Nous avons souvent l’occasion d’évoquer le « miracle Enrico Macias », celui de réunir autour de lui, dans une même communion, toutes les origines, toutes les cultures et toutes les confessions confondues. Cette atmosphère d’amitié, de paix, de partage et de fête, nous la vivons à chacun de ses concerts.
C’est sans doute ces instants d’exception qui nous font sillonner la France mais aussi le monde pour certains d’entre nous.

Aujourd’hui, nous voulons remercier tout spécialement Kataline qui nous envoie ces photos magnifiques du Concert de Rennes

Kataline habite à Baja en Hongrie. Elle a fait la connaissance avec la musique d’Enrico Macias, par hasard, grace à un ami en 2005. Depuis ce jour, Enrico l’accompagne à chaque instant de sa vie. Il a été son moteur pour apprendre le français et chaque jour, elle ne tend que vers un but : pouvoir venir en France le plus tôt possible pour assister à un concert d’Enrico.

Kataline est montée dans le train vendredi matin à Baja, dans le sud de la Hongrie, direction Budapest où, là, elle a pris l’avion jusqu’à Paris. Le voyage est long mais la fatigue ne compte pas quand on vole vers Enrico. Après une nuit dans la capitale française, elle a continué son périple jusqu’à Rennes. kataline a ainsi parcouru 2118 km pour assister au concert de Rennes.
Là elle a retrouvé d’autres fans dont Michael qui lui était arrivé quelques jours plus tot des USA pour le concert de Lyon et est reparti aussitôt les lumières de Rennes éteintes. Elle a retrouvé aussi Armand et Aurélie et tous les musiciens d’Enrico qui lui réservent toujours (et nous réservent toujours) un accueil chaleureux.

Quel plaisir de voir les yeux de Kataline briller de joie et de bonheur en ces instants. Comme à Lyon, Enrico a fait la fête avec son public et Kataline n’a pas manqué de chanter et danser sur les nouveaux airs très festifs de notre chanteur préféré. « Quelle super boom!!!! »  m’a t’elle écrit. Qu’importe qu’il faille refaire 2000 km le lendemain pour retourner au travail. Quand on a vécu des moments de joie si intenses, on a toute l’énergie du monde et du courage à revendre.

Et puis Enrico, homme et artiste au grand coeur, a reçu Kataline dans sa loge où elle a pu lui remettre son cadeau, une très belle casquette qu’elle a brodée pour lui de ses propres mains. Les personnes qui sont venues saluer l’artiste à la suite de Kataline ont même eu du mal à le reconnaitre avec ce couvre-chef insolite sur la tête.

Merci Enrico pour tant de bonheur offert à tous ceux qui t’approchent

Et merci Kataline pour ta gentillesse, ta générosité et ton grand coeur !!!!!!!

Merci aussi à Varta qui elle nous accompagne depuis Varna en Bulgarie et qui ponctue les escales de la Mélodie Maciasienne de ces magnifiques montages

MERCI A VOUS TOUTES ET TOUS !!!!!!!!!!!!!!

MERCI ENRICO !!!!!!!!!!!

RENDEZ VOUS A L OLYMPIA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Notre envoyée spéciale à l’Olympia nous envoie cette photo

Elles sont déjà en place les affiches dans le Hall du mythique music-hall parisien, passage obligé et espéré de tout artiste.

Enrico Macias a depuis longtemps mérité cet Olympe avec plus de trente frontons en lettres de lumière sur le boulevard des Capucines.  Pourtant il n’hésite pas à l’aube de ses 50 ans de carrière à revenir avec de nouvelles chansons donner la fête orientale dont il a seul le secret.

Nous vous donnons tous rendez vous pour cette fête interculturelle et intercommunautaire !!!

L’occasion de montrer au monde entier que la Paix et l’Amitié entre tous les peuples n’ont pas de frontières pour qui sait tendre la main avec Tolérance et Amour

Nous serons présents du 24 au 27 mars 2011 à L’Olympia et nous serons tous très heureux de nous retrouver pour célébrer l’homme et l’artiste au grand coeur que nous aimons tous et lui chanter

« TU N ‘ES PAS SEUL AU MONDE ENRICO !!!!! »

 « Je l’ai poursuivie cette mélodie et j’ai tant voyagé.

A mesure que je tentais de l’atteindre, elle se transformait prenant parfois l’apparence d’une musique andalouse, d’un chant de Kabylie ou d’une chanson judeo-espagnole.

