Ajda Pekkan et Enrico Macias se retrouvent à l’Institut Français d’Istanbul (photo BDB)

Erkan Ozerman, artisan du succès de toutes les vedettes françaises en Turquie depuis près de 50 ans était, sinon le producteur, un ami très proche de Dario Moreno. Pour célébrer sa mémoire, il avait lancé en 1969 soit une année après son décès, un prix dédié à la musique francophone qui portait son nom et qui avait été remis à l’époque à Jacques Brel

Samedi soir, après plus de quarante ans d’interruption, la deuxième édition du prix Dario Moreno a été remise à Enrico Macias pour l’ensemble de sa carrière ainsi qu’à la grande chanteuse turque Adja Pekkan

« Chérie je t’aime, chérie je t’adore … « , « Si tu vas à Rio, n’oublie pas de monter là haut », « Brigitte Bardot, Bardot … » des rengaines que nous avons tous – à l’exception des plus jeunes – fredonnées un jour. Dario Moreno, l’interprète de ces chansons était d’origine turque par son père et mexicain par sa mère. Né près d’Izmir en avril 1921 et décédé à Istanbul en 1968, Dario Moreno, de son vrai nom David Arugete, a fait l’essentiel de sa carrière en France et connu un grand succès dans les pays francophones, du début des années 50 à la fin des 60. Il était vénéré en Turquie.
« Depuis toute petite, je chante toutes vos chansons »

C’est avec ces quelques mots et un regard plein d’émotion, qu’une fan turque a félicité samedi soir l’heureux récipiendaire à l’issue de la cérémonie. Des mots qui résument à eux seuls le succès d’Enrico Macias et de la chanson francophone en Turquie.

Enrico Macias a rappelé à l’assistance, riche de nombreux artistes de la scène stambouliote, qu’il avait été engagé à ses débuts en 1962 par Dario Moreno et qu’il lui doit le début de son succès. « Mon manager de l’époque, Eddy Marouani, avait supplié Dario Moreno de me prendre dans son spectacle au cabaret ABC pour me donner une chance car j’étais très pauvre. Ma prestation a dû lui plaire car tous les soirs il était dans la salle pour m’écouter chanter ». Enrico Macias a annoncé au www.lepetitjournal.com qu’il viendrait chanter à Istanbul avant l’été.

Ajda Pekkan a illuminé de sa blondeur la scène de l’Institut français d’Istanbul

Ajda Pekkan, au centre de la scène musicale turque depuis 1965, considérée comme une des précurseurs de la pop turque et qui a souvent chanté en français, a également reçu le trophée du prix Dario Moreno. Adja Pekkan a souvent chanté en duo avec Enrico Macias (« Je t’apprendrai l’amour ») dont elle est une grande amie. Ils ont notamment partagé la scène de l’Olympia en 1976. Ajda Pekkan, qui a le statut de « chanteuse d’Etat », chantera pour la première fois à New York le 18 décembre prochain.

Pour voir la vidéo de la chanson « Oh Melisa » avec Ajda Pekkan et Enrico Macias (un grand moment de kistch oriental !) cliquez là

Brigitte di Benedetto (www.lepetitjournal.com Istanbul). Lundi 7 décembre 2009

Mais samedi soir, la vedette c’était Enrico Macias, qui recevait à l’Institut français des mains du ministre de la Culture et du Tourisme Ertugrul Günay, ce prix qu’Erkan Ozerman souhaite relancer.


La nouvelle vient de tomber

ENRICO MACIAS CHANTERA AU PETIT JOURNAL MONTPARNASSE à PARIS

LES 23 ET 24 MARS 2010

Comme en mars 2007, il y a deux formules au choix : soit le dîner-spectacle, soit le spectacle seul. Les tarifs ne sont pas encore communiqués

Pour réserver : s’adresser directement au Petit Journal Montparnasse au 01 43 21 56 70

La programmation étant toute nouvelle, elle ne sera mise en ligne sur le site du Petit Journal qu’en Janvier 2010.

Ce sera notre dernier dessin pour ce jeu

Alors soyez au top ……………

Comme d’habitude ……………………………

C’est vrai ce fusain était un peu plus difficile à découvrir, en tout cas pour certains d’entre vous. D’abord parce qu’il est élémentaire et ensuite, parce que l’album date de 1970.

Il s’agit de l’album BRAVO ENRICO sorti en 1970 dont vous pouvez voir la photo à coté du dessin.
Classement final
Claudius 62 pts
Philippe 53 pts
Kataline 32 pts
Varta 31 pts
L’amie fidèle 18 pts
Denise 7 pts
Fati 4 pts
Sandra 2 pts
Bravo à nos deux champions hors classe, Claudius l’emportant sur Philippe car toujours ponctuel à l’ouverture du jeu.
Bravo à Kataline et Varta, Kataline coiffant la seconde sur le poteau. Une vraie battante, comme toujours.
Bravo à notre infaillible fidèle amie qui est arrivée un peu tard parmi nous mais qui, maintenant qu’elle a trouvé la porte d’entrée, ne va plus nous quitter ……
Bravo à Denise, Fati, Sandra, ce fut un plaisir de vous compter parmi nos fidèles et vous ne déméritez pas.
Nous soufflons un peu et cherchons pour vous une nouvelle idée pour un très prochain jeu. J’espère que nous serons toujours plus nombreux pour nous amuser ensemble et avec Enrico
ET PUIS BRAVO ENRICO !!!!!!!!!!!!!!!! en 1970 comme en 2009

Très classe Enrico sur ce dessin

Nul doute qu’il ne vous inspire

Bon week end ……..


