INTERVIEW ENRICO MACIAS AU PASINO DE LA GRANDE MOTTE
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VIDEO TV SUD
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Ce n’est pas la première fois qu’Enrico Macias chante dans une salle portant son nom. Il en existait déjà 4 à travers la France mais hier, c’est la salle du Pasino de la Grande Motte qu’il inaugurait.
En présence de la presse, entouré de la chaleur toute familiale de ses fans, accompagné de monsieur le maire de la Grande Motte, Stéphan Rossignol, Enrico Macias s’est dit très ému et honoré de pouvoir ainsi laisser son nom à la postérité. Et c’ est un sourire radieux qui illuminait son visage lorsque monsieur le maire a coupé le ruban rouge avant de le lui remettre. Une cérémonie empreinte de simplicité et du soleil de l’amitié, l’image même d’Enrico.
Le temps de laisser l’artiste se préparer et la salle a enfin ouvert ses portes pour laisser entrer par petits groupes, amis et familles, venus retrouver l’ambiance qu’ils affectionnent tout particulièrement.
Et malgré la pluie diluvienne, le froid et la grisaille qui sévissaient dehors, c’est toute la chaleur de la méditerranée qui a réchauffé La Grande Motte hier soir.
Tel un rayon de soleil, une fois les musiciens installés et l’intro musicale entonnée, l’entrée d’Enrico Macias a illuminé la scène et déclenché une clameur et les premiers youyous.
Rappelant qu’il était en passe de fêter ses 51 ans de carrière, Enrico a commencé son tour de chant en retraçant les grandes lignes de sa vie en chansons : d’abord le violon de son père qui l’a bercé dès sa venue au monde et sa guitare qui l’a accompagné dès sa jeunesse. Puis ce fut « Adieu mon pays » avant que Paris le prenne dans ses bras.
Ces grandes étapes d’une vie riche en épreuves mais aussi en joies posées, la fête peut commencer.
Vous les femmes, Quand les femmes dansent, Un berger vient de tomber, le grand pardon, Adio Kerida, les filles de mon pays ……….. les succès se sont enchainés et l’ambiance montait d’un cran à chaque nouveau refrain.
Il est toujours surprenant où que l’on soit en France ou dans le monde de voir partout le public faire une telle fête à cet artiste et réagir partout avec le même entrain aux sons si particuliers de la voix et de la guitare de leur chanteur préféré. Quelle magie anime donc cet homme et sa lampe d’Aladin ? Et les vigiles ont beau essayer de faire écran pendant un temps devant la scène, il arrive toujours un moment où ils se trouvent débordés. Les premières notes des succès de la musique arabo andalouses sont en général l’ultime signal annonçant la fête au pied de la scène et le temps de danser et chanter avec Enrico et tous ses musiciens.
Hier soir n’a pas fait exception et Enrico a véritablement mis le feu au Pasino de la Grande Motte, mettant au coeur de tous les spectateurs le soleil et la chaleur qu’ils n’avaient pas dehors, un Enrico en très grande forme qui a emporté ses musiciens dans un rythme endiablé jusqu’aux dernières notes de la soirée.
Un beau spectacle, un public merveilleux et un artiste toujours aussi rayonnant et chaleureux
Merci Enrico, merci à tous ses musiciens et merci au Pasino de La Grande Motte pour nous avoir offert un tel moment de bonheur
MM. Rossignol et Macias inaugurent la salle. (J. N. )
La cinquième salle Enrico-Macias a été inaugurée au Pasino !
Et de cinq ! Enrico Macias a inauguré samedi en début de soirée à La Grande-Motte la cinquième salle de spectacles portant son nom au coeur des Pasinos du Groupe Partouche. Accompagné du maire Stéphan Rossignol, le chanteur populaire, fort de 51 ans de carrière, a dévoilé la plaque et coupé le ruban, lors d’un moment de convivialité.
A chaque Pasino, sa salle Macias !
La pluie s’est arrêtée
Ce discours ne pouvait que plaire à Stéphan Rossignol, maire UMP de la cité balnéaire : « Il a toujours soutenu Nicolas Sarkozy, dans les bons et les mauvais moments. Pour Enrico, l’amitié n’est pas un vain mot. » Restait alors à Enrico Macias a monté sur scène : « Dès que je vais commencer à chanter, il ne pleuvra plus », plaisantait-il. Et soudain, la pluie s’est arrêtée de tomber…
La Grande-Motte. De même que Depardieu ne saurait être résumé à ses récentes frasques, il serait dommage de ne retenir d’Enrico Macias que l’enthousiasme de ses convictions politiques (‘Ah c’qu’elles sont jolies les filles de Sarkozy !’, un soir de victoire place de la Concorde ou plus récemment à nos confrères du Parisien : ‘Sarkozy reviendra et sauvera la France’). Ses idées ne concernent que lui quand son répertoire… nous touche, tous ! Immense vedette internationale depuis le milieu des années 60, Enrico Macias s’était un peu laissé aller à la facilité de la variété dans les années 80 et 90, mais grâce aux conseils de son fils, il a renoué avec les cimes artistiques (et avec la musique arabo-andalouse). Oranges amères (2003), La Vie populaire (2006) et Voyage d’une mélodie (2011) sont des albums très sincèrement magnifiques, remarquablement joués et enjoués, et chantés avec un enthousiasme pour le coup irrésistible ! Pour fêter ses cinquante ans de carrière, il vient de publier ‘Venez tous les amis’, un disque de duos anodin, mais on lui pardonne (allez, tout !) et on court l’applaudir ! Samedi 6 avril, 20h30, au Pasino. Tarifs : de 39€ à 43€. T. 04 67 56 46 46.
Article paru sur « L’indépendant » : http://www.lindependant.fr/2013/04/05/sacre-enrico-macias,1742673.php