261619857_B971292017Z_1_20131026171132_000_GSH1E4784_2-0Voici les événements qui ont marqué l’actualité en Flandre intérieure il y a tout juste dix ans.

 

 

 

Nous ouvrons notre édition du 21 octobre 2003 avec les buralistes en colère. Pour la première fois de leur histoire, ils ferment la porte de leur commerce pour protester contre la hausse du prix du tabac. En Flandre intérieure, le mouvement est très suivi. Il faut dire que le secteur, à deux pas de la Belgique, est très touché. Les buralistes demandent un plan d’urgence contre la contrebande.

 

À Hazebrouck, le centre André-Malraux accueille Enrico Macias. Plus de mille spectateurs assistent au concert. La prestation ne fait pas l’unanimité. Certains auraient aimé que l’artiste chante un peu plus de ses anciens titres.

 

À La Gorgue, le 22 octobre, nous revenons sur la troisième édition du festival international de magie. La salle des fêtes Christian-Croquet affiche complet.

 

Le lendemain, nous allons à la rencontre d’Eddy Houvenaghel. L’aventurier doulieusien se prépare pour la Boliviana : le raid le plus haut du monde. À Bailleul, est organisée la première édition de L’Assiette gourm’hand. Un concours de cuisine pas comme les autres qui rassemble des personnes handicapées et des cuisiniers professionnels. Le président du jury est Marc Meurin.

 

À Merris, coup dur pour l’emploi. La société Merris menuiserie, créée en 1995, est placée en redressement judiciaire. Une trentaine d’emplois sont menacés. À Arnèke, on apprend le décès de Denis Cavrois à l’âge de 57 ans. Il avait été maire de 1986 à 1999.

 

À Hazebrouck, une enquête est menée à la maison de retraite. On s’intéresse à la qualité de la vie des résidants. Les points positifs (proximité des commerces, convivialité, personnel agréable) et négatifs (couloirs trop longs) sont évoqués.

 

 

 

Article paru le 26 octobre 2013 dans le quotidien LA VOIX DU NORD : http://www.lavoixdunord.fr/region/dix-ans-deja-que-s-est-il-passe-en-flandre-du-21-au-ia18b0n1649677?xtor=RSS-2

 

Enrico-Macias_mediumNous vous rappelons qu‘ENRICO MACIAS sera en concert à

HOUILLES

SAMEDI 23 NOVEMBRE 2013 à 20h45

ESPACE OSTERMEYER  (16, rue Louise-Michel)
Plein tarif : 21 € – Tarif réduit :15 € (-15 ans)

Pas de réservation possible.

Les billets sont en vente à partir du 23 octobre

Renseignements au 01 39 15 92 10.

Un événement organisé par le Comité des Fêtes, avec le concours de la ville de Houilles.

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Il a été beau le 14 juillet des Argenteuillais en cette année 2013

Tout a commencé à l’Espace Jean Vilar avec un concert gratuit donné par Enrico Macias. En souvenir des années où il a vécu dans cette ville à son arrivée d’Algérie, au 5 rue d’Arras dans la cité du même nom, il a voulu faire ce cadeau aux habitants. Il n’a rien oublié de ces premières années en métropole et des lieux où il a écrit ses premiers succès.

Et les Argenteuillais se sont pressés nombreux pour répondre à l’invitation du chanteur de la Paix et lui prouver une fois de plus tout le bonheur que chacun éprouve à l’accompagner dans chacun de ses refrains.

C’est donc dans une salle comble du parterre au balcon que le chanteur a attaqué la soirée par un petit historique en chanson (Le violon de mon père, Adieu mon pays, Oh guitare guitare) avant d’exprimer au micro tout son plaisir de se retrouver à Argenteuil et d’évoquer tous les souvenirs qui le rattachent à cette ville.

