» Le miracle Enrico Macias » est pour moi cette capacité et ce pouvoir que possède cet homme (avant d’être un artiste) de rassembler en un même lieu et dans une même communion les individus de toutes communautés.

Ce « miracle Enrico Macias », je le vis tous les jours à travers ce blog et ce site, et tout particulièrement ces jours ci. Je veux vous dire combien il me fait chaud au coeur de trouver sur mon mail ou sur ce blog des messages d’ami(e)s français mais aussi hongrois, américains, canadiens qui me signalent au travers d’un lien un article ou une vidéo que je n’aurais pas encore trouvé.
Merci à Kataline, Sandra, Varta, Hélène, Claudius, Philippe et tous les autres que j’aurais pu oublier. Vous avez la générosité du coeur, la générosité « maciasienne » qui vous donne le plaisir de partager avec les autres vos connaissances et vos découvertes.

Je vous remercie de votre présence
Bon week end à vous

Photo Maxime Picard – Imacom
Steve Bergeron – La tribune
Même si Monsieur Macias, à presque 71 ans, a maintenant le vibrato moins leste et le pas plus calculé, il a toujours en lui cette flamme inextinguible, ce sens de la fête qui le rend si proche, même si on a envie de le saluer bien bas pour un tel parcours de vie.
«Il y a longtemps que je n’étais pas venu chanter dans la région. Je garde de bons souvenirs de Sherbrooke», a-t-il assuré. Plus tard, la dernière ligne de Paris tu m’a pris dans tes bras deviendra Cheurbrwooke, je suis ben dans tes bras. «Vous êtes ben cute!» ajoute-t-il dans le délire total.
Après quinze petites minutes de retard, la prestation a commencé lentement. Il faut dire que Gaston Ghrenassia avait réservé pour le début ses chansons où le texte se goûte à la syllabe près. Il a bénéficié d’une assistance d’une grande qualité d’écoute.
Dès la troisième chanson, les six musiciens se retrouvaient dans la pénombre, pendant que la vedette du jour empoignait sa guitare, démontrant encore l’adresse de gitan dont il est encore capable sur sa six-cordes.
Mais c’est avec Noël à Jérusalem que l’Algérien a mis le feu dans la salle. Jusqu’alors timides, les interventions des spectateurs sont devenues assurées et gaillardes, qu’il s’agisse de faire les lalala, les poï poï poï ou les aïe aïe aïe. Une chanson en espagnol, La casa del sol, avivait les braises, pendant que Dis-moi ce qui ne va pas transformait le Granada en choeur volontaire.Tous les détails dans La Tribune de vendredi…

Vous êtes tous la ?????????????

Mais oui,
Vous êtes fidèles, comme notre artiste

Alors facile pour ce soir …….

Des fois, la facilité provoque le relachement de l’attention et pousse à la faute…. C’est bien connu en sport.
C’est malheureusement, ce qui est arrivé à certains d’entre vous. Je vous rappelle que le jeu comprend deux questions : Quel est le titre de l’album et quelle année il est sorti ?? Désolée mais un arbitre se doit d’être impartial …

La bonne réponse était donc « La fête à l’Olympia » (olympia de 1995) sorti en 1996

Points :
Claudius : 35 pts
Philippe : 32 pts
Varta : 18 pts
Kataline : 14 pts
l’amie fidèle 9 pts
Sandra : 2 pts
Denise : 1 pt

Bienvenue à Denise qui nous rejoint sur ce jeu.