De notre envoyée spéciale
Muriel Meimoun

 

Ils sont venus, ils étaient tous là lorsqu’ils ont entendu l’appel pour la Tsedaka 2017. Pour les non-initiés, qu’est-ce que la Tsedaka ? C’est la solidarité, l’aide aux personnes les plus démunies. Et cette année, c’est le 25ème anniversaire de cette grande soirée qui réunit sur scène de grands artistes.

La liste des personnalités présentes ce lundi soir au Palais des Congrès de Paris est longue :
les parrains de cette édition : Amir et Franck Dubosc
– Patrick Bruel
– Michel Drucker
– Ary Abittan
– Jeff Panacloc
– Michel Boujenah
– Cyril Hannouna
– …

Et bien sûr, le seul, l’unique, celui qui nous fait voyager de chanson en chanson aux quatre coins du monde depuis 55 ans, celui qui réunit les enfants de tous pays et de toutes religions, notre chanteur préféré, Enrico Macias.
Pour ce dernier rendez-vous de 2017, accompagné par Serge Haouzi et Jean-Claude, Enrico a chanté en duos.
Le premier avec Amir, ils ont été tous 2 des mendiants de l’amour et le second avec Symon, pour l’hymne à leur instrument de prédilection… Oh Guitare.
Puis Symon nous a chanté sa première chanson en solo, et au vu de la réaction du public, je lui prédis une grande carrière.
Mais tout ça avait un goût de trop peu, enfin il faut bien laisser la place aux autres.

Nous vous souhaitons à tous de très bonnes fêtes de fin d’année et nous vous donnons rdv en 2018 pour plein de bons moments en compagnie de notre chanteur préféré.

De notre envoyée spéciale Muriel Meimoun

 

Dans ce beau théâtre de la Madeleine, et en présence de nombreuses personnalités, dont Meyer Habib (député de la 8ème circonscription des Français à l’étranger), Nicole Guedj (présidente de la fondation France Israël), Victor Wintz (président du MDA France), et Eli Bin (président général du MDA) pour ne citer qu’eux, nous attendions Enrico avec une impatience non dissimulée. Après une courte intervention de Michel Boujenah… si si c’est possible, enfin il a essayé 😊, le public a usé de toute sa générosité pour permettre la construction d’une banque du sang. Inutile que notre mendiant de l’amour ne leur chante « Donnez, donnez ».

Dire que c’était le feu dans la salle lorsqu’ Enrico est enfin arrivé devant ce public qui lui était d’ores et déjà acquis, serait un euphémisme. Des premières notes de la fête orientale aux dernières d’El porompompero, des gens du Nord à Osé Shalom en passant par les classiques : Aux talons de ses souliers, Paris tu m’as pris dans tes bras, les filles de mon pays, le violon de mon père… la salle entière a repris en cœur chacune de ses chansons. Ils ont chanté, ils ont dansé, ils ont poussé des youyous… et ils sont repartis sûrement aphones mais encore plus certainement tristes que ce soit déjà fini et je ne doute pas qu’ils seront tous au prochain rendez-vous du MDA.

 

*Ndlr : Etoile de David rouge, la « Croix-Rouge » israélienne

 

En 2018, Enrico Macias fête ses 80 ans et en Israel,
il célèbrera par la même occasion les 70 ans de l’indépendance du pays

 

Jeudi 24 mai 2018 – 20h30
Beer Sheva – Meshran LeOumaniot HaBama

Samedi 26 mai 2018 – 21h
Tel Aviv – Charles Bronfman, Hechal hatarbut

Dimanche 27 mai 2018 – 20h30
Petah Tikva – Heiral HaTarbout

Lundi 28 mai 2018 – 20h30
Ashkelon – Heiral HaSport – 20h30

Mardi 29 mai 2018 -20h30
Haïfa – Merkaz HaCongressim

Mercredi 30 mai 2018
Jérusalem – Binyane Haouma

Jeudi 31 mai 2018 – 20h30
Netanya – amphithéâtre de la plage

de notre envoyée spéciale aux Folies Bergères :
Muriel Meimoun
Un grand merci à elle

Le soleil de la Corse brillait aux Folies Bergère ce mardi soir.