Mais elle s’est échappée encore plus loin, vers l’est et je découvre en vibrant la chaleur du monde Yddish. Je voyage encore… »

 C’est ainsi qu’Enrico Macias présente son nouvel album, une promenade musicale dans le monde juif séfarade (juifs d’Espagne et d’Afrique du Nord) et yddish (ashkenaz juifs d’Europe Centrale et de l’Est).

Cet album a été co-réalisé par Jean-Claude Ghrenassia et SoCalled (Josh Dolgin), musicien dj canadien, qui a su redonner un nouveau souffle à la vieille musique juive en l’associant à sa culture soul et hip hop – Socalled a également collaboré avec Gonzales et David Krakauter le grand spécialiste de la clarinette klezmer ainsi que Fred Wesley (les jb’s). Il a été enregistré et mixé par Jean-Pierre Suys.

Socalled a composé Tu n’es pas seul au monde dont Claude Zuffrieden a signé l’adaptation française. Il a également écrit les musiques de De loin et La nuit dont Marc Esteve (Henri Salvador, Art Mengo,…) a signé les textes s’inspirant à la fois de l’essence des musiques yddish et de la vie d’Enrico.

 Voyage d’une mélodie est un témoignage émouvant où se marient avec habileté toutes sortes de sonorités, très certainement l’un des plus beaux disques d’Enrico Macias à ce jour, un disque plus qu’important à l’aube de ses cinquante années de carrière qui seront célébrées en 2012.

Nous sommes tous impatients de l’entendre ce nouvel album. Alors en cliquant ICI vous allez pourvoir en avoir un tout petit avant gout

Bonne écoute

Et n’oubliez pas : Sortie de l’album le 7 mars

                                 L’Olympia du 24 au 27 mars 2011 – Venez très nombreux

                                 Des concerts dans toute la France (voir notre page concerts)

Enrico Macias était hier soir en concert à Lyon pour la deuxième étape de sa toute nouvelle tournée 2011

Durant toute cette soirée sur la scène de la Bourse du travail, une mélodie coquine a murmuré à l’oreille d’Enrico les étapes d’un voyage festif tout autour de la terre, nous entrainant de Tunisie au nord de la France, pour repartir en Europe de l’est, revenir à Paris avant de redescendre en Andalousie et retraverser la méditerranée pour finir son périple en kabylie et à Alger.

Ce n’est pas moins de 7 chansons de son nouvel album (à paraitre le 7 mars) qu’Enrico nous a présenté lors de ce concert chantant tour à tour en arabe, en yiddish, en ladino, en hébreu, en kabyle.  Une belle performance de notre chanteur mais aussi de ses musiciens. Ils étaient tous là les fidèles musiciens :
Thierry Roques qui nous fait la surprise de relever le flambeau de Pino lattucca en assurant les accompagnements au clavier en alternance avec son inséparable accordéon,
Kamel labacci qui sait toujours avec autant de talent habiller les chansons d’Enrico au son du violon « de son père » et qui nous régale en supplément cette fois ci d’un sublime exercice à la flûte
Bruno Bongarçon et Hafid Djemai, les deux fidèles guitaristes, qui savent si talentueusement répondre en écho à la guitare d’Enrico
Amar Mohali toujours aussi brillant aux percussions
Serge Haouzi à la batterie et Henri Daguerre à la basse, les plus fidèles parmi les fidèles

Suivant la petite voix de la mélodie, Enrico a alterné tout au long du spectacle ses nouvelles chansons qu’il s’est appliqué à apprendre et faire répéter au public et les anciens succès qui dès les premières notes égrenées transportaient la salle dans une liesse toute maciasienne. Il était formidable hier soir le public lyonnais et il n’a pas ménagé sa peine pour chanter et mettre l’ambiance qu’aime tant Enrico.Au son des youyous de joie, les femmes n’ont pas manqué de venir danser au pied de la scène comme il est de coutume dans chacun des concerts d’Enrico et la salle était debout devant Enrico pour entonner Le mendiant de l’amour, l’oriental et El porompompero.

Enrico, ce soir de février, ce public est venu te crier :

« Enrico, tu n’es pas seul au monde » 

Enrico Macias à son arrivée à la Bourse du travail – Lyon – 10 février 2011

Le single d’Enrico Macias

« Tu n’es pas seul au monde  »

est arrivé dans les radios ……

Soyez vigilants ……….

peut être aurez vous la chance de l’entendre avant la sortie de l’album le 7 mars prochain

Dans cette attente, vous pouvez déjà applaudir Enrico Macias en concert. Ce soir, il est à Lyon

Venez nombreux !!!!!!!!!!!

