Le dernier concert de la tournée israélienne 2023 se tenait au théâtre de Jérusalem et ce fut encore une magnifique fête devant un public chaleureux et enthousiaste. L’ambiance était magnifique et le public complètement conquis.
En remerciement, Enrico lui a réservé quelques surprises impromptues pour ce dernier soir.
Depuis quelques mois, Kamel Labbaci utilise sur scène un oud électrique à la sonorité un peu différente de celle du oud traditionnel. Ce oud faisait, en quelque sorte et si je puis m’exprimer ainsi, de l’œil a Enrico depuis quelques concerts et l’envie d’en faire résonner les cordes sur scène le tenaillait.
Quand le maître veut, il finit toujours par obtenir gain de cause. Et c’est à Jérusalem qu’il s’est emparé de l’instrument posé à côté de Kamel pour offrir un petit récital aux côtés de son violoniste et d’Amar durant le medley arabo andalou. Ce fut un moment de pur bonheur pour tous et nous nous sommes évadés pour quelques minutes, là-bas, sur le rocher de Constantine pour un kiff musical.

Autre surprise en fin de concert : devant les rappels chaleureux et insistants du public qui mettait toute son énergie pour ne pas laisser sortir de scène Enrico, ce dernier leur a offert en exclusivité « Yerushalaim Shel zahav », cadeau oh combien apprécié par l’assemblée et reprise en chœur par tous.

Alors que les cœurs se serrent de devoir se séparer après de si beaux moments de fête, que retiendrons nous de cette tournée ?

D’abord et avant tout, l’amour profond et touchant du public israélien pour Enrico, amour construit sur des racines communes, une histoire et une culture partagées. Ces liens spéciaux entre le chanteur et son public, nous vous en avons souvent parlé mais, en Israël, il est presque palpable et envahit l’espace à chaque concert.


Un des moments forts du spectacle a été incontestablement « Al Kol Ele ». Entendre la salle entière chanter l’intégralité de cette très belle chanson à l’unisson avec le chanteur était saisissant et cette ferveur, accompagnée et soutenue par une interprétation grandiose de l’orchestre, nous a donné les mêmes frissons et une intense émotion à chaque fois. Les centaines de petites lumières illuminant l’obscurité de la salle ajoutait un effet magique à ce moment.

Pour avoir moi-même vécu ces moments, je suis aussi toujours touchée et émerveillée par toutes ces mains qui se tendent vers l’artiste dans l’espoir fou d’avoir la chance de le toucher, de lui serrer la main. Et chacun de vouloir lui glisser que, comme lui il est né à Constantine, ou qu’il l’a rencontré il y a très longtemps ici ou ailleurs, ou qu’il a enfin réalisé aujourd’hui son rêve le plus cher : « … le voir sur scène ». Tous ces gens considèrent Enrico comme un membre de leur famille et l’approche sans crainte comme un ami connu et reconnu.

Un autre moment d’émotion m’a été donné de vivre à Jérusalem. Un vieux monsieur assistait, à côté de moi, au concert, assis sur son fauteuil roulant. Nos regards se sont croisés à plusieurs reprises dans la pénombre et ses yeux scintillaient de bonheur. Alors quel beau moment, à l’instant du « mendiant de l’amour », de le voir, tout seul, sans aucune assistance, s’accrocher aux barrières devant lui pour se dresser sur ses jambes et danser à l’unisson de tous ceux qui étaient devant la scène.
Il est beau le pouvoir de la musique et de la voix chaude d’Enrico.

Je ne terminerai pas ces lignes sans parler aussi du bonheur et du sourire illuminant le visage d’Enrico face à ce public massé devant la scène pour chanter et danser avec lui, l’acclamant avec tant de ferveur :
« Enrico ! Enrico ! Enrico ! …………… »
On aimerait que ces instants durent toujours pour lui et pour nous. En tout cas, ils resteront éternellement gravés dans nos mémoires.

