A l’occasion de ses 60 ans de carrière, Enrico Macias nous annonce sur ses réseaux sociaux, la sortie d’un coffret CD et une série de vinyles thématiques le 19 janvier 2024 🎶
Illustré par son cher ami @joannsfar, de musique en musique retrace en quatre disques thématiques son parcours (Vous retrouverez un livret avec plein de magnifiques dessins de Joann ainsi que des affiches dédicacées sur son store)
Rendez-vous ce vendredi 3 novembre 2023 pour la précommande !

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Depuis de nombreux mois, tous les murs de Bucarest annonçaient fièrement la venue d’Enrico Macias et les Bucarestois attendaient l’évènement avec grande impatience, préparant la fête avec ferveur.

Les Roumains ont découvert Enrico Macias à la fin des années 60 sur les ondes radio et en sont tombés amoureux en 1971 à l’occasion de son récital au festival du Cerf d’or de Brasov, récital qui était télévisé.

Depuis ce temps, et malgré le blocus sévissant dans le pays jusqu’en 1990, les Roumains n’ont plus oublié le chanteur au regard fatal et à la choix chaude et ensoleillée.

Son retour à Bucarest en 2011 avait été un évènement monumental et, en ce 20 octobre 2023, c’est plus de 3000 personnes qui avaient pris place dans la magnifique salle du palais lorsque les lumières se sont éteintes pour laisser entrer les musiciens.

Le son envoutant de la flûte de Kamel Labbaci s’est élevé pour nous transporter loin sur les rives de la Méditerranée et l’intro musicale a fait monter l’excitation d’un cran, chacun guettant l’apparition tant attendue.

Et lorsqu’Enrico, très élégant en smoking noir et chemise blanche, est apparu dans le halo de lumière, c’est une salve d’applaudissements qui l’a accompagné jusqu’au centre de la scène.


Ce que sont les concerts d’Enrico Macias, je vous l’ai souvent décrit, d’aucuns pouvant à force penser que je suis de parti pris.

Alors aujourd’hui je fais le choix de laisser la parole à deux roumaines présentes à ce concert.

La première est notre amie roumaine de longue date, Viorica, qui nous avait déjà parlé de son histoire avec Enrico en 2012, sur ces mêmes pages. Je vous engage à relire ses lignes ICI car c’est une histoire surprenante.
Et bien entendu, très excitée et émue de revoir son idole dans son pays, elle était au premier rang ce 20 octobre.
Voici ce qu’elle a écrit au lendemain de ce concert.

« Magie pure !!! Enrico Macias a ennobli de nouveau la scène de la Salle du Palais de Bucarest avec sa présence sensationnelle, son répertoire, son charme et sa guitare bavarde qui le rendent unique au monde.
Il a embelli nos heures, il a caressé et réchauffé nos cœurs. Il nous a enrichis tous avec sa musique, ce langage naturel de l’âme. A juste titre, les spectateurs (dont plusieurs venus de l’étranger) furent, une fois de plus, en extase devant cet esprit brillant qui a transformé la salle en un choeur immense et fasciné qui l’a accompagné dans un enthousiasme fou, digne d’une star de sa taille.
Merci d’exister, Enrico ! »

……… Je n’aurais pu mieux dire …………….

Pour sa part, Simona Balanescu, réalisatrice pour la chaine de télévision roumaine Antena 1, présente dans la salle lors du concert, a écrit sur sa page facebook :
« Concert extraordinaire, ENRICO Merci ! Superbe ! Quelle belle voix ! Chanter EN DIRECT, 2 heures à 84 ans !!! Pas de pause, pas de partitions, sans s’asseoir sur une chaise, juste reprendre sa respiration.
C’est un phénomène ! ».

Tout commentaire supplémentaire serait superflu. Ces deux femmes ont résumé à merveille cette soirée

Philippe Hervouët Bruno Caviglia Serge Haouzi Jean Claude Ghrenassia Enrico Macias Kamel Labbaci Lionel Teboul

Il nous reste à remercier très sincèrement le public roumain qui a été vraiment merveilleux et qui, comme Enrico l’a lui-même dit, l’a vraiment aidé pour faire de cette soirée une vraie soirée de fête.
Ravi et ému par tant de chaleur, il a formulé le vœux de revenir sur la terre de Roumanie pour d’autres concerts.