Très inspiré durant cette soirée, Enrico Macias a pleinement exprimé tout son talent réservant à son public un feu d’artifice d’improvisations subtiles et inédites pour chacune de ses chansons. Il a donné la pleine mesure de son talent pour, une fois encore, créer l’osmose entre les spectateurs et effacer les différences au profit de la fraternité et la communion dans la tolérance.

Il était touchant de voir le nombre important de jeunes enfants qui, très tôt dans la soirée, se sont regroupés devant la scène pour voir l’artiste au plus près et qui sont restés attentifs tout au long du concert, subjugués par la voix et la guitare d’Enrico. Le bras tendu haut devant eux, ils ont filmé encore et encore avec leur téléphone portable pour garder longtemps le souvenir de ces beaux moments de fête.

Et ils ont été bientôt rejoints par les femmes toujours nombreuses à venir danser devant la scène à l’invite des rythmes orientaux du chanteur. Il faut souligner l’excellence des musiciens qui accompagnent Enrico Macias dans tous ses concerts : Bruno à la guitare, Abdenour à la mandole, Amar à la derbouka et aux percussions, Serge Haouzi à la batterie, Henri Daguerre à la basse, Kamel Labbaci au violon alto. Thierry Roques n’était pas présent avec son piano à bretelles mais il était remplacé par un non moins excellent accordéoniste Serge.

Les youyous ont fusé pour célébrer l’anniversaire de Amar ce même jour et l’ambiance chaleureuse qui a animé cette soirée a permis à chacun de repartir avec le sourire aux lèvres et la chaleur de l’amitié dans le coeur. Enrico le premier a savouré cette communion exceptionnelle qui existe entre lui et son public et ces moments de Paix retrouvée qui lui font toujours rêver à ses Andalousies.

Malheureusement, la fête maciasienne parait toujours trop courte et il arrive immanquablement le moment de se séparer. Pourtant en ce 13 juillet, les petits groupes d’amis ont pu prolonger ces moments de bonheur en admirant le magnifique feu d’artifice offert par la municipalité d’Argenteuil.
Une belle soirée et de beaux souvenirs à conserver longtemps en mémoire

Merci monsieur le maire d’Argenteuil pour cette organisation parfaite

Merci ENRICO pour ce concert une fois de plus excellent

Merci à tous nos ami(e)s présents avec qui nous partageons si intensément ces moments de plaisir sans cesse renouvelés

 

PS : ENRICO MACIAS EST TOUJOURS A LA RECHERCHE DE SA PREMIERE GUITARE QUI ETAIT TOUTE NOIRE, ET QUI LUI A ETE VOLEE A L EPOQUE DANS LE TRAIN ENTRE PARIS ET ARGENTEUIL
SI VOUS AVEZ UN QUELQCONQUE INDICE A CE SUJET, N HESITEZ PAS A NOUS LAISSER UN MESSAGE

MERCI D AVANCE ET BON ETE

 

2908961_9664c6ee-d86a-11e2-9aa8-00151780182c_545x341Villejuif, hier. L’artiste, Enrico Macias, s’est produit devant les patients pris en charge dans les services de gériatrie. (DR.)

 

Enrico Macias a littéralement « mis le feu », hier, lors de son spectacle à l’hôpital Paul-Brousse de Villejuif (AP-HP). L’artiste s’y est produit gratuitement auprès des personnes âgées, prises en charge dans les services de gériatrie de l’établissement…

 

Article paru le 19 juin 2013 dans le parisien
Si vous avez la totalité de cet article et que vous pouvez nous le faire parvenir, nous nous ferons un plaisir de le mettre en ligne ici
Merci à tous pour votre fidélité

img_0051Pour ses 50 ans de carrière, Enrico Macias s’est surpassé lors des spectacles  qu’il a donné à la salle Wilfrid Pelletier les 1er et 2 juin 2013.

En effet, c’est devant une salle pleine à craquer que l’artiste a donné les deux spectacles.

Enrico Macias a enflammé la salle et des youyous fusaient de partout. Après avoir chanté en solo divers  tubes qui l’ont fait connaitre, il accueille ses invités  qui ont tenu à lui rendre un vibrant hommage et interpréter des  duos avec lui.