Le temps passe vite, trop vite, et ces 6 concerts se sont envolés à la vitesse de l’éclair mais ils nous ont offert tant d’émotions et de bonheur qu’il nous faut remercier en premier lieu Jean Claude Ghrenassia, le fils d’Enrico, qui a construit le spectacle avec son papa et qui en a réalisé tous les arrangements.

Et puis, nous voulons aussi remercier Yoav Zemach, le producteur israélien qui organise toujours ces tournées d’une main de maître et ne ménage pas sa peine pour que cette tournée soit un succès. Il a repris la suite de son père Shmulik Zemach, producteur israélien historique d’Enrico Macias, avec maestria.

Nous n’oublions pas les musiciens et les techniciens qui ont accompagné Enrico durant ces 6 concerts mais nous allons cette fois leur réserver un article à venir dans les jours prochains afin que nous puissions vous les présenter comme ils le méritent. Ce n’est pas moi, c’est Enrico lui-même qui le dit

Je veux remercier tous les Israéliens qui nous ont accueillis avec beaucoup de chaleur, d’attention et de gentillesse

Reste Enrico
Je veux avant tout lui dire BRAVO !!! Son énergie, sa volonté de donner tant de bonheur et d’amour à chacun sur toutes les scènes du monde est, après tant d’années, remarquable.
Et ensuite je veux lui dire MERCI mille fois pour tous ces moments de fête hors du temps. On voudrait que ça ne s’arrête jamais.

Pour ce 5ème et avant-dernier concert de cette tournée 2023 intitulée « Shalom Israël », c’est à guichet fermé que s’est jouée cette soirée.
Et elle a été à la hauteur des attentes de chacun.
Se jouant de la fatigue, Enrico a été une fois de plus extraordinaire et son sourire éclatant en disait long sur son bonheur.

Et que dire de celui du public qui a été, lui aussi, exceptionnel de bout en bout. Attanquant chaque chanson dès les premières notes de l’intro reconnues, il a porté le chanteur tout au long de son récital, lui renvoyant en boomerang sa joie de partager ces moments avec lui.

Symon – la femme de mon ami

Et la fête s’est terminée par une standing ovation de plusieurs minutes pour remercier Enrico pour ces moments gravés à jamais dans leur coeur et leur mémoire.

Dernier concert ce soir à Jerusalem

Retrouvez nous dans quelques jours pour un article plus complet et un diaporama de la tournée

Après Tel Aviv et le nord d’Israel, c’est vers le sud et Beer Sheva qu’Enrico a tourné ses pas hier.
Et comme pour toutes les précedantes soirées, le public s’est déplacé nombreux pour applaudir le chanteur.

Symon sous l’oeil vigilant de son grand père
Trois générations de musiciens sur cette photo

Encore une soirée magique pour tous les fans d’Enrico Macias qui l’ont acclamé : « Enrico ! Enrico ! Enrico ! …. » pour le remercier de ces moments inoubliables de bonheur et de partage dont lui seul a le secret.

Le dicton affirmant que les voyages forment la jeunesse, c’est au nord est d’Israel, à proximité de Beit Shéan qu’Enrico Macias avait donné rendez vous hier soir à tous ses fans.
A notre arrivée, nul indice d’un batiment quelconque. Si vous n’êtes pas accompagné de quelqu’un du pays, vous ne pouvez deviner que là va se tenir la fête puisque c’est dans une salle troglodyte que nous étions conviés. Un lieu surprenant mais qui, une fois à l’intérieur, nous a offert le même confort physique et accoustique que partout ailleurs.

Ce fut encore une magnifique soirée de fête, de bonheur et de communion tant pour Enrico que pour le public, sans oublier Symon qui fait un tabac chaque soir.
Quelques images choisies pour vous en attendant le prochain concert à Beer Sheva samedi soir

Après Tel Aviv, c’est en direction de Kyriat Motzkin et de son théâtre qu’Enrico Macias a dirigé ses pas hier.
Et c’est devant une salle toute aussi pleine et enthousiaste qu’il a offert à son public une soirée inoubliable de fête.