Un grand merci à Enrico pour cette magnifique soirée ainsi qu’à tous ses musiciens et techniciens toujours aussi talentueux et professionnels.

Liste des chansons

Il est comme le soleil
Oh guitare, guitare
Oranges amères
Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
Medley guitare
Les gens du Nord
Pour tout l’or du monde
Melisa
Chanter
Pour toutes ces raisons, je t’aime
Zingarella
Aïe, aïe, aïe je l’aime
Enfants de tous pays
Les filles de mon pays
Al kol ele
Le violon de mon père
La fête orientale
Medley oriental
Ya rayah
Le mendiant de l’amour
L’oriental 
El porompompero

A l’occasion de ses 60 ans de carrière, Enrico Macias s’est pris au jeu de nos questions décalées, à la sauce jewbuzz ! ❓Votre plat de Shabbat préféré ? ❓Il était sympa Claude François ? ❓Qui incarne la relève pour vous ? Les réponses sont à découvrir dans cette vidéo, avec toujours un « Jew de la fin » exceptionnel ! Après Kendji, Stéphane Legar, Gad Elmaleh, Samuel Bambi, le Rav Benchetrit & Patrick Bruel, merci à Enrico Macias d’avoir participé à cette 7ème interview jewbuzz, pour le découvrir comme on ne l’a jamais vu ! Remerciements particuliers à Yoan & Laurie pour nous avoir permis le tournage de cette interview, ainsi qu’a Symon, Jean-Claude et Yara ! Tournage : David Krief / Yoel Banay Montage : Eden Zachayus Rédaction : David Krief / Yoel Banay / Mike Abergel

Il faisait chaud, très chaud au Havre ce jeudi 7 Septembre et nous avions plutôt l’impression de nous trouver en pays méditerranéen que sur les côtes de la Manche. La météo nous donnait un avant-goût de la soirée qui nous attendait.

Nous avions en effet rendez au Pasino de la ville pour y retrouver Enrico Macias qui y avait programmé sa rentrée après une tournée estivale qui l’a mené aux 4 coins de l’hexagone à la rencontre des vacanciers de tous horizons.


Cette rentrée qui marque sa 61ème année de carrière, il l’a abordée en pleine forme, teint halé, costume bleu clair chemise bleu marine, il affichait un sourire éclatant et un enthousiasme communicatif.
Durant 1h30 de concert, il a été comme le soleil partageant avec les Havrais ravis une complicité et un humour de tous les instants. Il faut dire que le public n’a pas été avare en applaudissements et a eu à cœur de répondre à chacune de ses sollicitations. Les « olé » rituels de certains instants clés du concert ont été particulièrement chaleureux et enthousiastes provoquant chez le chanteur une joie non dissimulée. Tant et si bien que voulant prolonger ce moment de bonheur, il en a redemandé et les « gens du nord » n’ont pas hésité à lui faire ce bonheur bien mérité.

A n’en pas douter, les Havrais se souviendront longtemps de ce moment de fête unique et garderont dans leur cœur ces moments de communion si particuliers.

En première partie, nous avons retrouvé avec beaucoup de plaisir aussi Noa R. qui ne cesse de nous surprendre. La jeune femme de 18 ans a su embarquer avec elle le public qui l’a soutenue et accompagnée d’applaudissements nourris tout au long de sa prestation.
Il faut aussi souligner sa très belle prestation lors de son duo avec Enrico sur « Malheur à celui qui blesse une enfant » et « Enfants de tous pays ». Sa voix ne faiblit pas face à son parrain musical et leurs deux voix s’accordent à merveille sur ces deux standards incontournables du chanteur.

Quant aux musiciens et techniciens, toujours en parfaite osmose avec le chanteur, attentifs à chacune de ses attentes, ils ont, comme à leur habitude, créé le plus magnifique écrin musical pour que la fête soit complète.
Un grand merci à eux que c’était également un grand bonheur de retrouver.