Antoine Ciosi entamait sa tournée d’adieu sous le ciel gris de Paris. La chaleur a très vite envahi la salle et elle fût à son comble lorsque notre chanteur préféré est venu interpréter son succès Corse : Solenzara.

Antoine n’a pas manqué de rappeler que c’est grâce à Enrico que l’Ile de beauté est entrée dans tous les foyers jusqu’au fin fond du Japon.

Enrico a dédié cette soirée au très regretté Charley Marouani qui avait organisé cette rencontre. Sa femme et ses enfants étaient d’ailleurs dans la salle. C’est sous un tonnerre d’applaudissements qu’il a été ovationné par ce chaleureux public.

La vie d’artiste n’est pas faite que de lumières, de musique et d’applaudissements. C’est aussi une vie sur les routes et les chemins où il faut enchaîner les kilomètres et remonter sur la scène malgré la fatigue.
Il en va ainsi pour Enrico, ses musiciens et ses techniciens. Après le concert exceptionnel de samedi soir à Lyon et une nuit courte, il a fallu reprendre le train de bonne heure, puis la route pour être au rendez-vous dans la Sarthe, à Mamers très exactement, dès 17h.
Plus intimiste, la salle de l’espace Saugonna était comble à l’heure dite et il avait même fallu rajouter des sièges devant, au grand dam de ceux qui avaient cru réserver un premier rang (petit clin d’œil à qui saura se reconnaitre).
L’espace scénique de plein pied avec la salle crée immédiatement une proximité avec l’artiste qui sied à merveille à Enrico. Et fort de ses sept musiciens qui le connaissent sur le bout de leurs doigts et de leurs notes, il ne lui a pas fallu longtemps pour créer l’alchimie et mettre le feu à la salle, qui, composée d’un public qui le suit depuis 55 ans, a su transmettre à notre chanteur préféré tout son amour et son bonheur de partager ces instants avec lui.
Dans un style très différent de la veille, ce dimanche fut un moment très chaleureux, un moment de pure communion et de bonheur de part et d’autre, comme Enrico en a le secret. L’ambiance montant crescendo, atteignant son paroxysme sur les accents de la musique arabo andalouse et les rythmes endiablés qui suivent, nous n’avons jamais le loisir de voir le temps passer. Et ce dimanche, comme partout ailleurs, la réaction a été la même. « C’est déjà fini ? » .

On voudrait le garder, encore et encore, Enrico, l’écouter et faire la fête avec lui jusqu’au bout de la nuit. Mais raison il faut garder. Et tous les meilleurs moments ont une fin.

Alors Bravo aux Mamertins et à tous les Sarthois présents ce dimanche. Et Bravo Enrico ! Bravo les musiciens et les techniciens !

On attend avec impatience un prochain rendez vous

Liste des chansons

La fête orientale
L’île du Rhône
Les gens du nord
Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
Le voyage
A la grâce de Dieu
Pour toutes ces raisons je t’aime
Paris tu m’as pris dans tes bras / mon cœur d’attache
Un berger vient de tomber
Les filles de mon pays
Solenzara
Le violon de mon père
Ya Bellaredj
Ya Rayah
Le mendiant de l’amour
L’oriental
Porompompero

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est dans le très bel amphithéâtre Lumière de la cité internationale à Lyon que la société de voyages Marietton a campé le décor pour célébrer son 50ème anniversaire ce 25 novembre 2017.

Et c’est pour le plus beau des voyages à destination du soleil et de la chaleur de l’amitié qu’elle nous a conviés pour cette soirée exceptionnelle.