Même si chacune de ces fêtes est unique, je vous réserve un article complet à la fin de la tournée

Pour vous faire patienter, voici quelques photos d’hier soir.

Certains m’ont déjà demandé la liste des chansons.
Voici celle d’hier

Aux talons de mes souliers
Adieu mon pays
Oh guitare, guitare
Medley : Non, je n’ai pas oublié, solenzara, Mon cœur d’attache, Paris tu m’as pris dans tes bras

La femme de mon ami (Symon, petit fils d’Enrico)
Dans tes yeux (Symon)

Pour tout l’or du monde
Melisa
L’amour c’est pour rien
Pour toutes ces raisons, je t’aime
Chanter
Enfants de tous pays
Zingarella
Aie aie aie je l’aime
Al Kol Ele
Une fille à marier
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
Mon chanteur préféré
Medley oriental
Le mendiant de l’amour
L’oriental
El porompompero

La tournée d’Enrico Macias est toujours attendue avec beaucoup d’impatience par les Israéliens et l’auditorium Charles Bronfman de Tel Aviv est un incontournable lieu de rencontre entre Enrico et eux.

C’est donc sans aucune surprise que la magnifique salle du centre culturel était pleine à craquer hier soir à 20h, bruissant d’un brouhaha joyeux et impatient

Le temps de dire bonjour à un voisin, un ami, de se saluer, se congratuler et doucement les lumières s’estompent, la pénombre s’installe laissant entrer les musiciens sur scène.

Chacun retient son souflle quand montent les premières notes de flûte si magnifiquement jouées par Kamel Labbaci. Puis l’orchestre entonne les premières notes d’ »Aux talons de ses souliers » et les cris de joie fusent car là-bas, sur la droite de l’immense scène, entre l’artiste tant attendu. La fête peut commencer.

 Et quoi de mieux pour chauffer l’ambiance que les incontournables succès « Adieu mon pays », « Oh Guitare », et un medley qui permet à chacun de reprendre en chœur avec le chanteur ses plus beaux airs.

Pendant deux heures sans aucun entracte, les Telaviviennes et Telaviviens, ont scandé, chanté, applaudi, mettant une ambiance folle et enivrante.

Parmi les incontournables en Israel, Enrico a interprété Melisa et Zingarella, accompagné sur cette dernière par Yaël Levy en Zingarella envoutante et mystérieuse.

Autre moment fort de ce concert, « Al Kol ele » interprété avec beaucoup d’émotion par Enrico, repris à l’unisson par toute la salle agitant des centaines de petites lumières. Cette musique et cette communion de toutes les âmes réunies dans cette salle vous prend aux tripes.

Enrico nous a fait la surprise d’inviter Symon, son petit fils, à le rejoindre sur scène où ce dernier nous a interprété avec beaucoup de talent « La femme de mon ami » en français et en hébreu ainsi que son adaptation française de « Ya Rayah », « Dans tes yeux ». Sa belle voix, son charisme, sa façon incontestablement héritée de son grand père de tisser immédiatement un lien chaleureux avec le public lui promettent un bel avenir et le public ne s’y est pas trompé.

Et bien sur, comme partout, la partie orientale du spectacle est le summum de la fête.

C’est le sourire aux lèvres que je vous raconte cet épisode car je crois qu’il se répète à chaque passage en Israel.
Tentant encore une fois de faire son travail comme il se doit, le garde du corps d’Enrico, immense et imposant, a essayé de contenir le public et a pourchassé jusqu’à leur place quelques téméraires qui tentaient une percée vers la scène.
Pourtant il devrait connaitre « la chanson » depuis le temps … Car c’est lui qui, à son tour, s’est fait poursuivre par Enrico, pour qu’il laisse le public approcher. Et un seul geste du chanteur en direction de la salle a libéré le public qui, en un éclair, a cerné la scène pour chanter et danser au plus près du chanteur.

