Cette silhouette vous dit quelque chose ????

Mais oui, mais c’est bien sur …….

A vous mes amis …………………..

Pas de doute, vous ne vous y êtes pas trompés

Il s’agit bien de

PINO LATTUCA

Toujours au coude à coude, Philippe et Claudius ont donné leur réponse à 1 mn d’intervalle. Mais Kataline veut gagner cette fois ci. Alors, elle est la à l’heure …..

Total des points :
Kataline : 4 pts
Philippe : 2 pts
Denise : 2 pts
Varta : 2 pts
Claudius : 1 pt
Sandra : 1 pt
Hélène : 1 pt

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=qGxyMOqd5dk&feature=player_embedded[/youtube]

Tout le monde se souvient de la chanson d’Enrico « On s’embrasse et on oublie ».
Cette chanson adaptée en turc « Hosgor sen » est un grand tube d’Adja Pekkan et l’on se souvient du duo Enrico Macias/Ajda Pekkan lors de l’Olympia de 1976.
Eh bien en voici une nouvelle interprétation par une autre artiste turque : Seren Akiska

En ce 9 avril

Voici notre première proposition
Aujourd’hui, on démarre doucement
Vous devez trouver facilement
Mais, ne vous réjouissez pas trop vite
Ce ne sera pas toujours aussi aisé
Bon week end à tous et à Dimanche soir

Comment s’appelle ce musicien qui a joué ou joue pour accompagner Enrico Macias ?
Eh oui, facile mais il pouvait y avoir confusion ……………………………

C’est bien le très sympathique Thierry Roques qui figure ici sur le dessin.

Je vois que tous nos fidèles sont présents. Merci à vous

Total des points :

Kataline : 2 pts
Philippe : 1 pt
Varta : 1 pt
Denise : 1 pt (Mille excuses Denise. ta réponse est bien arrivée dans les temps. C’est moi qui ai fait l’oubli)

Ils dit d’eux « C’est ma seconde famille ». Par ces mots, Enrico Macias désigne ses musiciens qui sillonnent avec lui les routes du monde pour l’accompagner dans ses tournées nationales et internationales. La carrière d’Enrico étant exceptionnellement longue puisqu’elle devrait bientôt atteindre les 50 ans, les musiciens qui ont eu le privilège et le plaisir de l’accompagner sont nombreux mais tous, en leur temps, ont été des fidèles de notre artiste.

C’est à eux que nous voulons rendre hommage en vous proposant ce nouveau jeu. Nous vous proposerons des négatifs ou dessins au fusain. A vous de reconnaitre le musicien qui, à un moment ou un autre de la carrière d’Enrico, l’a accompagné sur les planches que ce soit au son de sa guitare, son piano, son violon, sa derbouka, etc…..

Rappel des règles du jeu :

48 heures pour répondre à chaque question du jeu.

Le premier à donner la bonne réponse gagne 2 points (n’oubliez donc pas de signer vos messages pour que nous puissions attribuer justement ces points)

Toutes les bonnes réponses suivantes données dans le temps imparti rapportent 1 point

Le gagnant du jeu est celui qui a le plus grand total de points.

Alors qui va être notre gagnant cette fois ???? Réponse dans quelques temps …

DEBUT DE NOTRE JEU : vendredi 9 avril 2010 ‘aux alentours de 18 heures

A demain !!!!!

20:35 – Magazine musical
Chabada
■Réalisateur : Philippe Crnogorac

Souvenirs, souvenirs… Il y a cinquante ans les français découvraient avec enthousiasme la toute première émission de variétés à la télévision. Une petite révolution initiée par le couple Maritie et Gilbert Carpentier. Aujourd’hui, Daniela Lumbroso leur rend hommage et s’entoure d’ artistes, dont certains ont fait leurs armes dans « Top à » ou « Numéro un », tels que Enrico Macias, Eddy Mitchell, Chantal Goya et bien d’autres… La formule « Maritie et Gilbert Carpentier présentent… » reprend du service le temps d’une soirée.

Jane Birkin : « Ils nous laissaient, à Serge et à moi, carte blanche, à chaque « spéciale » qui nous était consacrée. Nous étions totalement libres de choisir les chanteurs et les acteurs que nous souhaitions inviter. Idem avec les décors comme avec les costumes. Je me souviens encore d’une robe signée Yves Saint Laurent, sublimissime, que j’ai portée pour un Numéro un à Jane. Nous n’avons jamais retrouvé une telle liberté.
Maritie et Gilbert aimaient Serge. Ils avaient compris sa classe et son génie, mais aussi sa générosité ».

