Une année sous le signe de la francophonie

mondorfDe notre envoyée spéciale à Mondorf, Muriel M

L’année 2016 avait commencé sous le signe de la francophonie avec un concert exceptionnel à Banneux en janvier, où Enrico avait partagé la scène avec 500 choristes.
Puis nos amis québécois ont eu la chance de le voir en juin pour 3 concerts. Là il était accompagné de Liane Foly, Gérard Darmon et de son petit-fils Symon.
Il y a 2 jours, nous retrouvions Enrico en Suisse pour un merveilleux concert dans une ville mythique. Une nouvelle fois cette année et pour notre plus grand bonheur, Symon l’a accompagné le temps d’une chanson.

Pour clôturer 2016, ce sont nos voisins luxembourgeois, et plus précisément les habitants de Mondorf-les-Bains, célèbre station thermale (testée et approuvée), qui ont eu la chance de (re)découvrir le merveilleux répertoire de notre chanteur préféré.
La journée avait bien débuté avec un soleil radieux malgré une température glaciale. Puis le ciel s’est couvert. Mais un soleil resplendissant de bonne humeur et d’envie de faire la fête est apparu sur la scène du Casino2000 dès 20h40 et pour 1h30 de chansons et de rire.
Aïe, aïe, aïe !
  Comme on l’aime Enrico ! Celui qui nous demande de pincer les fesses de notre voisin, celui qui nous chante mon cœur d’attache en anglais avec son accent ensoleillé, celui qui taquine ses musiciens. Ces mêmes musiciens qu’il n’oublie jamais de présenter car sans eux, il serait seul avec sa guitare. Merci à Thierry, Bruno, Abdenour, Amar, Kamel, Serge et Karim. Le public lui était acquis ce 24 novembre, mais il est tout de même tombé sous son charme. Impossible de compter le nombre de femmes et d’hommes, debout devant la scène lors du final à lui crier leur amour, voulant toucher sa main, croiser son regard, capter son attention. Une fois les projecteurs éteints et Enrico parti, eux restaient là, à s’émerveiller du moment magique qu’ils venaient de vivre, ne voulant pas rentrer chez eux.

De « Koum tara » à « El porompompero », en passant par les chansons nostalgiques telles que « Adieu mon pays », « Le voyage », « Aux talons de ses souliers » et le medley arabo-andalou, Mondorf l’a pris dans ses bras ce soir. Ils se sont tous sentis des millionnaires du dimanche, ce jeudi, et ils ont accosté à son cœur d’attache. Quelles étaient jolies les filles de son pays….ou pas. Nous étions dans l’est mais tant « Les gens du Nord » que « Solenzara » ont été repris par le chaleureux public luxembourgeois. « Le mendiant de l’amour » a rencontré un franc succès. Aïe, aïe, aïe, comme il l’aime son public qu’il a applaudit accompagné par ses musiciens.

Puis les hommages , d’abord celui à Suzy avec « Pour toutes ces raisons, je t’aime », celui qu’il rend à « papa Sylvain » depuis bientôt 40 ans avec « Le violon de mon père » et celui qu’il a écrit pour le président Sadate, mais qu’il faut malheureusement dédier à de plus en plus de martyrs, célèbres ou anonymes, « Un berger vient de tomber ».

Et bien sûr l’apothéose finale avec l’Oriental, où il inclut Osé Shalom. Oui nous ferons la paix. Il y croit dur comme fer Enrico. Nous voulons y croire avec lui.

A la grâce de Dieu !

 

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