11036664_10153433176898726_1114462085834481250_nRéservez votre calendrier pour assister aux concerts d’ Enrico Macias le dimanche 25 Octobre 2015 dans les jardins de l’ambassade de Belgique au Caire et le lundi 26 Octobre à l’Opéra d’Alexandrie 
Nous vous donnerons tous les détails prochainement
Organisé par Event 4U

Book your calendar to attend Enrico Macias live concert on Sunday 25 October at the garden of the Belgium Embassy in Cairo and on Monday 26 October at Alexandria Opera House …
Will share all the details soon ..
Organized by Event 4 U

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Enrico Macias donnera un tour de chant où la guitare occupera une place centrale. Photo Serge Guéroult

Il se produit demain au Lac de Monteux au festival « Les grandes voix »

On vous a peu vu l’an dernier. Qu’avez-vous prévu pour ce concert-retour ?
Enrico Macias : Ce sera un « one-man-show » en quelque sorte. Mais je serai accompagné par sept musiciens. Je jouerai mes anciennes chansons et des morceaux plus récents. Ce sera une synthèse de toutes mes racines musicales. Mais ce que je peux vous dire c’est qu’il y aura beaucoup de guitare !

Qu’est-ce que cela vous fait de jouer en Provence ?
E.M. : C’est très spécial pour moi. Cette région est l’une des premières que j’ai visité quand je suis arrivé en France (Enrico Macias est arrivé d’Algérie dans les années 1960, ndlr). J’ai chanté la Provence et j’ai beaucoup de bons souvenirs ici. Je suis très heureux de me produire chez vous !

Votre carrière est bercée par les rythmes arabo-andalous. C’est important de mettre les musiques du monde sur le devant de la scène ?
E.M. : Les échanges culturels et le dialogue sont la clé de voûte de la paix. On en a besoin pour rapprocher les gens. Mieux vaut la musique que des actes de barbarie… Je suis très fier d’être joué dans des écoles, des églises, des synagogues et même des mosquées. Je n’ai fait ce métier que pour une seule raison : faire communier les gens.

On vous sait très engagé. Qu’est-ce qui vous révolte aujourd’hui et vous donne envie de continuer à chanter ?
E.M. : Je n’ai jamais cessé de combattre l’injustice et l’intolérance. Encore plus aujourd’hui qu’hier. Tant que ça va mal, je continue de prendre mon bâton de pèlerin pour qu’un jour règne la paix.

Après toutes ces années de carrière, où trouvez-vous encore l’inspiration ?
E.M. : L’inspiration, c’est un don de Dieu. Elle vient quand elle veut, il faut la ménager. Si je la bouscule, elle va partir chez un autre chanteur ! Mes influences ne changent pas : le flamenco, le fado m’inspirent. Côté chanteurs, j’adore Ray Charles, Jacques Brel, Georges Brassens. Mais aussi Johnny Halliday et Eddie Mitchell !

Et Kendji ?
E.M. : On est de la même planète tous les deux ! Il a du charisme et du talent. Je suis content qu’il réussisse.

Vous n’êtes pas retourné en Algérie depuis 1961. À quel point ce pays est présent dans votre vie ?
E.M. : Je suis en manque de mon pays. Mais quand on coupe les branches, les racines sont toujours là…

Quels sont vos projets à venir ?
E.M. : D’abord la sortie de mon album début octobre avec 12 nouvelles chansons. Il y aura aussi un livre intitulé « L’envers du ciel bleu ». Ce sont des réflexions menées tout au long de mon parcours. Un début de mémoires en quelque sorte !

 

Article paru sur : laprovence.com : http://www.laprovence.com/article/spectacles/3530972/enrico-macias-la-musique-rapproche-les-gens.html


Festival « Les grandes voix » Lac de Monteux. 21h Billetterie disponible sur place

lyon-2015Le ciel était gris et une petite pluie fine tombait sur Lyon dès le matin, ce 14 juin 2015.

Ceci ne présageait rien de bon pour réchauffer l’ambiance et faire mentir la vox populi qui qualifie les lyonnais de gens froids et peu acceuillants.

Mais c’était sans compter sur le pouvoir du soleil de l’amitié et de la chaleur méditerranéenne.
Et en ce dimanche de grisaille, ce sont les Lyonnais qui nous ont prouvé qu’ils avaient dans le cœur le soleil qu’ils n’avaient pas dehors.

Bien avant l’arrivée des musiciens sur scène, le public nombreux et impatient réuni dans la très belle salle de la Bourse du travail à Lyon, appelait Enrico à grand bruit en scandant son nom, impatient de commencer la fête.

Quand enfin les musiciens sont venus se placer, dès les premières notes de musique et l’apparition au fond de scène de l’artiste, il a été évident que non, rien n’avait changé malgré toutes ces années.

