Qu’ils sont beaux les amis d’Enrico, et nombreux encore hier soir pour répondre à l’invitation de leur maître !

Quelle ambiance maman chérie !!!!!!!!!!!!

ET QUEL MAGNIFIQUE ENRICO !!!!!!!!

Il nous a encore rempli de joie hier soir et, avec sa générosité habituelle, il a, une nouvelle fois, enflammé la salle qui a su l’acclamer, l’applaudir, le fêter comme un ami inestimable qu’il est pour chacun de nous.

Et pour ce samedi soir, il nous avait réservé deux très belles surprises, deux splendides duos, avant première de son nouvel album à sortir en décembre.

« Sans voir le jour » est déjà une très belle chanson, mais chantée et jouée en duo par Enrico et GERARD DARMON, quel bijoux !!!!!
Une interprétation toute en douceur, en nuances, en sensibilité, forte en émotion.
Merci Enrico, merci Gérard pour ce moment d’exception. On a adoré !

Mais les cadeaux ne s’arrêtaient pas là. Quelle ne fut pas la surprise de la salle, au moment d’entonner les premiers mots du « mendiant de l’amour », de ne pas reconnaitre la voix d’Enrico mais d’assister à l’entrée sur scène d’un feu follet, fort de l’énergie de sa jeunesse mais aussi d’une voix splendide !
Le mendiant de l’amour chanté par Enrico Macias et MICHAEL MIRO quel KIF !!!
On se croyait tout à coup plongé dans une comédie musicale. La troisième génération a chanter « le mendiant de l’amour » a dit Enrico. Oui et comme ils se complétaient bien ces deux là malgré leur âge et leur style si différents. Le public ne s’y est pas trompé et a adoré !!!! Une explosion de joie !

Merci Enrico pour ces deux heures de bonheur intense, de communion, de fête et de danse.
Comme on aimerait que ça ne finisse jamais et comme ces deux heures passent trop vite.
On vous aime Monsieur MACIAS ! Non vous n’êtes pas seul au monde mais nous non plus en votre compagnie.
Nous avons déjà hate d’être demain.

Vraiment qu’il est beau ce cinquantième anniversaire et comme nous sommes tous heureux de vous savoir reparti pour cinquante ans …..

A DEMAIN !

 

 

 

Dans ma précipitation et mon impatience à vouloir vous donner les premières impressions sur cet Olympia 2012 un peu spécial, j’ai omis de vous raconter que se trouvait dans la salle, vendredi soir, un spectateur un peu spécial.
Khaled était venu applaudir son ami et lui aussi lui souhaiter un joyeux anniversaire. Averti de sa présence, Enrico n’a pas manqué de le saluer et l’a invité à venir sur scène chanter avec lui.
C’est ainsi que, de manière tout à fait improvisée, nous avons pu gouter à l’un des duos du prochain album qui nous a,  interprété……… « L’oriental ».
Beaucoup d’émotion à écouter ces deux chanteurs aux origines communes interpréter un classique de leur pays.
On a adoré ! merci à vous

Et toutes mes excuses à Khaled pour cet oubli bien involontaire mais qui est réparé

Après avoir décompté les mois, puis les semaines et les jours, nous étions enfin là devant le rideau rouge, impatients de découvrir ce que nous avait réservé Enrico pour fêter ses 50 ans de carrière.
Dès 19h30, le public se massait nombreux sur le trottoir du boulevard des capucines, profitant des derniers rayons de soleil de cette belle journée parisienne sous l’affiche lumineuse de la mythique salle de l’Olympia.
Les amis, les fans, ils étaient tous là, fidèles au rendez vous fixé par le « chanteur de la famille ». Les retrouvailles, les embrassades, les conversations animées se répercutaient d’un groupe à l’autre et tous étaient contents de se trouver réunis pour cet instant magique.
Puis, peu à peu, par petits groupes, chacun s’est acheminé le long du couloir foulant le tapis rouge pour regagner sa place dans la salle.

En première partie, Milena Kartowski, accompagnée d’un trio jazz, nous a proposé quelques morceaux de son répertoire tirés de la musique juive mystique traditionnelle. Splendide voix, elle nous a offert un très beau moment d’émotion.