L’association des artistes israéliens va remettre cette année son prix annuel au chanteur juif français d’origine algérienne, Enrico Macias, pour l’oeuvre de sa vie.

M. Macias, 72 ans, a à son actif 50 ans de carrière. Il entame ces jours-ci une nouvelle tournée de concerts qui le mènera aussi en Israël. Le prix israélien lui sera remis dans 3 mois au cours d’une cérémonie à Tel-Aviv, en présence de personnalités israéliennes et françaises.

Article paru sur www.terredisrael.com

Enrico Macias était hier soir à Meaux pour le premier concert de sa tournée 2011 et à deux mois de son passage à l’Olympia.

Très en beauté en costume noir et chemise blanche, , sa chevelure blanche et bouclée encadrant un visage rayonnant, il a débuté son voyage en mélodies avec bonheur.

Le public venu nombreux lui témoigner son amour et faire la fête avec lui a su entretenir l’ambiance chaleureuse qu’Enrico aime tant.

Son tour de chant, composé d’anciens succès, mais aussi, en avant première, des nouvelles chansons de son album à sortir (7 mars dans les bacs) a porté les spectateurs dans un voyage musical international allant de l’Algérie, en passant par la Tunisie et son jasmin, l’andalousie, et bien d’autres contrées que nous vous laisserons découvrir.

C’est avec beaucoup d’émotion qu’il a également rendu un vibrant hommage à son « frère » disparu il y a quelques jours, Jacques Demarny.

Merci Enrico, pour tous ceux qui étaient présents hier soir à Meaux, restera gravé dans leur coeur le souvenir d’une soirée inoubliable telle qu’ils l’attendaient : La fête maciasienne !!!!!

Nous te donnons tous rendez vous pour la suite du voyage à Digne les bains, puis à Lyon

Avant son passage à l’Olympia le 24 Mars 2011, Enrico Macias fera escale à Nice, au Palais de la Méditerranée, le 6 mars prochain. Entré dans nos foyers très tôt, il chante depuis 50 ans, Enrico Macias possède cette grande qualité d’être accessible à tous et, du coup, d’être un chanteur populaire, au sens strict du terme, c’est-àdire qu’il plaît à tous. Artiste emblématique avec son accent chaleureux et profond, le chanteur d’«Enfants de tous pays» emmènera les spectateurs dans son univers musical aux accents orientaux.
 

Shalom Pratique :

Vous souvenez-vous que votre premier concert en vedette, c’était à Nice en 1962, au Théâtre de Verdure ?

  Enrico Macias : Bien sûr que je m’en souviens. C’était la première fois que je chantais devant tant de personnes. Ça a été la révélation de mon ascension. Personne ne pouvait plus passer derrière moi (sourires.)  
 

Qu’allez-vous proposer aux Niçois le 6 mars prochain ?  

   Non seulement, je vais leur chanter mes succès, mais je vais aussi leur offrir les chansons de mon nouvel album qui sortira à peu près en même temps. Ce disque, qui a pour titre « Voyage d’une mélodie », propose un voyage dans toute la tradition juive laïque. Je chante des chansons en berbère, en arabe, en ladino, en hébreu et en Yiddish et rend ainsi hommage à toute cette culture, entre tradition et modernité. Il y a aussi un titre original « Les Sépharades. » J’ai composé la musique et Eliette Abécassis en a écrit les paroles. Un duo avec Daniel Lévi, « Shalom aleichem », figure également sur l’album, avec une nouvelle musique et une orchestration réalisée par mon fils.
 
 On a l’impression que malgré vos récents succès comme « La vie populaire », « Il pleut des étoiles » ou « Mes Andalousies », il vous est impossible de retirer de votre répertoire des chansons de plus de 30 ans. Comment l’expliquez-vous ?

  Vous savez, sans ces premières chansons, les nouvelles n’existeraient pas. Je crois que je fais un mélange savant pour contenter tout le monde.

  Vous dites que vous êtes un chanteur de groupe et n’hésitez jamais à valoriser vos musiciens. Qui vous accompagnera sur scène cette fois ?

  Toujours les mêmes. Je serai accompagné d’une formation très équilibrée de 7 musiciens : Basse, accordéon, percussion, batterie, guitares, violon. Parmi eux, Amar Mohali aux percussions, Abdenour Djemai et Bruno Bongarçon aux guitares, Thierry Roques à l’accordéon…

  On constate que votre public s’est élargi. Est-ce parce que vous êtes un chanteur de charme mais aussi un chanteur à messages ?