Lynda Thalie, a interprêté en duo avec Enrico Macias  les chansons « J’ai quitté mon pays » et « Ya rayah ».

Le programme concocté comprenait les plus anciennes ainsi que les nouvelles chansons de son dernier album.

Enrico, malgré le poids des ans et des épreuves n’a pas failli à sa renommée. Avec ses chansons phares : »J’ai quitté mon pays », « Aux talons de ses souliers » etc.., Enrico Macias a donné un spectacle à la hauteur de sa renommée.

Le public était aux anges et ne voulait pas que le spectacle prenne fin. Les spectateurs scandaient : Une autre, une autre….

Bravo Enrico pour ces beaux spectacles

 

 

 

 

 

 

 

enrico_300Sandra Godin
01-06-2013 | 22h23
Photo Joël Lemay / Agence QMI
MONTRÉAL – Enrico Macias a donné le premier de deux concerts samedi soir à la Place des arts, entourés de ses amis artistes québécois. La légende de 74 ans est venue célébrer cinq décennies d’une riche carrière, ainsi que de belles retrouvailles avec un public qui lui est fidèle depuis sa première visite en 1968.Entouré de sept musiciens, le charismatique chanteur a séduit les spectateurs de la salle Wilfrid-Pelletier, bondée, avec les plus grands succès qui ont marqué sa carrière et notre mémoire collective.

Avec ses chansons qui traitent d’amour et de paix, portées par des rythmes influencés par la culture orientale et andalouse, Enrico Macias est rassembleur. Des jeunes, des plus vieux, et surtout, un public d’une grande diversité ethnique était venu l’applaudir samedi soir, touché par l’ensemble de son œuvre.

Il n’avait même pas une note de poussée que déjà, il recevait une ovation. Enrico Macias a débuté son long tour de chant sur les airs entraînants de la pièce Le violon et Oh guitare, le public ravi chantant avec lui et tapant des mains sans cesse. La fête débutait et l’enthousiasme n’a pas perdu de son intensité au cours de la soirée.

«Quelle ambiance extraordinaire, a-t-il lancé, avec un bonheur évident. Quel beau cadeau vous me faites ce soir. J’aurais le goût de tous vous embrasser!»

Ses amis, son cadeauAutour du concept de son dernier album Venez chez nous mes amis, treize de ses plus grands titres repris en duo avec ses amis pour souligner les 50 ans de son répertoire, Enrico Macias a invité quelques artistes québécois à le rejoindre sur scène.

Ainsi, il a reçu son premier cadeau de la soirée. Lynda Thalie, liée à lui par ses origines algériennes, l’a accompagné pour Adieu mon pays et plus tard, Ya Rayeh. Philippe Berghella et Rita Tabbakh, de Shérazade, ont aussi investi la scène pour chanter avec la légende Pour toutes ces raisons, ainsi que la chanteuse Amélie avec Dis-moi ce qui ne va pas.

Puis, son «pote», le grand acteur français Gérard Darmon, s’était déplacé spécialement pour offrir au public de son ami un beau moment de complicité sur les airs de «Sans voir le jour».

Soirée mémorable

À travers ces duos, figuraient les intemporelles Dansez, Aie, Aie, Juif espagnol, Les gens du nord, Arabe, puis Les filles, sur laquelle la foule s’est levée d’un bond pour danser. Le mendiant et L’oriental avait été gardées pour la fin.

Porté par sa passion inépuisable, se nourrissant de l’énergie de la foule avec qui il est en symbiose, Enrico Macias a livré un spectacle de deux heures sans entracte. Une soirée mémorable durant laquelle il croyait s’offrir un cadeau, mais c’est plutôt à son public qu’il a offert ce grand spectacle en cadeau.

«Mes 50 ans de carrière, je les dois d’abord à vous. Je dois avoir une pensée pour celui qui m’a engagé pour la première fois au Québec, Guy Latraverse», a-t-il dit avant de remercier ses producteurs et les médias québécois.

