Enrico Macias à Châlons en Champagne – Crédit photo KDI Souidi

De notre envoyé spécial à Châlons : Kdi Souidi

6 ans après, Enrico était de retour ce 12 septembre 2022 à Châlons en Champagne accompagné par l’orchestre Al orchestra avec Bruno Bongarçon à la guitare électrique, Abdennour Djemai à la guitare acoustique, Jean-Claude Ghrenassia à la guitare basse, Amar Mohali aux percussions, Serge Haouzi à la batterie, Lionel Teboul aux claviers et Kamel Labbaci au violon qui apparaît en seconde partie du spectacle. Il y a aussi Jean Pierre Boyer dont je dirais qu’il est le musicien du son des spectacles d’Enrico.

Lorsque je vois les musiciens s’installer, je remarque leur tenue vestimentaire blanche et je note ce premier changement. D’habitude, je les vois habillés en noir. Une remarquable première partie est animée par un accordéoniste accompagné de trois autres musiciens qui rendent un hommage à Yvette Horner et à André Verschueren qui aurait eu 100 ans cette année.


Enfin, le spectacle commence. Dès les premières notes jouées, on reconnaît « il est comme le Soleil »
Puis Enrico nous dit qu’en rentrant d’Algérie il a emmené une guitare avec lui et chante « oh guitare ». Un petit solo et Enrico enchaîne avec Oranges amères. Du rythme avec « aux talons de ses souliers ». Puis l’incontournable « Adieu mon pays », pays auquel il est resté fidèle et il enchaine sur « le voyage ». Puis vient « non je n’ai pas oublié » et s’ensuit « la femme de mon ami », « Solenzara », « les millionnaires du dimanche », « mon cœur d ‘attache », et « Paris, donc Châlons tu m’as pris dans tes bras ». Viennent alors « les gens du Nord » et « les enfants de tous pays ».
Enrico reprend sa guitare pour une jolie intro et chante « Pour toutes ces raisons je t’aime », cette magnifique chanson en hommage à Suzy, son épouse.
Puis arrive « une fille à marier » avec quelques youyous dans le public et « les filles de mon pays » qui sont toujours aussi jolies. Puis Kamel entre en scène et entame un classique, « Le violon de mon père « . S’ensuit un festival de rythmes et de musique arabo-andalouse : « Habibi », « Bin el bareh ouel lioum », « Belarej », « Andaloucia », et « Ya rayah ». « Le mendiant de l’amour » nous enchante avec en finale « L’oriental » et « porompompero ».

Bravo Enrico et Merci

Et Merci Kdi pour ce compte rendu

Les nouvelles sorties sont rares, alors il faut les mettre à l’honneur, surtout quand il s’agit de pépites qui risquent fort de vous mettre en état d’euphorie.
Si tous ces extraits choisis sont déjà connus par un certain nombre d’entre vous, je pense que beaucoup vont y faire de merveilleuses découvertes.
A consommer sans modération, ce n’est pas dangereux pour la santé …..
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Il ne vous reste plus, après commande et réception, qu’à savourer

EXILS est un podcast créé par Laurie Darmon dont chaque épisode est consacré à une personnalité qui raconte l’exil qu’elle a vécu ou que sa famille a vécu, et comment les origines plurielles qui en découlent influencent sa façon de mener sa vie.

Qu’ils viennent d’Orient, d’Afrique du Nord ou d’autres régions du monde, Laurie Darmon donne la parole à ceux qui ont grandi ailleurs, ainsi qu’à leurs enfants ou leurs petits-enfants, afin qu’ils déroulent le long fil qui s’insinue partout, les amours, les voyages, les plaisirs, les chagrins, et rassemble tous ceux qui se vivront toujours exilés de quelque part, nomades, entre deux rives. 

C’est en partant de l’exil vécu par sa grand-mère maternelle venue d’Egypte que Laurie Darmon a écrit et composé sa chanson « L’exil », fil rouge musical de ce podcast.

Dans ce 11ème épisode, Laurie Darmon reçoit Enrico Macias qui se confie sur ses origines et raconte comment celles-ci influencent sa façon de mener sa vie. Elle a également convié son petit-fils Symon à se joindre à l’entretien.