Liste des chansons

Il est comme le soleil
Oranges amères/Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
La France de mon enfance
Medley
les gens du nord
Pour tout l’or du monde
Toi la mer immense
Chanter
Pour toutes ces raisons, je t’aime
Malheur à celui qui blesse un enfant (avec Noa R.)
Enfants de tous pays (avec Noa R.)
La fête orientale
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
Medley arabo andalou
Ya rayah
Le mendiant de l’amour
L’oriental
El porompompero

Un inédit de 1979 – Merci AquiRadioAndorra pour cette perle qui nous ramène bien des années en arrière
Émission « Contact ». Invitée : Enrico Macias Cette émission a été enregistrée sur un transistor et non à la source. Si la qualité sonore n’est pas idéale, cet enregistrement permet néanmoins d’avoir une idée de la qualité d’écoute de la station à la fin des années 70 dans le sud de la France, sachant que la station n’était audible dans la moitié nord que durant la nuit.
Archive personnelle : Dominique Duée Présentation : Arty Parera Réalisation : Alphonse Lacoste
Diffusion ondes moyennes : 1979 par Radio-Andorre 428 m – 701 kc
Diffusion du podcast : Jean-Marc Printz – 20 août 2023 site internet : http://www.aquiradioandorra.com

Depuis plusieurs mois, « Ulysse production » a procédé à la mise en vente d’une dizaine de concerts d’Enrico Macias sans contrat… et les a annulés en prenant en défaut l’artiste et les nombreux spectateurs.

En ce sens, soucieux de préserver le public de l’artiste, le management d’Enrico Macias a souhaité tout de même maintenir certaines dates mais, au moment de les contractualiser , « Ulysse production » était défaillante techniquement et financièrement .

Cela constitue l’unique raison des annulations notamment des Saintes-Maries de la Mer, de Juan-les-Pins, ou encore de Deauville.

Il n’est pas acceptable d’entacher l’image de l’artiste, qui réalise d’excellents scores et qui partira prochainement en tournée avec un nouveau récital, exceptionnel, à l’occasion de ses 60 ans de carrière.

Le management d’Enrico Macias tient à préciser qu’Andréas Negliot et « Ulysse Production » (également nommée « Association La Méditerranée à Chœur Ouvert ») ne sont pas en capacité de produire ou de booker l’artiste. Une assignation en justice est actuellement à l’étude.

Seuls les co-managers Jean-Claude Ghrenassia et Damien Nougarede, sont à même de répondre aux sollicitions.

Le concert du 26 août à Brignoles est maintenu (production Sud Concerts).

Pour toutes informations :
ghrenassia75@gmail.com
production@backstage-event.com

Le dernier concert de la tournée israélienne 2023 se tenait au théâtre de Jérusalem et ce fut encore une magnifique fête devant un public chaleureux et enthousiaste. L’ambiance était magnifique et le public complètement conquis.
En remerciement, Enrico lui a réservé quelques surprises impromptues pour ce dernier soir.
Depuis quelques mois, Kamel Labbaci utilise sur scène un oud électrique à la sonorité un peu différente de celle du oud traditionnel. Ce oud faisait, en quelque sorte et si je puis m’exprimer ainsi, de l’œil a Enrico depuis quelques concerts et l’envie d’en faire résonner les cordes sur scène le tenaillait.
Quand le maître veut, il finit toujours par obtenir gain de cause. Et c’est à Jérusalem qu’il s’est emparé de l’instrument posé à côté de Kamel pour offrir un petit récital aux côtés de son violoniste et d’Amar durant le medley arabo andalou. Ce fut un moment de pur bonheur pour tous et nous nous sommes évadés pour quelques minutes, là-bas, sur le rocher de Constantine pour un kiff musical.

Autre surprise en fin de concert : devant les rappels chaleureux et insistants du public qui mettait toute son énergie pour ne pas laisser sortir de scène Enrico, ce dernier leur a offert en exclusivité « Yerushalaim Shel zahav », cadeau oh combien apprécié par l’assemblée et reprise en chœur par tous.

Alors que les cœurs se serrent de devoir se séparer après de si beaux moments de fête, que retiendrons nous de cette tournée ?

D’abord et avant tout, l’amour profond et touchant du public israélien pour Enrico, amour construit sur des racines communes, une histoire et une culture partagées. Ces liens spéciaux entre le chanteur et son public, nous vous en avons souvent parlé mais, en Israël, il est presque palpable et envahit l’espace à chaque concert.


