Photo Maxime Picard – Imacom
Steve Bergeron – La tribune
Même si Monsieur Macias, à presque 71 ans, a maintenant le vibrato moins leste et le pas plus calculé, il a toujours en lui cette flamme inextinguible, ce sens de la fête qui le rend si proche, même si on a envie de le saluer bien bas pour un tel parcours de vie.
«Il y a longtemps que je n’étais pas venu chanter dans la région. Je garde de bons souvenirs de Sherbrooke», a-t-il assuré. Plus tard, la dernière ligne de Paris tu m’a pris dans tes bras deviendra Cheurbrwooke, je suis ben dans tes bras. «Vous êtes ben cute!» ajoute-t-il dans le délire total.
Après quinze petites minutes de retard, la prestation a commencé lentement. Il faut dire que Gaston Ghrenassia avait réservé pour le début ses chansons où le texte se goûte à la syllabe près. Il a bénéficié d’une assistance d’une grande qualité d’écoute.
Dès la troisième chanson, les six musiciens se retrouvaient dans la pénombre, pendant que la vedette du jour empoignait sa guitare, démontrant encore l’adresse de gitan dont il est encore capable sur sa six-cordes.
Mais c’est avec Noël à Jérusalem que l’Algérien a mis le feu dans la salle. Jusqu’alors timides, les interventions des spectateurs sont devenues assurées et gaillardes, qu’il s’agisse de faire les lalala, les poï poï poï ou les aïe aïe aïe. Une chanson en espagnol, La casa del sol, avivait les braises, pendant que Dis-moi ce qui ne va pas transformait le Granada en choeur volontaire.Tous les détails dans La Tribune de vendredi…

Vous êtes tous la ?????????????

Mais oui,
Vous êtes fidèles, comme notre artiste

Alors facile pour ce soir …….

Des fois, la facilité provoque le relachement de l’attention et pousse à la faute…. C’est bien connu en sport.
C’est malheureusement, ce qui est arrivé à certains d’entre vous. Je vous rappelle que le jeu comprend deux questions : Quel est le titre de l’album et quelle année il est sorti ?? Désolée mais un arbitre se doit d’être impartial …

La bonne réponse était donc « La fête à l’Olympia » (olympia de 1995) sorti en 1996

Points :
Claudius : 35 pts
Philippe : 32 pts
Varta : 18 pts
Kataline : 14 pts
l’amie fidèle 9 pts
Sandra : 2 pts
Denise : 1 pt

Bienvenue à Denise qui nous rejoint sur ce jeu.

Photo Rocket Lavoie – Le quotidien

Mélyssa Gagnon – Le Quotidien

(LA BAIE) Gaston Ghrenassia, alias Enrico Macias, a fait une fleur à plusieurs dames du Saguenay-Lac-Saint-Jean hier soir au Théâtre du Palais municipal de La Baie, à l’occasion du coup d’envoi de sa tournée québécoise.

Elles étaient nombreuses, ces dames, assises dans les gradins de l’amphithéâtre baieriverain, à fredonner les airs popularisés au fil des ans par le célèbre chanteur d’origine algérienne. Certes, il y avait des hommes dans la salle. Mais en grande majorité, le public était formé de représentantes de la gent féminine, pour la plupart âgées de 50 ans et plus.

Reconnu pour sa musique arabo-andalouse emblématique de ses terres natales, Enrico Macias a prouvé, s’il devait encore le faire, qu’il sait conjuguer rythme et romantisme. Vêtu d’un complet marine et d’une chemise à rayures, le chanteur qui ne fait pas du tout ses 70 ans, s’est montré relativement discret à son entrée sur scène.

Après avoir entamé les premières notes de «Juif espagnol», pièce aux paroles légèrement modifiées, passage au Québec oblige, la glace était cassée. Sympathique, Enrico Macias a souligné l’importance qu’il accorde aux gens des régions. À maintes reprises pendant le concert, le chanteur y est allé de clins d’oeil à la Belle Province, à La Baie, à Chicoutimi.

«La région, c’est plus important que tout. C’est le Québec profond que je viens rencontrer», a-t-il signifié, avant d’être applaudi chaleureusement.

Il n’en fallait pas plus, mis à part peut-être la très attendue livraison du classique «Dis-moi ce qui ne va pas», pour que le public soit totalement conquis. Cette chanson fétiche des Québécois s’est pointée assez tôt en soirée. Quatrième, pour être précis. Satisfaite, la foule n’avait qu’à se laisser bercer.

Le journal de Sherbrooke
Cynthia Dubé
Spectacles – Publié le 28 octobre 2009 à 16:03

Il fait carrière aux quatre coins de la planète, et ce, depuis maintenant quarante-sept ans. Au cœur d’une tournée internationale dans laquelle ses grands succès sont à l’honneur, Enrico Macias s’arrête au théâtre Granada, le jeudi 5 novembre.

« C’est un spectacle qui représentera toutes mes racines musicales. Je ferai un petit panorama de mon histoire. J’y interprèterai quelques nouvelles chansons, mais surtout mes grands succès, puisque le public préfère entendre mes anciennes chansons », explique d’un ton des plus sympathiques Enrico Macias.

Et elles sont nombreuses ses anciennes chansons qui ont la cote du public! Après tout, le chanteur guitariste a vendu plus de soixante millions d’albums au cours de sa longue carrière. Un nouvel opus devrait sortir en 2010, soit dix ans après La vie populaire.

