiment et rendez-vous est pris pour ce soir, 27 mai, à Petah Tikva

Enrico Macias effectue actuellement une grande tournée en Israel pour fêter ses 80 ans et les 70 ans d’Israel
Merci à Mme Zemach et  à Yoav Zemach pour ces témoignages et ce très beau reportage sur l’artiste et l’homme de Paix qu’est Enrico
Comme partout dans le monde, l’ambiance dans les concerts d’Enrico est une communion entre les communautés et une fête
Il est cette année accompagné par le grand orchestre  de 40 musiciens de Raanana
Gageons que Symon, son petit fils qui l’accompagne dans cette tournée, prendra la relève de cette dynastie de musiciens hors pair.

El cantante internacional Enrico Macías llega a Israel para celebrar dos importantes fechas, por un lado los 70 años de Israel y por el otro sus 80 años, a través de una gira particularmente conmovedora titulada “Enrico Macías celebra los 80”. Será acompañado por la Orquesta Sinfónica de Raanana con sus 40 músicos.
A partir del 24.5 se presentará en Beer Sheva, en Tel Aviv (26.5), en Petaj Tikva, Ashkelon, Haifa, Jerusalén y cierra la gira en Natania el 31.5. Macías no necesita mucha presentación pues ha tenido una larga carrera de seis décadas, y nos ha visitado muchas veces. Luego de que su amigo y productor Shmuel Zemach falleciera el año pasado y habiendo atravesado épocas difíciles, su hijo Yoav es el productor a través de la firma Zemach. A pesar de las controversias soy creyente e invito a todo el pueblo de Israel a celebrar conmigo”

 

Chanteur international, Enrico Macías arrive en Israël pour célébrer deux dates importantes : d’une part les 70 ans d’Israël et d’autre part, ses 80 ans, à travers une visite particulièrement poignante intitulée « Enrico Macías célèbre ses 80 ans ». Il sera accompagné par l’Orchestre symphonique de Raanana avec ses 40 musiciens.
Du 24 mai à Beer Sheva, Tel Aviv (26 mai), il se produira à Petaj Tikva, Ashkelon, Haïfa, Jérusalem et fermera le tour à Netanya 31 mai. Macias n’a pas besoin d’être présenté car il a eu une carrière longue de six décennies et nous a souvent rendu visite. Son ami et producteur Shmuel Zemach est décédé l’an dernier, et après avoir traversé des moments difficiles, son fils Yoav est le producteur par le biais de la signature Zemach. « Malgré les controverses, je suis un croyant et j’invite tous les enfants d’Israël, à célébrer avec moi ‘.

 

Article paru sur le site : http://aurora-israel.co.il/la-doble-celebracion-de-enrico-macias/

 

50 ans après sa première prestation dans la ville, Enrico Macias était de retour à Montréal, ces 12 et 13 mai 2018 au théâtre de l’Olympia.

Assez similaire dans sa configuration avec l’Olympia de Paris, cette salle de 2600 places datant du début du 20ème siècle, est un cocon idéal pour créer l’osmose et la communion entre Enrico et son public. Et ce dernier n’a pas déçu l’artiste puisque les deux soirées se sont jouées à guichet fermé.
C’est ainsi que peu avant 19h, une longue file d’attente s’étirait sur le trottoir de la rue Ste Catherine jusque loin dans la rue St Timothée.
Ce sont deux magnifiques concerts qu’il nous a été donné de vivre ce weekend end.
En première partie du spectacle, nous avons eu le plaisir de découvrir une très jeune chanteuse de 14 ans, Laura Janowski, accompagnée à la guitare mais aussi en chanson par Kevin Bazinet, lauréat de « la voix ». Très complices, ils ont offert une prestation pleine de sensibilité, invitant le public à partager avec eux ces moments de joie et d’émotion. Gageons que cette jeune chanteuse pleine de talent et de sensibilité fera parler d’elle dans les années à venir.
Après un court entracte permettant aux techniciens les modifications nécessaires, c’était enfin le moment tant attendu.
Et c’est sur les notes de « La vie populaire » qu’a débuté la fête, pour un récital qui nous a réservé quelques très beaux moments.
En dehors des classiques incontournables que sont « Aux talons de ses souliers », « Les filles de mon pays », « Paris tu m’as pris dans tes bras » et quelques autres, il nous a été donné le bonheur d’entendre quelques perles telles que « Mélisa » ou encore « Beyrouth ».
Et pour faire de cet anniversaire la plus belle des fêtes, Enrico a prévu quelques invités de marque.
C’est d’abord, samedi, Isabelle Boulay qui a rejoint Enrico sur scène pour un duo sur l’immense succès « Dis-moi ce qui ne va pas ». La très belle voix d’Isablle Boulay mêlée à la chaleur de celle d’Enrico nous a porté sur une vague d’amour et de tendresse le temps d’une chanson si chère au chœur de tous les Québécois présents.
Autre belle surprise, la présence de Symon, le petit fils d’Enrico. Tous deux nous ont interprété « enfants de tous pays », et, pour la première fois sur scène, « Noel à Jérusalem ». Au-delà des succès que chacune des personnes présente dans la salle connait par cœur, c’est la complicité, la fierté et le respect que l’on ressent entre ce grand père et son petit fils qui font de ces instants des moments uniques et chargés d’émotion sur la scène comme dans la salle.
C’est du très grand Enrico qu’il nous a été donné de voir et d’entendre ces deux soirs. C’est un Enrico souriant, détendu et heureux, ému des marques d’amour si chaleureuses du public québécois, qui a, comme toujours et partout dans le monde, réussi à faire de ces deux heures de concert une véritable fête pour lui comme pour nous. Et le public québécois a été extraordinaire. Du début à la fin, il a porté l’artiste sur une vague de youyous et d’applaudissements chaleureux pour lui dire tout leur amour et leur bonheur de le retrouver. La fête à Montréal a été magique et Enrico a eu bien du mal à sortir de scène tant les rappels ont été insistants et forts.
Merci Enrico pour ces moments uniques de partage, de joie et de fête.