Un des moments forts du spectacle a été incontestablement « Al Kol Ele ». Entendre la salle entière chanter l’intégralité de cette très belle chanson à l’unisson avec le chanteur était saisissant et cette ferveur, accompagnée et soutenue par une interprétation grandiose de l’orchestre, nous a donné les mêmes frissons et une intense émotion à chaque fois. Les centaines de petites lumières illuminant l’obscurité de la salle ajoutait un effet magique à ce moment.

Pour avoir moi-même vécu ces moments, je suis aussi toujours touchée et émerveillée par toutes ces mains qui se tendent vers l’artiste dans l’espoir fou d’avoir la chance de le toucher, de lui serrer la main. Et chacun de vouloir lui glisser que, comme lui il est né à Constantine, ou qu’il l’a rencontré il y a très longtemps ici ou ailleurs, ou qu’il a enfin réalisé aujourd’hui son rêve le plus cher : « … le voir sur scène ». Tous ces gens considèrent Enrico comme un membre de leur famille et l’approche sans crainte comme un ami connu et reconnu.

Un autre moment d’émotion m’a été donné de vivre à Jérusalem. Un vieux monsieur assistait, à côté de moi, au concert, assis sur son fauteuil roulant. Nos regards se sont croisés à plusieurs reprises dans la pénombre et ses yeux scintillaient de bonheur. Alors quel beau moment, à l’instant du « mendiant de l’amour », de le voir, tout seul, sans aucune assistance, s’accrocher aux barrières devant lui pour se dresser sur ses jambes et danser à l’unisson de tous ceux qui étaient devant la scène.
Il est beau le pouvoir de la musique et de la voix chaude d’Enrico.

Je ne terminerai pas ces lignes sans parler aussi du bonheur et du sourire illuminant le visage d’Enrico face à ce public massé devant la scène pour chanter et danser avec lui, l’acclamant avec tant de ferveur :
« Enrico ! Enrico ! Enrico ! …………… »
On aimerait que ces instants durent toujours pour lui et pour nous. En tout cas, ils resteront éternellement gravés dans nos mémoires.

Le temps passe vite, trop vite, et ces 6 concerts se sont envolés à la vitesse de l’éclair mais ils nous ont offert tant d’émotions et de bonheur qu’il nous faut remercier en premier lieu Jean Claude Ghrenassia, le fils d’Enrico, qui a construit le spectacle avec son papa et qui en a réalisé tous les arrangements.

Et puis, nous voulons aussi remercier Yoav Zemach, le producteur israélien qui organise toujours ces tournées d’une main de maître et ne ménage pas sa peine pour que cette tournée soit un succès. Il a repris la suite de son père Shmulik Zemach, producteur israélien historique d’Enrico Macias, avec maestria.

Nous n’oublions pas les musiciens et les techniciens qui ont accompagné Enrico durant ces 6 concerts mais nous allons cette fois leur réserver un article à venir dans les jours prochains afin que nous puissions vous les présenter comme ils le méritent. Ce n’est pas moi, c’est Enrico lui-même qui le dit

Je veux remercier tous les Israéliens qui nous ont accueillis avec beaucoup de chaleur, d’attention et de gentillesse

Reste Enrico
Je veux avant tout lui dire BRAVO !!! Son énergie, sa volonté de donner tant de bonheur et d’amour à chacun sur toutes les scènes du monde est, après tant d’années, remarquable.
Et ensuite je veux lui dire MERCI mille fois pour tous ces moments de fête hors du temps. On voudrait que ça ne s’arrête jamais.

Pour ce 5ème et avant-dernier concert de cette tournée 2023 intitulée « Shalom Israël », c’est à guichet fermé que s’est jouée cette soirée.
Et elle a été à la hauteur des attentes de chacun.
Se jouant de la fatigue, Enrico a été une fois de plus extraordinaire et son sourire éclatant en disait long sur son bonheur.

Et que dire de celui du public qui a été, lui aussi, exceptionnel de bout en bout. Attanquant chaque chanson dès les premières notes de l’intro reconnues, il a porté le chanteur tout au long de son récital, lui renvoyant en boomerang sa joie de partager ces moments avec lui.

Symon – la femme de mon ami

Et la fête s’est terminée par une standing ovation de plusieurs minutes pour remercier Enrico pour ces moments gravés à jamais dans leur coeur et leur mémoire.