Après Montréal – où il se produira encore ce dimanche -, ce sont des concerts à New York, Miami et Los Angeles qui attendent Enrico Macias dans les prochains jours.

 

Article paru sur canoe.ca ! http://fr.canoe.ca/divertissement/musique/nouvelles/2013/06/01/20866366-qmi.html

1369904998510_ORIGINALSandra Godin / Agence QMI
Photo Jocelyn Malette / Agence QMI

Gérard Darmon et Enrico Macias de passage à Montréal pour le spectacle d’Enrico à la Place des arts.

 

Enrico Macias soulignera 50 ans de carrière, samedi et dimanche, à la Place des Arts, à l’occasion d’un spectacle qui promet d’être une grande fête.

Certains de ses succès seront interprétés en duo avec ses amis québécois, puis avec son «pote» français, l’acteur Gérard Darmon, débarqué à Montréal spécialement pour lui.

Liés par leurs origines algériennes, les deux légendes s’encensent l’un et l’autre, et entretiennent une complicité évidente.

«Gérard Darmon est connu comme un grand acteur, c’est certain. J’ai vu ses premiers films et je suis tombé en amour avec son authenticité et sa sincérité», a expliqué Enrico Macias dans la suite présidentielle du Hyatt Regency, mercredi, alors qu’il venait à peine de débarquer dans la métropole avec M. Darmon.

«Mais j’ai eu affaire à lui en tant que musicien, pour m’expliquer la mélodie que je devais chanter dans un de ses films, a-t-il poursuivi. Il a une oreille exceptionnelle, il est hyper doué pour la musique. Il faut qu’il aille plus loin que ça.»

Ce n’est pas rien venant de la bouche d’un homme qui comptabilise 50 ans de carrière et 50 millions d’albums vendus. Enrico Macias avait d’ailleurs invité Darmon à chanter «Sans voir le jour» en duo sur son dernier album, «Venez chez nous mes amis».

«Chaque fois qu’il m’invite et que j’en ai l’occasion, je réponds présent. J’ai une fois de plus accepté par amitié et parce que ça me fait plaisir,» a renchéri Gérard Darmon, qui écrit, produit, et joue dans son prochain film, en plus de préparer un quatrième album, réalisé par le fils de Macias.

Ressusciter son répertoire

Lancé à l’hiver dernier, «Venez chez nous mes amis» est «un magnifique cadeau» que lui a fait sa maison de disque et son fils, Jean-Claude Ghrenassia, qui est derrière la création de ses albums depuis plus de 10 ans.

Le chanteur a donné «un souffle nouveau» à ses musiques influencées par la culture orientale et andalouse, avec les Carla Bruni («Les gens du nord»), Corneille («Oranges amères»), Khaled («L’oriental») et plusieurs autres. Ces duos ont été transposés en spectacle, dont il a donné quelques représentations à l’Olympia de Paris.

«Ç’a ressuscité mon répertoire, qui existait toujours, mais ç’a donné une autre vie aux chansons de mes débuts», a dit le récipiendaire d’un prix Victoire d’honneur pour ses 50 ans de carrière, en février dernier.

Ses «amis» québécois

Pour les spectacles des 1er et 2 juin à la Place des Arts, c’est Marie-Élaine Thibert, Rita Tabbakh et Philippe Berghella de «Shérazade», qui ont «immédiatement accepté l’invitation», et Lynda Thalie, à qui il avait confié sa première partie à Paris en 2011, qui auront l’honneur de partager la scène avec lui.

«Ce sera totalement différent de ce qu’on a fait à l’Olympia, a précisé l’artiste de 74 ans. Les artistes québécois ont choisi la chanson qu’ils vont faire avec moi. Le spectacle est conditionné par leur présence.»

New York, Los Angeles et Miami

Après Montréal, c’est Los Angeles, Miami et New York qui attend Enrico Macias.