Je vous conseille d’aller écouter les autres épisodes de cette excellente émission avec entre autres invités Gad Elmaleh, Ibrahim Maalouf, Benjamin Stora et bien d’autres

Pour fêter ses 60 ans de carrière avec tous les Dubaïotes, Enrico Macias sera de retour sur la magnifique scène de l’opéra de Dubaï le

12 NOVEMBRE 2022

Enrico Macias et son orchestre enchanteront le public de Dubaï avec une interprétation émouvante de ses meilleurs classiques le 12 novembre à l’Opéra de Dubaï.

Né le 11 décembre 1938 dans une famille de musiciens à Constantine, en Algérie, Enrico Macias est un génie créatif et une légende internationale de la musique depuis 1962, avec un catalogue de chansons massif.

Célèbre Français chanteur et compositeur, Enrico chante également en italien, espagnol, turc, grec, anglais et arménien. Il a reçu un disque d’or pour « Mélisa » en 1976 et en 1980, il a été surnommé « Le chanteur de la paix » par le Secrétaire général de l’ONU Kurt Waldheim après avoir fait don des recettes de « Malheur à celui qui blesse un enfant » à l’UNICEF. Il a également été nommé « Ambassadeur itinérant pour la paix et la défense des enfants » en 1997.

Après deux représentations à guichets fermés en 2021, Macias retrouvera ses fans à Dubaï à l’Opéra de Dubaï le 12 novembre 2022 pour interpréter ses mélodies émouvantes telles que Adieu Mon PaysLes Filles de Mon Pays, L’OrientEntre l’Orient et l’Occident, et bien d’autres.

Une performance vraiment magique à ne pas manquer !

Vous pouvez dès à présent réserver votre place en cliquant sur le bouton ci dessous

Après Tel Aviv, la tournée israélienne d’Enrico Macias s’est poursuivie à Yavné Samedi 7 mai, Ashkélon Lundi 9 mai, Kiryat Motzkin mercredi 11 mai et Dimona jeudi 12 mai.

Et partout, nous avons pu vivre et partager la fête dans une même salle comble avec un public connaissant le répertoire d’Enrico sur le bout des doigts et lui vouant un amour inconditionnel.

Partout, ce même lien invisible mais si tangible entre le chanteur et son public qui transcende l’un comme les autres. Que dire de plus que nous ne vous ayons déjà décrit à maintes reprises, ce grand atout qui s’ajoute au talent et au travail et qui constitue la magie maciasienne.

Chaque fois, où que nous soyons, nous avons ce sentiment de faire partie d’une même grande famille de cœur animée par une même passion pour un artiste unique qui a su bâtir un pont d’amour et de fraternité entre l’orient et l’occident aux sons de sa voix et de sa guitare incomparables.

Et immanquablement, à chaque fin de concert, cette ovation d’un public massé devant la scène qui tend une main dans l’espoir de toucher l’artiste, un bouquet de fleurs pour le remercier de tant de bonheur, qui applaudit à tout rompre en scandant « Enrico, Enrico, Enrico, …………. !!!!!! »

Video @Zemach productions


C’est vraiment très touchant et on ne s’en lasse pas.
Combien de personnes dans la salle avons-nous pu voir durant ces 5 jours, appeler un ami, un enfant, pendant le concert et lui dire avec fierté je suis juste devant Enrico Macias. Enfin, je vis le bonheur de le voir sur scène.

Vraiment Enrico merci pour tout ce bonheur donné avec générosité et sans compter. Merci pour ces moments inoubliables que chacun gardera au fond de son cœur pour longtemps.

Sur cette tournée, nous avons pu, outre notre chanteur préféré, apprécier la prestation de Symon, le petit fils d’Enrico qui nous a offert une belle interprétation de « la femme de mon ami » et l’une de ses créations personnelles « Paris ». Outre une très belle voix, Symon a de qui tenir et sais déjà occuper la scène et créer ce lien indispensable avec le public. Nul doute qu’il ira loin.

Nous avons pu apprécier aussi la Zingarella israélienne, Mia, qui, en danseuse accomplie a su séduire notre chanteur et nous a offert une performance de très grande qualité.

Zingarella interprétée de manière flamboyante par Mia

Shelly, 17 ans, qui a repris « Lou Yehi – Let’s it be » nous a éblouis par sa voix cristalline et sa grande maturité d’interprétation.

Il faut mettre en avant également l’excellence des musiciens qui accompagnent Enrico, que ce soit les musiciens israéliens de l’orchestre symphonette de Raanana dirigés par David Sebba, comme les musiciens habituels d’Enrico (Bruno Bongarçon, Philippe Hervouët, Jean Claude Ghrenassia, Amar Mohali, Serge Haouzi, Kamel Labbaci, Lionel Teboul).
Merci à eux tous pour leur talent, leur professionnalisme mais aussi leur grande complicité avec Enrico qu’ils entourent de toute leur attention pour l’accompagner au plus près de ses improvisations.