Cette liesse, cet amour incomparable entre l’artiste et son public, cette volonté de tout oublier pour chanter et danser dans un même élan du cœur sont des images et des moments dont on ne se lasse pas et qui font chaud au cœur.

Vraiment BRAVO ENRICO !!!!!!!!!!

Comme cette soirée n’était que la première d’une série de 6, nous vous parlerons dans un prochain article bien evidemment des musiciens, des techniciens qui accompagnent Enrico et qui tous excellent dans leur art.

Et nous ne pouvons conclure sans remercier également Yoav Zemach qui, lui aussi, est habité par cet amour qui le lie à Enrico et qui organise toujours de main de maître ces tournées israéliennes.

Rendez vous Mardi 30 mai à Kyriat Motzkin pour une autre fête étourdissante.

De notre envoyée spéciale à Vandoeuvre Les Nancy
Merci Muriel

La magie maciasienne a encore frappé ce samedi 6 mai au Parc des Expositions de Vandoeuvre les Nancy, mais nous n’en doutions pas.

Des plus jeunes aux plus vieux, tous étaient venus pour faire la fête et ils n’ont pas été déçus. Dès le début, dans un espace à priori froid, comme peuvent l’être des hangars, la chaleur dégagée par Enrico et son orchestre a immédiatement subjugué les 3.000 spectateurs présents.

Revisitant ses grands classiques et quelques chansons qui le sont moins, Enrico a comme toujours, apporté de la joie à chacune des personnes présentes.

Que ce soit monsieur le Maire Stéphane Hablot, qui a partagé avec nous sa propre expérience, ses propres souvenirs liés à Enrico grâce à son instituteur d’école, monsieur Bittoun, également présent.

Que ce soit les enfants de tous âges venus faire la fête avec leurs parents et grands-parents. En témoigne cette magnifique petite danseuse de flamenco mais qui dansait tout aussi bien la danse orientale.

Que ce soit les spectateurs du quatrième âge qui ont retrouvé les gambettes de leurs 20 ans, pour témoigner leur amour à notre chanteur préféré. Nous nous sommes tous retrouvés à ses pieds dès que la musique a commencé à nous envoûter pour ne plus nous rassoir jusqu’à la fin du concert. Pour finir, je voudrais citer l’un des intervenants qui a très justement dit « la chanson c’est plus ce qu’on partage que ce qui nous différencie ». Qui mieux qu’Enrico prouve la véracité de cette pensée, il est certain que personne ne le fait mieux que lui.

Merci à tous les organisateurs bénévoles et à monsieur le Maire pour nous avoir permis de nous retrouver en cet après-midi printanier où le soleil brillait encore plus à l’intérieur qu’à l’extérieur.

Et bien sûr, merci à Enrico et à ses musiciens de nous apporter un bonheur sans cesse renouvelé, quel que soit le lieu.

Après avoir sillonné les quatre coins de la France depuis le début de cette tournée anniversaire, nous nous retrouverons pour commémorer ce jubilé des 60 ans en Israël dès le 28 mai.

Cette magnifique tournée à l’occasion de ses 60 ans de carrière fait faire un véritable tour de France à Enrico. Depuis le début de l’année 2023, il a foulé les scènes de St Estève, Lyon, Mérignac, Lille, du palais des congrès de Paris, de Marseille et Béziers. A cela s’ajoutent les concerts privés, les nombreuses télévisions et émissions de radio, le tournage de « Maison de retraite 2 » à la mi-avril et il y a deux jours il se trouvait à Istanbul pour recevoir le prix international d’honneur et d’excellence décerné par la magazine Klass.
Beaucoup seraient fatigués pour bien moins que ça.



Mais, sa guitare à la main, porté par l’amour de son public et sa passion pour la musique, Enrico ne laisse aucune prise à la fatigue et la lassitude. Et c’est sur la très belle scène de l’auditorium de la cité des congrès de Nantes que nous l’avons retrouvé ce 4 mai 2023.

A 84 ans, il n’est pas question pour lui de retraite.