Artiste voyageur

La tournée de spectacles 2009-2010 l’emmène encore une fois à voyager d’un bout à l’autre de la planète. L’artiste français né en Algérie se dit d’ailleurs citoyen du monde. « Je suis contre les frontières! J’aime voyager, mais pas pour y découvrir des paysages. Ce qui m’intéresse le plus, c’est la rencontre avec les gens qui habitent dans des pays loin du mien. J’aime voir comment ils vivent, comment ils pensent », raconte l’artiste qui chante dans pas moins de six langues (français, anglais, espagnol, italien, hébreu et grec). Et laquelle raconte le mieux l’amour? « L’hébreu, parce que c’est ma langue maternelle, celle de mon peuple. C’est tout le berceau de l’humanité qui s’y retrouve! »

Artiste engagé, il ne se cache pas pour donner ses opinions sociales et politiques. « Il faut bien se situer quelque part lorsque nous avons des engagements! Cependant, mon souci est de ne pas influencer les gens que j’aime. Je dis mes opinions, mais je ne les impose pas. Par contre, il y a des valeurs que je défends. Je veux que l’on m’écoute lorsqu’il s’agit de la paix, de la solidarité et de la générosité. Ce sont des valeurs très importantes à mes yeux », lance celui qui a reçu le titre de Chanteur de la paix en 1980.

Alors ce fusain la ……..
Il vous chante quoi à l’oreille ????
Aie, aie, aie, aie, aie,aie
aie aie aie comme je l’aime
pourtant elle m’en fait voir du matin jusqu’au soir …..
Vers qui, vers quoi, tu m’emmèneras,
Vers qui, vers quoi, je ne le sais pas….
Bon, je ne vous les chante pas toutes, vous les connaissez aussi bien que moi.
Il s’agit bien de l’album que l’on peut se permettre de nommer
ZINGARELLA (voir les précisions de Philippe dans les commentaires) sorti en 1989
Messieurs attention, l »‘outsider » Kataline est de retour. Elle et varta sont très fortes. DANGER !!!
Points : Claudius : 32 pts
Philippe : 30 pts
Varta : 16 pts
Kataline : 12 pts
L’amie fidèle : 8 pts
Sandra : 2 pts

Interview de Serge Drouin

Pour le Journal de Québec

3 Novembre 2009




Après sept ans d’absence, Enrico Macias revient au Québec pour une mini-tournée. À 71 ans, le chanteur éprouve toujours un immense plaisir de retrouver le public d’ici.

« J’ai eu l’occasion de venir à Montréal au cours des dernières années, mais je n’ai pas fait de tournée comme celle-ci depuis sept ans», dit le chanteur qui s’arrêtera notamment au Grand Théâtre de Québec le 6 novembre, après avoir visité le Saguenay (le 5), et avant de se rendre à Montréal (les 7 et 8, à l’Olympia) et à Gatineau (le 8).

« Je garde d’excellents souvenirs de Québec. Je me souviens que j’allais entendre Pierre Roche, à l’Auberge des Gouveneurs, toutes les fois que je venais ici », note Macias.

Le bonheur

S’il n’est pas venu nous voir durant toutes ces années, c’est que le chanteur a été très occupé « à travers le monde» au cours des dernières années.

Aussi, Macias a eu la douleur de perdre sa femme des 40 dernières années, en décembre 2008. « Comme elle a été assez malade, j’ai pris soin d’elle. Après son décès, je me suis accordé quelques mois de pause. En fait, c’est la deuxième tournée que je fais depuis qu’elle est morte. Il y en a eu une en juin et celle-ci », dit le chanteur.

Enrico Macias a toujours la passion de son métier. « Aller à la rencontre des gens, de l’amour des gens et de la musique, c’est ce qui me garde en vie. J’ai beaucoup voyagé grâce à mes chansons. C’est un grand bonheur, dit-il. Si je n’ai pas ça, je meurs », ajoute le chanteur qui n’a pas cessé de chanter la paix, l’amour universel durant toutes ces années. « Je crois toujours au pouvoir d’une chanson de changer les choses. La preuve, c’est que la musique m’a amené à devenir ambassadeur pour l’ONU. J’y fais des missions humanitaires et politiques. »

La forme

Pour garder la forme, Enrico Macias s’adonne à la natation. « C’est l’exercice que je conseille à tout le monde, le plus complet. En plus, il aide à perdre des calories… Je lis aussi et je regarde la télé. »

Ayant plus de 50 ans de carrière derrière lui, Macias dit qu’il est l’un des derniers à pratiquer le métier de cette façon, comme le font aussi Charles Aznavour ou Johnny Hallyday.

« Je pense que l’authenticité dans la musique que j’interprète et le fait de ne jamais avoir été à la mode ont fait que je suis toujours là. » Et il entend être là encore pendant des années…

Il est des nuits où l’on se tourne et se retourne dans son lit en pestant après ce sommeil qui nous fuit.
Mais parfois, comme pour moi ce matin, je me suis dit qu’une petite étoile m’avait tenue éveillée et guidée sur le net pour vous dénicher ces deux interviews d’Enrico sur les radios canadiennes

Caroline Duchesne a dialogué avec notre artiste pour l’émission « Tout l’monde debout » (Saguenay) sur la radio canadienne Rock détente le mardi 27 octobre 2009

ça y est, le voila ce 10 ème fusain


Alors, qui a le, les doigts, mais aussi l’ordinateur, les plus rapides

Réponse dans 48 heures


Pas d’hésitation …………
Les réponses ont fusé dans la seconde même

il s’agit bien de L’OLYMPIA 1964

Claudius reprend la tête… Mais jusqu’à quand ???? les jours à venir nous le diront ….
Points : Claudius 30 pts
Philippe 28 pts
Varta 14 pts
Kataline 8 pts
L’amie fidèle 6 pts
Sandra 2 pts
Bravo à vous tous