Merci aux techniciens, notamment Jean Pierre Boyer, ingénieur du son, et Jeff Freeman qui nous offre de splendides jeux de lumière.

Nous devons enfin remercier avec beaucoup de chaleur Yoav Zemach, le producteur israélien qui organise chacune des tournées d’Enrico avec beaucoup de professionnalisme et d’attention pour notre chanteur.



Liste des chansons

Il est comme le soleil
Mélisa
Oranges amères
Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
Medley (Non je n’ai pas oublié, Solenzara, Les millionnaires du dimanche, mon cœur d’attache, Parsi tu m’as pris dans tes bras)

Symon : La femme de mon ami
               Paris

L’amour c’est pour rien
Aie, aie, aie je l’aime
Zingarella
Pour toutes ces raison, je t’aime
Une fille à marier
Shelly : Lou Yehi – Let’s it be

Les filles de mon pays
Mon chanteur préféré
Chabehi
Le violon de mon père
Medley oriental (Bine El Bareh ou el youm, Billah ya hamami, Habibi, Ya Rayah)
Le mendiant de l’amour
L’oriental
Porompompero
Enfants de tous pays

EXCLUSIF A YAVNE. Vous n’allez pas nous croire, mais c’est vrai. Hier soir, c’était de la folie à Yavné. Même les vieux et jeunes malades sur chaises roulantes ont dansé!

Presque personne ne connait Yavné en France. Les israéliens ne peuvent pas ne pas connaître cette petite ville. Omri Casspi, NBA – un joueur professionnel de basketball- est toujours le héros de la ville.

Yavné possède trois symboles pour ses armoiries : un livre symbolisant la relation de la ville avec le Tanakh et la tradition juive, l’arc-en-ciel symbolisant l’espérance, et le tombeau du rabban Gamaliel de Yavné symbolisant la mémoire retrouvée de la ville. Après la destruction du second Temple de Jérusalem par les Romains en l’an 70Yohanan ben Zakkaï obtint de Rome que le Sanhédrin soit déplacé à Yavné. Plusieurs yeshivot se développèrent dans la ville, connues comme l’« école de Yavné ». On voit là l’origine du judaïsme rabbinique

Hier soir nous avons assisté au concert d’Enrico Macias dans cette petite ville merveilleuse qui est jumelée avec Le Raincy (France) depuis 2006.

PERSONNAGE. Un succès ENORME! Un amphithéâtre confortable et moderne (avec un parking géant) en plein air, plein à craquer. Le concert a démarré à 21h30. Fin de scène avec mini-feux d’artifice au bord de la scène à 23 heures précises.

Un chanteur qui chante avec élégance, avec chaleur, sans prompteur. Un Enrico authentique et merveilleux. Rien à voir avec les chanteurs mielleux et sans voix. Enrico Macias est un personnage… historique. Le jour de son grand départ, dans 20 ans, il faudra réserver la Synagogue de la Victoire (Paris). Tant de gens l’aiment!

En , Enrico Macias a donné un concert à Casablanca malgré les protestations de pro-Palestiniens. Les algériens pleurent de ne pas le voir sur scène. Même le terroriste Bin Laden adorait ses chansons. (C’est sérieux!)

YAVNE. Enrico était accompagné de son orchestre de musiques arabo-andalouse et de 20 musiciens de l’Orchestre de Raanana, dirigés par Dudi Zeba. Un orchestre de très grande qualité. A la fin du spectacle des centaines d’israéliens se sont approchés de la scène et ont dansé. Des cris de youyous. Des jeunes et des vieux ensemble. Il faut le voir pour le croire. Même Charles Aznavour, adulé en Israël, n’avait pas fait mieux!

Enrico Macias a repris les plus belles chansons de son répertoire. La chanson « Cinderella » a été interprétée de manière magistrale. Enrico Macias parle (un peu!) l’hébreu et l’Anglais avec un accent inimitable. Style Maurice Chevalier juif. Et les israéliens ont adoré. Le meilleur : lorsqu’il a dit « vous êtes le meilleur public au monde », tout le monde l’a cru! Sacré Enrico!