Et puis, enfin, le moment d’ouvrir le rideau rouge est arrivé. Et c’est un orchestre enrichi de cuivres et d’un violon et un violoncelle, en entamant une superbe introduction du « violon de mon père », qui a annoncé le début de la fête. Et après quelques mesures, une clameur est monté de la salle pour saluer l’entrée de celui que tous attendaient.

Et c’est un Enrico resplendissant qui a investi la scène. Elégant comme toujours dans un costume gris, une chemise blanche mettant en valeur un bronzage de cuivre, il a entonné le violon de mon père avec ses musiciens.

Et pendant deux heures, c’est un véritable feu d’artifice maciasien qu’il nous a proposé pour cette soirée très spéciale. Le public a eu le bonheur de pouvoir écouter et chanter en coeur avec son artiste, tous ces tubes qui ont jalonné 50 ans d’une carrière si remplie. Bien sur ceux qui n’ont jamais quitté son répertoire, « Paris tu m’as pris dans tes bras », « Les gens du nord », « Le mendiant de l’amour » mais aussi de belles surprises comme « Sans voir le jour », « vous les femmes » ou « Venez tous les amis ». Il n’a pas oublié ses standards pour la Paix « Le grand pardon », « Un berger vient de tomber » mais aussi ses grands succès de ces dernières années « La vie populaire », « Tu n’es pas seul au monde » ou « Adio Kerida ». On ne peut passer sous siilence un grand moment d’émotion lorsqu’Enrico a chanté « Pour toutes ces raisons je t’aime » et le public s’est levé pour une ovation très spéciale pour Enrico bien sur, mais aussi pour saluer une grande absente dans la salle mais présente dans tous les coeurs, SUZY.

C’est vraiment une soirée magnifique de chaleur, d’enthousiasme, de fête que nous avons vécue hier soir et c’était pour tous un bonheur extrême de voir Enrico heureux, détendu, dans une forme superbe, savourant son plaisir d’être sur cette scène et de partager ces instants de communion avec son public. Et, il faut bien le dire, comme à son habitude, il a été présent ce public tout au long de la soirée ne ménageant pas ses applaudissements, ses youyous, et chantant d’une seule voix avec Enrico.

Oui vraiment un très bel anniversaire que cet Olympia. Et nous avons hâte de nous y replonger ce soir ………….
Nous nous ferons donc un plaisir de partager avec vous tous les fidèles d’enrico et de ce blog nos impressions…….
La fête n’est pas terminée, alors venez encore nombreux ce soir et demain dimanche !!!!!!!

Hélène Keller-Lind

mercredi 5 septembre 2012

C’est un magnifique programme double que nous propose Enrico Macias à l’Olympia les ,7, 8 et 9 septembre : au programme les musiques orientales si connues, mais aussi  d’Europe de l’Est, un voyage musical avec rencontres et partages. C’est dans cet esprit qu’en première partie Miléna Kartowski, chantera le yiddishkayt, monde auquel elle redonne vie, ici avec des chansons de son Hassidish Project. A ne pas rater.

On ne raconte plus Enrico Macias, ce chanteur si généreux et chaleureux, qui fit connaître et aimer ici la musique orientale. Il y ajouta récemment d’autres sonorités, d’autres couleurs musicales avec la musique d’Europe de l’Est et quelques chansons en Yiddish. Il sera en concert à l’Olympia les 7, 8 et 9 septembre. Un concert attendu par le public qui lui est fidèle depuis toujours, mais aussi, grâce à sa nouvelle palette, un nouveau public

Cette volonté d’ouverture vers d’autres sonorités, d’autres aspects de la culture musicale juive, que montre Enrico Macias depuis quelque temps se concrétisera par le choix de ce qu’il interprétera mais aussi avec la participation de Miléna Kartowski en première partie. Cette jeune artiste, compositeur, interprète, a pour passion le yiddishkeit qu’elle chante avec amour, passion même, d’une voix au registre étonnant, dans un travail de création, de recréation.

Musiques orientales et Yiddishkeit à l’Olympia Faire l’Olympia a vingt-quatre ans est pour elle « une cadeau magnifique », certes, mais elle s’en réjouit pour d’autres raisons aussi. « Cela fait peut-être quarante ans que l’on n’y avait pas chanté en yiddish », dit-elle. Et, « faire la première partie d’un artiste juif, qui le revendique, est actif pour la communauté juive et Israël est encore un cadeau » dit-elle. De plus ce concert est donné « pour ses cinquante ans de carrière, ce qui est tout un symbole ».