Jane Manson : « Homme et femme de talent, les Carpentier adoraient les comédies musicales américaines et anglaises. Tous leurs shows s’en inspiraient. Mais ils tenaient à les réinventer pour les artistes qu’ils recevaient. Avec Jo Dassin, par exemple, nous aimions par-dessus tout être l’un des invités de leurs émissions. Il faut dire que les décors et les costumes étaient magnifiques car la plupart du temps dessinés de main de maître par Michel Fresnay. Maritie et Gilbert ont offert du rêve et un tremplin fantastique à de nombreux jeunes artistes, comme moi, qui débutaient en France. Le summum, après quelques années de carrière, était d’être la vedette d’un de leur « Numéro un ». Cela parait aujourd’hui inimaginable mais à l’époque, ce programme était suivi, chaque samedi soir, par plus de 90 % des téléspectateurs… »

(Propos recueillis par Béatrice Dupas)

Propos recueillis par Magali Vogel 04/04/10 à 17h51

L’enfant de tous pays n’a pas oublié les bons moments passés chez les Carpentier. Comme pour lui, quand on aime on ne compte pas, il ne s’est jamais lassé de participer à leurs grandes émissions de variétés. Aujourd’hui, il revient sur sa grande histoire d’amour avec Maritie et Gilbert.

FRANCE-SOIR. Quels souvenirs gardez-vous des Carpentier ?
ENRICO MACIAS. J’ai eu une très belle d’histoire d’amour avec eux. Les Carpentier c’était le show à l’américaine. On pouvait se permettre de faire autre chose que de chanter. Je me suis découvert des possibilités de comédien en faisant des sketches dans leurs émissions. Ça m’a ouvert des portes au théâtre et au cinéma.

F.-S. Comment les avez-vous rencontré ?
E.M. Au tout début de leur carrière télévisuelle. Ils m’ont immédiatement demandé de faire partie de leur programmation. Au départ, j’étais le faire valoir de vedette, puis j’ai eu des émissions qui m’ont été dédiées. C’était la grande fête de la chanson française.

F.-S. En direct, les duos étaient souvent inattendus. Est-ce qu’il y en a un qui vous a marqué?
E.M. Je me souviens très bien d’un trio avec Claude François et Sacha Distel. Ca a été un grand moment de télévision pour moi. On était une grande famille. Il n’y avait pas de privilèges entre les artistes.

F.-S. Comment était le couple hors caméra?
E.M. J’étais très à l’aise avec Maritie et Gilbert. Ils venaient souvent chez moi et ils m’invitaient aussi chez eux pour qu’on prépare les émissions en dînant. Ils étaient d’une grande gentillesse et très à l’écoute.

F.-S. Etes-vous nostalgique de cette époque?
E.M. Oui, des moments merveilleux que l’ont a passé. J’aime me revoir plus jeune et plus beau. (Il sourit). Il y avait toujours un tube qui sortait de leur émission. Je me souviens d’avoir chanté Malheur à celui qui blesse un enfant avec mon fils – qui était tout petit à l’époque – ça avait fait un boom terrible. Beaucoup de chansons qui étaient interprétées dans leur émission grimpaient immédiatement au hit-parade. Mais on ne faisait pas ça pour la promotion, juste pour le plaisir.

F.-S. Une anecdote?
E.M. Je garde un souvenir mémorable de mon sketch avec Robert Castel. J’étais habillé en costume Louis XVI. Je jouais du clavecin coiffé d’une perruque blonde. J’avais une telle tignasse à l’époque que que mes cheveux noirs dépassaient. Je bougeais la tête et la perruque se décollait. En voyant la scène, Maritie et Gilbert ont piqué un fou rire derrière la caméra.

F.-S. Selon vous qui a pris la relève des Carpentier aujourd’hui ?
E.M. Je trouve que Daniela Lumbroso en prend le chemin. D’abord, le fait qu’elle leur rend hommage à travers une soirée spéciale la met en valeur. Chabada est une émission qui nous fait découvrir des jeunes talents. C’est très plaisant.