«Je suis venu à Montréal pour la première fois en même temps que j’allais aux États-Unis en 1968, a-t-il raconté. Quand les gens ont appris que le petit pied-noir de Constantine (sa ville natale) allait au Carnegie Hall à New York, tout le monde s’est moqué de moi. Et pourtant, les tournées là-bas sont régulières depuis ce temps.»

Ensuite, Enrico Macias s’offrira un repos bien mérité, sans pour autant délaisser ce qui le passionne autant. «Ce n’est pas un métier, c’est une passion, une vocation», a-t-il voulu préciser.

«Si je pouvais me rendre à 100 ans de carrière, ce serait génial!», a conclu Macias dans un éclat de rire.

 

Article paru  sur Le Journal de Montréal : http://www.journaldemontreal.com/2013/05/31/enrico-macias-et-gerard-darmon-reunis-a-montreal#.Uai-VoQiIDE.facebook

vieux_port_marseille_soireeLe 21 juin 2013, France 2 s’investit une nouvelle fois pour la Fête de la Musique. Un concert présenté par Daniela Lumbroso, Patrick Sébastien et Aïda Touihri verra une trentaine d’artistes populaires chanter en direct sur le Vieux Port de Marseille, dont Shy’M, Adamo, Enrico Macias, M.Pokora…

Malgré la polémique qui entoure le financement de la soirée, France 2 organisera bien une soirée spéciale Fête de la Musique le vendredi 21 juin 2013 sur le Vieux Port à Marseille. Après Nagui l’an dernier à Carcassonne, c’est un trio d’animateurs de la chaîne composé de Daniela Lumbroso (Chabada), Patrick Sébastien (Le plus grand cabaret du monde) et Aïda Touihri (Grand Public) qui seront chargés d’organiser et de présenter le concert diffusé en prime time sur la chaîne publique.

Le lieu choisi (le Vieux Port de Marseille) est déjà en soit une belle promesse de soirée réussi. Mais au cadre idyllique se joint une affiche de premier plan. En attendant la liste définitive des artistes et groupes qui participeront à cette Fête de la musique 2013 (prochainement communiquée par France 2), on sait déjà par l’intermédiaire de Patrick Sébastien que Salvatore Adamo, Enrico Macias, M. Pokora, Shy’m et Tal se produiront lors de ce concert géant.

Voilà qui donne le ton de cette soirée sur France 2, résolument populaire avec des chanteurs capables de toucher le plus vaste public possible. On ne sait pas en revanche si des rappeurs marseillais comme I AM ou Soprano seront de la partie. Réponse d’ici quelques jours sur Concertlive.fr.

 

 

« C’est toujours avec le même enthousiasme et la même joie que je viens chanter aux Etats-Unis”. L’Amérique, c’est une deuxième terre pour Enrico Macias. Une terre de mélanges dont l’hymne aurait pu être son hit « Enfant de tout pays ».

Pour fêter ses cinquante ans de carrière, quoi de plus naturel que de revenir aux Etats-Unis pour une tournée en trois dates: Los Angeles le 6 juin, Miami le 8 et le Town Hall de New York le 9 juin, où il s’était déjà produit en 2011. Histoire de prendre une petite cure de jouvence. « En France, il y a moins de diversité dans mon public. Aux Etats-Unis il y a eu une évolution nette : aujourd’hui, de plus en plus de jeunes viennent me voir ».

enrico_macias_sipaEnrico Macias et les Etats-Unis, c’est une longue histoire. Elle commence le 17 février 1968, au mythique Carnegie Hall. L’affiche du spectacle, déterrée sur un site de fans, le montre en photo, séducteur, entre les mots “Salut et Shalom…” et “…from the Famous French Singer Enrico Macias“. Quarante-cinq ans plus tard, son style n’a pas pris une ride. « La musique arabo-andalouse est bien perçue, c’est un genre nouveau pour les Américains”, dit-il.

