A l’occasion du Sidaction, Jean-Pierre Foucault vous proposera une nouvelle édition spéciale du jeu “Qui veut gagner des millions ?” samedi 2 avril à 20:45 sur TF1.

Toujours réunis pour la bonne cause, de prestigieux artistes ont accepté ce soir de jouer en duo au profit du Sidaction : Valérie Lemercier et Enrico Macias, Marianne James et Bruno Solo, Christophe Dechavanne et Patrice Carmouze, Marilou Berry et Antoine Duléry, Marine Delterme et Bruno Madinier.

Ils se livreront aux questions de l’imperturbable Jean-Pierre Foucault et tenteront d’atteindre le sommet de la pyramide des gains afin de récolter un maximum de fonds pour aider l’association qui lutte, depuis 17 ans, sur tous les fronts de la maladie. Concentration, suspense mais aussi bonne humeur…une soirée riche en surprises et en émotions ! Et n’oubliez pas de soutenir le Sidaction, faites un don au 110.

Assister à “Qui veut gagner des millions ?” sur TF1. Des invitations vous sont offertes par Cassandra pour venir sur le plateau assister au tournage. La spéciale Sidaction sera enregistrée lundi 21 mars à 13:30. A noter qu’un second tournage de “Qui veut gagner des millions ?” se déroulera le lendemain et que des chèques cadeau d’une valeur de 10 euros sont offerts à toutes les personnes qui assisteront à l’émission…

Vous semblez avoir puisé dans vos racines autant que dans vos voyages pour ce nouvel album ?
Si je l’ai intitulé Voyage d’une mélodie, c’est parce que les mélodies voyagent effectivement dans le monde. Ce que j’ai fait, c’est que j’ai essayé de les attraper. C’est pour ça que j’ai mis des chansons arabo-andalouses, des chansons d’Europe de l’Est, des chansons yiddish, des chansons berbères – ce qui est une première pour moi -, de la musique chantée en ladino, qui est le yiddish espagnol… J’ai voulu faire un tour du monde des cultures pour rendre complémentaires nos différences.

Est-ce que la musique ne réalise pas depuis longtemps ce rapprochement, cette fusion des différences ?
Si, absolument. C’est bien pour ça que j’ai voulu favoriser l’échange sur ce disque. Lorsqu’on joue de la musique, il existe un échange profond, un langage commun qui s’affranchit des différences. C’est comme avec la tradition et la modernité, qui paraissent s’opposer et qui finissent toujours par se retrouver. C’est pour ça que, sur ce disque, j’ai pris quelqu’un comme Socalled (1), qui a travaillé avec mon fils à donner cette couleur un peu plus moderne, qui a réussi à moderniser le traditionnel.

Comment s’est passé l’enregistrement ?
Le concept a été très bien travaillé par Socalled et mon fils. Et ils ont tellement bien travaillé que lorsque nous sommes rentrés en studio, le disque a été enregistré à une vitesse record. Et dans le plaisir absolu. J’ai adoré faire ça.
Mes musiciens, qui m’accompagnent depuis très longtemps, ont interprété des musiques qui leur étaient étrangères avec beaucoup de facilité, en les intégrant très rapidement. Cela prouve bien qu’il n’y a pas de drapeaux, pas de frontières entre les musiques. C’est le seul mode d’expression qui n’a pas besoin de passeport.
« J’ai fait une carrière internationale dans des pays où on ne comprenait pas un traître mot de ce que je disais »

La suite de l’Interview parue dans le journal « L’Union » en suivant ce lien :

http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/enrico-macias-%C2%AB-jai-adore-faire-ce-disque-%C2%BB

Pour tous les inconditionnels d’Enrico Macias

Vous pourrez l’écouter sur les ondes, et le voir sur votre petit ou grand écran 

SAMEDI 12 MARS 2011

Sur RADIO FRANCE BLEU dans l’émission animée par Serge POEZEVARA
« On repeint la musique » de 14h à 16h

Sur FRANCE 2 dans l’émission de Laurent Ruquier
« On est pas couché » à 22h50

Bon weekend à tous !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=edgyjJ9W1J8[/youtube]

Le nouvel album d’Enrico Macias, « Voyage d’une mélodie », est maintenant en vente depuis lundi

Il est sublime et nous vous recommandons vivement de vous le procurer

Voici le making off présenté lors de l’émission « Vivement dimanche » de Michel Drucker

L’artiste québécoise d’origine algérienne Lynda Thalie chantera à l’Olympia de Paris à compter du 24 mars. Elle se produira alors en première partie du légendaire Enrico Macias.