Encore une petite confusion entre album et single pour nos amies étrangères. Mais si les chansons chantées et l’année de sorties étaient bonnes, j’ai validé la réponse.
Denise, tu étais la première à répondre. Dommage que tu aies oublié de donner l’année de sortie ….
La bonne réponse était donc LA POESIE DE LA MEDITERRANEE sorti en 1979

Points
Claudius 58 pts
Philippe 51 pts
Varta 31 pts
Kataline 31 pts
L’amie fidèle 16 pts
Denise 7 pts
Fati 4 pts
Sandra 2 pts

Une collaboration de Gisèle Bellerose
19 novembre 2009 (QIM) –
Dans le cadre d’une brève tournée québécoise amorcée au Saguenay, suivie d’un passage à Sherbrooke, Enrico Macias s’arrétait au Grand Théâtre de Québec, le vendredi 6 novembre, avant de poursuivre vers Montréal et Gatineau. La prestation a débuté avec « Juif espagnol » dont il modifiera quelques mots en finale pour « Juif québécois ». Dès la seconde pièce, le public est conquis car incapable de résister à un tel tsunami d’amour, de joie et de gentillesse.
Côté répertoire, cet auteur-compositeur-interprète ayant écrit plus de 700 chansons en carrière, a présenté intelligemment les nouvelles ballades de son dernier opus « La vie populaire », paru en 2006, entremêlées de ses incontournables avec en prime une incursion dans la musique classique arabo-andalouse. Défileront alors pour n’en nommer que quelques-unes, « Je suis resté fidèle », « Noël à Jérusalem », « Pour toutes ces raisons je t’aime », composée pour Suzy, son épouse, « Dis-moi ce qui ne va pas », « Le mendiant de l’amour » et autres mélodies qu’on écoute religieusement ou qu’on fredonne avec lui.
Le point culminant a été son cri du coeur « je vous aime » lancé avant de quitter la scène. En rappel, il offrira la sublime « Enfants de tous pays » chantée a cappella, sans micro et sans musicien, en insistant bien sur chacun des mots chargé de sens. J’ai rarement vu une star recevoir autant d’ovations debout en une même soirée.
Habile guitariste, ce fils de violoniste et petit-fils de flûtiste s’est entouré de sept talentueux musiciens dont deux guitaristes, un percussionniste, un batteur, un accordéoniste, un contrebassiste et un violoniste oriental. Ce spectacle d’une durée de près de deux heures s’est déroulé sans pause devant un public composé majoritairement de baby-boomers. Des éclairages judicieusement harmonisés aux rythmes des chansons ont contribué à créer une ambiance intimiste ou festive. Cette prestation fort bien rodée m’a permis de découvrir un homme passionné de musique et des gens. Il a interprété « Les millionnaires du dimanche » au parterre parmi les spectateurs, en prenant le temps de serrer des mains et de les saluer chaleureusement.
Enrico Macias, apôtre du dialogue entre les peuples, est un artiste qu’on doit voir au moins une fois dans sa vie. Il est rayonnant malgré ses 70 ans qu’il ne fait pas, et en dépit de lourdes épreuves récentes (notamment le décès de son épouse après 47 ans de vie commune) dont il ne dira mot afin de ne pas assombrir la soirée. La musique et l’amour des gens étant les seules choses qui apaisent sa douleur, il a choisi de poursuivre son travail d’ambassadeur de la paix universelle et de continuer à chanter « Enfants de tous pays, tendez vos mains meurtries, semez l’amour et puis donnez la vie ». Chapeau et merci beaucoup Monsieur Gaston Ghrenassia, alias Enrico Macias.

Voici notre 18ème fusain

Je suis sure qu’il va vous rappeler de magnifiques souvenirs ….

Un très bel album qui ne vous a pas fait hésiter un instant …

Il s’agit bien de « A la face de l’humanité », 33 tours sorti en 1972

Points

Claudius : 55 pts

Philippe : 49 pts

Varta : 29 pts

Kataline : 29 pts

L’amie fidèle : 15 pts

Denise : 5 pts

Fati : 3 pts

Sandra : 2 pts

Le quotidien de 1968 sur le site tempsreel.nouvelobs.com

Enrico Macias à l’Albert Hall de Londres en 1968

NOUVELOBS.COM 21.04.2008 07:04

Le chanteur français a déclenché l’enthousiasme en chantant des tubes comme « Mon cœur d’attache » ou « Les filles de mon pays », marqués de nostalgie.

Le chanteur Enrico Macias s’est produit dimanche 21 avril à l’Albert-Hall de Londres. La célèbre salle de spectacle a accueilli des expatriés mais pas seulement: le chanteur d’origine algérienne a également un public britannique. Il a même tenté de dépasser la barrière de la langue en prononçant quelques mots en anglais.
Enrico Macias a chanté des tubes comme « Mon cœur d’attache » et « Les filles de mon pays » qui traduisent la nostalgie de sa terre d’origine.
Depuis quatre ans, le chanteur connaît un très grand succès national et international. En 1966, cent vingt mille moscovites étaient venus l’écouter au stade Dinamo dans la capitale soviétique et cette année, à New York, il a fait salle comble au Carnegie Hall.