« Adieu mon Pays », « Les Filles de mon pays », « Oranges amères » : sur scène, l’artiste présentera son dernier album « Venez tous mes amis », qui reprend en duos ses plus gros succès. Parmi les duettistes, on retrouve des chanteurs de tout horizon : Liane Foly, Dany Brillant, Gérard Darmon, Sofia Essaïdi et même l’ancienne Première dame Carla Bruni-Sarkozy. Un beau cadeau d’anniversaire de son fils (qui est aussi son producteur) et des duettistes. « Avec les duos, nous avons donné une autre vie aux chansons ».

« Il y a beaucoup de nostalgie dans cet album. Quand on fête 50 ans de carrière, on repense beaucoup à ses débuts. C’est aussi à cause de certaines chansons qui parlent de mon pays perdu », ajoute-t-il.

« J’ai l’intention de mourir sur scène »

Et Enrico Macias, star qui traverse les âges, n’est pas prêt de lâcher le micro. «Ma carrière a eu des hauts et des bas mais je suis très heureux d’être en bonne santé pour pouvoir continuer à chanter. La scène représente toute ma vie. J’ai l’intention de mourir sur scène », plaisante-t-il. Le secret de son succès ? « Je ne m’accroche pas aux modes. Les chanteurs à la mode ne restent pas car quand la mode s’arrête, tout part avec elle ».

Crédit : Sipa Press

Article paru sur French Morning New York : http://frenchmorning.com/ny/2013/05/20/enrico-macias-le-public-americain-correspond-a-mes-chansons/

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=oR8chfbQ8JU[/youtube]

Mickaël Miro a enflammé la Cigale !

 

Mardi 14 mai, Mickaël Miro était en concert à la Cigale ! Ça tombe bien nous aussi ! Staragora vous raconte tout…

Hier soir, Staragora était invité au concert de Mickaël Miro à la Cigale à Paris. On peut dire qu’on a tout de suite était mis dans le bain grâce au talentueux chanteur Brice Conrad. Révélation de l’année 2012, Brice Conrad était en première partie du concert pour chauffer la salle. Le jeune chanteur fait partie de la nouvelle vague pop/rock française. Sa célèbre chanson « Oh la » extrait de son premier album « La nuit bleue« , sorti en mars dernier, a conquis le public de Mickaël Miro venu en masse hier soir.

Si Mickaël Miro est actuellement en tournée dans toute la France, tout ce qu’on peut dire, c’est qu’il sait conquérir son public et mettre l’ambiance. A la fois blagueur, dynamique et modeste, le jeune chanteur, âgé de 34 ans, a chanté des titres de son nouvel et dernier album « Le temps des sourires« ,  des chansons qui nous ont mis sous le charme. De « Ma pétition » aux « filles du premier rang« , Mickaël Miro a tout donné lors de son show ! Sans oublier évidemment l’incontournable single « L’horloge tourne« , extrait de son premier album « Juste comme ça« , qui a valu pour le chanteur accompagné de ses musiciens, une véritable « standing ovation » !

Enrico Macias, invité surprise du concert de Mickaël Miro

Pour ce concert qui affichait « complet », nous sommes allés de surprise en surprise ! Tout d’abord, on a pu découvrir un public hétéroclite et à la fourchette d’âges très large. Dans le public, on a croisé quelques VIP comme Yvan Cassar, le célèbre pianiste de Johnny Hallyday et ancien professeur de chant à la Star Academy, ou encore Julie Zenatti, découverte pour son interprétation du personnage Fleur-de-Lys dans la comédie musicale Notre-Dame de Paris. Mickaël Miro, très généreux avec son public, est passé au milieu de la foule avant de chanter son titre « L’horloge tourne« . Le chanteur, qui aime dialoguer avec son public, nous a expliqué que la petite montgolfière qu’il tenait dans la main était munie d’une caméra et était destinée à filmer les sourires de son public venu l’applaudir ce soir-là.

Les journalistes de Staragora,  Léa et Nazyha,  sont allées à la rencontre de Mickaël Miro lors de son concert à la Cigale !