  Il est vrai que les jeunes commencent à me découvrir. Ça a pris du temps, mais aujourd’hui, ils ne me boudent plus. Alors que les jeunes de l’époque, quand j’ai débuté, ne comprenaient pas mon discours, j’étais en porte-à-faux.

  Pour vous, la musique est une porte éternellement ouverte à la création. Il n’y a pas de barrière, pas de frontière…

  J’aime dire que la musique c’est comme un océan. On n’a d’ailleurs jamais fini de développer son style. Moi-même, vous savez, je suis l’héritier d’une civilisation vieille de plusieurs millénaires !

  Chanteur, est-ce un métier où il faut prendre des risques ? C’est-à-dire, par exemple, accepter de se renouveler…

  Oui tout à fait. Et le charme est de se renouveler tout en restant le même.

  Vous aimez dire que vous avez deux religions, n’est-ce pas ? La mémoire et la liberté.

  En effet, en dehors de la religion juive évidemment. La mémoire et la connaissance, c’est Dieu. Nousavons ce devoir de mémoire, c’est d’ailleurs la première prière que l’on doit faire à Dieu. Dieu récompense les gens qui font leur devoir de mémoire. On peut blasphémer, il comprendra, mais ne pas respecter ce devoir de mémoire, il ne nous le pardonnera pas.  

  Vous considérez-vous comme un chantre de la paix, ainsi que le représentant de la musique judéo-arabe-andalouse ?

  Bien sûr. Il s’agit de toutes les facettes que je représente. Et dans mon dernier album, je flirte même avec la civilisation Yiddish. J’aimerais qu’on soit tous unis.

En 1980, l’ONU vous a décerné le titre de « chanteur de la paix. » En 1997, le Secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan, vous a nommé ambassadeur itinérant pour promouvoir la paix et la défense de l’enfance. Votre engagement auprès de l’UNICEF est indéfectible, d’ailleurs vous lui avez abandonné vos droits sur la chanson « Malheur à qui blesse un enfant .» Votre implication humanitaire est remarquable. Est-ce vital pour vous de vous investir dans ce genre de causes ?

  Je me suis toujours investi dans des causes humanitaires. C’est un réconfort, je dirais un confort supplémentaire et le poids que représente l’ONU, ça m’aide. Je me fous des titres et des médailles. Je me souviens même que lorsque Kofi Annan m’a nommé Ambassadeur, il m’a dit que ce titre était un pléonasme pour celui qui avait chanté « Enfants de tous pays. »

Vous êtes un « déraciné » et pourtant, grâce à une carrière internationale incroyable aux quatre coins du globe, vous êtes chez vous dans le monde entier. Malheureusement, votre popularité s’arrête encore aujourd’hui aux frontières des pays arabes. Comment vivez-vous cela ?

  Je suis un peu amer et je trouve que c’est frustrant pour le peuple qui n’a rien à voir avec toutes ces histoires. C’est un retard sur la fraternité. Mais je demeure optimiste, un jour ou l’autre, ça va s’arranger.  

On vous a vu dans « La vérité si je mens 2 », vous reverra-t-on bientôt sur un écran de cinéma ?

  J’ai tourné deux films en même temps que je préparais mon nouvel album. Je reprends donc le rôle de Maurice Boutboul dans « La vérité si je mens 3 », mais il sera plus étoffé (sortie prévue en 2012). Et je joue aussi dans le film d’Éric Lavaine, « Croisière Caraïbes » avec Franck Dubosc, Valérie Lemercier et Gérard Darmon, dont la sortie est prévue en octobre.

Quel est votre plus beau souvenir ? Votre concert en 1978 au pied des pyramides égyptiennes devant 20 000 spectateurs arabes, votre premier Olympia… ?

 Sans aucun doute, ma rencontre avec le président égyptien Anouar el-Sadate en 1978.

Aurez-vous le trac le 6 mars prochain avant de monter sur la scène du Palais de la Méditerranée ?

  J’ai toujours le trac. Le jour où je ne l’aurais plus,je n’aurais plus d’intérêt à chanter.

 

Propos recueillis par Corinne Sorin

 Article paru sur le site : Shalom pratique 

 

 

    

  
 

 

 
 

 

 
 

 

populaire dans le coeur des gens

 

 
 

 

 

Enrico Macias commence sa tournée 2011 à Meaux

A cette occasion, un journaliste de la radio 77info.fr l’a interviewé par téléphone

Ecoutez ce qu’il nous dit de son nouvele album à sortir le 7 mars, de sa tournée et de son actualité

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Interview réalisée par la radio 77info.fr

Décès Jacques Demarny : Enrico Macias a « perdu un frère »

PARIS, 13 jan 2011 | Le chanteur Enrico Macias a « perdu un frère, un deuxième (lui-même) » avec la mort de son parolier Jacques Demarny dont la rencontre a été la « chance de sa vie », a-t-il déclaré jeudi à l’AFP.