Enrico, souriant et détendu, a rappelé aux Lyonnais combien cette ville où il avait débuté il y a bien longtemps lui était chère et combien de souvenirs il avait avec les Lyonnais.
Il a aussi tenu à honorer tout spécialement ce soir ses fans les plus fidèles qui le suivent dans tous ses concerts à travers le monde, et un grand moment d’émotion est passé parmi eux lorsqu’il les remerciés un à un.
Il a enfin dédié cette soirée à une délégation venue spécialement du Turkménistan pour l’entendre chanter et lui apporter en présent un magnifique tapis de leur pays à son éphigie. En remerciement, il leur a réservé la surprise au cours du spectacle de leur interpréter quelques mesures d’enfants de tous pays en russe.

Le cadre posé, la fête a pu battre son plein et, au propre comme au figuré, le thermomètre a vite grimpé dans la salle où la chaleur des sunlights a fusionné avec celle des cœurs pour produire une alchimie chaque fois renouvelée.

Tous les standards maciasiens ont été repris en cœur par la salle surchauffée et comme toujours la fête s’est poursuivie debout devant la scène à danser et chanter pour le plus grand plaisir de tous, celui d’Enrico n’étant pas le moindre. C’est une belle image de bonheur collectif qu’il est donné de contempler et de vivre à chacun de ses concerts et nous en redemandons encore et encore. la fête se termine toujours trop vite et on voudrait la voir se poursuivre la nuit durant.

Si la communion totale entre Enrico et son public est évidente, il faut aussi souligner la grande complicité qui règne entre l’artiste et son orchestre constitué de musiciens de très grand talent,  tous à l’écoute du Cheikh et prompts à le suivre dans toutes ses improvisations prévues ou spontanées. Un grand merci à Kamel, Bruno, Thierry, Abdenour, Amar, Serge et Karim, nouveau venu dans le paysage maciasien qui remplace Henri pendant son absence.  Nous envoyons à ce dernier toutes nos pensées les plus sincères, souhaitant son retour très prochain.

Merci Enrico pour cette belle soirée dont nous garderons longtemps le souvenir. Nous vous souhaitons un bel été et attendons avec impatience la rentrée où de belles surprises nous attendent.

La liste des chansons

Rien n’a changé
Quand les femmes dansent
Adieu mon pays
Le voyage
Aux talons de ses souliers
Pour toutes ces raisons
Les gens du nord
Medley (Paris tu m’as pris dans tes bras, Les millionnaires du dimanche, mon cœur d’attache)
Juif espagnol
Aie aie aie je t’aime
Un berger vient de tomber
La vie populaire
Les filles de mon pays
le violon de mon père
Medley final ( ya rayah, Aware, El belarej,
L’oriental, Yerushalaim shel Zahav, El Porompompero)
Le mendiant de l’amour

 

 

 

 

 

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Le chantre de la musique arabo-andalouse est de retour à Lyon pour un concert dominical à la Bourse du Travail.

« Allô, c’est Enrico ». Avec un tel accent et une voix aussi chaleureuse, le chanteur n’a pas besoin de préciser son patronyme. Enrico Macias appelle depuis sa maison dans le sud, pour parler de son concert de dimanche à la Bourse du Travail.

Comment fait-on pour choisir un répertoire de scène, quand on a autant de chansons ?

Ah, c’est assez difficile. J’ai un peu l’impression d’être le sélectionneur de l’équipe de France. En fait, je les choisis en fonction de mon humeur, de mes envies, et je calcule pour que ça fasse entre une heure trois quart et deux heures…

Il y en a quand même que vous êtes obligé de chanter, non ?

Oui, il y a des incontournables : « Les Gens du Nord », « Adieu Mon Pays », « Aux Talons de ses Souliers »… Ces chansons, je ne peux pas y échapper, ce sont les fondations de ma carrière et de mon répertoire.

C’est un exercice obligé ?

En enregistrant mon album de duos il y a trois ans, on a retravaillé tous les arrangements. Ça leur a donné une nouvelle jeunesse ! Et ça nous a donné un nouveau plaisir à les chanter.

On vous connaît comme le chanteur de la musique arabo-andalouse. Est-ce que vous aimez aussi d’autres musiques ?

Bien sûr, j’aime beaucoup de musiques. Mais je suis né dans la musique arabo-andalouse. Mon père était violoniste dans l’orchestre de Cheikh Raymond, qui, plus tard, est devenu mon beau-père. Notre famille est constituée de musiciens depuis des générations. Nos ancêtres étaient déjà des musiciens quand on était encore en Andalousie.

Alors, pour répondre à votre question, j’adore la musique tzigane, ou le flamenco. J’adore les folklores, en fait.