Tel un sportif montant en régime au fil de son entrainement, l’artiste est de plus en plus bluffant tant vocalement, musicalement que par son dynamisme et sa forme physique.

Tour à tour chargé d’émotions, festif, blagueur, il a offert 1h45 de pure bonheur à son public nantais.

En symbiose totale avec ses musiciens, ces derniers mettent à son service et à celui du spectacle leur talent et leur virtuosité. A l’écoute du moindre souffle du chanteur, ils répondent instantanément à toute improvisation subite de l’artiste. Car c’est aussi ça Enrico Macias. Il aime improviser, s’évader, sur des notes inattendues ……….

La salle était aux anges et les « Enrico on t’aime » ont fusé de partout tel un feu d’artifice d’amour chaleureux et bienveillant.

Cette ambiance, cette communion, cette joie partagées par tous devant comme sur la scène fait chaud au cœur en ces temps difficiles dans bien des domaines.
Une parenthèse d’espérance et de douceur dont chacun se souviendra longtemps.

Il restera aussi le respect et l’admiration pour un homme, un artiste, qui malgré les aléas de la vie, les hauts et les bas, et malgré l’âge, ne lâche rien, continue sur sa voie avec la même motivation, la même énergie et le même amour plein la tête.

On l’a encore entendu hier soir à la fin du spectacle : « Chapeau Enrico ! » Votre public est admiratif, époustouflé et en redemande encore et encore.

Vous pourrez retrouver Enrico Macias samedi à Vandoeuvre Les Nancy. J’espère que notre envoyée spéciale nous enverra un petit article avec quelques photos.

Puis Enrico s’envolera à la fin du mois pour une tournée exceptionnelle de 6 concerts en Israël, tournée intitulée cette année « Bonjour Israël ».

Vous pouvez retrouver toutes les dates sur notre blog.

Liste des chansons

Il est comme le soleil
Oranges amères/Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
La France de mon enfance
Medley
les gens du nord
Pour tout l’or du monde
Toi la mer immense
Chanter
Pour toutes ces raisons, je t’aime
Enfants de tous pays
La fête orientale
Une fille à marier
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
Habibi
Medley arabo andalou
Ya rayah
Une main devant une main derrière
Le mendiant de l’amour
L’oriental
El porompompero

Après la soirée phare du palais des congrès, Enrico Macias n’a pas pris le temps de la pause.


Dès vendredi, il a repris sa guitare et le chemin de sa tournée pour aller faire la fête à Béziers, dans la très belle salle Zinga Zanga.

Malgré la grisaille extérieure et le temps frais, une chaleur intense régnait dans la salle à l’heure dite.

L’impatience est d’autant plus grande quand on a admiré un artiste toute sa vie durant et qu’enfin, après des dizaines d’années d’attente, on a le bonheur inouï de pouvoir le voir et l’écouter « en vrai » sur la scène. Et à Beziers, comme en beaucoup d’autres endroits, nous avons pu échanger avec un couple qui réalisait enfin ce rêve.

Il est vrai qu’Enrico Macias, en concert, c’est une autre dimension. C’est aller au-delà de sa musique, de ses chansons.
Enrico Macias, sur scène, c’est une ambiance, une générosité, un amour palpable et réciproque entre lui et son public.
Je lisais cette semaine le commentaire d’une artiste qui avait assisté au concert du Palais des congrès et qui disait : « Enrico Macias, c’est le premier artiste que je vois accueilli par une standing ovation dès son entrée en scène »….

Ce n’est pas nous qui le disons mais c’est effectivement le reflet de ce qui se passe dans tous ses spectacles.
Quel kiff et quels frissons quand vous entendez ces cris d’amour et de joie monter dès l’apparition de sa silhouette.


Alors à Béziers, ce fut le même effet sur la salle pleine à craquer.
Pendant 1 heure 40, tous ont chanté et dansé avec l’artiste dans une explosion de joie. Tous ont partagé avec lui ses refrains les plus connus et dansé sur ses airs de fête indémodables et en même temps si personnels.