Le chanteur Enrico Macias a « perdu un frère, un deuxième (lui-même) » avec la mort de son parolier Jacques Demarny dont la rencontre a été la « chance de sa vie », a-t-il déclaré jeudi à l’AFP.

Jacques Demarny, décédé mercredi à l’âge de 85 ans, « a été la chance de ma vie dans ma carrière artistique. On a écrit plus de 500 chansons ensemble, on a fait le tour du monde. Il était tout le temps près de moi, très proche de ma famille aussi », a déclaré M. Macias.

« C’est un frère que j’ai perdu, un deuxième moi-même. On ne pouvait pas créer chacun de notre côté, il fallait qu’on se voit tout le temps », a-t-il ajouté.

Enrico Macias, alors jeune chanteur, avait fait la connaissance de Jacques Demarny en 1963, lorsque celui-ci était venu lui proposer un dimanche après-midi dans sa loge à Bobino les textes d' »Enfants de tous pays » et de « La femme de mon ami », qu’il avait écrits avec Pascal-René Blanc.

Article « Tribune de Genève » http://www.tdg.ch/node/294940

AFP – Le parolier Jacques Demarny, inséparable d’Enrico Macias pour lequel il avait écrit « Les gens du Nord » et « Enfants de tous pays », est mort mercredi à l’âge de 85 ans, a-t-on appris jeudi auprès de la Sacem, dont il avait présidé à deux reprises le conseil d’administration.

Né en 1925 à Paris, résistant dès l’âge de 19 ans, Jacques Demarny a commencé sa carrière en 1947, en montant un numéro de duettistes avec son frère Jean.

En 1959, il entame une carrière de parolier et commence à écrire pour Annie Cordy (« Allez hop », « 1960 ») et Danielle Darrieux (« Prendre le temps de s’aimer davantage »).

Le succès arrive avec un ancien instituteur venu d’Algérie et dont le nom deviendra vite indissociable de celui de Jacques Demarny : Enrico Macias. Pour lui, il écrira des dizaines de chansons dont « Enfants de tous pays », « Les gens du Nord », « Les millionnaires du dimanche », J’ai quitté mon pays », « Mon coeur d’attache », « Malheur à qui blesse un enfant »…

Jacques Demarny écrira aussi pour Daniel Guichard, Gérard Lenorman, Georges Guétary, Alice Dona, Nana Mouskouri, Demis Roussos…

« Avant tout, c’était l’homme qui était vraiment impressionnant d’humanité, de force, de sagesse. Il avait été un très jeune résistant. Toute sa vie a été un combat pour les causes qu’il trouvait justes », a réagi l’actuel président du conseil d’administration de la Sacem, Claude Lemesle.

« Ce n’est pas étonnant de l’avoir retrouvé en tant qu’auteur aux côtés d’Enrico Macias, pour chanter ce peuple qui avait souffert de ce rapatriement, la Shoah, les guerres. Il y avait une cohérence formidable entre l’homme et l’auteur », a déclaré M. Lemesle à l’AFP.

Paru sur France 24 : http://www.france24.com/fr/20110113-deces-jacques-demarny-parolier-denrico-macias

Enrico Macias à l’honneur de « Vivement Dimanche » le 6 mars prochain

En tournée dans toute la France dès la fin du mois de janvier 2011, Enrico Macias sera l’invité d’honneur de l’émission « Vivement Dimanche » présenté par Michel Drucker sur France 2 le 6 mars 2011. L’occasion pour l’éternel interprète des « Filles de mon pays » ou « Les gens du Nord » de présenter son nouvel album, « Voyage d’une mélodie » à paraître le 7 mars prochain. Un disque dans lequel le chanteur méditerranéen rend hommage aux vieux thèmes de la culture Yiddish, entre tradition et modernité.

Rappelons qu’Enrico Macias débutera une grande tournée hexagonale dès la fin du mois de janvier, laquelle passera notamment par Meaux (27/01), Lyon (10/02), Rennes (13/02), Aix en Provence (5/03), Nice (6/03), sans oublier quatre dates à L’Olympia à Paris les 24, 25, 26 et 27 mars 2011.

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