Merci à tous les musiciens, sans qui, comme Enrico le dit toujours, le spectacle ne serait pas ce qu’il est : Kamel, Bruno, Thierry, Abdenour, Serge, Amar et Karim
Merci aux techniciens, Jean Pierre à la sono et Jeff qui habille la scène de mille jeux de lumière qui ravissent nos yeux.

Le 19 mai 2018, Patrick Sébastien présentera un nouveau numéro du divertissement Les années bonheur, sur France 2.

Voici la liste complète des invités et complices de l’animateur.

L’émission Les années bonheur est de retour ! Pour ce deuxième numéro de l’année 2018, diffusé le samedi 19 mai prochain à 20h55 sur France 2, Patrick Sébastien a convié de nombreuses personnalités, pour vivre une soirée festive, entouré de plusieurs complices : Elodie Gossuin, Fabien Lecoeuvre, Gérald Dahan et Vincent Lagaf, très bientôt de retour à la télévision à la tête du jeu Strike.
L’animateur accueille les chanteurs et artiste Claudio Capeo, Eddy Mitchell et Féfé, Nadiya, Maître Gims, Tal, Yannick, Enrico Macias, Axelle Red, Samantha Fox, Chico & Les Gypsies, Nacash, Alvaro Soler, Augustin Galiana, Hervé Vilard, Enzo Enzo, Amaury Vassili et Snap.
Mais Patrick Sébastien recevra aussi des humoristes : Elodie Poux, Pierre Aucaigne, Paul Adam et Oldelaf.

De notre envoyée spéciale M Meimoun

En cette veille de 1er mai, notre chanteur porte bonheur avait rendez-vous avec nos cousins belges, à Rouvroy, dans la belle province du Luxembourg.
De la vie populaire à El Porompompero, ce sont tous les standards de son répertoire qui ont été revisités.
Mais le clou du spectacle fut le moment où 12 petits anges, quoique un peu démons puisqu’ils nous ont « subtilisé » nos places au 1er rang, sont montés sur scène pour interpréter « Enfants de tous pays » avec Enrico.
Vous devez vous demander : qui sont donc ces chanceux ?
Et bien ce sont des élèves de l’école d’Hotton. Et Enrico, ils le connaissent bien puisqu’ils ont le privilège d’étudier dans l’école Enrico Macias. Rares sont les enfants qui ont l’occasion de rencontrer et de chanter avec celui qui a donné son

nom à leur école.
Gageons qu’à l’instar des paroles de la chanson, ils n’oublieront pas cette soirée.
Je peux aussi dire sans me tromper que le public est réparti totalement conquis. Le concert s’est terminé par une standing ovation, et durant plusieurs minutes après la sortie de scène d’Enrico, ils ont scandé sans se lasser des « encore, encore… » qu’Enrico n’a pas pu ignorer. Et revoilà donc tout l’orchestre qui revient l’accompagner pour une ultime improvisation.
Merci aux organisateurs qui nous ont très chaleureusement accueillis.
Merci à Jean-Claude pour leur avoir permis d’organiser cette soirée et pour tout le travail qui fait que chaque concert est parfait. Merci aussi à toute l’équipe qui entoure Enrico de son attention : les techniciens Jean-Pierre et Jeff, sans oublier Greg et les musiciens toujours fidèles au poste. J’ai nommé, Thierry, Bruno, Abdenour, Amar, Serge, Kamel et Karim.
Et bien sûr mille mercis à celui sans qui rien ne serait possible, merci à lui pour tout le bonheur qu’il nous donne à chaque instant, merci Enrico