Grand moment d’émotion lors de sa nouvelle chanson « une main devant une main derrière », chanson bilan d’une vie faite de joies et de peines, de réussites et d’échecs, mais une vie bien remplie. C’est une chanson qui pourrait être très triste mais que par sa magie personnelle, il sait rendre légère et presque souriante.

Et bien sur le bouquet final sur « L’oriental » et « El porompompero » fut explosif comme toujours.

Alors merci à tous, techniciens et musiciens pour ces moments que vous savez sublimer par votre talent.

Merci à Damien Nougarede qui a rendu possible cette soirée. Son professionnalisme et sa gentillesse ont fait merveille.

Et toujours et encore merci à Enrico Macias


Liste des chansons

Il est comme le soleil
Oranges amères/Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
La France de mon enfance
Medley
les gens du nord
Pour tout l’or du monde
Toi la mer immense
Chanter
Pour toutes ces raisons, je t’aime
Enfants de tous pays
La fête orientale
Une fille à marier
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
Habibi
Medley arabo andalou
Ya rayah
Une main devant une main derrière
Le mendiant de l’amour
L’oriental
El porompompero

Grand moment d’émotion sur la scène du Palais des Congrès, ce samedi 16 avril, au moment où Enrico Macias recevait Tanina Cheriet, la fille de l’immense Idir sur la scène du Palais des congrès.
Enrico Macias qui fêtait, à 84 ans, ses 60 ans de carrière, a tenu à rendre hommage au père de Vava inouva de façon singulière, en invitant sa propre fille pour un duo mémorable.
Enrico a donné la réplique à Tanina, resplendissante de joie et de talent, en chantant un couplet de « Snitra » (la guitare) que les deux chanteurs ont eu à interpréter ensemble sur le plateau de l’émission de Michel Drucker France 2), il y a quelques années.
Merci aux contributeurs et à la chaîne « RIFA Izathimen »

Une fête se termine mais une autre s’annonce aussitôt

Enrico Macias a fait son premier Olympia en tant que vedette en mars 1964
ça fera 60 ans l’année prochaine

A cette occasion, pour fêter cet anniversaire, il vous propose deux rendez vous dans cette salle mythique

LES 18 ET 19 MAI 2024

Ne tardez pas à réserver …. Les premiers rangs sont déjà pris d’assaut

Point d’orgue des célébrations à l’occasion des 60 années de carrière d’Enrico Macias, chacun attendait ce concert au Palais des congrès avec grande impatience.

 L’Olympia a toujours été pour Enrico sa salle de prédilection pour les grands rendez-vous avec son public. Mais pour cet évènement d’exception, il a voulu passer dans une autre dimension avec les 3750 places du Palais des congrès. Et à quelques sièges prêts, la salle était pleine à craquer. Côte à côte, prêts à communier dans la même ferveur, venus des 4 coins de France mais aussi du monde, simples fans ou personnalités connues, tous étaient la pour chanter, danser et faire la fête.

Dans une scénographie de Julie Noyat, le spectacle raconte une journée d’Enrico Macias, du lever du soleil jusqu’à tard dans la nuit. Nous vous en avons dejà parlé au fil des concerts de ces derniers mois et la trame générale demeure la même

Mais Enrico et son fils Jean Claude nous avaient quand même réservé quelques belles surprises.

Nous avons eu le bonheur de voir revenir le Gips’ Latin orchestra pour une interprétation endiablée de « La casa del sol ». Quel bonheur cette chanson ! Comme nous aimerions l’entendre plus souvent !

Et puis Enrico a invité sur scène une jeune chanteuse, Tanina Cheriet qui n’est autre que la fille d’Idir, pour interpréter avec lui « Snitra ». Quelle joie également de réentendre cette chanson magnifiquement interprétée et orchestrée. Et Tanina a une voix sublime. Un grand kiff.