Autre symbole de ces rencontres qu’elle incarne : elle-même est à moitié séfarade par son père – qui, lui, précise, judéo-berbère –, à moitié ashkénaze par sa mère et Enrico Macias marie ici toutes les traditions juives.

Ce choix de Miléna Kartowski n’est pas dû au hasard. Sa volonté de faire revivre le Yiddishkeit par la musique, et de le faire avec passion, talent et une grande sensibilité, l’a menée à sa découverte de Brooklyn en Israël, avec des concerts donnés dans le cadre du Festival Yiddish à Montréal ou en Ukraine à Lviv – qui fut un centre juif prospère avant la guerre – du Festival des Musiques Juives de Carpentras, Paris, ou sur des scènes comme l’Ermitage. Cette artiste ne se contente pas de chanter des textes d’antan. Tout en les respectant, elle les reprend, les réarrange avec ses musiciens, leur donnant une discrète coloration jazz et les insère dans des spectacles vivants qui mêlent tradition, joie et tristesse. Elle l’a fait avec un savoureux « Cortège du Tchoulent » ou ici, avec des extraits de son « Hassidish Project ». Chansons hassidiques chantées pour la première fois sur scène par une femme  Ce travail musical qui est aussi un travail de mémoire est sous-tendu par un travail intellectuel solide. Ainsi vient-elle d’obtenir sa Maîtrise en Philosophie des Religions avec mention.

Des qualités qui l’ont amenée à cette première partie du concert d’Enrico Macias grâce à sa rencontre avec l’artiste lorsque celui-ci a reçu le Prix de la Fondation du Judaïsme en janvier dernier. Des membres de la Fondation avaient souhaité qu’elle chante lors de la remise du prix. Travaillant alors avec Jean-Claude Ghrenassia, le fils de l’artiste, lui-même musicien de jazz, qui a dirigé plusieurs labels et est passionné de yiddish, elle chanta alors un duo avec Enrico Macias. Ils interprétèrent avec succès une version yiddish de « Paris, quand tu me prends dans tes bras ».

C’est ainsi qu’alors qu’elle était dans un camp de vacances de l’UEJF à 3 heures de Budapest elle reçut un appel de Jean-Claude Ghrenassia lui demandant, comme si cela était la chose la plus naturelle du monde, si elle voulait faire cette première partie. Et c’est depuis la campagne hongroise qu’elle l’organisa.

article paru sur le site : desinfos.com ICI

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=wdC8ZeLK80U[/youtube]

Enrico Macias « Sans voir le jour » Концерт Олега Погудина на Фестивале музыки русских усадеб « Дворянские сезоны » 31.08.2012. Москва. Музей-усадьба « Влахернское-Кузьминки »

Pour fêter ses cinquante ans de carrière, Enrico Macias nous a préparé un nouvel album tout à fait particulier

Comme une synthèse de ces cinquantes années, il reprend certains de ses plus grands classiques en duo avec ses amis de toujours ou plus jeunes talents

Son fils Jean Claude et son chef d’orchestre de toujours, jean Claudric, en ont fait les arrangements qui, n’en doutons pas, seront des petits bijoux

On pourra savourer « Adieu mon pays » avec Cali, « l’oriental » avec Khaled, « les filles de mon pays » avec Dany Brillant, « Les gens du nord » avec Carla Bruni, « le mendiant de l’amour » avec Mikaël Miro, « Dis moi ce qui ne va pas » avec Natasha Saint Pier, « Sans voir le jour » avec Gérard Darmon , mais aussi « L’Algérie » (chanson de Serge Lama) avec Serge Lama lui même.

 

Gageons, qu’une fois encore, ce nouvel album va nous réserver beaucoup de surprises et d’émotion

 

En attendant, nous nous retrouvons tous à l’Olympia, les 7, 8 et 9 septembre pour fêter notre chanteur préféré !!!!!!!!

VENEZ TOUS LES AMIS !!!!!!!!!!!!!!!!!