Article paru sur le quotidien France Soir

Nous vous rappelons qu’Enrico Macias sera l’un des invités de Daniela Lumbroso pour son Chabada « spécial carpentier » en prime time le lundi 5 avril 2010 à 20h35 sur France 3

Par contre, le chabada hebdomadaire hommage à Charles Aznavour et auquel participe Enrico est décalé et programmé pour le dimanche 18 avril 2010 à 16h05

Bonne fêtes de Paques à tous !!

La très belle photo qui illustre cet article nous a été envoyée par notre amie Kataline (Hongrie)


Privés de leur chanteur préféré depuis de trop longs mois, les inconditionnels d’Enrico Macias attendaient tous avec impatience les deux rendez vous des 23 et 24 mars 2010 au « Petit Journal Montparnasse ».
Vous pouvez en savourez un compte rendu et quelques extraits sur notre site ICI
Mais il faut souligner que ce double rendez vous a été une véritable fête à l’amitié.
Venant des quatre coins de France mais aussi d’Europe, certains ayant même survolé les océans pour nous rejoindre, tous les fans se sont réunis pour vivre ces deux journées dans une véritable communion maciasienne, image on ne peut plus représentative de l’homme de paix et de fraternité qu’est Enrico Macias.
Certains d’entre nous ne se connaissaient que par l’entremise d’internet. Pour quelques uns, et à un jour près, c’était un anniversaire, puisque nous avions fait connaissance dans ce même Petit Journal Montparnasse le 22 mars 2007. Pour quelques autres, c’était une grande première. La première fois qu’ils allaient entendre Enrico Macias en live, la première fois qu’ils pourraient lui parler, obtenir un autographe, une photo avec leur chanteur.
Tous, nous avons fait le voyage avec le même coeur léger, certains de passer des moments inoubliables.
Parmi tant d’autres, on a eu le plaisir de rencontrer Michael, fan parmi les fans, venant du New Jersey (USA). En provenance aussi du New jersey, Sandra et son mari, assistaient pour la première fois à un concert d’Enrico. Et puis, on a acceuilli aussi avec bonheur kataline qui nous vient de Hongrie et qui attendait avec impatience de retrouver l’ambiance du petit Journal. Il y avait aussi Varta qui arrivait de Bulgarie. Elle a attendu 45 ans pour entendre son chanteur en concert et pour une première fois, ce furent vraiment des moments de rêve.
Nos amis belges étaient aussi la, Brigitte, dite Bribri, en tête. Et puis, c’était les quatre coins de France qui étaient représentés par Armand et Aurélie, Fanfan et Andres qui ont animé les avant et après concerts avec leur guitare andalouse. Hélène, l’amie fidèle a répondu aussi présente, et puis Khadi et Rabah, Denise, Laurent.
Le charisme exceptionnel et irrésistiblement attractif d’Enrico a réuni pour deux jours exceptionnels toutes ces personnes pour fêter le chanteur de leur famille dans une fête à l’amitié pleine du bleu du ciel de son pays et du soleil des gens du sud.
Tous nous garderons gravés en nous le souvenir de ces deux soirées dans l’attente impatiente de la prochaine fois.

Enrico Macias était hier soir en concert au Petit Journal Montparnasse à Paris.
Entouré de ses musiciens, la silhouette élancée, souriant et détendu, il a, comme à son habitude mis l’ambiance « maciasienne » dans la salle.
Faisant souffler « le vent du sud » dès son entrée sur scène, il a surfé sur les mélodies tantot nostalgiques, tantot chaleureuses et festives de son répertoire pour finir par « L’oriental » et « El porompompero ».
Son public avait répondu présent pour fêter avec lui son retour tant attendu sur les scènes françaises et lui dire combien nous sommes heureux de le revoir chanter. Un public qui, pour l’occasion, était venu des quatres coins de la planète puisque nous avions dans la salle Kataline arrivée de sa hongrie natale, le midi, Varta qui venait de Bulgarie, Sandra et Michael arrivés du New jersey (USA), Brigitte de Belgique, sans parler de ses fans venus des quatre coins de France et qui étaient trop nombreux pour que je les cite tous.
Merci monsieur Macias pour cette soirée encore une fois féérique pour nous tous !!!!
Pour ceux qui le peuvent encore, un deuxième concert a lieu ce soir, toujours au Petit Journal Montparnasse.
Nous y serons encore nombreux