Pourquoi les folklores ?

C’est la musique des origines. Même la musique classique s’est inspiré des folklores.

Par exemple, les berceuses que chantent les mères depuis la nuit des temps, ce sont les musiques de la terre.

Elles viennent des gens, de leur cœur.

Jouer à Lyon, ça vous rappelle des souvenirs ?

Oh oui, je me souviens de mon premier concert, aux Célestins. On m’avait dit que les Lyonnais étaient froids et distants et je me suis retrouvé devant une salle avec une ambiance explosive ! C’était la première fois que je voyais ça.

Ensuite, vous êtes revenus souvent…

Oui, j’ai beaucoup chanté au Palais d’hiver. J’adorais travailler avec le directeur, Roger Lamour. On était tellement bien accueillis. Lyon est devenue une ville très importante dans ma carrière, autant que Paris et Marseille. Je suis comme le train PLM !

Ce dimanche 14 juin à 18 heures

à la Bourse du Travail, 205, place Guichard, Lyon 3e. De 31 à 43 €.

Recueilli par T. M.

Le Propres : http://www.leprogres.fr/sortir/2015/06/13/enrico-macias-lyon-est-une-ville-tres-importante-dans-ma-carriere

ARTHUR, NIKOS ALIAGAS
ARTHUR, NIKOS ALIAGAS

Il y a vingt ans, l’émission culte Les enfants de la télé voyait le jour dans le paysage audiovisuel français ! Une extraordinaire longévité pour un programme de divertissement ! Autant d’années depuis lesquelles Arthur et ses prestigieux invités ne cessent de vous divertir dans la joie et la bonne humeur !

A l’occasion de ce vingtième anniversaire le samedi 27 juin 2015 sur TF1, Arthur et Nikos Aliagas réservent aux téléspectateurs une soirée inédite et exceptionnelle en compagnie de toutes les personnalités qui font le succès de l’émission !
Florence Foresti, Gad Elmaleh, Dany Boon, Elie Semoun, Michel Boujenah, Pierre Palmade, Claudia Tagbo, Michaël Youn, Kendji Girac, Titoff, Laurent Baffie, M. Pokora, Cyril Hanouna, Sandrine Quétier, Anthony Kavanagh, Hélène Ségara, Smaïn, Enrico Macias, Tex, Pascal Obispo, Christophe Willem, Lara Fabian, Florent Peyre, Philippe Lelièvre, Arnaud Tsamère, Philippe Lellouche, Vanessa Demouy, Virginie Hocq, Isabelle Nanty, Jean-Marie-Bigard, Baptiste Giabiconi…. Ils seront tous là pour fêter cet anniversaire !

Au menu : Les 20 ans de stars, les 20 ans de joies, d’émotions et de dérapages, les 20 ans de bafouillages, les 20 ans de délires, les 20 ans de musiques… Et les 20 ans des fameuses casseroles qui mettent toujours à l’honneur les invités ! Une kyrielle de surprises concoctée par cette joyeuse bande viendra survolter l’ambiance et saura émouvoir aux larmes Arthur, touché par autant d’hommages !

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De notre envoyée spéciale à Avesnes, Muriel M
Mille mercis

« Les gens de Nord ont dans les yeux le bleu qu’il manque à leur décor, les gens du Nord ont dans le cœur le soleil qu’ils n’ont pas dehors ». Samedi 6 juin à Avesnes-sur-Helpe, ceci n’était pas vrai, le ciel était bleu et le soleil brillait de mille feux dans les rues du cœur de l’Avesnois. Mais la chaleur a été à son comble dans la chaleureuse salle des fêtes d’Avesnes lorsqu’Enrico a fait son apparition à 20h30.

Madame le maire et son équipe était aux premières loges pour accueillir notre chanteur préféré.

Un concert alliant humour et chansons. Ce 6 juin, Enrico a été et je le cite « l’humoriste et le chanteur ». Et il a aussi été taquin avec son public fidèle et avec ses merveilleux musiciens. Une pensée pour Henri Daguerre qui n’a pu être présent, mais Enrico nous a rassuré sur son état de santé. On espère le revoir très vite avec sa basse. Toutefois, son remplaçant, Karim a été bon. Ils sont tous bons nos musiciens préférés, Thierry, Bruno, Amar, Abdenour, Serge…. Je n’oublie personne ? Ah si ! Kamel…………………. (Désolée, j’écoute les taquineries de mon maître et je les répète).

Donc vous l’aurez compris, cela a été un concert dans la bonne humeur et la convivialité. Qui me laissera un souvenir impérissable.