Dernier concert ce soir à Jerusalem

Retrouvez nous dans quelques jours pour un article plus complet et un diaporama de la tournée

Après Tel Aviv et le nord d’Israel, c’est vers le sud et Beer Sheva qu’Enrico a tourné ses pas hier.
Et comme pour toutes les précedantes soirées, le public s’est déplacé nombreux pour applaudir le chanteur.

Symon sous l’oeil vigilant de son grand père
Trois générations de musiciens sur cette photo

Encore une soirée magique pour tous les fans d’Enrico Macias qui l’ont acclamé : « Enrico ! Enrico ! Enrico ! …. » pour le remercier de ces moments inoubliables de bonheur et de partage dont lui seul a le secret.

Le dicton affirmant que les voyages forment la jeunesse, c’est au nord est d’Israel, à proximité de Beit Shéan qu’Enrico Macias avait donné rendez vous hier soir à tous ses fans.
A notre arrivée, nul indice d’un batiment quelconque. Si vous n’êtes pas accompagné de quelqu’un du pays, vous ne pouvez deviner que là va se tenir la fête puisque c’est dans une salle troglodyte que nous étions conviés. Un lieu surprenant mais qui, une fois à l’intérieur, nous a offert le même confort physique et accoustique que partout ailleurs.

Ce fut encore une magnifique soirée de fête, de bonheur et de communion tant pour Enrico que pour le public, sans oublier Symon qui fait un tabac chaque soir.
Quelques images choisies pour vous en attendant le prochain concert à Beer Sheva samedi soir

Après Tel Aviv, c’est en direction de Kyriat Motzkin et de son théâtre qu’Enrico Macias a dirigé ses pas hier.
Et c’est devant une salle toute aussi pleine et enthousiaste qu’il a offert à son public une soirée inoubliable de fête.

Même si chacune de ces fêtes est unique, je vous réserve un article complet à la fin de la tournée

Pour vous faire patienter, voici quelques photos d’hier soir.

Certains m’ont déjà demandé la liste des chansons.
Voici celle d’hier

Aux talons de mes souliers
Adieu mon pays
Oh guitare, guitare
Medley : Non, je n’ai pas oublié, solenzara, Mon cœur d’attache, Paris tu m’as pris dans tes bras

La femme de mon ami (Symon, petit fils d’Enrico)
Dans tes yeux (Symon)

Pour tout l’or du monde
Melisa
L’amour c’est pour rien
Pour toutes ces raisons, je t’aime
Chanter
Enfants de tous pays
Zingarella
Aie aie aie je l’aime
Al Kol Ele
Une fille à marier
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
Mon chanteur préféré
Medley oriental
Le mendiant de l’amour
L’oriental
El porompompero

La tournée d’Enrico Macias est toujours attendue avec beaucoup d’impatience par les Israéliens et l’auditorium Charles Bronfman de Tel Aviv est un incontournable lieu de rencontre entre Enrico et eux.

C’est donc sans aucune surprise que la magnifique salle du centre culturel était pleine à craquer hier soir à 20h, bruissant d’un brouhaha joyeux et impatient

Le temps de dire bonjour à un voisin, un ami, de se saluer, se congratuler et doucement les lumières s’estompent, la pénombre s’installe laissant entrer les musiciens sur scène.

Chacun retient son souflle quand montent les premières notes de flûte si magnifiquement jouées par Kamel Labbaci. Puis l’orchestre entonne les premières notes d’ »Aux talons de ses souliers » et les cris de joie fusent car là-bas, sur la droite de l’immense scène, entre l’artiste tant attendu. La fête peut commencer.

 Et quoi de mieux pour chauffer l’ambiance que les incontournables succès « Adieu mon pays », « Oh Guitare », et un medley qui permet à chacun de reprendre en chœur avec le chanteur ses plus beaux airs.

Pendant deux heures sans aucun entracte, les Telaviviennes et Telaviviens, ont scandé, chanté, applaudi, mettant une ambiance folle et enivrante.

Parmi les incontournables en Israel, Enrico a interprété Melisa et Zingarella, accompagné sur cette dernière par Yaël Levy en Zingarella envoutante et mystérieuse.

Autre moment fort de ce concert, « Al Kol ele » interprété avec beaucoup d’émotion par Enrico, repris à l’unisson par toute la salle agitant des centaines de petites lumières. Cette musique et cette communion de toutes les âmes réunies dans cette salle vous prend aux tripes.