Lynda Thalie brûlera les planches de l’Olympia du 24 au 27 mars. Elle s’y produira à quatre reprises avant le tour de chant d’Enrico Macias. De nombreux intervenants de l’industrie musicale française devraient être sur place pour découvrir la Québécoise.

À son retour de France, Lynda Thalie sera de passage au Salon du livre de Québec. Elle y présentera son récit autobiographique «Survivre après le naufrage», qui retrace son départ précipité d’une Algérie à feu et à sang.

Le 14 avril, Lynda Thalie offrira un concert intime et acoustique au Centre Segal des arts de la scène, à Montréal. Cette prestation s’inscrit dans le cadre de la série «Femmes du monde». Anastasia Friedman (17 mars) et Bïa (26 mai) y donneront aussi des spectacles

On se souvient qu’Enrico Macias et Lynda Thalie avaient déjà chanté ensemble en Egypte en octobre 2010

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Kz9EDbu98gY[/youtube]

Création Marlène (paris)

Pour le plus grand bonheur de tous, l’actualité d’Enrico Macias est très riche ces jours ci.

Et il est difficile de tout saisir pour vous en faire profiter

C’est pourquoi, aujourd’hui, je voudrais tout particulièrement remercier tous les amis « all around the world » qui me transmettent en instantané les informations dont ils disposent sur notre artiste.
Sans vous, ces pages ne seraient pas ce qu’elles sont

ELLE EST BELLE NOTRE CHAINE D’AMITIE AUTOUR DE NOTRE ARTISTE ET HOMME DE PAIX

Je veux aussi remercier tous nos visiteurs, fidèles ou occasionnels, qui , en ces jours d’intense activité ont fait exploser nos chiffres de fréquentation  

Pour la seule journée de samedi, nous avons atteint le chiffre record de 200 visiteurs sur ce blog et 400 sur le site www.altaiir-enricomacias.com

Merci à vous tous pour votre intérêt pour ces lieux de partage et d’échange autour d’ENRICO MACIAS

LORIENTAL

Le nouvel album d’Enrico Macias

« Voyage d’une mélodie »

est sorti hier dans les bacs.

Et pour fêter cet évènement tant attendu par tous les fans d’Enrico

Rumina nous a envoyé cette très belle composition de Bulgarie

Merci Rumiana !!!!!!!!!!!

Et à dans quelques jours pour l’Olympia !!!!

Cinquante ans après Adieu mon pays, la première de ses chansons qu’il continue d’emporter avec lui sur toutes les routes et toutes les scènes, l’itinérance d’Enrico Macias se poursuit et s’élève dans un nouvel album qu’on pourrait qualifier de « cosmopolite », en écho à l’auto-portrait « né pour être cosmopolite » que le chanteur de Constantine esquisse en entretien avec le quotidien La Provence.

 « Si je l’ai intitulé Voyage d’une mélodie, explique-t-il dans les colonnes du journal méridional, c’est parce que les mélodies voyagent effectivement dans le monde. Ce que j’ai fait, c’est que j’ai essayé de les attraper. C’est pour ça que j’ai mis des chansons arabo-andalouses, des chansons d’Europe de l’Est, des chansons yiddish, des chansons berbères – ce qui est une première pour moi -, de la musique chantée en ladino, qui est le yiddish espagnol… J’ai voulu faire un tour du monde des cultures pour rendre complémentaires nos différences. »

Rassembleur dans sa musique, Enrico Macias demeure en dehors intraitable, droit dans sa culture, inflexible dans ses convictions. Eric Briones, alias Darkplanneur sur la toile, en a fait l’expérience quelques jours avant le passage de l’artiste, entouré de ses amis, sur le divan rouge du Vivement dimanche de Michel Drucker. Invité du numéro 38 de la webémission le Cabinet des Curiosités, le chanteur de 72 ans est parvenu à bousculer un Darkplanneur qui tient habituellement les rênes dans la jungle de la psychanalyse artistique de ceux qui se prêtent à son interrogatoire.