VOUS POUVEZ VOIR DES EXTRAITS DU SPECTACLE SUR L’INSTAGRAM « Israelvalleynews ». Si vous n’avez pas instagram… c’est bien dommage! Sur YouTube ses tubes font un carton.

Article d’israelvalley.com

Sept mois après la tournée triomphale de l’automne 2021, Enrico Macias était de retour sur la scène du Heichal Hatarbout à Tel Aviv, ce vendredi 6 mai 2022, pour fêter Yom Haatsmaout avec tous les Israéliens.

La très belle salle, toute de bois revêtue, de l’auditorium Charles Bronfman, était pleine à craquer lorsque, progressivement les lumières se sont éteintes pour annoncer le début de la fête.

Dans la pénombre, comme un ballet bien chorégraphié, les 17 musiciens, 3 choristes et le chef d’orchestre entrent en scène pour gagner leur place respective. Une fois installés, tous les regards se tournent vers le batteur qui « donne le la » de 4 coups de baguette et c’est l’intro flamboyante d’ « Il est comme le soleil » qui envahit l’espace et pose le décor en quelques notes.

Puis, sur la droite, apparait une silhouette qui déchaine instantanément les applaudissements

Debout dans la lumière, tout habillé de blanc, Enrico Macias salue son public qui lui répond par une ovation.

A l’image de l’astre solaire, Enrico enflammme le Heichal Hatarbout en quelques secondes et la fête va durer ainsi deux heures durant.

Mélisa, Oranges amères, Zingarella, Une fille à marier et bien d’autres encore. Enrico nous a offert tous ses plus grands succès, faisant reprendre tous ses refrains par un public en liesse, répondant sans retenue à toutes les invites de l’artiste.

De belles surprises ont pimenté le spectacle.

Tout d’abord, c’est Symon, le petit fils d’Enrico qui nous a fait le plaisir d’interpréter un standard de son grand père, « La femme de mon ami », et l’un de ses propres titres « Paris ». A bientôt 29 ans, Symon a acquis une belle maturité artistique et tant sur « la femme de mon ami » que sur « Paris », a ravi le public qui lui a réservé de chaleureux applaudissements.

Symon

Mia, nièce de Yoav Zemach, producteur des concerts, a incarné une magnifique Zingarella et accompagné Enrico dans une magnifique chorégraphie, pour le plus grand plaisir de la salle.

Elle n’a pas encore 17 ans. Shelly, également nièce de Yoav Zemach, a interprété avec un réel brio « Lou Yehi – Let’s it be ».

Shelly

Et bien sur, pas de spectacle d’Enrico Macias sans musique arabo andalouse et orientale, moment de partage et de liesse dans la salle comme sur scène. Sans aucune surprise le concert, s’est terminé debout devant la scène pour danser sur Ya Rayah, le mendiant de l’amour et l’oriental.

Les fuegos ont parfait la magnificence du moment laissant dans les yeux de chacun des étoiles qui vont briller longtemps dans la nuit.

A 83 ans, et pour ses 60 ans de carrière, Enrico Macias nous a encore une fois fait la démonstration de son fabuleux talent, de sa générosité et de son amour inextinguible pour la musique et son public.

Après cette soirée mémorable, rendez-vous demain à Yavné pour une autre soirée qui sera assurément aussi réussie.

Liste des chansons

Il est comme le soleil
Mélisa
Oranges amères
Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
Medley (Non je n’ai pas oublié, Solenzara, Les millionnaires du dimanche, mon cœur d’attache, Parsi tu m’as pris dans tes bras)

Symon : La femme de mon ami
               Paris

L’amour c’est pour rien
Aie, aie, aie je l’aime
Zingarella
Pour toutes ces raison, je t’aime
Une fille à marier
Shelly : Lou Yehi – Let’s it be

Les filles de mon pays
Mon chanteur préféré
Chabehi
Le violon de mon père
Medley oriental (Bine El Bareh ou el youm, Billah ya hamami, Habibi, Ya Rayah)
Le mendiant de l’amour
L’oriental
Porompompero
Enfants de tous pays

Nous sommes le 8 décembre 1961 et Gaston Ghrenassia, qui n’est pas encore connu avec son nom d’artiste Enrico Macias, interprète « J’ai quitté mon pays » dans l’émission « Rendez-vous à Paris ».
Jacques Bedos, producteur et présentateur de l’émission, le présente et explique à sa consœur Caroline Clerc comment il a rencontré le chanteur.
© Bernard Pascucci / Ina