Enrico Macias – La Vie en chansons
© Ugoprod / Vanglabeke Films
Fin Novembre, nous vous annoncions, en avant première, ce tout nouveau documentaire
En voici l’annonce officielle
Empreintes
Vendredi 18 janvier 2013 à 21.30 – France 5
Collection documentaire
Durée 52’
Réalisation Antoine Casubolo Ferro
Production Ugoprod / Vanglabeke Films, avec la participation de France Télévisions
Année 2012
Durée 52’
Réalisation Antoine Casubolo Ferro
Production Ugoprod / Vanglabeke Films, avec la participation de France Télévisions
Année 2012
Enrico Macias, de son vrai nom Gaston Ghrenassia, avait un nom prédestiné pour la musique. En hébreu et en arabe, son patronyme signifie en effet : « chanteur pour Dieu ». Dès sa plus tendre enfance, il baigne dans cet univers. « C’est comme si j’étais un poisson et que la musique était la mer », explique-t-il. Son père et son futur beau-père jouent le malouf, la musique arabo-andalouse. A l’âge de 7 ans, il apprend tout seul à jouer de la mandoline. « C’était un don chez moi », reconnaît-il. Il joue ensuite de la guitare et chante avec un groupe de gitans. Sa vocation est née. Le succès, le jeune pied-noir de Constantine le connaîtra au moment de l’indépendance de l’Algérie avec Adieu mon pays. Il ne se démentira pas. Aujourd’hui, Enrico Macias fête ses cinquante ans de carrière et 50 millions de disques vendus…
Isabelle Ducrocq
Extraits
« Toute ma vie, j’ai été le pont entre tous les conflits pour essayer de réunir tout le monde. Il ne faut pas oublier que je suis né dans une ville qui s’appelle Constantine. C’était une ville pleine de ponts. Alors je suis un homme de ponts ! »
« La musique, c’est un médicament pour moi. »
« Je veux surtout qu’on dise que je suis le plus grand chanteur de la fête. Parce que ça, c’est le plus grand message. »
« De l’âge de 15 ans à l’âge de 22 ans, je n’ai pas eu de jeunesse. Ma jeunesse s’est passée sous les bombes, sous la violence, sous l’incertitude, l’inquiétude de savoir si on allait rentrer le soir chez nous, la perte d’être chers, la perte d’amis, les grenades qui explosaient à chaque coin de rue de Constantine. »
« Le fait d’avoir été instituteur m’a donné une force inouïe pour emballer les salles. Parce que la pédagogie, ça fait partie de notre métier de chanteur. »
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