Revêche, mais aussi émouvant et drôle (« Les frères Coen ? Cohen, ça me dit quelque chose, mais les frères Coen… »), ou encore spirituel à l’orée du mysticisme, Enrico Macias s’est livré sans retenue, quitte à improviser un numéro d’air guitar/air batterie sur une version à peine reconnaissable du Highway to Hell d’AC/DC en lâchant, rigolard, « le prochain album, j’sais pas si ça va pas être du hard rock ».

 « Suzy, je dois lui rendre hommage tout le temps… »

Après un intervalle, depuis son précédent album, marqué par deux deuils extrêmement douloureux, suite à la perte de son épouse et muse bien-aimée Suzy fin 2008, et celle de son complice de toujours Jacques Demarny, son parolier mais aussi et surtout son « frère », son « deuxième moi-même », on pouvait à bon droit s’attendre à trouver la marque de ses épreuves dans son nouveau disque. Au contraire, celui-ci s’enorgueillit d’une joie de vivre qui prend un tour à proprement parler métaphysique : « J’ai choisi des chansons de fête. Chez nous, dans notre culture, on chante d’abord la joie. Et vous savez, quand on perd un être cher, on chante toujours. C’est jamais noir (…) La musique, c’est le seul langage qui existe entre l’au-delà et ici. Il n’y a pas d’autre moyen de communiquer avec les gens qui ont disparu, » explique-t-i l à Darkplanneur. « La tradition veut qu’on accompagne l’âme de la personne qui s’en va et qu’on apporte du réconfort à ceux qui restent et qui souffrent », complète-t-il dans La Provence.

Bien évidemment, la force de la tradition et de la musique ne comble pas le manque : « Ma femme était malade et j’ai eu peur de la perdre, et puis je l’ai perdue quand même, mais elle est toujours là. Finalement, ma peur est remplacée par ma foi. » Une foi chevillée au corps, une foi doublé d’une mission affective : « Je ne peux pas oublier Suzy, et je ne veux pas que Suzie soit oubliée par le public. Je dois lui rendre hommage tout le temps. »

« Quand j’ai pris un engagement pour quelqu’un, je ne change pas si vite… »

Cette loyauté qui l’honore, presque à contre-courant des moeurs modernes, s’exprime sur un autre terrain : celui de l’engagement politique, qui est également matière d’affect pour l’intéressé. Fervent soutien de Nicolas Sarkozy lors de la campagne présidentielle de 2007, Enrico Macias, qui avait pourtant le coeur à gauche mais a accordé sa confiance à Nicolas Sarkozy quand Dominique Strauss-Kahn a été écarté de la candidature socialiste, a les idées claires quand on évoque 2012 (où DSK pourrait porter les espoirs de la gauche face au président sortant) : « Quand j’ai pris un engagement pour quelqu’un, je ne change pas si vite que cela. Si Nicolas Sarkozy se représente, je le soutiendrai comme je l’ai soutenu en 2007. Je continuerai à la soutenir parce que je l’aime beaucoup, parce que ma religion c’est l’amitié, et je sais que la sienne c’est l’amitié aussi (…) Quel que soit l’adversaire de Sarkozy, je soutiendrai Nicolas Sarkozy, je ne peux pas vous en dire plus. »

Retrouvez les confidences sans ambages d’Enrico Macias dans Le Cabinet des Curiosités numéro 38 au club Privé, visible ci-dessus, avec également des tours de chant aux allures de liesse et des bons mots (« Dans mes veines coulent des merguez et du couscous ») à ne pas manquer.

A noter que Darkplanneur, à l’occasion de la Journée internationale pour les droits des femmes ce 8 mars, lancera une nouvelle émission, intitulée Divas, pensée comme un croisement entre Taratata et Psychologies Magazine. Exclusivement dédié aux chanteuses, invitées à chanter un titre en acoustique et à livrer leur vision de la féminité, ce nouveau programme recevra, pour étrenner les plâtres, la belle Ayo, parallèlement à la sortie de son nouvel album ce lundi, Billie-Eve (baptisée d’après sa petite fille). Une candidate au profil idéal : « Ce que ce titre veut dire, c’est qu’on doit se libérer pour devenir la femme que l’on veut être », expliquait-elle récemment à propos de son nouveau titre I’m Gonna Dance…

Article paru sur Pure people