Enfin, Enrico nous a fait la primeur d’une nouvelle chanson intitulée « une main devant, une main derrière » écrite pour lui par Fred Zeitoun. C’est à la fois une chanson triste puisqu’elle évoque le départ de l’artiste vers un autre monde, mais c’est surtout le bilan teinté d’un petit trait d’humour d’une vie riche faite de joies et de peines. C’est une chanson très douce et émouvante, un moment d’émotion très poignant.

Il faut aussi mettre l’accent sur l’orchestre exceptionnel de 19 musiciens accompagnés de trois choristes, tous aussi excellents les uns que les autres. Sur des arrangements de Jean Claude Ghrenassia, la partition musicale est époustouflante et offre au chanteur un écrin de rêve.

Nous n’oublions pas non plus l’excellente prestation de Noa R. qui de spectacle en spectacle prend plus d’assurance dans son duo avec Enrico.

Alors que dire d’Enrico Macias ?
Enrico c’est l’authenticité, la spontanéité, il ne triche pas.
Après 60 années sur toutes les scènes de France et du monde, c’est toujours avec la même émotion qu’il chante ses plus grands standards. Chanter « Adieu mon pays » ou « la France de mon enfance » n’est pas devenu une routine. Il ressent chaque parole au plus profond de lui-même et c’est les yeux mouillés qu’il termine les dernières mesures.
Sa chanson dédiée à Suzy est poignante de vérité et chacun ne peut qu’être touché au plus profond de lui-même.
En réponse à ce qu’il a vécu dans sa jeunesse, il a passé ces 60 années à chanter pour la fraternité et la paix. Jamais il n’a dévié de cette ligne. « Enfants de tous pays » en est un bel exemple. Et la fraternité est présente et vivante dans ses salles car il réunit toutes les cultures et toutes les religions avec sa musique.
Et puis, Enrico Macias, c’est la transmission de ses racines musicales, la musique arabo andalouse qu’il a fait connaitre en occident et jouée sur toutes les scènes du monde. C’est la fête orientale et la joie qu’il veut mettre au cœur de tous ceux qui viennent l’écouter.
Enrico Macias est unique et solaire. Malgré les ans, le succès et les épreuves, il a toujours la même flamme, la même envie de tout donner.
Et par-dessus tout, il a avec son public un lien unique, une sorte de courant presque palpable. IL aime le public et son public l’aime à la folie. Ce dernier répond au moindre geste, à la moindre demande de l’artiste. Et pour preuve, rappelez-vous le deuxième concert de l’Olympia 2022.

La fête de ce 16 avril au Palais des congrès a vraiment été magnifique et Enrico majestueux. Malgré la taille de la salle, la même ambiance et la même chaleur ont régné pendant près de 2h30 et le public, debout, a fait une ovation à l’artiste.

Son triomphe a été éclatant et largement mérité

Alors merci à lui pour ces moments de bonheur inoubliables, merci à Jean Claude Ghrenassia, à Sud Concerts, merci à tous les musiciens et techniciens un moment d’exception.

Bravo à tous et bravo au public, parce que lui aussi est exceptionnel !

Liste des chansons

Solo flûte de Kamel Labbaci
Il est comme le soleil
orange amères / Aux talons de ses souliers
Adieu mon pays
La France de mon enfance
Medley guitare
Les gens du nord
Pour tout l’or du monde
Toi, la mer immense
Chanter
Pour toutes ces raisons, je t’aime
Malheur à celui qui blesse une enfant en duo avec Noa R.
Enfants de tous pays avec Noa R.

Entracte

La fête orientale
Une fille à marier
La casa del sol avec Le Gyps’Latin Orchestra
Les filles de mon pays
Le violon de mon père
Habibi
Snitra en duo avec Tanina
Hava Naguila
Mon chanteur préféré
Medley arabo andalou
Ya Rayah

Une main devant une main derrière
Le mendiant de l’amour
L’oriental avec le Gyps Latin Orchestra
El porompompero avec le Gyps Latin Orchestra