BJC-Gaume est sur les dents: en neuf jours, trois spectacles-événements jamais vus en Sud-Luxembourg auront lieu à Rouvroy et Arlon.
Les deux compères halanzinois Bertrand Jacques et Johan Cristina ont fait de leur devise «Ne courez plus, les artistes viennent chez nous» une vraie réalité. Depuis plusieurs années, ils ont réussi à convaincre une belle brochette de vedettes. Des exemples? Pierre Perret, François Pirette, Annie Cordy, Virginie Hocq, Michel Boujenah et bien d’autres dans des répertoires variés s’adressant à toutes les générations.
Avec Enrico Mathias d’abord, Johnny Cadillac et Mister Cover ensuite, la liste continue à s’allonger!
En neuf jours, trois spectacles sont annoncés. Trois événements en quelque sorte. Premier en date, ce lundi 30 avril à 20 h. Enrico Macias donnera un concert intimiste au ROx, où seuls 450 privilégiés pourront communier avec cet artiste. À 80 ans, avec un nouveau spectacle, il va entreprendre une grande tournée internationale qui le conduira à travers toute la France avant de s’envoler pour le Canada et les États-Unis. Les Gaumais auront le privilège de découvrir, entouré de sept musiciens, l’interprète d’Enfants de tous pays, les Gens du Nord ou encore L’Oriental, en avant-première. À l’issue du spectacle, l’artiste prendra en outre le temps de rencontrer son public et assurera une séance d’autographes. Actuellement, un tout petit peu plus de trente places (PAF: 55€) restent disponibles.
Johnny Cadillac et Mister Cover
Pour un autre rendez-vous au Hall Polyvalent d’Arlon, BJG-Gaume n’a pas fait dans le détail. En effet, le mercredi 9 mai, veille de l’Ascension, c’est une soirée à l’ambiance de feu qui est programmée. Mister Cover est déjà passé par BJC pour venir à Arlon et le groupe revient avec un tout nouveau spectacle, celui qu’il a monté en novembre dernier pour l’Ancienne Belgique à Bruxelles.
Avant Forest National, le Polyf servira de test pour ce groupe qui assurera deux heures trente de chansons populaires, des toutes bonnes reprises, rien que des tubes dans un spectacle pyrotechnique et light show jamais vu.
La soirée sera lancée dès 19 h 30 avec un Johnny Cadillac qui, fidèle à son maître, mettra déjà le feu avec les plus grands tubes de Johnny. Un spectacle qui se veut exceptionnel: treize musiciens seront présents sur la scène. C’est la première fois que Johnny Cadillac et le groupe Rock en Stock se produiront dans cette formule qui rappellera les plus grandes heures du «taulier».
Ouverture des portes dès 19 h, restauration sur place avec The Karavan.
Prix unique: 25€, tickets disponibles chez Warling Virton et Halanzy, Ozone Coiffure Halanzy, Élégance Mère et fille Halanzy, L’Ancolie Halanzy, Optilook Halanzy, Marché des Saveurs Aix-sur-Cloie, MRG Elec Aubange, Librairie des Faubourgs Arlon ou via versement sur compte IBAN BE25 7512 0556 6682 en mentionnant Mister Cover.
Renseignements: www.bjc-gaume.be; Bertrand Jacques, 0475 69 28 58 ou Johan Cristina, 0498 50 04 85

 

Article paru sur l’avenir.net

Enrico Macias sera l’un des invités du « Festival des Livres Des Stars » à Marseille du 15 au 17 juin 2018 pour présenter son ouvrage

« L’ENVERS DU CIEL BLEU » – Aux Editions du Cherche Midi

Sous le sourire, les larmes… La face cachée d’Enrico.
On pensait tout connaître de lui. Le pied-noir chantant la beauté du ciel bleu et du soleil de la Méditerranée… C’est ignorer qu’il n’a pas seulement dû quitter la terre de ses ancêtres, mais que cette terre, son pays natal, a été ensevelie par l’histoire. Malgré sa grande popularité chez « les gens du Nord », il reste pourtant, bel et bien, l’enfant d’une Algérie où les juifs vivaient depuis deux mille ans et qui a découvert la France comme un pays d’exil.

Dans L’Envers du ciel bleu, le chanteur raconte ses combats insoupçonnés. Le deuil du pays perdu, la France à apprivoiser, l’histoire parfois sombre d’un homme qui affronte les tourments du monde et cherche à y survivre. L’histoire, en somme, d’un perpétuel sourire derrière lequel se cache une inguérissable douleur.

À travers son témoignage sans concession, vous allez rencontrer Enrico Macias qui se livre entièrement, pour la première fois.
Émouvant et poignant.

Pour plus d’informations : https://www.deslivresdesstars.org/