Lorsque vint le moment de chanter « Les gens du Nord », Enrico nous a offert une introduction jamais entendue. Un mélange de nouveautés et de notes tirées de cette chanson incontournable. Il nous a tenus en haleine pendant 1’30’’ avant d’enfin chanter ces quelques mots qui sont dans la mémoire de tous. Durant ces 90 secondes, il a mis l’eau à la bouche à son public nordiste et comme on s’y attendait, cela a été un vrai bonheur que de réentendre ce petit bijou en hommage aux ch’tis, qui s’est terminé sous une salve d’applaudissements.

Cette chanson culte, Enrico la chante dans le monde entier et dans tous les coins de France, mais samedi soir dans cette salle des fêtes, elle avait une saveur particulière.

Muriel M.

 

1614223475_B975704807Z_1_20150602195405_000_G194JUGAO_1-0JEAN-MICHEL VAILLANT ET JONATHAN KONITZ

Temps fort de la saison culturelle, le concert qui sera donné samedi à 20 h 30 à la salle des fêtes par Enrico Macias.

Après cinquante ans de carrière et cinquante millions de disques vendus, Enrico Macias à 76 ans poursuit sa route et c’est au contact de ses fans qu’il s’exprime pleinement. « Ce qui me donne toute cette énergie, c’est l’amour du public » lance-t-il en préambule. « Je reviens des Etats-Unis ; j’étais à Haïti, à Chypre… » et avant de se produire le week-end prochain à Lyon, il fera samedi une halte par Avesnes. Le temps fort d’une saison culturelle mais aussi l’occasion pour ses admirateurs de fredonner quelques-uns de ses plus gros succès. « Enfants De Tous Pays », « Paris Tu M’as Pris Dans Tes Bras », des chansons écrites dans les années soixante par celui qui allait devenir le porte-parole de tout un peuple déraciné, celui d’Afrique du Nord. « Il y aura surtout une partie consacrée à mes racines, la musique arabo-andalouse » confirme l’enfant de Constantine. Un peu de soleil que l’on retrouve dans cette voix chaude et puissante. Chanteur utopiste de l’amour et de l’amitié entre les peuples, Enrico peut se vanter d’avoir introduit l’Orient dans la musique occidentale. Il reviendra sur son répertoire avec de nouveaux arrangements de son contrebassiste Jean-Claude Ghrenassia, associé pour l’écriture des cordes à Jean Claudric. Une exploration fraternelle et chaleureuse qui ne pourra cependant se faire avec son bassiste Henri Daguerre, gravement malade.

S’il présentera sur la scène avesnoise des chansons faisant partie de son nouvel album, c’est surtout l’accueil qu’il reçoit dans notre région qu’il met en exergue. « Je suis toujours magnifiquement reçu » insiste l’artiste qui a donné plusieurs concerts à Saint-Amand-les-Eaux et encore plus récemment dans le bassin minier.

Intitulé « Venez Tous Mes Amis », son dernier album est une compilation de dix-sept duos inédits. Réalisé avec une ancienne première dame de France, l’un d’eux est une interprétation de la chanson « Les Gens Du Nord », sorte d’hymne depuis 1967 pour les habitants du Nord – Pas-de-Calais qui citent souvent les paroles.

Espérons simplement que de nombreux amis d’Enrico Macias répondront à son appel.

Article paru dans La voix du nord : http://www.lavoixdunord.fr/region/avesnes-enrico-macias-fera-t-il-recette-samedi-soir-ia12b0n2862772

enrico-maciasLe dimanche 24 janvier 2016 à 15 heures aura lieu un immense spectacle interactif mettant en scène «Enrico Macias et 500 choristes» à la grande église de Banneux Notre-Dame.

Vous rêvez de chanter avec le mendiant de l’amour ? Alors, cet appel est pour vous ! Le Comité de soutien des mouvements de Jeunesse de Soumagne, en collaboration avec l’asbl Solmania, organisent cette formidable aventure musicale, humaine et intergénérationnelle.

Remplissez vite le formulaire d’inscription. Vous avez jusqu’au 31 mai 2015 minuit pour le faire !

Comment s’inscrire ?

Pour participer, c’est très simple, il vous suffit de consulter le site www.solmania.be et de suivre les modalités d’inscription.

Envie de participer avec votre chorale ? Cliquez sur la case adéquate et remplissez le bulletin directement ou télécharger-le en format PDF.

Envie de participer à titre individuel ? Cliquez sur la rubrique qui vous concerne et suivez les instructions.

Les premières répétitions

Attention, la première répétition débute déjà le dimanche 18 mai. Mais vous pouvez encore vous inscrire jusqu’au 31 mai 2015.

Toutes les répétitions auront lieu de 13h30 à 17 heures à l’institut Don Bosco de Liège, situé rue des Wallons, 59, 4000 Liège.

Vous avez désormais toutes les cartes en main pour chanter tous en « cœur » !

Giuseppa Cosentino

 

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