Enrico nous a fait la surprise d’inviter Symon, son petit fils, à le rejoindre sur scène où ce dernier nous a interprété avec beaucoup de talent « La femme de mon ami » en français et en hébreu ainsi que son adaptation française de « Ya Rayah », « Dans tes yeux ». Sa belle voix, son charisme, sa façon incontestablement héritée de son grand père de tisser immédiatement un lien chaleureux avec le public lui promettent un bel avenir et le public ne s’y est pas trompé.

Et bien sur, comme partout, la partie orientale du spectacle est le summum de la fête.

C’est le sourire aux lèvres que je vous raconte cet épisode car je crois qu’il se répète à chaque passage en Israel.
Tentant encore une fois de faire son travail comme il se doit, le garde du corps d’Enrico, immense et imposant, a essayé de contenir le public et a pourchassé jusqu’à leur place quelques téméraires qui tentaient une percée vers la scène.
Pourtant il devrait connaitre « la chanson » depuis le temps … Car c’est lui qui, à son tour, s’est fait poursuivre par Enrico, pour qu’il laisse le public approcher. Et un seul geste du chanteur en direction de la salle a libéré le public qui, en un éclair, a cerné la scène pour chanter et danser au plus près du chanteur.

Cette liesse, cet amour incomparable entre l’artiste et son public, cette volonté de tout oublier pour chanter et danser dans un même élan du cœur sont des images et des moments dont on ne se lasse pas et qui font chaud au cœur.

Vraiment BRAVO ENRICO !!!!!!!!!!

Comme cette soirée n’était que la première d’une série de 6, nous vous parlerons dans un prochain article bien evidemment des musiciens, des techniciens qui accompagnent Enrico et qui tous excellent dans leur art.

Et nous ne pouvons conclure sans remercier également Yoav Zemach qui, lui aussi, est habité par cet amour qui le lie à Enrico et qui organise toujours de main de maître ces tournées israéliennes.

Rendez vous Mardi 30 mai à Kyriat Motzkin pour une autre fête étourdissante.

De notre envoyée spéciale à Vandoeuvre Les Nancy
Merci Muriel

La magie maciasienne a encore frappé ce samedi 6 mai au Parc des Expositions de Vandoeuvre les Nancy, mais nous n’en doutions pas.

Des plus jeunes aux plus vieux, tous étaient venus pour faire la fête et ils n’ont pas été déçus. Dès le début, dans un espace à priori froid, comme peuvent l’être des hangars, la chaleur dégagée par Enrico et son orchestre a immédiatement subjugué les 3.000 spectateurs présents.

Revisitant ses grands classiques et quelques chansons qui le sont moins, Enrico a comme toujours, apporté de la joie à chacune des personnes présentes.

Que ce soit monsieur le Maire Stéphane Hablot, qui a partagé avec nous sa propre expérience, ses propres souvenirs liés à Enrico grâce à son instituteur d’école, monsieur Bittoun, également présent.

Que ce soit les enfants de tous âges venus faire la fête avec leurs parents et grands-parents. En témoigne cette magnifique petite danseuse de flamenco mais qui dansait tout aussi bien la danse orientale.

Que ce soit les spectateurs du quatrième âge qui ont retrouvé les gambettes de leurs 20 ans, pour témoigner leur amour à notre chanteur préféré. Nous nous sommes tous retrouvés à ses pieds dès que la musique a commencé à nous envoûter pour ne plus nous rassoir jusqu’à la fin du concert. Pour finir, je voudrais citer l’un des intervenants qui a très justement dit « la chanson c’est plus ce qu’on partage que ce qui nous différencie ». Qui mieux qu’Enrico prouve la véracité de cette pensée, il est certain que personne ne le fait mieux que lui.

Merci à tous les organisateurs bénévoles et à monsieur le Maire pour nous avoir permis de nous retrouver en cet après-midi printanier où le soleil brillait encore plus à l’intérieur qu’à l’extérieur.

Et bien sûr, merci à Enrico et à ses musiciens de nous apporter un bonheur sans cesse renouvelé, quel que soit le lieu.

Après avoir sillonné les quatre coins de la France depuis le début de cette tournée anniversaire, nous nous retrouverons pour commémorer ce jubilé des 60 ans en Israël dès le 28 mai.