Un Oriental sur Les Planches

  • De notre amie et envoyée spéciale Muriel Meimoun.
    Mille mercis pour ce témoignages et ces belles photos

Deauville en janvier… ce n’est pas l’idéal me direz-vous et tout était réuni pour vous donner raison. Le froid, le vent, la pluie….

Mais à Deauville il y a aussi les Planches. Ce lieu mythique que les pas des plus grands du monde ont foulé, est intemporel. Les noms des plus grands stars d’Hollywood, sur les barrières blanches délimitants les cabines, vous font voyager loin dans l’espace et dans le temps.

Mais nous c’est pour une autre star que nous étions là.
Notre star.

Avant de nous retrouver le 15/03 au Dôme de Paris pour le grand show, nous avons eu le bonheur de retrouver Enrico au Casino Barrière. Cette institution Deauvillaise construite en 1912 inspirée par le Grand Trianon du Château de Versailles puis restaurée en 1988 dans un style plus baroque, nous a accueilli avec beaucoup de chaleur pour un concert d’exception. Et je le tiens de la bouche même du directeur « s’il y avait eu une deuxième date, les billets se seraient arrachés » ainsi que « on s’est fait enguirlander je ne sais combien de fois car il n’y avait plus de place à vendre ». Alors inutile de vous dire que les Deauvillais(es) qui ont eu la chance d’être présents étaient très chauds pour faire la fête en ce froid dimanche de janvier.

Enchaînant ses plus grands succès, Enrico leur a offert un moment qui restera gravé dans le fond de leur cœur.

En très grande forme il a tenu son public en haleine tout au long des 90 minutes du concert. Comme à chaque fois l’émotion était à son comble en se remémorant l’exil, l’accent accroché aux talons de leurs souliers, ce morceau de France de leur enfance. Les larmes perlaient aux yeux en rendant hommage au berger qui est tombé. Comme toujours, le public lui a répondu que leur cœur d’attache c’est lui et ils ont fredonné les refrains honorants les gens du Nord et Paris. Puis bien sûr les filles, qu’elles soient à marier ou de son pays ou les deux, se sont levées pour danser en l’honneur de notre oriental préféré. Et que la musique soit orientale, avec ses célèbres chansons tirées du malouf constantinois, ou espagnole, avec en final El prompompero, ou israélienne car évidemment Ose Shalom, naase Shalom, la paix règne dans les salles de concerts où se produit Enrico.

Alors comme un concert c’est bon comme du bon pain, il nous faut en reprendre le plus souvent possible donc je vous donne rendez-vous mercredi 29 à Béthune.

Mais avant, à l’instar d’Enrico, nous n’oublions pas d’applaudir techniciens (Jean-Pierre, Hannah), musiciens (Bruno, Philippe, Amar, Lionel, Kamel et Jean-Claude) et la production (Damien et Michel). Et de les remercier. Sans oublier Enrico bien sûr, car sans lui le monde serait beaucoup moins beau.

3 Comments on “Un Oriental sur Les Planches

  1. Merci muriel tout est dit dans ton rapport ,on ne cesse de répéter qu’il est formidable ,lui ses musiciens et d autres , pour moi c est tjrs un moment de joie de bien être ,que d assister à ses concerts ,je me sent tellement bien quand je suis dans la salle et des qu’il arrive sur scène .bises à tous au plaisir

  2. Vraiment émouvant jusqu aux larmes !
    La fête continue !
    On sera là, le 15 mars, pour une véritable fête de la musique – encore et toujours !
    Merci d exister, Enrico

  3. oui tout est dit, à chaque concert c’est que du Bonheur, on repart des étoiles plein les yeux et avec de magnifiques souvenirs en tête. Merci M. Enrico Macias d’être toujours le même, avec autant d’énergie et de professionnalisme, vous êtes incroyable. Vivement le Dôme de Paris.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.