Ce pays, pour tous ceux qui fréquentent régulièrement ce site, vous le connaissez bien et vous le vivez tous les jours avec nous.
Vedette de cette soirée de gala, Enrico Macias n’est pas venu les mains vides et a apporté, outre sa guitare, de belles surprises pour célébrer cette fête comme il se doit.
Après la rapide présentation de l’histoire du groupe Marietton, et les discours et du parcours de la famille Abitbol qui préside à sa destinée, c’est sur un orchestre renforcé de 12 musiciens, à l’identique de l’Olympia, que s’est ouvert le rideau.

Et c’est en présence de nombreuses personnalités dont le ministre de l’intérieur, Gérard Collomb et le président de l’OL, Jean Michel Aulas, qu’Enrico a proposé un récital exceptionnel en interprétant outre ses classiques, quelques perles plus rares de son répertoire telles « L’ile du Rhône » ou « Dès que je me réveille ».
Mais une autre surprise attendait les heureux spectateurs, puisqu’Enrico avait également convié son petit fils Symon à participer à la fête et c’est avec un immense plaisir renouvelé que nous avons savouré leur duo sur « Oh guitare, guitare » et « Enfants de tous pays ».
Commencée aux accents de la fête orientale, poursuivie sur les succès de 55 années de carrière, la fête s’est achevée aux accents de la musique arabo andalouse et des rythmes effrénés qui sont le secret de notre chanteur.
Quand la vox populi taxe les lyonnais de gens froids et distants, Enrico a su aller toucher chacun d’eux au fond du cœur et la soirée s’est achevée dans une ambiance enflammée, en tout point similaire à celle d’un Olympia. Toute la salle a fini debout aux pieds de la scène, y compris les personnalités présentes, pour chanter et danser avec Enrico qui a, une fois de plus, réussi le miracle de faire communier toutes les communautés et les religions aux mêmes accents de Paix, de chaleur et d’amitié.
Nous garderons vraiment un très beau souvenir de cette soirée.
Merci à Laurent Abitbol pour cette belle fête. Joyeux anniversaire au Groupe Marietton.
Mille mercis à Enrico Macias et à Jean Claude Ghrenassia pour ce concert splendide.
Et mercis à tous les musiciens et techniciens pour leur concours toujours de très haute qualité qui donne à Enrico l’écrin qu’il mérite.

Liste des chansons

La fête orientale
Oranges amères
Aux talons de ses souliers
Dès que je me réveille
Adieu mon pays
L’île du Rhône
les gens du nord
Juif espagnol
Pour toutes ces raisons, je t’aime
Paris, tu m’as pris dans tes bras
Oh guitare, guitare – avec Symon
Enfants de tous pays – avec Symon
Un berger vient de tomber
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
A la grâce de Dieu
Koum Tara
Bel tar ou el oud
Ya belaredj
Bin el bareh ouel youm
Ya Rayah
Le mendiant de l’amour
L’oriental
Votch Khoskov
Oseh Shalom
L’oriental

Pour certains, samedi soir, c’était une première, mais assurément pas une dernière.

Le grand impresario israélien, Shmuel Zemach, est mort ce dimanche 15 octobre 2017 à Tel Aviv à l’âge de 85 ans
Considéré comme l’un des plus grands producteurs d’Israel, il a produit sur les scènes de son pays les plus grands artistes internationaux tels que Franck Sinatra, Paul Anka, Elton John et bien d’autres.
C’est lui qui, il y a 50 ans, a fait venir Enrico Macias en Israel pour la première fois et qui, depuis cette date, le fait revenir régulièrement en tournée à travers le pays.

En juin dernier, Shmuel Zemach a reçu des mains même d’Enrico, un Award décerné par Acum pour l’ensemble de sa carrière.
Vous pouvez en revoir les images ci-dessus

A son épouse, à ses enfants et notamment son fils Yoav Zemach, à ses petits enfants et bien sur à Enrico Macias, nous présentons toutes nos plus sincères condoléances
Que son souvenir soit béni