Au milieu de cette soirée magique, Mickaël Miro nous a fait quelques confidences ! En effet, le chanteur a été bercé pendant son enfance par des titres des  grands noms de la chanson française. Et c’est tout naturellement que le jeune chanteur a voulu nous faire une surprise ! A notre grand étonnement, Enrico Macias, âgé de 74 ans, est entré sur scène pour le plus grand bonheur du public de Mickaël Miro ! C’est ainsi que ce pertinent duo a interprété le fameux tube d’Enrico Macias, « Le mendiant de l’amour » ! Et « Donnez ! Donnez ! Donnez ! Donnez ! Donnez-moi » ça vous dit quelque chose ? Cette chanson reprise en cœur par tout le public a été un moment amusant, au point que Mickaël Miro à droite de la scène et Enrico Macias à gauche fasse un concours de la partie du public qui chantait le plus fort !

Mais « Le mendiant de l’amour » n’est pas la seule reprise extraite du dernier album du jeune chanteur. En effet, lors du rappel, Mickaël Miro, fan incontesté de Jean-Jacques Goldman, est monté sur scène avec Jean-Félix Lalanne pour interpréter la célèbre chanson « Là-bas ». Enfin, pour finir son concert en beauté, Mickaël Miro a transformé la Cigale en boîte de nuit ! Son dernier single « Go go go » a été ponctué par des mix de David Guetta ! Fin de soirée, nous avons pu féliciter le chanteur dans les coulisses : un personnage très sympathique ! Ce qui est sûr, c’est que cette soirée était inoubliable !

Article paru sur le site : http://www.staragora.com/news/mickael-miro-a-enflamme-la-cigale/463533

serge-lama-et-enrico-macias-549x250Dans une interview accordée à l’émission « Signé Mireille Dumas », les chanteurs Enrico Macias et Serge Lama ont raconté à la journaliste, le terrible drame qui les a unit à jamais ! Buzz Médias vous en parle …

C’était le 12 août 1965, il y a maintenant bientôt quarante-huit ans … Serge Lama n’a alors que 22 ans lorsqu’il est victime d’un terrible accident de la route dans lequel le frère d’Enrico Macias, Jean-Claude Ghrenassia, a perdu la vie. Si le chanteur survit à l’accident, il a depuis « eu le droit à 14 opérations » : « Je ne suis pas droit, mon pied gauche est paralysé. Ma jambe droite est tellement fatiguée de porter ma jambe gauche. Mon bassin est en train de se détériorer. (…) Les vieilles douleurs se réveillent et maintenant j’ai mal partout. C’est insupportable, vraiment très dur, » confiait t-il au Parisien en 2011.

« Comment pourrais-je lui en vouloir ? Son frère est mort ! »

Un terrible accident que Serge Lama et Enrico Macias s’apprêtent à évoquer ensemble et pour la première fois, pour la dernière de l’émission « Signé Mireille Dumas » diffusée ce soir en prime-time sur France 3.

« Ce qui m’a surprise, c’est la douleur avec laquelle Macias est revenu sur l’accident survenu lors de la première tournée de Lama, raconte Mireille Dumas. Le frère d’Enrico, qui conduisait la voiture de Serge, s’est tué, Liliane Benelli, l’amour de Serge, pianiste de Barbara, est morte aussi. Et Lama a été gravement blessé. Je pensais que Serge et Enrico s’en étaient reparlé, ce n’était pas le cas. »

« Enrico m’a dit : “J’ai toujours gardé la culpabilité d’être le frère de celui qui a provoqué la mort de son amour et ses graves souffrances physiques.” Quand Serge a vu les images, il m’a dit : “Comment pourrais-je lui en vouloir ? Son frère en est mort.” «

Via: http://www.buzzmedias.net/serge-lama-et-enrico-macias-lies-a-jamais-par-un-drame-personnel-a57199.html#ixzz2TBfCgJJg
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